Beaucoup de bonnes idées qui auraient méritées d'être plus développées.
La première moitié est marrante, un peu comme Seul sur Mars.
Il y a aussi plusieurs détails techniques qui me font tiqués comme voyager à 20 fois la vitesse de la lumière....
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Une bonne intrigue, rondement menée. L'action ne s'arrête quasi jamais, du début à la fin le lecteur est tenu en haleine sur la destiné des différents protagoniste.
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Un roman court. En voilà une bonne idée qui change des sagas en 12 volumes.
Un roman comme une parenthèse, entre rêve et réalité.
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Fort attachement au personnage pricipale.
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Globalement un livre tres sympa et additif meme ci ce n'est pas de la literature très poussée dans l'orthographe ,pas non plus trop barré dans l'espris patriote us protagoniste barbant que je redoutait au debut avec "shérif et maire"aux premieres lignes, pour les descriptions et déroulement d'histoire l'auteur a tendance a trop finioler sur certains truc sans interet
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J'aime !! J'aime !!! J'AIME !!!!
Mais quel cruauté de la part de cet auteur de nous laisser avec autant de questions, d'interrogations.
Je vous quitte... je vais lire Origines parce que je ne me peux plus !!!!
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Découverte de cette trilogie d'anticipation post-apocalyptique. Tout y est, rien à dire!
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Le volet le moins construit de la série. Content cependant de voir les personnages évoluer dans leur quête. Ce tome 3 aurait peut-être mérité quelques pages de plus pour retrouver l'ambiance des 2 premiers "Silo". L'auteur a plein d'idées ou plutôt se lance dans des idées de niche sans les développer et sans qu'elles n'apportent réellement à la narration.
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obligé de lire le 3ème :-)))
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Très original! Belle découverte.
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Pourquoi ce livre?
La formulation du résumé de quatrième de couverture (endroit par excellence, dans mon cas, pour décider si je vais choisir ce livre comme lecture de divertissement) m'a donné le goût d'en savoir plus. Outre les termes se rapportant au genre – postapocalyptique [sic], suspense, science-fiction – les informations d'édition, m'intéressant rarement, ont aussi piqué ma curiosité par leur aspect atypique : « D'abord autopublié […] premier roman […] volet inaugural d'une trilogie ». Et même si ça n'avait pas été un livre louangé, j'étais convaincue : il me fallait lire ce récit, ne serait-ce que pour découvrir son univers.
Un premier aspect qui m’a plu :
J'ai apprécié ce que je considère comme primordial dans ce genre, soit la construction du contexte. Howey a situé son histoire dans un contexte historique et géographique qui est en phase avec nos repères actuels, pour développer un monde futur qui semble réaliste dans les conditions proposées. On se retrouve dans un roman post-apocalyptique crédible, car explicable et possible, tant par la genèse dévoilée au fur et à mesure de l'histoire que par le fonctionnement du système en place au moment du récit.
Un second aspect qui m’a plu :
En outre, Silo m'a plu par l'intrigue. Celle-ci est déployée de deux manières qui, finalement, se retrouvent imbriquées : l'histoire des personnages, de leurs destins et relations et l'Histoire du silo. le dévoilement de l'une et l'autre des trames se fait de manière dosée et très fluide. de plus, le rythme d'apparition des informations se fait de manière à ce que nous puissions mieux comprendre l'action, sans toutefois dévoiler trop d'éléments, ce qui gâcherait l'anticipation. Howey réussit le tour de force de faire cohabiter avec harmonie l'intrigue policière, le suspense, l'utopie, la science-fiction et l'historique.
Un aspect qui m’a moins plu :
J'ai moins apprécié le découpage du récit, ou plutôt la proportion attribuée à chacune des péripéties. Heureusement, il ne s'agit pas d'un élément nuisant à l'appréciation de la lecture. J'ai simplement trouvé dommage que plusieurs pages aient été utilisées pour développer une section du récit qui sert peu à l'intrigue. Ce type d'écriture donne l'impression, à la fin du livre, d'être essoufflé et d'obtenir beaucoup trop d'informations pour le peu de pages restantes. Un début qui s'étire et une fin compressée.
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J'ai hâte de le terminer, l'intrigue est toujours aussi prenante
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Une suite encore meilleure que la premier tome
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J'ai eu beaucoup de mal à rentrer dans le livre... Le style d'écriture me semblait compliquée pour comprendre le début de l'histoire...
Cependant, une fois l'histoire réellement commencée, j'ai bien accroché! Le livre nous plonge au milieu des mystères du Silo, pourquoi ces gens sont la, que se passe t il à l'extérieur, pourquoi tant de sujets tabous, tant de morts...
Même si le style d'écriture m'a dérangée à certains moments car je ne comprenais pas l'idée que voulait exprimer l'auteur, j'ai lu ce livre avec beaucoup de plaisir et de curiosité.
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Hugh Howey nous avait mis l’appétit en bouche avec son premier opus, SILO. Beaucoup d’intrigues sans réponse, d’innombrables mystères non levés, et surtout une origine de son récit inconnue. Avec SILO ORIGINES, je m’attendais légitimement à découvrir la source de ces curiosités, ces immeubles enterrés dans la prairie, secrètement fermés pour les conserver à l’abri d’une atmosphère toxique. Mais alors pourquoi ? L’auteur y répond dans ce deuxième pavé. Vous trouverez ici des réponses à vos questions, vous apprendrez comment l’être humain et la civilisation moderne se sont éteints, ou plutôt, se sont redéfinis au sein d’un univers cloitré et anxiogène. Une centaine d’année auparavant, les intrigues politiques d’un monde somme toute semblable au notre, déboucheront sur la création de ces mystérieux édifices. Malheureusement, Hugh Howey ne propose ici que le minimum syndical. L’origine, comme il la cite si bien, ne tient que sur 200 pages, et se focalise uniquement sur les états-d’âmes d’un sénateur abruti, exterminateur malgré lui. Les 450 pages restantes ne sont qu’un inconsistant brouillon du premier tome, l’évolution du premier silo, celui qui provoqua l’ire des protagoniste du premier tome. La quasi-totalité des scènes ont un air de déjà-vu, en plus lourd et moins exhaustif dans le sens où l’effort descriptif de l’auteur n’est plus présent, puisqu’inutile, nous savons désormais à quoi ressemble un silo, et rien ne ressemble plus au silo 18, que le silo 17, ou que n’importe lequel. Comble de l’ironie, on suivra le parcours de Solo, seul dans son trou dont la vie et le quotidien nous tiennent en haleine sur 200 pages, alors même que sa vie se réduit à dialoguer avec son chat, une intrigue d’une profondeur abyssale je vous dis… On s’emmerde ferme en attendant l’épilogue qui finalement ne nous donnera pas beaucoup plus d’informations que 650 pages plus tôt. Et c’est d’autant plus dommageable que le premier opus débouchait sur un vaste univers des possibles, avec un monde riche et mystérieux à parcourir ; d’autant que les 200 premières pages tiennent la route et satisfont le lecteur. J’avais donné le bénéfice du doute à Hugh Howley avant de lire le second opus, avant de savoir si l’essai était transformé, ou s’il était définitivement hors-jeu. 1300 pages au total pour aussi peu d’avancée, c’est trop Monsieur, et vous ne me ferez pas croire que votre troisième publication, conclusion de votre trilogie, s’avérerait capable de lever le voile des innombrables mystères. Lorsque le synopsis initial est bancal, l’auteur court après l’intrigue, ou les intrigues pour être plus exact ; d’autant qu’Hugh Howey en créé d’inutiles, et ne peut ensuite plus s’en dépêtré. Je vois bien l’écrivain s’atteler au 4ème ou 5ème jet (malgré l’annonce ferme d’une trilogie) pour tenter de répondre aux questions qu’il a lui-même levé, et dont il ignore même les impacts. Comme la série Lost, avec moins de maitrise. J’abandonne le cycle du Silo ici…et lui mets un 2 pour l’univers créé.
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Silo, une histoire originale et diablement efficace. Mais c'est aussi un instrument de mode, un récit facile aux recettes connues. Hugh Howey nous invite dans un univers post-apocalyptique dont les premières scènes ne nous donne qu'un subtil aperçu. Mais comme les machines hollywoodiennes « Labyrinthe » ou « Divergente », on sent que ce premier tome n'est qu'un huit clos au sein même d'un territoire vaste et sauvage, un paysage qui ne nous sera accessible qu'après mille ou deux milles pages de lecture. Mais Dieu qu'elles sont longues ces pages aux interminables descriptions de mouvement ! On tient toutefois le coup grâce aux possibilités qu'offrent l'univers post-apocalyptique extérieur au Silo, on tient la barre en attendant de comprendre la raison d'être de ces bâtiments sous-terrains et la cause de la dégénérescence de la planète, mais les indices sont peu nombreux. Silo est une oeuvre enlevée et bien écrite, dont le récit se déroule comme une bonne musique malgré sa lenteur. Là où le bât blesse, c'est qu'on a le sentiment d'avoir déjà lu l'histoire, ou plutôt de déjà l'avoir vu sur le petit écran au travers d'innombrables séries américaines abordant cette thématique. Or, ces séries se répètent et vont le plus souvent dans le mur, à mesure que les scénaristes inventent d'inconcevables rebondissements . En espérant que Silo ne les imite pas dans les tomes à venir, mais je suis pessimiste.
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Les 700 pages se digèrent super facilement grâce au suspense et aux découvertes qu'on fait tout au long du livre. C'est un bon divertissement !
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