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Critiques de Giorgio Scianna (19)
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On inventera bien quelque chose

Deux gamins, Mirko 17 ans et Tommaso, 11 ans, vivent seuls depuis le décès de leurs parents. Leur oncle, Eugenio, est leur tuteur. Ils doivent rendre compte de la moindre dépense à leur tuteur.



Pourtant tout roule. Les deux gamins respectent les règles, vont à l’école régulièrement et on même de très bonnes notes, ce qui fait que les adultes ne les embêtent pas trop.



Cependant, tout se corse lorsque Mirko souhaite se rendre à Madrid pour y voir un match de l’Inter Milan. Tous ses copains y vont. Il veut être de la partie. Le billet est assez cher et son oncle refuse de lui donner l’argent.

Mirko va trouver un stratagème pour pouvoir s’y rendre malgré tout. Il aura un mois pour rendre l’argent…



Si vous voulez savoir la suite, alors il faudra le lire.



Un très bon livre, où l’on accompagne Mirko et Tommaso dans leur quotidien, on suit leurs pensées, leur amour qu’ils se portent, leurs questionnements, leurs désirs, leurs douleurs bien que cela n’apparaîssent qu’en filigrane dans le livre et où le suspens est latent jusqu’à la dernière page. Une très belle analyse de l’adolescence.



Je ne saurai trop que vous le recommander.

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Manquent à l'appel

A la rentrée de septembre, dans une classe de Terminale, quatre tables restent libres au fond. Quatre amis partis pour un séjour en Grèce ne sont pas revenus, n’ont donné aucune nouvelle à leurs parents. Ce roman sobre et touchant donne les visages de quatre jeunes « ordinaires » à un phénomène très contemporain. J’ai dévoré ce roman très bien construit en un rien de temps.
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Manquent à l'appel

Un court roman pour LE sujet d'actualité qui agite intellectuels, politiques et journalistes : le départ de jeunes européens pour la Syrie.

Il est difficile de parler de ce roman sans trop en dire. La construction est très habile. Le narrateur principal est Lorenzo, l'un des 4 ados, qui n'a pas pu aller au bout du voyage. On fait des flash-back vers la période d'avant leur départ, leurs préparatifs. Et on suit les parents et les rebondissements de l'enquête sur leur fugue. On apprend et on comprend des choses, petit bout par petit bout, car Lorenzo ne dévoile rien, ou très peu. L'ambiance est très tendue et le malaise s'installe.

C'est un roman fort, je l'ai trouvé très juste. La conclusion m'a étonnée mais finalement, elle est très bien vue.

J'ajouterai que la couverture est très réussie, très révélatrice. (mars 2018)
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On inventera bien quelque chose

Mirko et Tommaso sont frères, respectivement dix-sept et onze ans. Ils vivent seuls à Milan, étant orphelins depuis quelques mois. Placés sous la tutelle de leur oncle, qui habite à une cinquantaine de kilomètres de chez eux, ils doivent lui rendre compte de chacune de leurs dépenses. Autant dire que Mirko va avoir quelques difficultés a se procurer l'argent nécessaire pour assister à un match de l'Inter de Milan ayant lieu à Madrid...



J'ai emprunté ce roman dans le cadre du club de lecture dont je suis membre, suite à quelques avis positifs. Si les deux frères ont des personnalités attachantes, et si leur relation est touchante, je dois en revanche avouer ne pas avoir été convaincu par l'histoire. J'ai le sentiment que l'auteur n'a pas été au bout des choses, qu'il s' est contenté d'effleurer les sujets abordés (le deuil, ...). S'il existe une forme de tension liée au remboursement de la dette de Mirko, j'ai trouvé, de la même façon, que la conclusion avait été un peu expédiée. Mais ceci n'est que mon humble avis...
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Manquent à l'appel

Lu en italien.

LA REGOLA DEI PESCI. Einaudi 2017

Une remarque sur les couvertures qui semblent interverties. L'italienne n'a pas de poissons mais quatre garçons suivis de leurs ombres, tandis que la française, malgré son titre, n'a pas de garçons, mais des poissons.



Les quatre amis, compagnons de classe, sont partis en vacances en Grèce à la fin de l'année scolaire. Et, non seulement ils ne reviennent pas chez eux, mais ils ont fait disparaître leurs traces : plus de cellulaire, plus d'internet.

En Italie, c'est la panique. les quatre familles se retrouvent presque quotidiennement face à un agent de l'unité de crise.

Les recherches n'aboutissent pas .Ils ont disparu.

Le roman est celui de la situation actuelle, de l'inconscience qu'un rien peut faire basculer. De l'insouciance précédente à l'engagement irréfléchi.

" Le travail de Giorgio Scianna révèle dès les premières répliques le soin de la reconstruction scrupuleuse de l'univers de l'adolescence."

Volontairement, il néglige les détails de vraisemblance .

Le voyage des lycéens est avant tout une formation amputée, l'adieu à l'insouciance, en vue d'une maturité différente de celle proposée par l'Occident.

"Les garçons de Scianna sont les fils sains d'un occident à la dérive post-idéalogique." C'est le symptôme d'un malaise réel .

J'ai été surprise, je crois que je n'avais rien deviné.

La fin m'a un peu déroutée.

L'ensemble est émouvant . Lecture conseillée.
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On inventera bien quelque chose

Moi, quand on dit « roman d'apprentissage », je prête tout de suite une oreille attentive... ou un oeil, en l'occurrence, puisque telle était bien la promesse faite en quatrième de couverture. En plus, celui-ci se passait en Italie ! Ni une ni deux, le livre a atterri dans ma besace !



J'ai donc fait la connaissance de Mirko, dix-sept ans, et de Tommaso, onze ans, fraîchement devenus orphelins. Ils vivent désormais seuls, dans leur appartement milanais, sous la tutelle néanmoins de leur oncle Eugenio, qui l'exerce à distance. Ils ne sont censés venir vivre sous son toit, à Pavie, qu'au terme de l'année scolaire en cours. C'est du moins ce qu'Eugenio envisage. Mais les deux jeunes garçons ne l'entendent pas ainsi. Aussi étonnant que cela puisse paraître, ils s'accommodent en effet parfaitement de leur vie sans parents. Ils ne manifestent aucune émotion, l'aîné s'occupe scrupuleusement de son cadet, ils font tous deux très sérieusement leurs devoirs et mettent même un point d'honneur à obtenir les résultats scolaires les plus brillants qui soient... C'est à peine si un souvenir de leur père ou de leur mère vient parfois les hanter.

Peut-être me berçai-je de tendres illusions, mais il me semble que si mon cher-et-tendre et moi-même devions venir à disparaître, mes enfants en seraient un peu plus affectés que cela...



Quoi qu'il en soit, c'est dans ce contexte que Mirko, cédant au désir de se rendre à Madrid avec sa bande de copains pour aller assister à un match de foot - et passer par la même occasion sa première nuit avec sa petite amie - va entrer en contact avec des individus peu recommandables pour leur emprunter la somme nécessaire à ce séjour. Comme on peut s'y attendre, c'est là que les ennuis vont commencer...



Je ne vais pas vous révéler le fin mot de l'histoire - après tout peut-être aurez-vous envie de la lire - mais je suis restée sur ma faim : l'auteur installe une situation, laisse entrevoir la survenue d'un drame (j'ai tout de même ressenti une vive inquiétude à la lecture de certains passages), mais tout se passe comme si, en cours de route, il décidait de rebrousser chemin.

En fait, j'ai eu l'impression que l'auteur hésitait entre deux formats : celui de la nouvelle, qui aurait pu être plus concis et plus percutant, ou celui au contraire d'un roman plus ample, dans lequel il aurait pu développer tant la psychologie de ses personnages que l'action elle-même.

Au final, même si le livre n'est pas déplaisant, cet entre-deux m'a laissé un sentiment de déception. J'ai connu des romans d'apprentissage plus exaltants que celui-ci...


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Manquent à l'appel

Quatre adolescents, quatre amis, partent en vacances d’été, mais un seul d’entre eux rentrera quelques mois plus tard.

Muré dans son mutisme, il cache leur secret, leur vrai projet, auquel lui, en fait, n’a pu participer.

Construit comme une enquête, les cases se mettent en place au fur et à mesure, pour laisser place à une réalité, de plus en plus fréquente autour du malaise d’une génération, et de sa fuite en avant….

Une solution grave, un vrai problème de société.

Le sujet est dur mais très bien traité, pas de pathos inutile, des faits bruts.

A lire, vraiment.

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Manquent à l'appel

La banlieue milanaise. Cinq lycéens, leurs jeux vidéos, les filles, les bières et un avenir incertain. Simone, selon les désirs paternels, quitte l' Italie pour une école de prestige anglaise. Roberto a une petite amie. Nadine montre une vidéo d'évasion. Là-bas, les jeunes semblent souriants. Ils sont actifs et missionnés.Ils sont bien décidés à partir. Aux parents, on expliquera un voyage de trois semaines à Kos, en Grèce. Dans la mer Egée flottent les quatre puces téléphoniques. Celles qui relient au monde. On jette à l'eau sa vie d'avant pour là-bas. Turquie. Anatolie. Syrie.

Et le kaléidoscope stylistique de Giorgio Scianna, dénué de pathos entremêle l'absence et le silence pour dénouer l'enquête de cette génération désenchantée. L'effroi des parents face aux motivations insignifiantes.

" C'est mieux qu'un jeu vidéo, c'est comme un film, un film dont tu pourrais faire partie, et en plus, tu sais qu' ils cherchent des figurants." Une approche réaliste et sociologique où la sidération l'emporte.

Manquent à l'appel di Giorgio Scianna, traduit par Marianne Faurobert, Liana Levi.
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Manquent à l'appel

Un court roman qui plonge le lecteur dans le malaise, mais aussi dans des questionnements politiques et sociétaux. Une construction narrative proche du roman noir, qui dévoile peu à peu les éléments clés de l'histoire et brouille les pistes, car jamais on ne va où on attend. Et c'est là, le point fort du livre : l'absurdité des réponses apportées au mal-être de ces ados. Dérangeant et angoissant.
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Manquent à l'appel

Quatre places inoccupées au fond d’une salle de classe, quatre jeunes gens absents, partis on ne sait où pour faire on se sait quoi.

Cette image suffit pour incarner l’attraction qu’exercent des groupes comme Daech sur une jeunesse fragile et sans aspirations existentielles. Ce vide symbolise par ailleurs l’angoisse des familles.

Ce bref roman, écrit sur le vif et non pas sans aspérités stylistiques, a plus de force que tous les documentaires vus et revus à foison sur les chaînes de télévision. Sont-ce les non-dits, l’absence d’idéologie et un manque infini dans leur vie qui entraînent ces jeunes gens, presque malgré eux, dans un autre univers ? L’auteur le suggère sans l’imposer toutefois.

L’effet est encore plus sidérant.

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Manquent à l'appel

PREMIER CONSEIL : ne lisez surtout pas la quatrième de couverture ! Elle est inutile et gâche malheureusement toute l'intrigue.. (choix ?)



Un ouvrage rapide à lire et prenant. Sa lecture ne laisse pas neutre et tend à faire réfléchir sur quel monde nous présentons aux adolescents. Un monde sans avenir, sans rêve, où toutes les informations/fakes news se mélangent car il est souvent difficile d'emmettre de la distance avec chaque source d'informations.

La conclusion, et la note de l'auteur (histoire née "d'une angoisse réelle") font froid dans le dos. Cette amitié superficielle qui lie la bande d'adolescents par défaut, ce qui peut être cool ou non pour intégrer un groupe ou se faire bien voir par les autres sont des thèmes plus récurrents.



Pour le style d'écriture, ce n'est pas tellement subjugant par contre.
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On inventera bien quelque chose

. Une chronique de l’adolescence avec ses constantes , premières amours , la passion du sport, les copains…Mais pour Mirko et Tommaso fraichement orphelins (un accident automobile) il s’agit en plus d’assumer la gestion du quotidien en autonomie sous la surveillance d’adultes bienveillants mais peu au fait de leurs désirs et de leurs rêves . L’auteur évite tout pathos dans cette chronique douce-amère dans cette bulle de temps suspendu où tout est possible du pire au meilleur …
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Manquent à l'appel

On aurait tort, parfois, de s’en tenir à la première impression que nous a faite un auteur. Le précédent roman de Giorgio Scianna qui relatait l’histoire de deux adolescents m’avait quelque peu laissée sur ma faim. Mais il faut croire que cette période de la vie m’intrigue... tout comme elle aiguillonne l’écrivain. Il nous revient en effet avec des héros âgés d’une quinzaine d’années et une histoire résolument ancrée dans notre actualité qui, pour cette raison, a de nouveau suscité mon intérêt.



Lorenzo, Roberto, Anto et Ivan sont quatre lycéens, quatre amis appartenant à la classe moyenne du nord de l’Italie. Quatre ados comme il en existe tant, parlant foot et musique, ayant un compte facebook et obtenant des résultats scolaires plus ou moins satisfaisants. Aucun conflit notable avec les parents ne vient entacher le quotidien des uns ou des autres, et tout ce petit monde se connaît et se côtoie d’ailleurs avec bienveillance. Bref, rien que de très ordinaire.

Pourtant, à la rentrée, ces quatre-là manquent à l’appel. Ils ne sont pas revenus de leur séjour en Grèce et n’ont donné aucun signe de vie. Ils ne répondent plus aux appels téléphoniques et ont cessé de consulter les réseaux sociaux. La police a beau interroger leurs camarades de classe, nul n’a la moindre idée de ce qu’ils auraient pu décider de faire. Quant aux parents, ils sont très régulièrement réunis au sein d’une cellule de crise dirigée par un fonctionnaire du ministère des Affaires étrangères.



Quand s’ouvre le roman, nous sommes déjà fin novembre, et l’enquête demeure au point mort. Tout ce que l’on a retrouvé, c’est une valise contenant leurs serviettes de plage et leurs maillots de bain dans un hôtel de Bodrum, en Turquie.

Le lecteur se fait pourtant rapidement une idée du projet qui a pu germer dans l’esprit de ces gamins. Scianna alterne en effet un point de vue extérieur, selon l’avancée de l’enquête, et la narration des événements depuis celui de l’un des jeunes garçons, Lorenzo. On comprend ainsi qu’ils ont été séduits par des vidéos de propagande djihadiste et qu’ils sont partis dans l’espoir de rejoindre un camp d’entraînement en Syrie, non sans avoir préalablement fait une étape prolongée sur l’île grecque de Kos...



Si la tournure que prennent les événements manque parfois de crédibilité - ce que j’avais déjà relevé dans le précédent roman de Scianna - cela ne m’a cette fois pas vraiment gênée et ne remet nullement en cause l’intérêt de ce roman que j’ai lu avec fébrilité et non sans un certain effroi.

Car tout l’intérêt du livre, me semble-t-il, réside dans le décalage entre la situation personnelle et l’environnement social plutôt protégés des garçons et la manière dont ils se montrent pourtant réceptifs à des messages allant à l’encontre de toutes les valeurs qui leur sont transmises. Leur petite virée balnéaire en dit d’ailleurs assez long sur leur incapacité à prendre la mesure de ce qui les attend, tandis que les parents sont à mille lieues d’imaginer, à quelque moment que ce soit, un tel scénario.



Si Scianna n’apporte pas à proprement parler d’explication à cet inquiétant phénomène, il a le mérite de l’interroger et de nous mettre en garde. Aussi difficilement concevable que cela puisse paraître, ces messages d’une parfaite maîtrise technique, esthétiquement soignés, voire teintés de lyrisme, prétendant valoriser un engagement total pour une cause et mettant en scène un sentiment d’appartenance à une communauté, peuvent susciter chez des jeunes gens en plein développement, n’ayant pas de vision claire de leur avenir et s’apprêtant à entrer dans une société dominée par un individualisme forcené, un véritable élan d’adhésion.

Il ne faudrait pas en minimiser la portée car il s'agit d'un fait avéré tant en Italie - comme en témoigne l'auteur dans une postface - qu'en France et sans doute ailleurs. A la lumière de telles situations, sonder le malaise ressenti par les plus jeunes et leur proposer un autre projet de société que "chacun pour soi" et "sois le meilleur" apparaît indispensable et urgent.


Lien : https://delphine-olympe.blog..
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Manquent à l'appel

J'ai beaucoup aimé "manquent à l'appel", un court roman tout simple mais très habile dans sa construction. Presque rien n'est dit mais le malaise et le suspens s'installent.

Fort et angoissant, un très beau roman, facile à lire, plein de dialogues et de chapitres courts, une vraie réussite à faire lire à tous les ados et à leurs parents.
Lien : https://www.lesmotsjustes.org
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Manquent à l'appel

Le court roman de Giorgio Scianna (traduit par Marianne Faurobert) entre dans la catégorie des livres utiles, éveilleur de discussions et ouvert à un large public.
Lien : https://www.actualitte.com/a..
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Manquent à l'appel

Une histoire poignante, celle de quatre lycéens amis qui partent en vacances en Grèce mais ne rentrent pas. Dans leur classe, quatre places vides au fond de la salle. L'un des jeunes finira par rentrer chez lui, méconnaissable, le regard vide, ne prononçant pas un mot pendant des jours. On assiste au désarroi des familles, aux efforts déployés pour retrouver les jeunes, à l'incompréhension des adultes face à cette décision prise par les ados de rejoindre daesch. Un roman qui donne à réfléchir, une plongée intéressante dans l'univers des ados. Un auteur à suivre.
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Manquent à l'appel

Ce court roman de Giorgio Scianna s'inscrit dans une thématique plus que contemporaine : 4 jeunes italiens ordinaires fuient vers la Syrie et « manquent à l’appel » le jour de la rentrée.

Le narrateur principal est Lorenzo, qui revient seul après plusieurs mois. Les chapitres brefs nous entraînent d'un point de vue à un autre, parfois avant le départ des lycéens, dans une aventure réaliste pleine de suspense et de rebondissements.

Une question reste cependant en suspend après une fin étonnante : quelles étaient les motivations de ces jeunes ? N'ont-ils finalement pas été séduit par un groupe sachant manier les outils de communication, qui leur promet mieux que ce que la société leur propose ?

Pour conclure : un roman percutant à mettre dans les mains d'un large public.
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Manquent à l'appel

Que se passe t'il dans la tête d'un ado recruté par Daesh?

Quatre jeunes garçons manquent à l'appel un beau matin au lycée, et c'est le début de l'attente et de l'angoisse pour leurs parents... C'est glaçant et terriblement actuel. J'aurais presque aimé que le roman se poursuive et continue de creuser le sujet.

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Manquent à l'appel

La fugue de quatre lycéens milanais fascinés par Daech. Sujet de circonstance, approche réaliste et sensible.
Lien : https://www.lexpress.fr/cult..
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