J. K. Rowling

Je trouve cela amusant.





Le premier tome d'une série désormais cultieuse, qui compte sept (série achevée, malgré les rumeurs, un nouveau tome en préparation)





Harry Potter, le bébé survivant, a remporté Voldemort, le sorcier noir. Élevé chez son oncle qui le martyrise, sans connaître ses origines, il se retrouve propulsé à 11 ans dans un monde magique, celui des sorciers dont il fait partie. Lors de son apprentissage à l'école de Poudlard, il devra traverser de nombreuses épreuves, de jalousies et survivre de nouveau à la plus grande menace du monde des sorciers.





Il est important de revenir aux fondamentaux de la littérature jeunesse «moderne ». Le livre qui, pour certains, a réconcilié nos chères têtes blondes avec ce loisir archaïque qu'est la lecture...

C'est avec nostalgie (quoique lors de ma première lecture, j'étais déjà largement adulte, le tome 4 n'était pas encore sorti) et la tête pleine d'images de l'excellent film éponyme que j'attaque à nouveau ma lecture.

L'école des sorciers est un livre qui est plein d'idées. Chaque page est un trésor d'imagination riche en fraîcheur. En ayant un style simple et linéaire, qui est parfaitement adapté au public cible, il peut être lu par un public adulte et adepte.

La proximité entre le monde moderne et le monde moyenâgeux « confortable » des sorciers est excellente. La lecture est possible à différents niveaux : maltraitance infantile, discrimination voire eugénisme, racisme ect...

En tout cas, un moment merveilleux et absolument merveilleux.





Vous aurez pris conscience de la quantité de superlatifs utilisés dans cette critique... Quelle est votre envie. Un livre que j'adore (et je ne suis pas le seul) et une série vendue à plus de 450 millions d'exemplaires est une source de respect, n'est-ce pas ?

Mais quel soulagement d’avoir terminé ce tome 5 affreusement ennuyeux.

Je trouve qu’il ne s’y passe rien de bien intéressant, il y a beaucoup de bruit pour rien, Harry est insupportable il passe son temps à être en colère et à s’énerver contre tout le monde, il m’a exaspéré.

Même s’il y a des passages vraiment bien ils ne sont malheureusement pas assez nombreux pour avoir fait de ce tome une lecture agréable.

Encore une fois, je n’ai pas trouvé la lecture particulièrement passionnante.

J’ai apprécié la fin, mais vraiment les derniers chapitres.

J’ai beaucoup de mal avec l’écriture, ou alors je pense que c’est vraiment le fait d’avoir visionné les films qui m’empêchent d’apprécier la lecture.

La plume n’est pas à mon goût, je la trouve vraiment enfantine, beaucoup trop jeune.

Par contre au niveau de l’histoire, on avance et je la trouve beaucoup plus intéressante que précédemment.

En revanche un truc que je déteste vraiment, c’est les rappels incessants de ce qui s’est passé dans les autres tomes. Parfois c’est vraiment bien quelques rappels, mais là c’est vraiment très mal amené et ça se voit beaucoup trop qui l’information est là que pour le lecteur.

Défi SOLIDAIRE 2024



Me méfiant des phénomènes de mode, je n'ai jamais lu Harry Potter et cela ne me manque pas. Cela dit, cela ne m'a pas empêchée de d'ouvrir ce recueil jeunesse avec une aimable curiosité : à quels contes croient les générations de jeunes sorciers ? Quel est la culture, la littérature des sorciers ? Qu'enseigne t on de la vie chez eux ? Dans l'introduction de l'autrice se dresse en creux une critique des contes moldus où la passivité des héros et leur statisme font loi, tandis que la réalité de la magie montre que l'autrice, si l'ouvrage reste "classique", joue avec les codes littéraires. Car la magie contée n'est pas la même dans un monde elle existe. En cela, ces questions que je viens de poser ont un intérêt littéraire.



Conte de la marmite sauteuse : je craignais, à la lecture de l'introduction (et comme c'est souvent le cas en littérature jeunesse) un trop grand didactisme au détriment d'un intérêt littéraire. Mais le commentaire de Dumbledore le retrace dans son contexte historique et politique, sur les relations entre sorciers et moldus, et le "maccarthysme" envers les sorciers appréciant trop les Moldus, et invente une réception critique à ce conte : il fit scandale et fit l'objet d'une version plus admise par la moralité. de sorte que Rowling, crée un "code" moral, une culture faite de normes (dans le sens sociologique) avec un auteur qui "casse les codes" des sorciers de l'époque. Les sorciers ne sont pas forcément tolérants, et ce n'est pas parce qu'un monde est imaginaire que tout peut s'y produire de manière acceptée : lire Rowling, c'est comprendre que l'imagination est chose codifiée.



Conte de la fontaine : il met en scène un ver buveur de larmes, et une inscription qui s'efface par les gouttes de sueur. Il pose aussi la question de l'adaptation théâtrale, avec ses "effets spéciaux", mais qu'est ce qu'un effet spécial dans le monde des sorciers ?



Conte du sorcier au coeur velu : Dans la culture des sorciers, "avoir le coeur velu" est une expression qui viendrait d'un conte assez noir, comme peuvent l'être les contes. Ainsi, un jeune sorcier cherche à maîtriser l'Amour comme en attestent les filtres, nous dit Dumbledore. Et je me suis identifiée à lui, dans la mesure où j'ai moi même cette tendance à vouloir être "plus forte que l'amour", si étrange que cela puisse paraître. Pourtant, on sait que ce "fantastique" d'apprenti sorcier, d'apprenti sorcier, mais version "monde des sorciers", ne peut que mal finir.



Le conte de Babbity, qui a pour thème la ruse, est qualifié de "réaliste" par Dumbledore, car il respecte les "lois de la magie". La conception qu'ont les Moldus de la magie ignore les lois, notamment l'impossibilité de ressusciter les morts. Enfin, le rire moqueur de la sorcière résume à lui seul le conte : il est à la fois élément de l'intrigue et "morale" de l'histoire.



Le dernier conte, très simple, emprunte à la "parabole des trois frères" un motif récurrent de la littérature moldue : le troisième frère est le moins fortuné, mais le meilleur. le conte qui met en garde contre la tentation de défier la mort a pu être interprété "de travers" par les sorciers avides de pouvoir. A noter le rôle des objets dans le conte et la magie.



Pour être franche, je m'attendais à quelque chose de surcoté, voire de purement commercial à l'adresse de fanatique de HP en mal d'os à ronger; et j'ai beaucoup apprécié les contes et plus encore les interprétations. J'ai donc mis la note maximale (pour de la littérature jeunesse) : le procédé de "trouver" des runes et de les commenter en se faisant passer pour un "rapporteur" m'évoque Laclos, Voltaire, ou Montesquieu (lettres persanes), très classique. Mais une oeuvre jeunesse peut utiliser des clichés (littéraire hein, pas sexistes/racistes), après tout il faut s'acclimater aux clichés pour savourer leur détournement.

Deuxième année à Poudlard.

Un nouvel enseignant bien coiffé.

Un monstre légendaire.

Un livre magique peu recommandable.

Un fantôme d'élève dans les toilettes.

Des araignées gigantesques.

Une voiture volante.

Un elfe de maison trop impliqué.

Des attaques au sein du château.

Troisième année à Poudlard.

Une tante envahissante et gonflée.

Un chien noir de mauvaise augure.

Un bus magique.

Un détenu dangereux évadé.

Des Détraqueurs terrifiants.

Un nouveau enseignant.

De nouvelles informations sur le passé de Harry.

Un chat orange et un rat terrorisé.

Quatrième année à Poudlard.

La coupe du monde de Quidditch.

Un Mangemort en liberté.

Le tournoi des trois sorciers.

Deux autres écoles de sorcellerie.

Des épreuves incroyables.

Un nouvel enseignant controversé.

Une journaliste peu scrupuleuse.

Une rencontre entre Lord Voldemort et Harry.

Cinquième année à Poudlard.

Un procès et une menace d'expulsion de l'école avant même la rentrée.

Une maison très ancienne et sombre.

Une nouvelle enseignante avec de nouvelles méthodes.

Des visions nocturnes.

Une relation plus intense entre Lord Voldemort et Harry.

Une salle secrète.

L'armée de Dumbledore.

Sixième année à Poudlard.

Des secrets et le passé de Lord Voldemort dévoilés.

Un nouveau capitaine de Quidditch.

De l'amour et de la jalousie.

Un jeune Mangemort ayant une mission.

Un nouvel enseignant.

Un nouveau ministre de la magie.

Un magasin de farces et attrapes incroyable.

Harry, Ron et Hermione ne feront pas leur rentrée en 7e année à Poudlard, qui n'est d'ailleurs plus celui qu'ils avaient connu, maintenant sous la coupe de Mangemorts. Ils vont en effet se lancer dans la quête des Horcruxes afin d'essayer de vaincre Lord Voldemort.

Une relecture agréable. Ce n’est pas mon tome préféré mais il amorce pas mal de choses pour la suite.



📖J’ai aimé le danger omniprésent. La colère, l’injustice, la rancœur, la volonté de se protéger les uns les autres, ou celle de nuire ; une lecture riche en sentiments variés. Les révélations parsemant l’intrigue tiennent en haleine et rendent le tout addictif. Le fait d’être sur une relecture m’a permis d’être plus attentive aux détails qui annonçait la révélation finale et j’ai adoré ça.



🏞️Un univers qu’il est plaisant de retrouver et de (re)découvrir plus avant. De nouvelles matières, de nouvelles créatures. Ma curiosité de lectrice est chouchoutée.



👥Nos amis mûrissent, tout en restant si jeune pour de telles épreuves. J’ai plaisir à les retrouver, à sourire à leur défaut ou leur spontanéité. Neville commence à prendre sa place dans le sillage du trio central. 



🥁J’ai trouvé le rythme moins soutenu que dans les précédents tomes. L’accent m’a semblé davantage sur l’intrigue. Cela n’a pas eu d’effet négatif sur mon ressenti. Au contraire, je me suis sentie davantage dans le moment, avec eux. Cela appuyait le suspense qui montait crescendo.



🗒️Par contre, la comparaison roman/film n’est pas flatteuse pour ce dernier. Il est non seulement réducteur mais il déforme l'intrigue, je trouve. Les éléments clés sont les mêmes mais ils entrent en jeu différemment. Autant pour les deux premiers, il y avait des raccourcis, de petites modifications mais pas au point de me laisser avec ce ressenti d’altération de l’histoire. Le roman offre plus de sensations, à mon sens.
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Le suspense au cœur de l’intrigue m’a de nouveau fait passer un bon moment. J’avais beau connaître le fin mot de l’histoire, j'ai été prise par les doutes de chacun, leurs inquiétudes. Il m’a été assez plaisant de faire la chasse aux indices mettant sur la piste du retournement final. 



L’ambiance lourde de suspicion est bien plus pesante dans le roman et je trouve cela addictif. J’en oublierai presque qu’ils sont si jeunes. Ils sont doués comme petits enquêteurs. Avec ce tome, on découvre Ginny Weasley, petite dernière et seule fille dans cette grande fratrie, que je trouve attachante. Les sujets latents m’ont sauté aux yeux aujourd’hui alors que je ne les avais pas tous perçus à la première lecture. Pas comme ça du moins. J’ai aimé le mutisme de Ginny en opposition avec son besoin de se confier à quelqu’un… ou quelque chose. J’ai apprécié qu’Hermione fasse une erreur ; en effet, studieuse ne signifie pas parfaite. Ron et Harry sont fidèles à eux-mêmes, il est plaisant de les retrouver. Tout comme les jumeaux Weasley, Neville et tant d’autres.

*****

J'ai adoré cette relecture. À l'époque, j’avais lu les livres bien avant de découvrir les films. Je n'avais donc qu’une vague conscience des différences (scènes coupées ou modifiées). Globalement, je dois dire préférer le roman. Le seul point où le film “gagne” sur le livre, c’est la dernière apparition de Dobby. La variante cinématographique me fait davantage vibrer.



Je suis contente d’avoir pris l’excuse de la rediffusion des films pour relire la saga. La comparaison est intéressante et la relecture si agréable. 

*****

Avec cette relecture, j’ai réalisé que les sorciers n’ont pas des métiers de Moldus. Ce qui explique qu’il n’y ait pas de cours classique xD Oui, jusque-là, je me disais que ceux qui n’étaient pas embauchés au Ministère se retrouvaient à postuler, comme nous, mais il y avait la question de la formation. Ils sortent de là avec l’équivalent du Bac sorcier et ils iront faire je ne sais quel métier - vu qu’en dehors du père Weasley, aucune profession d’adulte sorcier n’est mentionnée. 



Le genre de question qui ne m’était absolument pas venu à l’idée lors de ma première lecture. Comme quoi, la relecture ou la maturité joue sur la perception que l’on a de l’histoire.
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Une lecture sympathique et entièrement illustrée ! Parfait pour enrichir notre imaginaire autour du monde des sorciers. Le livre est vraiment écrit comme si Norbert Dragonneau en était l'auteur, ce qui est très amusant ! À mettre entre les mains des enfants sans problème, divertissant et ludique.

Première relecture 20 ans après ....

Une deuxième année qui commence sur les chapeaux de roue pour Harry car dés l'été, on le prévient, sous la forme d'un elfe de maison bien agaçant, qu'il court un danger si il retourne à l'école. Mais hors de question pour lui de rester avec sa détestable famille adoptive...Le voici donc de nouveau , en compagnie de ses fidèles acolytes, en train de résoudre un nouveau mystère à Poudlard.

On découvre dans ce tome la notion de racisme, et des ennemis qui ne cachent pas leurs idées. J'ai apprécié plonger un peu dans le passé de l'école et découvrir les liens entre des personnages. Hermione commence à devenir un peu moins coincée et moralisatrice, ce qui est plutôt plaisant Sans compter toute la magie que l'on découvre encore, comme les beuglantes ! Un tome bien réjouissant !

Challenge Mauvais genres 2024

Challenge roman jeunesse 2024

Je trouve que le livre n'était pas très intéressant, alors que moi qui adore lire j'ai trouver ce livre moins bien que les autres Harry Potter que j'ai lu mais le film était bien pour une fois. J'ai adoré le personnage Grindelwad mais Albus Dumbledor je le préfère dans le 6ème Harry Potter.

Un livre très (très !) agréable à lire. Je regrette un peu d'avoir déjà vu le film avant d'avoir lu le livre car les différentes scènes se dérouleraient presque exactement de la même façon et me revenaient en mémoire ...

Mais ça reste un magnifique univers à explorer !

Fruit d'une collaboration entre deux metteurs en scène et J.K. Rowling, "Harry Potter et l'enfant maudit" est une pièce de théâtre qui a été jouée au Royaume-Uni.

🔥L'action se passe des années plus tard alors que Harry et ses amis sont maintenant adultes et, eux mêmes, parents.

✨Peut être que si cela avait été retranscrit sous forme de roman, ça aurait mieux marché avec moi. Je pensais retrouver avec plaisir les personnages de cette fabuleuse saga mais je trouve, hélas, que cette pièce n'apporte rien à l'histoire initiale.

🧙Bien sûr, ça a été un plaisir de retrouver Harry, Ron et Hermione mais aussi Drago, Rogue,Hagrid et Dumbledore. Car oui, nous revoyons, grâce à des voyages dans le temps, ces personnages et c'est pour moi le point fort de cette pièce.

👫Après, je ne suis pas très férue de pièce de théâtre et ici les dialogues sont tellement courts qu'on ne sait plus qui parle et qui dit quoi .

🌌Certaines choses m'ont aussi un peu perturbée, notamment la relation d'Harry et de Dumbledore, qui "casse" le mythe pour le coup. De la même façon, je n'ai pas trop compris pourquoi on avait imaginé l'histoire de cet enfant maudit.

🪄Bref, cette pièce n'a pas trop marché avec moi, même si j'ai eu beaucoup de plaisir à retrouver Harry et les autres, et que j'ai trouvé l'idée de voyages dans le temps excellente. Mais y avait-il vraiment nécessité à faire cette suite ?
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Toujours dans ma relecture de la saga, je me suis attaquée cette fois au cinquième tome. Dans Harry Potter et l’ordre du Phenix, on n’a pas le temps de s’ennuyer tant il se passe des choses (pas toujours joyeuses). L’univers d’Harry devient progressivement plus sombre, amenant lentement nos protagonistes à quitter définitivement l'enfance pour affronter des problématiques plus adultes . Par contre, j’avoue parfois avoir eu du mal avec le comportement de notre cher Harry Potter. Même si le pourquoi est expliqué dans le livre, il n’empêche que j’ai parfois eu envie de le secouer. J’aime toujours autant le personnage d’Hermione, notre miss-je-sais-tout. Et puis enfin, on découvre un peu plus Luna Lovegood (pour mon plus grand plaisir!). On aime la plupart des personnages tant ils sont attachants et apportent beaucoup au roman. Mais surtout, on adore détester certains protagonistes !

C’est un livre qui nous transporte dans un monde imaginaire et pourtant qui nous parait si réel. Les codes, traditions et cultures anglo-saxons sont bien représentés. L’autrice a effectué un travail considérable sur la psychologie des personnages. J’ai beaucoup aimé la revisite de certains jeux anciens. Le château ressemble étrangement à l’école Arthur Findley, école des Mediums de Londres.

Je n'aime pas le personnage d'Harry Potter mais je suis fan de l'univers d'Harry Potter.

Ce dernier tome termine magnifiquement bien cette saga. Beaucoup d'émotions, trop de pertes. J'ai retenu mon souffle jusqu'au bout et bien pleuré certaines morts. C'est le seul tome que j'ai lu plusieurs fois, tellement il m'a bouleversé.