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Citations de Jamie McGuire (335)


I kissed him, touching the sides of his face with tenderness. « Yes, dummy. I promised, didn't I ? I told you everything you wanted to hear, we're back together, and you're still not happy ? »
His face compressed around his smile.
« Travis, stop. I love you. » I said, smoothing the worried lines around his eyes. « This absurd standoff could have been over at Thanksgiving, but... »
« Wait... what ? » he interrupted, leaning back.
« I was fully prepared to give in on Thanksgiving, but you said you were done trying to make me happy, and I was too proud to tell you that I wanted you back. »
« Are you fucking kidding me ? I was just trying to make it easier on you ! Do you know how miserable I've been ? »
I frowned. « You looked just fine after break. »
« That was for you ! I was afraid I'd lose you if I didn't pretend to be okay with just being friends. I could have been with you this whole time ? What the fuck, Pigeon ? »
« I... » I couldn't argue ; he was right. I had made us both suffer, and I had no excuse. « I'm sorry. »
« You're sorry ? I damn near drank myself to death, I could barely get ouf of bed, I shattered my phone into a million of pieces on New Year's Eve to keep from calling you... and you're sorry ? »
I bit my lip and nodded, ashamed. I had no idea what he'd been through, and hearing him say the words made a sharp pain twist inside my chest. « I'm so... so sorry. »
« You're forgiven, » he said with a grin. « Don't ever do it again. »
« I won't. I promise. »
He flashed his dimple and shook his head. « I fucking love you. »
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"Si j’avais appris une chose au cours de l’année passée, c’était que la fin ne menait qu’à une seule chose : un début"
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« Tu sais pourquoi je te veux ? Je ne savais pas que j'étais perdu avant que tu me trouves. Je ne savais pas que j'étais seul avant cette nuit que j'ai passé avec toi dans mon lit... Tu es ce que j'attendais. »
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Quand mes lèvres rencontrèrent les siennes, il m'embrassa avec une profonde émotion, et je compris pourquoi il s'était fait tatouer, pourquoi il m'avait choisie, et pourquoi j'étais différente. Chacun de notre côté, nous n'avions rien de particulier. C'est ce que nous composions tous les deux qui était exceptionnel.
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- Si je voulais calmer Finch, je lui dirais que Prada a déposé le bilan.
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I looked down as he placed the small velvet square on his chest, reaching behind him to rest his head on his arm.
« What's that ? » I asked.
« What does it look like ? »
« Okay. Let me rephrase my question : When did you get that ? »
Travis inhaled, and he did, the box rose with his chest and fell when he pushed the air from his lungs. « A while ago. »
« Trav... »
« I just happened to see it one day, and I knew there was only one place it could belong... on your little perfect little finger. »
« One day when ? »
« Does it matter ? he rebutted. He squirmed a bit, and I couldn't help but laugh.
« Can I see it ? » I smiled, suddenly feeling a bit giddy.
His smile matched mine, and he looked to the box. « Open it. »
I touched it with one finger, feeling the lush velvet under my fingertip. I grasped the golden seal with both hands, slowly pulling the lid open. A glimmer caught my eye and I slammed the lid shut.
« Travis ! » I wailed.
« I knew you'd freak out ! » he said, sitting up and cupping his hands over mine.
I could feel the box pressing against both oh my palms, feeling like a prickly grenade that could detonate at any moment. I closed my eyes and shook my head. « Are you insane ? »
« I know. I know what you're thinking, but I had to. It was the One. And I was right ! I haven't seen once since that was as perfect as this one !»
My eyes popped open and instead of the anxious pair of brown eyes I expected, he was beaming with pride. He gently peeled my hands from the case and pulled the lid open, pulling the ring from the tiny slit that held it in place. The large, round diamond glittered even in the dim light, catching the moonlight in every facet.
« It's... my God, it's amazing, » I whispered as he took my left hand in his.
« Can I put it on your finger ? » he asked, peering up at me. When I nodded, he pressed his lips together, sliding the silver band over my knuckle, holding it in place for a moment before letting go. « Now it's amazing. »
We both stared at my hand for a moment, equally shocked at the contrast of the large diamond sitting atop my small, slender finger. The band spanned the bottom of my finger, splitting in two on each side as it reached the solitaire, smaller diamonds lining each sliver of white gold.
« You could have put a down payment on a car for this, » I said under my breath, unable to put any strenght behind my voice.
My eyes followed my hand as Travis brought it up to his lips. « I've imagined what this would look like on your hand a million times. Now that it's here... »
« What ? » I smiled, watching him stare at my hand with an emotional grin. He looked up at me. « I thought I was going to have to swear five years before I'd feel like this. »
« I wanted it as much as you did. I've just got a hell of a poker face, » I said, pressing my lips against his.
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Je fixai
les symboles verticaux sans comprendre.


   Qu’est-ce que c’est ?


   C’est de l’hébreu, répondit Travis avec un sourire tendu.


   Et ça veut dire quoi ?


   Ça signifie : « Je suis à mon aimée, mon aimée est mienne. »
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— Je sais qu’on est mal barrés, d’accord ?
Je suis impulsif, je pars en vrille sans prévenir, et je t’ai dans la peau comme jamais personne auparavant. Tu agis comme si tu me détestais, et l’instant d’après, tu as besoin de moi. Je ne fais jamais ce qu’il faut quand il faut, et je ne te mérite pas… mais putain, je t’aime, Abby. Je t’aime plus que j’aie jamais aimé qui que ce soit ou quoi que ce soit. Quand tu es près de moi, je n’ai plus besoin d’alcool, ni d’argent, ni de combats, ni de baise facile. Je n’ai plus besoin que de toi. Je ne pense qu’à toi, je ne rêve que de toi. Je ne veux que toi.
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- Tu n'est pas nulle. Jamais je ne craquerais a ce point pour quelqu'un de nul.
Je clignais des yeux.
- Tu craques pour moi ?
- En mille morceaux. Façon puzzle.
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"- D'après le dernier bulletin d'information, ça se transmet comme la peste, expliqua Jerry. Il vous mordent, et si on ne vous abat pas sur-le-champ, vous tombez horriblement malade. E quand vous vous réveillez, vous n'êtes plus le même. (Il eut une moue navrée.) Comme dans les films. Putain, ils avaient complètement raison."
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Je m'étais battue bec et ongles pour le maintenir à l'écart des zones d'ombre de ma vie et, à la première occasion, sans réfléchir une seule seconde, je l'avais entraîné au cœur de tout ce que je détestais.
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C’est incroyable comme l’imagination peut avoir une influence physique sur l’organisme. Mon rythme cardiaque avait doublé et je commençais à transpirer.
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La mise en quarantaine de la ville était à la fois un bienfait et un obstacle. Les soldats sur le qui-vive et à la gâchette facile avaient au moins l’avantage d’éloigner la menace des traîne-la-patte.
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De manière générale, se faire vacciner contre un virus dont la souche évoluait sans cesse ne me rassurait pas. Nos corps étaient déjà suffisamment infestés des hormones et produits chimiques qui polluaient l’air et notre nourriture. Je ne jugeais pas utile d’en rajouter, même si l’hôpital le préconisait.
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Quand on travaille dans le corps médical, on peut rarement s’offrir le luxe de songer à la vie privée de nos patients. Cela nous rapproche trop d’eux. Cela les rend trop réels.
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Abby avait enfin compris les sentiments que j’avais pour elle, tout était soudain devenu clair.Je me penchai vers elle, posai mes lèvres sur les siennes, lentement, délicatement. Nos bouches ainsi soudées, je fus submergé par la réalité de ce qui était en train de se produire.Abby m’attira contre elle. Chacun de ses mouvements me prouvait qu’elle ressentait la même chose que moi. Elle avait de l’affection pour moi. Elle voulait bien de moi. Je fus pris d’une envie de sortir en courant pour l’annoncer haut et fort à la face du monde, et en même temps, j’aurais voulu que nos lèvres ne se séparent jamais plus
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Tu sais pourquoi c’est toi que je veux ? J’ignorais que j’étais perdu jusqu’à ce que tu me trouves. J’ignorais que j’étais seul avant la première nuit que nous avons passée tous les deux dans mon lit. Avec toi, j’ai tout juste. Tu es celle que j’attendais, Poulette.
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— Dis donc, t’es toujours aussi soupe au lait, ou est-ce que ça s’arrangera quand t’auras compris que je ne cherche pas à me glisser dans ta petite culotte ?

— Je ne suis pas soupe au lait.

Alors je me penchai pour lui murmurer :

— Je ne veux pas coucher avec toi, Poulette. Tu me plais trop.

http://lachroniquedespassions.blogspot.fr/
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Elle m’embrassa, et je sentis mon cœur se calmer, et chaque muscle de mon corps se détendre. J’avais besoin d’elle à un point que cela me terrifiait. J’avais du mal à concevoir que l’amour soit ainsi pour tout le monde. Un truc pareil, ça condamnait les mecs à la folie dès qu’ils devenaient assez grands pour s’intéresser aux filles.

http://lachroniquedespassions.blogspot.fr/2014/02/beautiful-tome-2-walking-disaster-de.html
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J’allumai une cigarette et commandai deux autres bières. Brooke, la blonde assise à côté de moi, sourit et se mordit la lèvre. J’hésitai, ne sachant si elle allait pleurer ou me prendre dans ses bras. Ce n’est que lorsque Cami décapsula les bières pour les poser devant moi que je compris pourquoi elle arborait ce sourire ridicule. Elle saisit l’une des deux bières et voulut en boire une gorgée. Je la lui pris des mains et la tendis à Abby.

— Heu, c’est pas pour toi.

Brooke s’éloigna, vexée, et rejoignit ses copines. Abby, en revanche, sembla très satisfaite, et but à grandes goulées.

— Payer une bière à une fille dans un bar, c’est pas mon style, dis-je.

Je pensais que cela ferait rire Abby, mais elle but une nouvelle gorgée d’un air un peu aigri.

— Toi, c’est pas pareil, ajoutai-je avec un demi-sourire.

Elle trinqua avec moi, apparemment contrariée.

— À la seule fille avec qui le débauché du campus ne veut pas coucher.

Elle but une autre gorgée, mais je lui retirai sa bouteille de la bouche.

— Tu rigoles ?

Comme elle ne répondait pas, je me penchai vers elle, pour qu’elle comprenne bien.

— D’abord… je ne suis pas un débauché. J’ai des valeurs. Je ne me suis jamais tapé de fille moche. Jamais. Ensuite, je voulais coucher avec toi. J’ai imaginé te jeter sur mon canapé de cinquante manières, mais je ne suis pas passé à l’acte parce que je ne te vois plus comme ça. Ce n’est pas que tu ne m’attires pas, je pense juste que tu vaux mieux que ça.

Elle eut un petit air suffisant.
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