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Critiques de James Clemens (719)
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Face à face

Sur le papier , le projet était prometteur, alléchant... Pensez donc : réunir 22 auteurs de Policiers/thrillers, leur proposer d'écrire en duo, une nouvelle , en y incorporant au moins un, de leurs personnages récurrents. Chacun devant composer avec l'univers de l'autre. Parfois les personnages n'habitant pas la même ville, il a fallu ruser, imaginer un prétexte qui tienne la route...

Sur les 22 auteurs réunis, J'en connaissais 11. (Et vraiment sur le bout des doigts : 3 ). Aussi quand j'ai vu l' association Ian Rankin/Peter James, je buvais du petit lait...

Mais j'ai été déçue, le format "nouvelle" a fait que je n'ai pas réussi à rentrer dans l'histoire, je l'ai trouvée pâle par rapport à ce que ces deux auteurs sont capables de faire habituellement, chacun de leur côté...

D'ailleurs , je me suis copieusement ennuyée pour beaucoup.

Seuls Dennis Lehane /Michael Connely , puis Raymond Khoury et Linwood Barclay ont su m'alpaguer. Et leur façon de faire était identique : une petite phrase un peu décalée, balancée l'air de rien au début, un milieu avec du suspens, et en chute finale, une réplique qui claque et qui fait sourire, destinée à boucler l'histoire...

Oui, vraiment, ces quatre là ont "fait le job", comme on dit...

Reste que les droits de ce livre seront reversés à l' ITW (association des auteurs de thrillers) , qui , ainsi, pourra promouvoir de jeunes talents. Alors merci aux "vieux" talents de s'être prêtés à cet exercice pour que de jeunes écrivains puissent un jour devenir de vieux talents ...
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L'île interdite

Écrire des bons livres d'action -suspense est souvent le fruit d'une recette équilibrée. Si tous les ingrédients se marient bien, on passe un bon moment. Si le cuisinier a la main lourde sur certaines substances, le tout peut devenir indigeste. Net Galley et Fleuve Éditions m'ont concocté un petit plat, je les en remercie et vais vous conter mon repas.



James Rollins est plutôt un bon artisan. Il a su lier son histoire avec un fonds solide et intéressant. Certains lieux exotiques et enchanteurs (Hawai), d'autres plus historiques (la Pologne), de la science bien vulgarisée mais très juste pour tenir le tout, un climat "épidémique" bien dans l'air du temps mais suffisamment original pour ne pas gâcher le plat. Tout cela est plutôt plaisant et on s'instruit aussi beaucoup notamment à propos de cette Smithsonian Institution dont le nom sonne familier, mais dont l'histoire concrète m'avait totalement échappée. Le mélange entre services secrets et experts scientifiques ou historiques est également plutôt réussi et plutôt crédible alors que c'est souvent dans cette crédibilité que le bât blesse dans beaucoup de livres du genre.



Le problème avec la nouvelle cuisine, c'est parfois la propension à vouloir mélanger les goûts. Et si l'histoire ne manque pas de sel, le rajout massif de sucre guimauve est beaucoup moins appréciable. On peine à nous offrir des méchants épiques puisque certains revirements inexplicables (et inexpliqués) font que certains des pires finiront par aider les héros... Et quelle manie que celle qui veut que quasiment chaque personnage tombe amoureux ou le soit d'un autre personnage principal. La romance est-elle devenue un passage obligé pour ratisser large au niveau du lectorat ? Heureusement, elle ne passe tout de même pas au premier plan, l'auteur aura eu la décence que cela ne reste qu'accessoire la plupart du temps. Je ne spoilerais pas la fin (j'ai déjà du mal à dévoiler quoi que ce soit d'une intrigue) mais disons que là encore, on a préfèré l'édulcorant au piment.



Il restera néanmoins de très jolies cartes postales, d'autant plus belles que je les ai trouvé aussi très respectueuses de la culture visitée, un hommage documenté qui n'est pas toujours là encore l'apanage du genre et qui me fait, malgré mes réticences, classer ce roman parmi les bonnes surprises de mes lectures contemporaines.

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Les bannis et les proscrits, tome 1 : Le fe..

Il y a tant de sagas dans le monde de la fantasy qu'il est souvent difficile de se guider et de savoir ce qui nous conviendra. Les challenges (comme souvent vous me direz) nous permettent de tenter des expériences, guidés par le hasard de certains items... ou par les lectures des autres participants.



C'est la combinaison de ces deux facteurs qui m'amène à découvrir la saga Les Bannis et les Proscrits de James Clemens. Les ingrédients habituels sont bien présents : une sorcière, une alliance entre des êtres différents et pas forcément faits pour s'entendre (vous la sentez la référence pas trop discrète à la Communauté de l'anneau), des races inspirées des grands classiques de la fantasy (il y a des gobelins, un elfe, des ogres, une nymphe des arbres...), quelques tentatives d'originalité (les silures capables de changer de forme, un "montagnard", élémental de pierre, qui pourrait s'apparenter à une sorte de golem, mais pas tout à fait), une quête commune pour sauver le monde.



L'originalité se trouve sans doute dans le titre même de la saga : chacun des personnages de la Fraternité, pour des raisons variées, a été mis à l'écart de sa communauté. Au delà de la quête principale, chacun poursuit un objectif individuel qui lui permettra de se sentir de nouveau appartenir à son clan. Ce lien particulier qui les unit permet de nourrir totalement ce premier tome, puisque l'auteur adapte ainsi sa narration, nous faisant découvrir alternativement chacun des futurs membres et nous faisant comprendre leur histoire personnelle avant de les réunir. Ce qui aurait pu alourdir le récit est très bien géré par Clemens, qui passe majoritairement par l'action pour nous faire comprendre l'histoire de chacun. Il joue en plus avec le lecteur qui sait que la réunion se fera en faisant d'abord se réunir par petits groupe les protagonistes, puis les disloquant pour les faire se rencontrer différemment. Cela anime le récit et évite tout sentiment d'ennui qui point parfois dans les tomes d'exposition.



Évidemment, on a toujours les défauts de ses qualités. L'action est très bien gérée mais la poésie qui lie souvent le tout dans ce genre d'histoire est moins présente ici. Certaines évolutions se font parfois trop rapidement pour donner la priorité à l'action: les amitiés sont très rapidement nouées, le développement des pouvoirs de certains initiés est accéléré pour solutionner certaines situations problématiques. Toutes les magies sont présentes et mélangées (magie élémentale, noire, blanche) comme une volonté de faire plaisir au plus grand monde. On passe un très bon moment et on ne boudera pas son plaisir de continuer l'aventure et on sait quasiment même déjà qu'on ira jusqu'au cinquième tome... mais on sent aussi pourquoi la saga qui a pourtant plus de 20 ans d'existence, n'a pas connu le même destin que certaines sagas mythiques de la littérature du genre. Il lui manque peut-être le souffle épique qui transforme les histoires en légendes.
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Le labyrinthe des os

Dans cette toute nouvelle aventure de la Sigma Force qui ne rompt pas le rythme habituel de cette équipe, la quête de nos origines et de la justification du "Grand bond en avant" est ici mise en avant.

Les ingrédients classiques qui ont fait le succès de la série sont bien présents : de l'action, des recherches théologiques et anthropologiques, du sacré, des gros bras armés et de l'espionnage pour ne citer que les plus significatifs.

Quelques longueurs sont à souligner ainsi que des rebondissements et rapprochements facilement perceptibles mais cela reste dans son genre un bon divertissement.
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L'île interdite

Une île mystérieuse, une couronne du démon prête à lâcher les hordes mêmes de l'enfer sur le monde, attention, danger !



Voilà un roman d'aventures sauce US dans un monde où les insectes sont devenus les rois de la planète et les humains leurs proies fragiles



Dans ce roman, ce sont les anecdotes historiques et scientifiques qui ont retenu mon attention. Les invraisemblances et le côté héros invincibles Force Sigma XXL m'ont laissée perplexe.



Un roman parfait comme base scénaristique pour un film action / mystère et qui plaira aux amateurs du genre.



En ce qui me concerne, ce roman m'aura appris une info primordiale :

ce ne sera pas moi que vous verrez sur les poteaux avec des bzzzzz vrombissants au prochain Koh Lanta.



Merci aux éditions du Fleuve, collection Fleuve Noir pour ce partage via NetGalley



# Mystère scientifique # Légende # Ambre # Insectes

# Danger planète # Sigma Force # Signes mystérieux

# Clap action # L'île interdite # Voyages temps et continents



Remq: quand ça n'accroche pas, ça n'accroche pas. La rencontre était ratée pour moi. Elle sera certainement plus réussie avec d'autres. Victoire: j'ai raccourci le nombre de lignes, alors comme ça me faisait comme un vide, je rajouté un ps, histoire de ne pas nuire à ma réputation de blablateuse :D)



- Prêt numérique -
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L'île interdite

Connaissez-vous James Smithson ?

Ce chimiste et homme de science anglais légua 100 000 livres sterling à sa mort en 1826, à une éventuelle institution américaine qui se consacrerait à promouvoir la science, cela deviendra le Smithsonian Institut, qui existe encore aujourd'hui.

Mais la raison de ce don est une énigme, car James Smithson n'avait aucun lien avec les Etats-Unis.

Ce leg mystérieux de James Smithson est le point de départ de ce roman d'aventures qui dépote et qui nous emmène à cent à l'heure dans plusieurs pays, au Japon, en Pologne, à Hawaï ou au Brésil, afin de tenter de sauver le monde d'une fin aussi horrible que prématurée.

Il sera question d'une île où toute vie à disparue, d'un amour qui dure depuis des dizaines d'années, d'une vengeance, d'une menace planétaire, du combat du bien contre le mal, et tout ça, agrémenté de découvertes scientifiques, de mystères historiques et de courses poursuites mortelles.

Les héros sont ici carrément des surhommes, chacun des protagonistes, homme ou femme, pouvant être à la fois blessé à la jambe par un poignard, avoir une balle dans le ventre et avoir été drogué, cela ne les empêche pas de sauter par la fenêtre du deuxième étage, avec un copain inconscient sur le dos et de s'en sortir quand même !

Les scènes d' action sont nombreuses et absolument pas crédibles, et les gentils s'en sortent toujours, quelle que soit leurs blessures, mais de temps en temps, un roman d'action a le mérite d'être distrayant.

J'ai beaucoup aimé les passages plus historiques ou scientifiques, qui sont vraiment intéressants.

J'ai par contre déploré que le livre, un ebook, ne contienne aucune des nombreuses illustrations annoncées au fil des pages : des dessins, des cartes, des symboles etc.

Je remercie NetGalley et les éditions Fleuve pour cet envoi.
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Le fléau d'Éden

Un roman d'aventure parfait pour les vacances. C'est divertissant, bien mené, bien écrit, et avec un fond scientifique tout à fait solide, comme toujours avec cet auteur qui lit beaucoup de revues scientifiques.



Comme en plus c'est indépendant (ça ne fait pas partie de la série des Sigma Force, je veux dire), c'est encore plus simple à lire. (En fait j'ai eu la flemme de chercher mon "suivant" à lire dans sa série (que j'ai toute parce que mon homme est total fan)).



Quand on a envie d'aventure, d'action ininterrompue, de personnages sympas et de lecture pas prise de tête (encore que peut-être certaines explications génétiques échapperont aux profanes, ou du moins leur passeront un brin au dessus, mais il n'est pas absolument nécessaire de tout comprendre dans le détail), les romans de Rollins sont des valeurs sûres !



En plus ça tire un brin vers le fantastique, ce qui n'est pas pour me déplaire...
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La cité de l'enfer

Livre acheté récemment à Easycash, ça faisait un moment que je voulais tester un roman policier de cet auteur, je le connais sous son autre nom avec le Feu de la Sor’cière dont il me reste 2 tomes à lire. J’ai déjà lu 2 fois le premier tome et je pense que je vais devoir relire les 3 premiers tomes pour finir la série, je ne me souviens pas de tous les détails.



L’histoire est longue à démarrer, on alterne entre plusieurs personnages et plusieurs situations. Je ne connais pas cette maison d’édition mais ils ne sont pas doués pour le retour à la ligne, les tirets sont vraiment mis n’importe comment, beaucoup de coquilles donc. Différents personnages apparaissent avec leurs propres aventures mais l’histoire du résumé peine à se lancer, il en dit peut-être trop par rapport au déroulement de l’histoire dans le roman. Mon rythme de lecture a ainsi beaucoup baissé, 30p par jour. Il y a beaucoup trop d’informations qui ne correspondent même pas à l’histoire, ça ressemble beaucoup à du remplissage... Afin d’essayer d’avancer dans l’histoire qui semble quand même intéressante, j’ai été obligée de faire beaucoup de lecture en diagonale pour certains passages barbants. Tous ces détails me font surtout penser à un scénario de film, les scènes d’actions sont trop courtes à mon goût. Par moment, l’histoire m’a fait penser à un mélange entre Indiana Jones et James Bond (ou Mission Impossible), c’est original et intéressant mais il y a encore beaucoup trop de détails annexes. Je n’ai tenu pour finir ce roman que parce qu’il rassemblait tous les éléments que j’adore dans ce type de littérature : archéologie, mystères, sociétés secrètes, aventures. Mais à cause de toutes les coquilles (toutes les 2 pages voire moins) et les trop longues descriptions de détails inutiles, la lecture a été rude et il ne restera pas dans ma bibliothèque. La partie que j’ai préféré était sur l’archéologie et la découverte historique qui se préparait. J’ai bien aimé Safia et Painter, les autres m’intéressaient moins et je lisais encore plus vite les passages sur Cassandra. Archéologie et physique sont donc au rendez-vous dans ce roman, curieux mélange et le tout à la découverte de l’Atlantide du désert.



Comme vous l’aurez compris, ce roman a été une découverte mitigée. L’histoire m’a semblé finir en queue de poisson. Tout ça pour ça ?! Curieux ! L’auteur utilise bien des références historiques mais c’est bizarre comment il a traité son histoire. Ça part finalement dans tous les sens et des questions restent en suspens.il m’a fait penser au Retour du Caton par moments mais trop de détails qui ne servent qu’à remplir. La fin est trop rapide par rapport au début trop lent à se lancer. J’en tenterais un autre en espérant qu’il ne soit pas de la même maison d’éditions, 600p de coquilles, c’est long à lire ! Heureusement que je voulais connaître la fin de ces aventures sinon je n’aurais pas tenu autant. Si vous êtes amateurs de romans sur l’archéologie et les sociétés secrètes, je vous conseille de le découvrir pour vous en faire votre propre idée, il paraît qu’il avait déjà été édité sous un autre titre.



Sur ce, bonnes lectures à vous :-)
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Tonnerre de sable

Une couverture de livre magnifique qui illustre parfaitement la finalité de ce roman. Science-fiction imprégnée de science pure, de légendes, d'archéologie en pays d'aventures, et même d'espionnage. Le dernier tiers de l'histoire est tellement endiablé dans les descriptions de batailles, de tempêtes de sable, d'inventions imaginaires que l'on a hâte de terminer tant le rythme est mené à l'extrême. Un mélange palpitant d'aventures qui commencent par un vol d'une pièce assez magique dans un musée. Au cours de l'histoire deux factions ennemis combattent pour retrouver une ville engloutie datant de la reine de Saba qui a généré une descendance uniquement féminine par parthénogénèse (excellent sujet de sf s'appliquant aux humains, la réalité s'appliquant à certains animaux, alors pourquoi pas ?). Les disciples de Saba ne sont pas en retard dans les sciences, elles utilisent les possibilités de l'antimatière pouvant générer une énergie monstrueuse. Impossible de s'ennuyer à la lecture de cette histoire même si de longs passages manquent de logique.
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Le 7e Fléau

James Clemens / Rollins a toujours pour mérite de nous plonger dans l'action, l'aventure avec une dose de science et de mystères liés à l'archéologie. ll récidive donc ici avec "Le 7e fléau" et c'est une nouvelle occasion de suivre l'équipe de la Sigma Force se démener pour éviter le pire. Pour autant dans cette aventure, les agents sont moins "actifs" que dans les autres missions bien que l'intrigue soit encore une fois tentante. Cela n'en reste pas moins en cet été un bon divertissement.
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La 6e extinction

Certains romans sont lents et le lecteur s’ennuie parfois faute d’action.

Ici, ce serait plutôt le contraire, de l’action, il n’y a que ça.

Et que je monte dans un hélicoptère et que je me fais tirer dessus à la mitraillette en Amérique Latine, et que je courre sur une colline en Californie pendant que les bombes me tombent dessus, et que je crapahute dans une caverne sous la banquise en Antarctique alors que des créatures effrayantes me poursuivent et que je risque de me faire tuer à coups de canons à son, bref, ça ne s’arrête jamais.

Et franchement, ça devient vite épuisant et lassant toute cette frénésie alors que le mystère du début ne tient finalement pas à grand-chose et que l’auteur a oublié de s’intéresser à ses personnages.

Ils sont tous forts, courageux et téméraires et bien sûr chaque femme trouve un homme qui lui plait au cours de cette aventure.

Et bien sûr, tous les gentils s’en sortent alors même qu’ils sont parfois grièvement blessés ou dans des situations dont personne ne pourrait sortir vivant.

J’avais été alléchée par cette histoire d’extinction programmée et par le mystère autour d’une chose non identifiée pouvant anéantir toute vie sur terre, mais très rapidement, la surenchère de poursuites et de tentatives de meurtres de toutes les façons possibles m’a lassé et j’ai lu la seconde moitié du roman en diagonale.

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La 6e extinction

Une station militaire de Californie qui envoie un message inquiétant "Tuez-nous tous..", une zone ravagée où toute trace de vie est anéantie, un inquiétant chercheur qui explore des capacités de vie cachées dans le sol de l'Antarctique, des recherches autour de la biologie de synthèse, tout est réuni ici pour faire un thriller captivant.



Le commandant Gray Pierce de l'agence Sigma, va avoir fort à faire pour éliminer un danger, la piste va conduire vers l'Antarctique, continent encore mal connu, et qui a connu bien des transformations au cours de son histoire.

L'agence Sigma dépend du DARPA et de son Bureau des Technologies Biologiques. Le DARPA, organisme réel, est à la pointe de la robotique et de l'intelligence artificielle, au sein du ministère de la Défense américain.



Beaucoup de rythme, d'actions vont jalonner cette piste et nos héros auront fort à faire...

Toutefois j'ai regretté le style trop "cinématographique" de l'écriture. On a plus l'impression d'être dans un film d'action que dans un roman.

Les actions d'enchaînent tellement rapidement (et parfois même un peu confusément) que la lecture devient parfois fatigante.



Et c'est vraiment dommage car le livre fourmille de documentations scientifiques vraiment intéressantes.

On apprend ainsi pas mal de choses sur la manipulation des gènes, la manière dont les laboratoires tentent de faire revivre des animaux disparus (ce qui pourrait être utile si les menaces d'une sixième extinction de masse se précisaient), de même les informations données sur les organismes extrémophiles, la vie en Antarctique et sa géologie sont vraiment intéressantes.
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Les bannis et les proscrits, tome 1 : Le fe..

Je n’ai pas tellement accroché. Cela n’a pas été une lecture désagréable mais j’avoue ne pas avoir été transportée dans l’univers des Bannis et des Proscrits. Je poursuivrais ma lecture des tomes deux et trois, les ayant achetés en e-book, mais cela ne sera pas avec impatience. Je pense que cela est dû en grande partie à Elena, l’héroïne du roman. Je ne me suis pas attachée à elle. J’ai de la sympathie pour l’enfant mais ça s’arrête là. De plus, j’ai trouvé qu’elle était assez effacée tout au long de l’histoire comme si elle était un personnage secondaire. Cela s’améliorera peut-être par la suite, ce que j’espère, mais pour l’instant, elle ne m’a pas laissé une grande impression.



Le roman est aussi découpé de sorte que les chapitres sont partagés entre plusieurs personnages. Du coup, les trois quarts du roman nous présentent les points de vues et les aventures de plusieurs protagonistes. C’est un plus et un moins en même temps. J’ai bien aimé l fait de découvrir les métamorphes, l’ogre, la nymphe et ses autres compagnons… Mais du coup la trame principale est assez découpée. Habituellement, cela ne me gène pas trop, mais là, je ne sais pas pourquoi, j’ai trouvé ma lecture saccadée. Peut-être à cause de l’alternance des chapitres. Un personnage n’a qu’un chapitre à la fois qui lui est accordé. C’est assez court.



L’histoire, elle, est assez classique pour le genre. On retrouve des éléments clés de ce type de romans. En caricaturant : le méchant, les gentils, une quête. On retrouve aussi de nombreuses créatures du folklore fantaisie : ogre, elfe, nymphe, mage, sorcier… Un plus car on ne se focalise pas sur une espèce. On apprend rapidement qui est Elena et ce que représente son don (en bien comme en mal) ainsi que les prophéties l’entourant. Après, il y a pas mal de complexité apportaient par les différents personnages. Chacun d’eux amène une réponse à nos questions ce qui plante le décor très facilement et du coup à la fin tout est mis en place. Un fait très agréable surtout quand on sait qu’il y a deux tomes derrière.



Pour les personnages, Er’ril est celui qui m’a le plus plu. Il est très présent et ressort beaucoup plus du récit qu’Elena. Il faut aussi dire qu’il est la clé de beaucoup d’énigmes dans le roman. La nymphe m’a laissé de glace. Méric, l’elfe, malgré son arrogance, me plait assez. L’ogre m’est très sympathique tout comme Fardale, l’un des métamorphes. Son frère par contre… J’ai une grande envie de l’étriper et cela dès son apparition… Une troupe de héros assez hétéroclites qui me laisse un avis partagé comme vous le voyez. Les méchants sont détestables à souhait par contre…



Le style de l’auteur est très plaisant. On ne s’ennuie pas vraiment étant donné qu’il se passe toujours un événement clé dans chaque chapitre. Pas de lourdeur, tout est fluide. Je reste cependant sur sa faim. Il me manque un petit quelque chose qui ne m’a pas fait entièrement apprécié cette lecture. C’est dommage. A voir si les deux autres tomes pourront me redonner envie.
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La 6e extinction

Avec "La 6e extinction", l'auteur à succès James Rollins nous emmène dans la dixième aventure de son équipe de choc, la Sigma Force. Si on n' y retrouve pas cette fois Seichan (seulement en fin de roman), les autres protagonistes sont toujours présents et en forme car une fois de plus les enjeux sont de taille : il n'en est pas moins question de trouver un remède en urgence à un vilain virus qui décime toute forme de vie humaine depuis l'explosion d'un laboratoire secret défense.

De l'action, il n'en manque donc pas et nos différents héros piétinent les sols américain (californien), brésilien (la jungle) et de la calotte glaciaire, à leurs risques et périls pour sauver l'humanité d'une effroyable menace.

Comme toujours, la science et ses excès sont bien mis en avant par l'auteur qui, même s'il s'agit d'une fiction, a le mérite de poser les bases du débat sur les progrès de la science en des domaines parfois capitaux.

Un bon divertissement qui ne méconnait en rien le rythme des précédents opus de la série et dont les principaux personnages (Painter Crowe, Gray Pierce et Kowalski, pour ne citer qu'eux) sont toujours fidèles à eux-mêmes.
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Mission Iceberg

Les romans de cet auteur sont généralement des romans d'aventure trépidants. Celui-ci ne déroge pas à la règle, du moins, en ce qui concerne l'action.

On va se retrouver en Alaska sur la banquise et dès la toute première page les scènes d'action sont omniprésentes.

Les personnages vont de retrouver poursuivis, traqués et on va tenter de les assassiner non-stop pendant toute la durée du roman, ce qui m'a rapidement lassée.

OK, j'étais partante pour découvrir ce que cachait cet immense iceberg, (expérimentation sur des humains ou créatures diaboliques ?), mais tout est vraiment trop exagéré dans cette histoire, trop de tirs de fusils, trop de poursuites en motoneiges, trop d'avions qui s'écrasent, trop de méchantes bêtes qui veulent bouffer tout le monde, trop de complots entre la Russie et les États-Unis, trop de secrets, trop de risques de fin du monde imminente.....mais au final, les passages les plus intéressants ( ceux qui ont vraiment un lien avec cet iceberg ) sont vraiment courts et très peu détaillés.

J'ai lu les 150 dernières pages en diagonale, histoire de vérifier qui s'en sort à la fin, mais l'intrigue est finalement assez creuse et l'avalanche de violence et de scènes d'actions gâchent tout, tellement c'est exagéré.

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L'île interdite

Je remercie chaleureusement Fleuve Editions pour l'envoi, via net galley, du roman : L'île interdite de James Clemens.

Au large des côtes du Brésil, une équipe de scientifiques découvre une île où toute vie a été éradiquée par une espèce inconnue et extrêmement dangereuse.

Avant d'avoir pu rapporter leur découverte, ils sont tous éliminés par une force mystérieuse.

Seul un expert des créatures venimeuses en réchappe.

Mais face à une espèce qui s'adapte à son environnement au risque de devenir de plus en plus incontrôlable, le commandant Gray Pierce et son équipe vont devoir affronter leurs plus grandes peurs pour éviter que le monde que nous connaissons soit entièrement détruit.

L'ile interdite est un roman faisant partie d'une série mettant en scène le commandant Gray Pierce et son équipe. Je l'ignorais, toutefois cela ne m'a pas dérangé. Le lire sans avoir lu les autres ne gêne en rien pour la bonne compréhension de l'histoire.

C'est un roman d'action et d'aventure qui bouge énormément, il est impossible de s'ennuyer une seule seconde tellement les scènes fortes s'enchainent.

J'ai eu l'impression d'être dans un blockbuster américain, d'ailleurs l'adapter en film pourrait être une très bonne idée.

Les personnages sont très intéressants, l'histoire est très bien ficelée et cela bouge beaucoup. Tout ce que j'aime dans ce genre de roman :)

Il m'est difficile d'en dire plus, car je n'ai pas envie de spoiler.

J'ai apprécié ma lecture, ce roman mérite quatre étoiles et je vous invite à le découvrir à votre tour.

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Les bannis et les proscrits, tome 1 : Le fe..

"Tout d'abord, sachez que l'auteur est un menteur".



Ben oui, sinon il nous aurait déjà prévenu que son livre était géniallissime !!

Cette première phrase a de quoi intriguer d'emblée le lectorat. "Un menteur, comment ça ?!". Et puis on nous parle d'un cercle d'étudiants très fermé qui est autorisé à lire ce bouquin, on peut même remplir une fiche comme quoi il nous appartient (au cas où de mauvaises personnes tomberaient dessus, prière de me rapporter mon exemplaire !).



En fait, c'est une relecture. Cette saga est dans mon top 5 depuis que je l'ai lu : en fin 2008 (déjà 6 ans !), et j'ai souvent eu envie de la relire. Et puis je vois les tomes tous les matins lorsque je me réveille, comme s'ils m'appelaient... Donc j'ai cédé ^^" J'aime bien relire les bons livres dans lesquels on peut distinguer quelques subtilités, redécouvrir certains personnages en pensant à leur futur...





Le récit débute avec la création du Grimoire, un livre magique qui va être créé alors que le Chi va quitter les initiés. le Chi, c'est l'équivalent de la magie, les initiés ont tous une "Rose" de pouvoir qui se recharge avec le soleil. Sauf que le temps du Seigneur Noir va venir anéantir ce pouvoir, si je puis dire. Une prophétie dit que l'héritière de Sisa'kofa, la Sorc'ière, va apparaître au bout de 500 ans et que son pouvoir, "forgé dans les flammes" sera immense. La Sor'cière est souvent mal vu, car il n'y a que les hommes qui reçoivent le Chi. Comment une femme peut-elle y prétendre ? La Sor'cière est maléfique, voilà tout !

C'est ce qui est dans l'esprit d'Er'ril dès le début de cette histoire. Er'ril est un guerrier qui a assisté, participé même, à la création du Grimoire 500 ans plus tôt, le temps n'ayant pas d'emprise sur lui. Après des siècles d'errance, ce valeureux guerrier s'est perdu et n'a plus foi en personne. Mais en quelques jours, son errance remplie de tranquillité va se retrouver chamboulée par l'arrivée de nouveaux personnages. Non seulement, une nyphai (nymphe) connaît son identité mais en plus les Skaltum sont de retour ! Créatures cauchemardesques, les Skaltum sont ... indescriptibles je dirais. Ils ont des ailes immenses et membraneuses, leur peau est transparente et leur sang noir, leurs longues griffes sont enduites de poison, une magie noire les protège, ils empestent la pourriture... Je n'aimerais pas me faire embrasser par un Skaltum (ah beurk beurk !! James Clemens, pourquoi tant d'horreur ? x)). Ah, ils ont tout de même un point faible : la lumière du soleil leur fait défaut.

Mais pourquoi les Skaltum, les "soldats" du Seigneur Noir, réapparaissent ? Ils cherchent la Sor'cière bien sur !

On va donc faire connaissance (dès le début en fait, mais je trouvais plus sympa de parler d'Er'ril en premier) avec Elena, une jeune fille de 13 ans qui vit paisiblement en Alaséa avec son frère et ses parents. Elle va avoir ses premières menstrues et devenir une femme le jour même où sa main droite va devenir écarlate : la Rose de la Sor'cière. Pour elle, c'est un mystère. Elle va se rendre compte que ce secret pourrait bien lui causer sa perte le jour où deux individus mal intentionnés se rendent chez elle... Dans sa quête de réponses, elle va rencontrer des compagnons plus étranges les uns que les autres...

On va aussi faire la connaissance de Tol'chuk le demi ogre, de Mogweed et Fardale, deux frères si'lura (métamorphe) condamnés à rester dans la peau d'un homme et d'un loup. Kral le Montagnard et Méric l'el'phe vont également faire parti de l'aventure... Tous ont un objectif bien précis : défaire une malédiction, sauver son peuple, se venger, retrouver un roi perdu... Et tous vont être attirés par la Sor'cière, tous vont croiser son chemin.



Ce que j'adore, dans cette saga, ce sont les personnages. Ce tome 1 nous les présente très bien, leur personnalité est exposée dès le début. Et tous ne sont pas parfaits, évidemment. Retournements de vestes, trahisons, révélations sont au programme dans Les bannis et les proscrits. Combien de fois ai-je pu détester un personnage puis me raviser... Pour ensuite le re-détester ? (bon là j'ai un personnage bien précis en tête surtout...) Et d'autres personnages qui semblent détestables mais qui sont sympathiques ? Je prends l'exemple de Rockingham, que je n'ai jamais réussi à détester, sans vraiment savoir pourquoi au début... Il a juste pas de chance dans sa vie...

Et au niveau des personnages et des créatures, on peut dire qu'il y a de la diversité !



L'écriture. Forcément, il faut que je vous parle de la plume de James Clemens. C'est ce qui m'a surtout séduite. Un tel pavé, avec une telle plume, se lit extrêmement vite ! J'ai l'impression de lire 5 pages quand j'en lis 20, tellement le récit est prenant. Et puis, c'est tellement bien décrit ! Même les scènes dégoûtantes... Alors là je tire mon chapeau bas, car je crois bien que c'est le seul auteur qui m'ait donné envie de vomir en lisant un livre.







Et donc... COUP DE COEUR COUP DE COEUR COUP DE COEUR. Arf, cette chronique est bien difficile à rédiger, tellement les mots me manquent, tellement j'ai envie de dire plein de choses sur Elena, sur Er'ril, et sur les autres compagnons...

J'ai re-dévoré ce tome en moins de temps qu'il en faut pour dire "Skaltum" ^^ (bon là j'exagère... Et puis j'aurais pu choisir un autre terme que ces sombres créatures...). Et bien sûr, j'aime toujours autant cette saga fantastique de James Clemens (aka James Rollins).







"Soyez prudent. Et de jour comme de nuit, dans la veille comme dans vos rêves, souvenez-vous…

L'auteur est un menteur."
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La Bible de Darwin

James Rollins (ou Clemens) a deux grandes forces dans ses romans thrillers situés à l'époque actuelle :

D'une, il se renseigne sur toutes les avancées technologiques en cours, ainsi que sur celles, plus secrètes, du passé, et il y a l'intelligence d'intégrer tout ça de façon réaliste à ses écrits. (En lisant ses remarques en fin de livre, je me sentais me "hérisser"...)

De deux, il a un sens aiguë du rebondissement et du cliffhanger (sisi, même au milieu de ses bouquins). Alors oui ça peut paraître "trop" pour certains, mais moi, je trouve ça passionnant et fascinant (et mon homme aussi, il est fan, plus que moi encore, il les a déjà tous lus !).



Evidemment, si tout ce qui est "scientifique" dans les romans vous rebute, ceux-là ne sont pas pour vous. Mais si, comme moi, vous adorez vous faire peur avec nos savants fous (et je suis sûre qu'il y en a plein), bah plongez avec délices dans les aventures de la Sigma Force.



Pour ma part, à chaque fois que je l'ai pris en main, c'était pour lire 100 pages minimum, il est "inlâchable" !!!

On retrouve nos aventuriers du roman précédent "L'ordre du Dragon", ils sont toujours aussi agaçants mais attachants, et aux prises avec des organisations aussi secrètes que retorses, une fois de plus. Fiona, nouveau personnage, jeunette qui a les mains qui traînent est juste parfaite, Gray Pierce à la fois pénible et touchant avec elle, Painter se retrouve dans une situation inextricable mais en profite pour rencontrer sa doudou, bref, je kiffe.

ça pète dans tous les coins, ça en prend plein la tronche, ça voyage aux quatre coins de la planète, ça n'arrête pas une seconde, j'adore ça. Et j'en redemande ! Et ça tombe bien, il y en a toute une série...

Edit : Grâce à ce bouquin j'ajoute un livre lu à mon challenge ABC de cette année.
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La Colonie du Diable

Un thriller bien mouvementé qui tourne autour de trois grands axes: le mormonisme, les premiers Amérindiens et les Pères fondateurs des Etats-Unis.

Le mystère au coeur de ce livre repose sur la conviction partagée par de nombreux Mormons, et véhicuée par leur père fondateur Smith, que les tribus amérindiennes auraient pour ancêtres un clan exilé d'Israélites (la tribu de Manassé plus exactement).

Cette croyance a été battue en brèche par les études ADN qui ont montré les origines asiatiques des Amérindiens.

L'auteur évoque toutefois les corrélations qui existeraient entre l'hébreu et les langues amérindiennes, en particulier l'uto-aztèque...

Selon le livre de Mormon, le fondateur mormon Joseph Smith tirerait ses préceptes de la traduction d'une série de tablettes en or...

C'est là que se situe le point de départ de ce passionnant thriller qui nous entraîne à la recherche de mystérieuses tablettes et d'une colonie oubliée..la quatorzième colonie..

Un livre qui nous fait revivre des épisodes moins connus de la fondation des Etats-Unis avec notamment le chef Canasatego qui était un sachem iroquois et qui a eu un impact sur la fondation des USA.

Cette influence a été reconnue par la résolution 331, votée en 1988, qui reconnaît l'influence de la Constitution iroquoise sur les documents fondateurs des USA..

Le récit s'appuie aussi sur les découvertes récentes de restes caucasoïdes préhistoriques, découverts dans différentes régions des USA, et qui continuent de déconcerter les anthropologues ("l'Homme de Kennewick" découvert récemment par exemple).

Dernière énigme qui a inspiré ce thriller: la disparition soudaine, au 12ème siècle, de la tribu des Anasazis qui auraient peut-être découvert une nouvelle foi..

Bref de nombreux points historiques passionnants qui ont servi de point de départ à ce thriller très original et très historique..même si la fin n'est pas tout à fait.. crédible..

Un bon moment de lecture...
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Les bannis et les proscrits, tome 1 : Le fe..

Koa’kona . sisa’kofa ; De’nal.

Trois mots à la musicalité si particulière extraits de l’univers que développe James CLEMENS. Un autre moyen d’appréhender un récit somme toute assez classique.

De’nal. Afin de pouvoir préserver les chances d’Alasea de se relever un jour du joug du Seigneur Noir, une prophétie a été invoquée. Les deux derniers mages chyriques et un enfant sans nom sacrifient leur essence ultime pour forger un Grimoire. Et laisser au monde une chance de pourvoir vaincre sa malédiction. Cinq cents longues années s’écouleront avant que cette opportunité voit le jour... L’enfant s’appelait De’nal.

Sisa’kofa. C’est à elle que revient le pouvoir. Celui que craint le Seigneur Noir qui entretient depuis un demi-millénaire un réseau de séides. Une ancienne et puissante magie remise entre les mains d’une fragile jeune fille. Fille de fermier Elena ne s’attend pas à être la sisa’kofa : La Sor’cière de l’esprit et de la pierre.

Koa’Kona. Ils sont aujourd’hui tous disparus. Dévorés par la Pourriture, ils ne sont plus que des échos anciens dans des contes presque oubliés. Et leur compagnes ont disparu avec eux. Enfin, il ne faut jamais être aussi catégorique. Un Arbre à Esprit a survécu, son essence préservée dans un instrument de musique. Et sa compagne la Nyphaï Nee’lhan parcours les routes à la recherche de celle qui rendra la vie aux koa’konas : La Sor’cière de l’esprit et de la pierre...



Étrange mise en abyme littéraire.

Si Elena est la Sor’cière, héritière d’une ancienne prophétie, " Le Feu de la Sor’cière " est le tenant d’un genre littéraire : L’accomplissement prophétique de la quête du héros - ou de l’héroïne en l’occurrence - Chassée de son foyer dans de terribles circonstances. Poursuivie pas de sinistres créatures, elle réuni autour d’elle une communauté d’êtres d’exception : La dernière nymphe, les fées protées condamnées par malédiction à garder la même apparence... l’el’phe...

Certes les antagonismes entre ces personnages sont plus affirmés que ceux d’un certain nain et elfe fort célèbres, mais la trame est là.



Tome d’exposition qui passe avec élégance l’écueil du déjà-lu - sans faire cependant l’économie du passage sous la montagne et sa nuée gobeline.. ; - Mais laisse dans l’expectative de sa suite... avec une crainte qu’un trop grand respect de cette trame ne s’éternise...

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