Gabrielle Vincent

Je suis content de la manière dont elle a tout accepté.

- Pourvu qu'il ne pleuve plus demain, Ernest !
- J'ai toujours eu de la chance, Célestine !

- Ça n'existe pas les méchants loups, Ernest ?
- Non. Seulement dans les histoires.

Pourquoi Ernest ferme-t-il ce tiroir à clé ?

- Mais tu boudes, Célestine. Que se passe-t-il ?
- Laisse-moi, Ernest. Tu m'as tout caché. J'ai vu tes photos... Ces enfants... cette souris blanche...
- Mais Célestine, je travaillais dans une colonie de vacances, c'est tout !
- Ah bon ! Et pourquoi tu n'as aucune photo de moi ?
- J'ai une idée, Célestine ! Allons chez le photographe !

Mais qui est cette souris blanche ? Qui sont tous ces enfants avec Ernest ? Pourquoi ne m'a-t-il jamais rien dit ? Et moi alors ? Pas une seule photo de moi !

- Une vraie fête... Célestine... Une fête avec des amis... [...] Qu'est-ce que tu as ? Célestine ! Célestine ?
- Tu es déçu, Ernest ? Moi, Ernest, moi... Je voudrais un Noël dans la vraie neige. Avec toi, Ernest... Toi et moi. Tout seuls. Rien que nous deux ! Des bougies qu'on peut allumer. Des vraies étoiles. Dis oui, Ernest ! Dis oui !

- Dans ton lit, Ernest !
- Je cherche mon bonnet de nuit...
- Il est sur ta tête, ton bonnet de nuit !... Ce sont des prétextes tout ça !... Allez, retourne au lit !

- La diète, des tisanes... et garder le lit ! Il va falloir vous trouver de l'aide, Monsieur Lebon... et placer la petite !
- Non, c'est moi qui vais soigner Ernest ! Voilà ! Et qui me soigne, moi, quand je suis malade ?... Hein !

C’est Siméon que je veux !

- Moi, je me débrouille très bien sans Juliette.
C'est une question de tempérament.
Je trouve toujours de quoi manger.
Je suis un chat !

Mes moutons... j'ai abandonné mes moutons!

On me dit que je ressemble a Paul Léautaud!
C'est vrai?
Qu'est ce qu'il donnait à manger à ses chats?