Citations de Jack Ketchum (88)
Il ne faut pas se fier aux apparences dans ce paisible quartier résidentiel.
Es gibt Dinge, die erzählt man nicht. Da stirbt man lieber. Dinge, von denen man weiß, dass man besser gestorben wäre, statt sie zu erleben.
Diese Dinge habe ich erlebt.
Es war, als wäre ich an diesem strahlend schönen Tag von einer elementaren Kraft gepackt und durchdrungen worden, die mich befreite und sich in mich verwandelte, ein wilder schwarzer Wind aus den Abgründen meiner Seele. [...]
Dort untenim Keller bei Ruth lernte ich, dass Wut, Hass, Furcht und Einsamkeit alle demselben Knopfdruck gehorchen und nur auf den Finger warten, der ihre zerstörerische Wirkung im Gang setzt.
Und ich lernte, dass sie nach Sieg schmecken können.
après cette journée, je devins complètement accro, et ma drogue consistait a savoir...Savoir ce qui était possible ; savoir quelle était la limite. Jusqu'ou "ils" oseraient aller.
C'était toujours "ils". Je me situais à l'extérieur, du moins est-ce ainsi que je le ressentais. Je n'avais participé à rien directement. J'avais regardé. Jamais touché. Et c'était tout. Tant que je maintenais cette position, je pouvais imaginer que j'étais, si ce n'est vraiment irréprochable, pas réellement coupable non plus
_parlons de ce tableau a présent. Je sais que tu l'a peint pour David, ici présent, et n'essaie meme pas de prétendre le contraire. Mais ce qui m'interesse, c'est de savoir ce que tu comptes en tirer. que crois tu que ce garcon va te donner?
Davy est un brave petit. mieux que la plupart de ceux que je connais. mais ma chérie - il n'a rien a t'offrir ! Si tu penses que si, tu vas au devant d'une grande désillusion.
en conclusion : j'espère que ce tableau est tout ce que tu lui as donné et que tu lui donneras jamais. je dis ca pour ton bien. Parce que tu as déja tout ce qu'il faut la ou il faut pour intéresser les hommes. ET crois moi, ils n'en n'ont pas après ton art.
Elle sait que la douleur ne se limite pas à la souffrance physique, à son propre corps – surpris – qui proteste contre une atteinte à sa chair.
La douleur peut venir de l'extérieur.
L'espace d'un instant, elle redevint une héroïne. Seule contre tous.
Mais cela ne dura pas. Parce que, brusquement, il m'apparut clairement qu'elle n'avait d'autre choix que d'encaisser, impuissante. Et de perdre.
Parce que les enfants se remettent vite et réapprennent la confiance et la compassion.
Pas moi. Je n'ai pas pu. A cause de ce qui s'est passé après, de ce que j'ai fait et de ce que je n'ai pas fait.
Tout va bien pour Lydia dans son couple ; entre un mari génial et un fils qui à l'air heureux ...
Mais un jour elle se rend compte que son fils cache quelque chose et que son mari a changé ...
Elle va découvrir l'horreur ..
Et, au fond, ça ne fait rien qu’elle soit à Delia d’abord et à lui ensuite. Il a lu des choses à propos des chiens. Il sait qu’il y a celui qui reçoit les ordres et les transmet, et la meute. Robbie, c’est la meute. Par définition, maman et papa sont des chiens dominants – des alpha, comme on dit. Ils sont plus grands, ils parlent plus fort. Ils donnent les ordres.
Mais Caity n’a pas l’air très concernée. Elle a sa propre vision des choses. Elle bouscule les idées reçues. La voix qu’elle écoute en second dans l’ordre de fréquence et d’attention, c’est la sienne, pas celle des parents. Robbie s’en satisfait et, même, il lui en est reconnaissant. Sa place dans la meute est confortable.
Ce matin-là, elle est allée d’abord vers Delia, puis vers lui. Robbie n’avait jamais vu sa sœur sourire comme ça, et jamais plus depuis.
Il sent encore la tiédeur de sa langue. Il se rappelle l’odeur de son haleine de chiot. Cette petite masse qu’elle formait entre ses mains.
Cette merveilleuse créature, toute neuve, parmi eux.
Un chien, c’est magique.
Mais Caity n’a pas l’air très concernée. Elle a sa propre vision des choses. Elle bouscule les idées reçues. La voix qu’elle écoute en second dans l’ordre de fréquence et d’attention, c’est la sienne, pas celle des parents. Robbie s’en satisfait et, même, il lui en est reconnaissant. Sa place dans la meute est confortable.
Et, au fond, ça ne fait rien qu’elle soit à Delia d’abord et à lui ensuite. Il a lu des choses à propos des chiens. Il sait qu’il y a celui qui reçoit les ordres et les transmet, et la meute. Robbie, c’est la meute. Par définition, maman et papa sont des chiens dominants – des alpha, comme on dit. Ils sont plus grands, ils parlent plus fort. Ils donnent les ordres.
Cette merveilleuse créature, toute neuve, parmi eux.
Il sent encore la tiédeur de sa langue. Il se rappelle l’odeur de son haleine de chiot. Cette petite masse qu’elle formait entre ses mains.
Cette merveilleuse créature, toute neuve, parmi eux.
Ce matin-là, elle est allée d’abord vers Delia, puis vers lui. Robbie n’avait jamais vu sa sœur sourire comme ça, et jamais plus depuis.
Sois honnête, pour une fois. Aucune de leurs épouses ne travaille. Si je travaille, tu penses que tu perdras la face. Mais tu oublies toujours une chose : elles ont toutes des enfants à élever.
Dans son service, elle s’occupait essentiellement de personnes âgées – avec des problèmes de cœur pour la plupart – et la seule crise à laquelle ils avaient été confrontés aujourd’hui se limitait à l’efficacité remarquable du laxatif administré à Mme Bragonier, ce qui s’était traduit par des selles d’une ampleur impressionnante et des cris scandalisés émanant de sa chambre.
Apparemment, il appréciait la présence d’une jolie fille, même si elle ne faisait que lui planter des aiguilles dans le corps, lui glisser un thermomètre sous sa langue et le réveiller tous les jours à 5 heures du matin pour lui apporter ses médicaments et changer ses draps.