Citations de Gaya Wisniewski (14)
La vie est faite de tout petits riens qui nous font devenir ce que l'on voulait être. Il faut juste les voir.
Puis, je l'ai senti à mes côtés.
Dans mon cœur, je l'entendais :
"Je serais dans chaque fleur que tu découvriras au printemps,
dans chaque bruit de la forêt,
dans la chaleur du feu,
dans la caresse du vent,
dans chaque flocon qui tombera ..."
Maintenant, j'éteins la lanterne, la lune éclaire notre marche. La neige est encore plus belle ainsi. Elle est tellement blanche qu'elle reflète nos rêves.
La première fois que je l'ai vu, c'était le printemps.
Dans les hautes herbes, je ne voyais pas grand chose du haut de mes quatre ans.
Maman m'a prise dans ses bras et m'a dit :
"Regarde ! Il est revenu !"
Sa vie était rythmée par ces trois mots : métro, boulot, dodo. Mais un jour, sur le chemin du retour, devant la 39e rue, un immense ours lui bloqua la route.
Dédicace :
Pour Pampam qui m'a appris la tendresse.
Un grand merci à Joanna Concejo de m'avoir montré le chemin.
Ces moments en sa compagnie me rechauffaient.
il faudrait plutôt être heureux que ceux qu'on aime fassent des choses qui leur font plaisir.
Il existe des villes où l'on a l'impression de flotter.
Il s'y trouve des gens qui s'y sentent transparents.
Il n'aime pas les herbes hautes qui lui grattent les jambes, il n'aime pas les fourmis qui viennent manger les miettes dans son assiette, il n'aime pas marcher des heures dans la forêt avec un gros sac sur le dos et surtout, il n'aime pas pêcher.
Tu sais, le monde des rêves est un monde fragile
- Moi, à part toi, personne ne me regarde, chuchota Aleksander.
- Alors, remplis ton espace, comme tu le faisais, petit, sur ta feuille quand tu me dessinais. Prends ta place !
- Ma vie est faite de rencontres, mes amis sont tout au long de mon voyage. Je n'ai pas besoin que les choses m'appartiennent, je ne reste jamais longtemps au même endroit. Je profite des instants présents.
- Non. Je suis du plancton.
- Du plan quoi ? répète Thao.
- Du plancton.
- Une planque de thon ?
- Mais non ! Du plancton. P.L.A.N.C.T.O.N.
C'est le nom le plus surprenant que Thao ait jamais entendu.
- Tu t'appelles plancton ?
- Ce n'est pas mon prénom, oh non ! C'est mon espèce. Sans bras ni stress, répond la voix qui adore les rimes.