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3.65/5 (sur 111 notes)

Nationalité : Royaume-Uni
Biographie :

JL (Jamie) Merrow est auteure de romance.

Elle a étudié les sciences naturelles à Cambridge où elle a appris de nombreuses choses même si elle n'a jamais voulu voir l'intérieur d'un laboratoire.

Elle écrit sur tous les genres littéraires avec une préférence pour la romance M/M contemporaine et le paranormal.

Sa nouvelle, "Muscling Through", a été finaliste du prix EPIC 2013 et son roman "Slam!" a remporté le Rainbow Award 2013 de la meilleure comédie romantique LGBT. Son roman "Relief Valve"" est finaliste aux EPIC Awards 2015.

JL Merrow est membre de l'équipe d'organisation britannique GLBTQ Fiction Meet.

son site : https://jlmerrow.com/
Twitter : https://twitter.com/jlmerrow?lang=fr
page Facebook : https://www.facebook.com/jl.merrow

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Source : amazon
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Citations et extraits (45) Voir plus Ajouter une citation
C’était comme si les plaques tectoniques s’étaient ouvertes sous mes pieds. J’étais polonais. Enfin, à moitié polonais. Et tout ce que je savais sur la Pologne c’était qu’ils étaient axés sur la solidarité et avaient un fétichisme des consonnes.
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— C’était quoi le délire entre Greg et toi, au fait ? Vous avez disparu comme deux gosses qui vont se bécoter derrière le local à vélos, dis-je en donnant un coup de coude à Phil. Il t’a vraiment montré son blaireau ?

— Tu es jaloux, pas vrai ?

— Non, je m’inquiétais seulement pour toi. S’il avait essayé de te tripoter avec des mains de cette taille, il aurait pu accidentellement décrocher quelque chose.

— Tu devrais vraiment voir quelqu’un pour ton obsession sur la castration. Non, ne dis pas ça à ta sœur, mais il m’a demandé de travailler pour lui.

— De quoi ? Oh, tu ne vas pas espionner ma sœur ?

— Est-ce que j’ai dit qu’il s’agissait de ta sœur ? Gregory ne veut simplement pas qu’elle s’inquiète.

Bah voilà. Maintenant, Phil l’appelait Gregory.

— Qu’elle s’inquiète pour quoi ?

— Il a reçu des lettres de menaces.
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Le Cock and Hens (ou, comme Gary aime l’appeler, le Cock and Bollocks) est un petit pub à la sortie de Fleetville qui n’est pas particulièrement remarquable pour son accueil envers les gays, mais j’imaginais que ça irait pour aller manger un morceau à midi. Soyons honnêtes, si vous vous ennuyiez et cherchiez un couple d’homos à cogner, vous ne choisiriez pas celui d’un mètre quatre-vingts tout de muscles solides et à l’expression maussade que ma moitié représente pour le reste du monde. En tout cas, pas sans avoir d’abord appelé une demi-douzaine de vos potes, mais avec un peu de chance, ils seront occupés à faire du vol à l’étalage à Lidl et à s’inscrire aux allocs avant de partir faire un petit cambriolage à cette heure de la journée.
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— Alors, quoi de neuf ? demandai-je pour être poli pendant que nous attendions notre commande.

Cherry mangeait de la politesse au petit déjeuner.

— On ne t’a encore pas vu chez maman et papa à Noël.

On aurait dit la voix qu’elle utilisait au tribunal. Et je tiens à vous signaler, Monsieur le juge, que le défendant a rejeté en toute conscience et en toute culpabilité la dinde rôtie ainsi que tous les accompagnements cuisinés par sa mère (cris d’horreur dans l’assistance).

Je baissai brièvement les yeux pour m’assurer que je n’étais pas assis sur le banc des accusés, les menottes aux poignets.
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OK, j’avais désormais l’impression d’être trop habillé. Je défis le reste des boutons de ma chemise et parvins tant bien que mal à me mettre sur mes coudes pour la retirer, mais il me repoussa sur le lit en appuyant ses grosses mains au milieu de mon torse.

— Oh, j’essaie de me mettre à poil, là.

— Laisse-la, ça me plaît.

Ah ouais ? J’avais remis ma chemise à carreaux ce matin-là, n’ayant pas d’autres options. Peut-être que Phil fantasmait sur les bûcherons de poche.

— Comme tu veux. Bon, tu vas me prendre ou attendre que je meure de vieillesse ?

— Branleur. Lève les jambes.

Je les relevai obligeamment, mes mains sous mes genoux. Il me regarda fixement pendant si longtemps que je commençai à me sentir gêné.

— Quoi ? Tu vas me dire que tu voudrais que je me fasse décolorer l’anus ou quoi ?

— Tu es magnifique, putain, et tu le sais.

Des doigts forts s’enroulèrent autour de mon sexe à plusieurs reprises, envoyant des pulsions électriques jusqu’à mes parties et mes yeux roulèrent dans leur orbite.

Puis il s’arrêta, ce connard. J’ouvris les yeux mais en voyant qu’il déroulait un préservatif sur son membre, je décidai de ne pas me plaindre, finalement. Il n’y avait clairement rien de mal dans ses priorités. Il avait aussi sorti le lubrifiant pendant que je ne regardais pas et l’utilisa à bon escient puis enfonça deux doigts humides dans mon postérieur.
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J’allais tuer Cherry, décidai-je. La battre à mort avec des baguettes de sourcier. Ou l’étrangler avec un pendule. L’espace d’un instant, j’envisageai sérieusement de dire à Madame F-M où elle pouvait se fourrer son collier, mais bon, j’aurais l’impression d’être un vrai connard si ma sœur s’en prenait de nouveau plein les oreilles à cause de tout ça.

Ce qui n’allait pas vraiment avec le fait que je voulais la trucider, mais ça se passe comme ça en famille.
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— Tu m’étonnes, répondit Dave avant de pousser un soupir. Bon. Alors tu penses que Carey a eu vent du fait que ton mec fourrait son nez dans ses affaires. Donc comment cela se fait-il que ce soit toi et pas Morrison qui sois allongé à l’hôpital avec une bosse sur la tête ?

— Eh bien… Carey sait que nous sommes ensemble.

— Bon Dieu, Tom, lui as-tu aussi donné une copie de ton CV et la clef de la porte d’entrée ?

Bon, je m’étais peut-être tortillé sur place en entendant ça. C’est qu’ils ne sont pas très confortables, ces lits d’hôpital.

— Il a le don pour vous faire sortir les vers du nez. Il te fait dire des choses avant que tu aies le temps d’y réfléchir. Ne me mets pas tout sur le dos.

Dave rit.

— Tu t’en es déjà pris plein les oreilles avec Morrison, c’est ça ?

— Peut-être bien, marmonnai-je.

— Il n’est pas totalement inutile, alors. Bien.
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— Alors pas de promenades au sommet d’une falaise avec Cassandra Austin. Et ne la doublez même pas dans l’escalier, bon sang. Morrison, si ton mari rentre au pays entre quatre planches, je te conseille de faire prendre tes mesures pour un cercueil assorti, c’est compris ?

— C’est compris, répondit Phil tristement.

— Eh, je ne suis pas le seul à pouvoir être en danger ici, protestai-je.

— Non, mais de vous deux, tu es le seul à ne pas être bâti comme une armoire à glace. Il faudrait un bus rempli de ces bonnes femmes pour pousser Morrison d’un balcon.

— Je suis à peu près sûr que c’est une question de levier…

— Bon sang. Je n’ai pas besoin d’une leçon de physique en ce moment. Restez prudents, d’accord ? Vous pouvez faire ça ? Non, mais sérieusement, à qui je m’adresse ? Bien sûr, vous ne pouvez pas.
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Il faisait moins froid ici, même si c’était loin d’être comparable à la chaleur qu’il faisait à l’étage, et si près, la puanteur me rendait nauséeux. Disons-le franchement, dans ma profession, on s’habitue aux mauvaises odeurs de canalisations bloquées, de toilettes bouchées et tout ça. Mais la puanteur de la mort ? C’est autre chose. Je pense que c’est le côté sucré qui me dérange le plus. Non mais franchement : comment se fait-il que quelque chose d’aussi horrible ait une odeur sucrée ? J’eus un haut-le-cœur et plaquai une main sur mon nez et ma bouche. Ça ne servit à rien. La puanteur de décomposition semblait se glisser à l’intérieur de mes poumons même lorsque je n’inspirais pas. Je dus me forcer à continuer de chercher.
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— Tu te rends bien compte que si c’est moi qui l’accouche, il va falloir lui donner mon nom ? plaisantai-je faiblement.

— Si c’est toi qui l’accouches, on aura davantage de soucis que son prénom. Est-ce que tu sais de quel côté il sort, pour commencer ?

— Eh, je ne suis pas stupide. Le bébé sort du côté sans maquillage, c’est ça ?

— De nos jours, tu serais surpris, marmonna Dave.

— J’ai même eu une petite amie une fois, ajoutai-je sans vraiment y réfléchir.

— Je sais, tu me l’as dit. Vous aviez tous les deux six ans et tu ne l’appréciais que parce qu’elle te laissait porter ses pantoufles Barbie.

J’avais raconté ça à Dave ? Bon sang, je devais avoir eu un sacré coup dans le nez ce soir-là.
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