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Citations de Jamie McGuire (335)


- Est-ce que tu me détestes ? demanda-t-il.
- J'essaie...tous les jours.
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Je sais qu’on est mal barrés, d’accord? Je suis impulsif, je pars en vrille sans prévenir, et je t’ai dans la peau comme jamais personne auparavant. Tu agis comme si tu me détestais, et l’instant d’après, tu as besoin de moi. Je ne fais jamais ce qu’il faut, et je ne te mérite pas... mais putain, je t’aime, Abby. Je t’aime plus que je n’ai jamais aimé qui que ce soit ou quoi que ce soit. Quand tu es près de moi, je n’ai plus besoin d’alcool, ni d’argent, ni de combats, ni de baise facile. Je n’ai plus besoin que de toi. Je ne pense qu’à toi, je ne rêve que de toi. Je ne veux que toi.

Page 213 (poche)
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Tu sais pourquoi je te veux ? Je ne savais pas que j'étais perdu avant que tu me trouves. Je ne savais pas que j'étais seul avant cette nuit que j'ai passé avec toi dans mon lit... Tu es ce que j'attendais.
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Chapitre 1 : Thomas :
" Dans ma poche, mon téléphone vibra.
- Maddox, dis-je en plaquant à mon oreille.
J'écoutai, et me dirigeai vers la fenêtre, écartai le rideau. Mon ventre me fit part de la marche à suivre. Mon sang se figea.
- L'idée, c'est de les laisser me tirer dessus ?
- Ils s'en sont déjà pris à Travis.
Mes cheveux se dressèrent sur ma nuque.
- Quoi ?!? Comment va-t-il ?
- Une éraflure à l'épaule, et il est encore un peu sous le choc. Ils ont forcé sa voiture à quitter la route.
Mon patron toussota avant de poursuivre, visiblement gêné.
- En fait, ils pensaient s'en prendre à Abby.
Je ravalai la bile qui remontait dans ma gorge.
- Comment vous le savez ?
- Travis avait pris la voiture de sa femme. Dans le véhicule des assaillants, on a retrouvé des photos de toutes les cibles annexes. Abby en faisait partie.
- Par cibles annexes, vous voulez dire...
- les membres de votre famille, Thomas. Je suis vraiment désolé.
...

...
- Non, c'est trop. Ça ne va pas. Je ne peux pas te laisser seule ici avec elle. Elle n'a même pas un jour, et toi... seule...
Elle me serra dans ses bras.
- Je ne serai pas seule.
Je respirai ses cheveux, tentai de mémoriser la douceur de sa peau.
- Je ne peux pas... je ne peux pas lui dire au revoir, soufflai-je.
J'ai déjà eu le cœur brisé, plusieurs fois, mais ça, c'était de la torture. j'étais déjà fou amoureux de la petite fille qui se trouvait dans le berceau, et partir sans elle était au-dessus de mes forces.
- Alors ne le lui dis pas.
Sans faire de bruit, j'entrai dans la chambre de Stella pour la regarder, emmaillotée et rêvant joyeusement à ce à quoi rêvent les nouveau-nés - les battements de cœur de Liis, le bruit étouffé de ma voix. Je me penchai pour déposer un baiser sur ses cheveux épais, bruns.
- À très bientôt, mon amour. Papa t'aime."
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-Le directeur me veut au bureau le plus tôt possible, dit Liis en se redressant contre son oreiller.

-Dans ses rêves, répondis-je.

En vérité, si le directeur avait eu son mot à dire, Liis aurait accouché au bureau. Nous étions sur le point de boucler un énorme dossier, et Liis était l’analyste et la traductrice la plus respectée à Quantico. Je travaillais sur cette affaire depuis onze ans, c’est-à-dire plus de la moitié de ma carrière au FBI. Mon plus jeune frère Travis, y avait été mêlé, bossant pour nous en infiltration, mais quand les choses avaient mal tourné et que sa femme avait été menacée, Travis avait exécuté Benny et quelques-uns de ses sbires. Abby nous avait alors communiqué toutes les infos qu’elle avait sur son père, Mick – un pion de Benny lui aussi. Grâce à elle, nous étions à deux doigts de clore cette affaire. Angelo Carlisi, le bras droit et fils ainé de Benny, n’allait pas tarder à tomber, et tout le monde attendant la fin de l’enquête.

Liis et moi avions passé des heures dans le bureau du directeur, à lui expliquer que nous formions une famille, désormais. Les risques étaient trop importants, il fallait en finir avec cette histoire.
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- Je t’ai menti, murmura-t-il. Mais si je te dis la vérité, tu seras impliquée dans ce merdier.
Je secouai la tête.
– Tu n’es pas obligé de m’en parler.
Il me regarda, en colère.
– T’as entendu ce que je viens de dire ? Je t’ai menti.
– Tu protégeais ton frère.
Il me fixa un long moment.
– Et maintenant, c’est toi que je protège.
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– Votre frère Trent. Et Travis. Et vous, c’est Thomas. Il me manque qui, encore ? Tigrou et Timide ?

Cela ne l’amusa pas.

– Taylor et Tyler. Les jumeaux. Ils sont entre Trent et moi.

– C’est quoi cette fixette sur les T ?

Je n’avais pu m’empêcher de poser la question, mais à dire vrai, cette conversation commençait à m’agacer profondément.

Il soupira encore.
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— C’est rare que j’aie peur, soufflai-je. J’ai eu peur le premier matin, quand j’ai ouvert les yeux et que tu n’étais plus là. J’ai eu peur quand tu m’as quitté, après Vegas. J’ai eu peur quand j’ai cru que j’allais devoir annoncer à mon père que Trenton était mort dans cet incendie. Mais quand je t’ai vue de l’autre côté des flammes, dans la salle… j’ai été terrifié. J’étais à quelques mètres de la sortie, la porte était là, toute proche… et je n’ai pas pu avancer.
Elle redressa la tête.
— Comment ça ? Tu es fou ?
— Rien n’a jamais été plus clair dans mon esprit qu’en cette minute. J’ai fait demi-tour, j’ai retrouvé le chemin jusqu’à la pièce où tu te trouvais. Plus rien d’autre n’avait d’importance. Qu’on s’en sorte ou pas, ce n’était pas le problème. Je voulais juste être avec toi, quoi qu’il arrive. La seule chose qui me fait peur, c’est la vie sans toi, Abby.
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- On a cours dans cinq minutes. Je t’emmène ?
— Non, je vais essayer de voir si j’arrive à faire remonter Abby sur ma moto. Pour l’instant, c’est la seule façon que j’ai de me retrouver entre ses cuisses.
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J’entendis Lexie glousser, dus me forcer à contrôler l’irritation que je sentais monter en moi. Je m’assis, et elle s’installa sur mon genou.Certains membres de l’équipe de foot, assis à notre table, me regardèrent, impressionnés. Comme si être suivi par deux pétasses au QI de bulot était pour eux une consécration hors de portée.Lexie laissa tomber sa main sous la table et me serra la cuisse tout en remontant le long de la couture intérieure de mon jean. J’écartai un peu plus les jambes, attendant qu’elle atteigne son but.Juste au moment où je sentis sa main sur mes parties, le murmure bien clair d’America remonta le long de la table.
— Je crois que je viens de vomir un petit peu.
Lexie se raidit, et se tourna vers elle.
— Je t’ai entendue, connasse.
Un petit pain vola juste sous le nez de Lexie et alla rebondir sur le sol. J’échangeai un regard avec Shepley, et puis je retirai mon genou sans prévenir.Le cul de Lexie rebondit sur le sol carrelé de la cafétéria. Le claquement de sa peau sur la céramique me fit un certain effet, je devais l’avouer.
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-Quand tu penses suffisamment à quelque chose, tu commences à en rêver. Et quand tu rêve suffisamment de quelque chose, tu en viens à espérer qu’elle devienne réalité. (Il soupira.) Je pense à toi tout le temps, Erin. J’avais envie de te parler depuis des années, mais j’étais tellement nerveux… Je ne savais pas quoi te dire, et je redoutais ta réaction si je le faisais. Et puis j’avais peur que tu penses que je ne faisais qu’essayer d’aider Alder à te tourmenter. Je sais que j’ai mal choisi mon moment, parce qu’on s’apprête tous les deux à prendre des chemins différents, mais j’ai développé un véritable don pour t’aimer à distance.

J’avais fait tellement d’efforts pour ne jamais pleurer devant quiconque que j’éprouvai un moment de panique en sentant les larmes me monter aux yeux et la première rouler sur ma joue. Je l’essuyai rapidement.

Weston posa ses pouces de chaque côté de mon visage, se pencha en avant, et s’arrêta avant de murmurer :

-Je peux t’embrasser ?
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"Si je me noyais, tu séparerai la mer et risquerai ta propre vie pour me sauver."
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Tu n'est pas le seul capable de traverser les flammes pour sauver ce que tu aimes.
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Mais ça lui fait du bien. Aucun homme ne devrait jamais avoir toutes les qu’il veut. Une petite remise à zéro des compteurs, de temps en temps, ça les maintient à un niveau de crétinerie supportable.
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Time will make it worse! You're...the other half of his soul. He's never going to get over you. And no matter how much you hope that you will... you'll never get over him. You're going to wake up one day and realize what you've done, and you're going to regret the time you wasted apart from him for the rest of your life.
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I'm going to kiss you now, and I don't know if I'll ever stop.
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Je n’avais aucune raison de me plaindre. J’étais la fille qui avait tout. Plus mes parents me balançaient du fric et des biens matériels, plus je sentais le vide grandir en moi. Mais ça, je ne pouvais pas le leur dire. Je ne pouvais le dire à personne. Tout avoir et ne rien éprouver, c’était le pire des égoïsmes.
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J’étais assise dans un véhicule qui n’était pas le mien, devant une maison que je ne possédais pas… et je portais des vêtements que mes parents avaient payés. Ils me possédaient, et je les laissais faire parce que c’était bien pratique. Évidemment, j’avais essayé de faire ma crise, pendant mes années lycée, mais, pour eux, manifester un désaccord quel qu’il soit signifiait que je ne leur étais pas reconnaissante.
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Paige n’était pas seulement belle ; elle laissait ses espoirs comme ses échecs en évidence, offerts à tous les regards. Elle était vulnérable, même si son cœur avait déjà dû être brisé plusieurs fois.
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— Oublier que tu es derrière, ça me paraît difficile. Avec tes cuisses qui me prennent en étau, j’arrive à peine à respirer ! Mais quand j’y pense, c’est une façon particulièrement délicieuse de mourir, ajouta-t-il avec un sourire en coin
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