Ce sont des bruits familiers, les mêmes depuis des années. Des bruits, des mots, des gestes, des habitudes, comme une respiration qu’on finit par ne plus entendre tant elle est régulière.
Il ne me reste à parcourir que l'étroite pelouse de la sérénité, décorée de bonzaïs, qui accompagne la vieillesse jusqu'au tumulus de la mort, veillé par un chêne centenaire.