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Critiques de Ingeborg Arvola (10)
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Chants de l'Arctique, tome 1 : Lame de feu

Finlande, 1859.

Parce qu'elle a deux enfants conçus hors mariage, avec deux hommes différents, Brita Caisa Seipajærvi s'est attiré les foudres du pasteur. Quatre dimanches de suite, la pécheresse est restée debout dans l'église à écouter les paroissiens prier pour son salut.

Cette honte, Brita Caisa n'en veut plus. Elle doit partir, quitter le village de Finlande qui l'a vu naître et chercher une vie meilleure loin de ceux qui la jugent.

Avec d'autres en quête d'ailleurs, elle part pour le Finnmark. Là-bas, elle épousera un pêcheur et mènera une vie respectable.

La route est longue, le froid intense et sa réputation la précède. Car Brita Caisa n'est pas seulement cette ‘'femme de mauvaise vie'' décrite par le pasteur. C'est aussi une guérisseuse qui tient son extraordinaire don de son grand-père. Sur son chemin, elle aide ceux qui en ont besoin et finit par se séparer du convoi pour se placer dans une ferme. La jeune femme avait de bonnes intentions mais le fermier, Mikkel Aska, fait chavirer son coeur au premier regard. Il est marié mais…



Inspirée par son aïeule, Ingeborg Arvola nous livre le portrait d'une femme forte et libre à une époque où ce sont Dieu et les hommes qui fixent les règles. Attachante, généreuse, pleine d'amour, Brita Caisa est une femme hors du commun qui se laisse guider par ses envies, ses sentiments mais aussi par sa bonté. Avec elle, nous découvrons une contrée sauvage, parfois hostile et surtout des gens courageux et résilients. Ici vivent des Norvégiens, des Finlandais et des Sami. Ces derniers, premiers habitants des lieux, se heurtent aux nouvelles lois qui font fi de leurs traditions, de leurs habitudes, de leurs rapports à la terre. Les différends se règlent au tribunal et les juges ne sont pas tendres. D'une sentence ils peuvent ruiner un homme. Et leur domaine de compétence ne s'arrête pas aux conflits territoriaux. Gardiens de la moralité, ils punissent aussi sévèrement l'adultère…

Ce premier tome d'une trilogie est une belle réussite. L'écriture poétique de l'autrice fait des merveilles pour raconter la rudesse du climat, les croyances ancestrales, la nature sauvage, la beauté des sentiments, les lois de Dieu.

Coupable d'être libre, coupable d'aimer, coupable de guérir, Brita Caisa est une héroïne magnifique dont on a hâte de connaître la suite des aventures. Une belle découverte nordique.

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Chants de l'Arctique, tome 1 : Lame de feu

Bien que je n’apprécie pas particulièrement le froid et les courtes journées de l’hiver, il est vrai que les pays nordiques et leurs magnifiques contrées ainsi que leurs singuliers modes de vie m’ont toujours fasciné. C’est pourquoi et lorsque j’ai eu l’occasion de postuler pour la découverte de ce roman lors de la dernière opération masse critique de Babelio, j’ai été plus que ravi d’être sélectionné. D’autant plus que si je m’attendais à un dépaysement saisissant, je ne pensais pas à faire face à une œuvre si profonde.



Il est indéniable qu’Ingeborg Arvola offre une poignante et touchante leçon de vie à travers son odyssée historique des plus authentique et réaliste. À commencer par la période visitée, dévoilant un rude et éprouvant quotidien pour les peuples, habitants de ces froides et arides contrées, dont la météo rythme la vie et l’avenir de ces derniers. Ainsi, entre landes, sa nature, la neige et sa glace, j’ai découvert d’arides et envoûtants paysannes mais aussi et surtout un mode de vie et des traditions passionnantes et captivantes. À l’aide d’un style des plus franc et dur, quasiment sec, l’auteure parvient à redonner vie à d’anciennes coutumes et met en peinture de somptueux paysages que j’ai été ravi de fouler quelques instants. Mieux encore, ces nombreux décors parcourus permettent à l’auteure de réaliser une véritable ode à la nature composée de sa vie sauvage ainsi que de sa douce flore. En ce sens et pour les amoureux du genre, Lame de Feu se révèle un délicieux nature writing.



Mais pas que tant Ingeborg Arvola, à travers l’attachant portrait de Brita redonne vie à d’anciens peuples dont la découverte et apprentissage des us et coutumes m’a plus que chaviré. Bien qu’œuvre de fiction, ce dernier détient une part historique des plus concrète de laquelle s’inspire l’auteure et j’ai été sensible aux quelques interludes présentant la naissance et l’évolution d’une civilisation cadrée par la forte influence de la religion. D’autant plus et comme je le disais, leur cadre de vie étant loin d’être idyllique, la nature et ses saisons apporteront leurs lots de péripéties et c’est avec admiration que j’ai découvert un peuple résilient et des plus admirable. Néanmoins et malgré mon attrait pour ces tribus, les mauvaises habitudes demeurent et il n’était pas bon de naître femme en cette période. Brita en payera le prix lorsque cette intrigante guérisseuse accueillera en son foyer deux enfants sans être marié. En qualité de mère fille, celle-ci ainsi que ses enfants seront jugés par les leurs et devront s’exiler et braver le froid pour tenter de mener leur barque ailleurs. En véritable odyssée, c’est une véritable aventure que j’ai vécu, le tout porté par une merveilleuse histoire d’amour entre notre mère et son amant Mikko. Avant-gardiste, ce couple sortira des sentiers battus par la bible et devra affronter le courroux de la société pour tenter de s’épanouir entièrement mais le destin n’est pas toujours facile et ces derniers en feront, malheureusement, les frais. C’est donc le cœur serré que j’ai refermé ce premier chapitre qui m’aura autant bousculé que chamboulé.



En effet, aussi froide que la glace, la plume d’Ingeborg Arvola m’a emporté dans un monde hostile et sauvage, merveilleusement esquissé grâce à son singulier et abrupte style. L’auteure révèle une véritable ode à la nature et à la vie ainsi qu’une touchante hymne à l’amour portées par une attachante héroïne en avance sur son temps et coupable du seul pêcher d’aimer.



Cette lecture a été réalisée dans le cadre de l’opération Masse critique proposée par Babelio.
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Chants de l'Arctique, tome 1 : Lame de feu

Brita Caisa est une femme forte, aux dons puissants, mais Brita Caisa doit subir les lois des hommes et celles de mère nature et ça, ce n'est pas une mince affaire.



"Lame de feu" est une plongée au XIXe siècle dans la nature impitoyable de Finlande et du Finnmark, "un ancien comté norvégien situé à l’extrême nord du pays" comme nous l'explique très bien wikipédia. C'est un roman historique qui nous propulse dans un monde où la survie n'est pas facile, d'autant plus lorsque la colonisation, l'alcool, la religion et le sexisme s'en mêlent.



J'ai été conquise par l'ambiance de ce premier tome : la loi des hommes, leurs violences, l'ésotérisme, les légendes et la nature s'entremêlent et offrent aux habitants de ces péninsules une vie rude où les joies et les malheurs s’abattent de façon aléatoires. Pourtant, quoi qu'il arrive, les vivants continuent d'espérer une vie meilleure.



Le personnage de Brita aussi vaut le détour : énigmatique, envoutante, elle se débat avec une liberté parfois lourde à porter. Son parcours est admirable.



La plume d'Ingeborg Arvola est absolument superbe. Sa démarche est expliquée en début d'ouvrage, inspirée de son aïeule, son histoire est fascinante et s'empare de la culture des peuples du nord - Samis, Norvégiens, Finlandais, etc - avec beaucoup de talent. C'est une lecture dense mais les pages défilent aisément. Je surveillerai la sortie du deuxième tome.



Merci à Babelio et aux Editions Paulsen pour cet envoi.
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Chants de l'Arctique, tome 1 : Lame de feu

Comment vivaient les peuples Sami à la fin du 19e siècle en Finlande ? Découvrez-le dans ce superbe premier tome d’une trilogie : « Lame de feu – Chants de l’Arctique ». Suivez Brita Caisa, guérisseuse, qui va connaître une vie d’errance et de liberté…



En 1859, Brita Caisa, guérisseuse, est chassée de sa Finlande natale. Elle décide de se rendre à Vadsø, sur les côtes sauvages du Finnmark où elle pense trouver une vie meilleure. La raison de ce départ ? Elle a eu deux enfants hors mariage et jetterait des sorts aux villageois avec ses décoctions !



La voilà avec ses enfants sur un traineau pour rejoindre la famille qu’il lui reste dans un lointain port de pêche. Mais que faire quand l’amour vient de nouveau faire battre son cœur pour un homme marié ? Brita Caisa est une femme résolument libre et affirmée qu’importe le poids de la religion ou l’avis des autres.



Pourquoi j’ai aimé le roman « Lame de feu »

Cette odyssée scandinave est inspirée de la vie d’une aïeule de l’autrice et offre un regard bouleversant sur la place des femmes, la nature à l’état sauvage, les relations humaines, parfois brutes et sans compromis dans cette région arctique que nous connaissons si mal en France. Il n’était pas bon être une femme Sami en Finlande à la fin du 19e siècle !



Ce premier tome d’une trilogie nous sensibilise à la vie des Sami, à leur évangélisation forcée et à la préservation de leurs cultures, multiples et riches. Leurs vies dépendaient entièrement de la générosité de la nature, la célébrant les jours d’abondance autant qu’ils la maudissaient dans les périodes plus rudes.



J’ai trouvé un côté très sensuel dans l’écriture aussi bien dans la relation amoureuse de Brita que dans la façon de raconter la nature omniprésente.



En résumé : une femme libre au coeur de l’Arctique, la nature aussi belle que dure, des promesses intenables, la vie à l’état brut !



Je vous recommande vivement cette lecture… au coin d’un bon feu !


Lien : https://www.unlivredansmaval..
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Chants de l'Arctique, tome 1 : Lame de feu



« Nous sommes des Finlandais des forêts, robustes, prenant la vie comme elle vient, qui allons en glissant à la rencontre de la nuit, la neige croûtée nous maintient debout, de maigres rations de nourriture nous suffisent, des Finlandais du Nord vêtus de peaux, nés du pain de l’écorce des arbres, des Kvènes, c’est le nom qu’on nous donne, un peuple qui a toujours vécu dans le Nord, qui sait prélever la résine d’un arbre et en tirer profit, qui sait survivre avec trois fois rien, qui s’établit de préférence sur les rives des fleuves et construit des cabanes en rondins, qui a du bétail et des rennes si le monde est généreux, mais qui pense que les oiseaux doivent être libres. »



Lame de feu, Ingeborg Arvola @editionspaulsen #paldhiver



J’ai clôturé ma pal d’hiver en beauté avec ce magnifique roman de la collection Grande Ourse des #editionspaulsen



Cette fois, direction la Finlande, avec une héroïne forte, puissante, libre: Brita Caisa Seipajærvi. Elle est guérisseuse, elle a deux fils, qu’elle a conçus hors mariage, avec deux hommes différents, elle mène sa vie comme bon lui semble, contre vents et marées… car au XIXe siècle, il n’est pas bon d’être une femme adultère dans ces contrées du Nord!



«Brita Caisa Seipajærvi a commis l’adultère, a déclaré le pasteur. C’est une pécheresse. Elle doit implorer la miséricorde de Dieu. Nous devons prier pour elle, tous ensemble.»



Elle cherche du travail dans une ferme, loin du village qui l’a vu naître et des commérages que les bonnes gens y alimentent à son sujet, depuis que le pasteur l’a fustigée en public, pour l’exemple…



Mais, là aussi, ses sentiments, sa fougue indomptée la rattrapent!



« Je ne dois pas prêter attention au vent qui souffle sur les prés, à la clavicule d'un torse nu, à une mèche de cheveux ébouriffés sur le lobe d'une oreille, je ne dois pas prêter attention à la posture d'un homme qui s'appuie sur une faux, vigoureux mais détendu. Seul un homme vraiment bon, parfaitement intègre, peut se tenir ainsi. Pourquoi prêter attention au monde qui retient son souffle tant et si bien que je perçois au loin le chant du coucou? Cela s'est déjà produit, cela se produit sans arrêt, cela se produit peut-être à cet instant et se produira aussi dans le futur: je ne peux pas faire abstraction de ce qui existe - le coucou, l'intimité, le travail. »



Il y a beaucoup de poésie dans ce roman, dans la manière de décrire les situations, les paysages, la nature! Cette dernière y a une grande place, elle est belle, vivante, envoûtante…



« Le fleuve gronde dans mes oreilles, comme s'il coulait tout près de ma tête, les nuages s'enfuient dans le ciel, à croire que le ciel prend sa source dans mes cheveux. Le soleil crépite au contact de ma joue et de mon poids contre le sol. Nous ne faisons qu'un, la terre et moi. Et le ciel. Et le fleuve. »



Et cette langue poétique rend attachante cette femme, libre et sauvage.



« Un petit fragment de l'histoire de l'humanité, des lèvres, une louche, un cou en sueur, mon regard qui attend le sien. »



J’ai aimé l’écriture mais aussi le récit, les références au folklore des contrées du Nord, le petit peuple, les chants populaires de Finlande… tout contribue à créer un récit à l’atmosphère riche et enivrante, une histoire immersive, car on a le sentiment de côtoyer cette héroïne inspirante, l’impression de se laisser porter comme elle par le destin, la nature, de laisser parler ses sentiments, de se sentir femme dans un monde cloisonné où tout est à vivre, écrire… à chambouler!



Une très belle ode féminine à la nature et à la liberté!
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Chants de l'Arctique, tome 1 : Lame de feu

Très dépaysant. Au XIXe siècle, Brita Caïsa, mère de deux enfants, non mariée, guérisseuse, décide de quitter sa terre natale finlandaise après avoir été punie pour son "immoralité" : réprimandée et mise à l'écart à l'église devant tout le monde, quatre dimanches de suite. Elle part pour le le comté du Finnmark, à la frontière entre Russie, Finlande et Norvège. On croise les différents peuples de ce grand nord, les Samits qui n'avaient que faire des frontières, les Finlandais venus chercher de quoi vivre, les Norvégiens ; entre rude travail de la terre et de la mer. Mais Brita tombe amoureuse d'un homme marié... A cette époque l'adultère était jugé par les tribunaux, les frais des procès vous conduisaient à la faillite, la Bible servait de boussole et condamnait ceux qui avaient le

pouvoir de soigner ...

Très belles descriptions de paysages, coutumes, entraide, conflits, dans de petits chapitres de quelques pages (maximum), parfois répétitifs.
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Chants de l'Arctique, tome 1 : Lame de feu

La petite histoire

Brita a quitté la Finlande pour rejoindre son frère dans un port de pêche de Norvège. Nous assistons à son périple à travers les contrées enneigées ponctué de rencontres, de bifurcations, de choix et de drames. Brita est originaire des familles nomades de l'Arctique, vivant de peu et vigoureux, les Sami ou les Kvènes. C'est une personne solaire, qui attire l'oeil et les complications. Son exil avec ses deux fils à travers la Norvège est une odyssée toujours plus au Nord, au coeur d'une nature sauvage, où la condition de cette guérisseuse ayant des enfants hors mariage détonne dans cette région où les hommes qui évangélise dénigrent les forces des éléments, les mythologies.

Mon ressenti

La traduction de ce texte est empreint de poésie et l'ode à la nature omniprésente est très rafraîchissante dans les deux sens du terme. J'ai apprécié cette écriture qui prend son temps dans la contemplation de la neige, du temps, des espaces. de leurs côtés, les relations humaines sont finement décortiquées, la sensualité habite les mots. Je n'ai pas l'habitude de plonger dans des sagas familiales, rendant compte d'un peuple en errance, en mouvement qui cherche un chez soi pour s'établir à travers le destin d'une femme singulière et marquante. J'ai été étonné de voir que Brita, personnage de fiction trouve des racines profondes dans l'histoire familiale de l'autrice et son arrière-arrière-grand-mère guérisseuse : Eva Niva. Je vous invite à découvrir ce voyage, cette personne, ce bout d'humanité en marche vers le Nord. le froid de la neige contraste avec la chaleur du coeur dans ce premier tome.

Je remercie les organisateurs de la masse critique Babélio et la maison d'édition Paulsen pour cette découverte livresque.


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Chants de l'Arctique, tome 1 : Lame de feu

Un livre aux doux accents chantants qui retrace en partie la vie de l'arrière, arrière grand-mère de l'auteur, dans les années 1859-1862, en Scandinavie.

Un peuple courageux, travailleur qui n'a cessé de se déplacer afin de trouver le meilleur endroit pour s'installer.

Les zones traversées dans le grand nord scandinave sont époustouflantes de beauté.

C'est une lecture très intéressante et à la fois reposante où ces tribus se contentaient de peu pour être heureuses.
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Chants de l'Arctique, tome 1 : Lame de feu

Premier tome de la trilogie des Chants de l'Arctique, ce roman est à la fois doux et puissant, offrant une sublime évasion à travers le Finnmark des années 1860.



Dans un récit empreint d'émotions et de sensualité, Ingeborg Arvola décrit l'imperfection de la nature humaine, la beauté de la nature sauvage, des forêts finlandaises aux côtes norvégiennes, et la vie rude de ces contrées froides et arides. S'il n'est pas toujours évident de se retrouver dans la pléthore de personnages, dont les noms et surnoms sont parfois similaires et transcrits aussi bien en norvégien qu'en finnois, l'auteur parvient néanmoins à dépeindre au fil des pages une communauté foisonnante et animée.



Grâce à une écriture poétique et contemplative, Ingeborg Arvola compose une très belle odyssée, que je crois magnifiquement reflétée par la plume de la traductrice, Hélène Hervieu, si bien que j'ai savouré chaque mot, chaque phrase et chaque instant.
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Chants de l'Arctique, tome 1 : Lame de feu

Je pensais retrouver l'ambiance des livres de Wassmø et notamment le personnage de Dina, une femme indépendante. Et bien jai été très déçue cette Brita Caisa a un ego démesuré et pourrait être influenceuse aujourd'hui. Il n'y en a que pour son physique en toutes circonstances. Elle ne pense qu'à ça, elle est belle, un soleil et on le lit des dizaines de fois. Elle me rappelle l'héroïne de l'époque préhistorique de la "saga" du clan de lours des cavernes,Ayla, guerisseuse aussi et une petite beauté pour l'époque et qui déjà le savait bien...Trop c'est trop. Cela fait oublier l'énorme travail de reconstitution de l'époque. Pour moi un mauvais roman à l'eau de rose.
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