Jean-Christophe Derrien

Une nouveau tome qui confirme l'impression très positive sur cette série. J'ai aimé suivre le déroulé de l'Histoire à travers la vie des ces jeunes hommes et femmes, entrainés dans des évènements qui les dépassent et où chacun tente de survivre, et d'agir en accord avec ses convictions. Rien n'est montré tout noir ou tout blanc, c'est ce que j'ai apprécié. Je pense que quelques tomes supplémentaires auraient été les bienvenus, pour approfondir un peu plus de choses, donner plus de références historiques qui m'ont semblé manquer (ou alors, je ne suis juste pas assez au fait de cette page de l'Histoire).

(Critique qui s’applique aux tomes 2, 3 et 4.)

Une nouveau tome qui confirme l'impression très positive sur cette série. J'ai aimé suivre le déroulé de l'Histoire à travers la vie des ces jeunes hommes et femmes, entrainés dans des évènements qui les dépassent et où chacun tente de survivre, et d'agir en accord avec ses convictions. Rien n'est montré tout noir ou tout blanc, c'est ce que j'ai apprécié. Je pense que quelques tomes supplémentaires auraient été les bienvenus, pour approfondir un peu plus de choses, donner plus de références historiques qui m'ont semblé manquer (ou alors, je ne suis juste pas assez au fait de cette page de l'Histoire).

(Critique qui s’applique aux tomes 2, 3 et 4.)

Une nouveau tome qui confirme l'impression très positive sur cette série. J'ai aimé suivre le déroulé de l'Histoire à travers la vie des ces jeunes hommes et femmes, entrainés dans des évènements qui les dépassent et où chacun tente de survivre, et d'agir en accord avec ses convictions. Rien n'est montré tout noir ou tout blanc, c'est ce que j'ai apprécié. Je pense que quelques tomes supplémentaires auraient été les bienvenus, pour approfondir un peu plus de choses, donner plus de références historiques qui m'ont semblé manquer (ou alors, je ne suis juste pas assez au fait de cette page de l'Histoire).

(Critique qui s’applique aux tomes 2, 3 et 4.)

Publié en 1949, le 1984 de George Orwell reste une référence incontournable du roman d’anticipation. Une nouvelle adaptation du roman en bande dessinée, très fidèle au roman original, fournit une belle occasion de se replonger dans le monde terrifiant de Big Brother.



La bande dessinée reproduit l'ambiance très sombre du roman avec des images principalement en noir et blanc. De temps à autres toutefois, des couleurs vives s’immiscent pour souligner les éléments qui apportent un peu de chaleur et d’espoir : un verre d’alcool, un baiser, une caresse… Dans une société ou le plaisir et la sexualité sont bannis, l’idylle de Winston et Julia apparaît comme un acte de résistance politique.



Chronique complète sur le site du Suricate Magazine

Bon 1er tome. On est très rapidement mis dans le bain. Miss Endicott est un personnage de gouvernante, comme je les aime, indépendante, mystérieuse et étonnante. L'ambiance est anglaise, très XIXe, tout ce que j'aime !

La fin de la guerre est proche, la France est libérée des allemands, les alliés ont fait leur entrée triomphale dans Paris.



Mais qu'on ne s'y trompe pas, ces réjouissances vont aussi être synonymes de règlements de comptes...



Et la fragile amitié entre Louis et André risque d'être mise à rude épreuve suite à la déportation de Sonia au camp de Ravensbrück....

Juin 1940



La France a capitulé, les Allemands occupent Paris et une bonne partie du pays.

Quand Louis rencontre Sonia dans les rues désertes de Paris, le deal est vite conclu, ils prennent la voiture et sortent de la ville, direction... la Bretagne. Mais Louis n'avait visiblement pas prévu que Sonia amènerait André, son fiancé, dans ses bagages....



Quoiqu'il en soit, nos trois jeunes amis se mettent en route, et ne sont visiblement pas les seuls à laisser Paris à l'occupant.



Arrivé sur les plages bretonnes, c'est la révélation pour André : il doit rejoindre le général de Gaulle à Londres pour continuer le combat.

Sonia préfère s'en retourner à Paris et Louis décide de poursuivre sa route jusque Bordeaux,le vin y étant de meilleure facture...

Une BD qui présente par de courtes planches, toutes les facettes de la résistance pendant la Seconde Guerre Mondiale : l’édition et la diffusion de tracts ou de journaux, les agents de liaison, la lutte armée, l’entrée en clandestinité, les assassinats, la prison pour les résistants, les résistants d’origine allemande, la fabrication de faux documents, la diffusion de photos et vidéos de la résistance... chaque thème est introduit par un court texte explicatif, une présentation de l’histoire contée et un focus sur un matériel de la résistance : caméra Emel, pistolet mitrailleur Sten, pistolet semi-automatique Ruby, faux tampon, sac à main à double-fond...

Un album très instructif sur la Résistance qui met en lumière ces troupes de l’ombre. Un beau travail de mémoire sur cette période particulière de l’histoire qu’est l’occupation.

Un quatrième tome qui clôt parfaitement cette série très riche, très émouvante et pleine de péripéties.

Le côté réaliste du récit côtoie parfaitement l’histoire de ces 3 personnages qui vivront chacun leur vie de résistant.

Cette bd date de 2007 et trainait abandonnée, vaguement lue une fois, dans ma bibliothèque depuis quelques années. C'est une véritable découverte et un vrai coup de foudre pour cette héroïne qui ne s'en laisse pas conter, pour cet univers souterrain dangereux (une des peurs de notre enfance) qui menace la surface, dans ces oubliés qui en rappellent aujourd'hui tant d'autres. L'intrigue se tient et enchaîne les twists tout en n'oubliant pas le côté très humain et fouillé de ses personnages. Le dessin de Fourquemin est élégant, couleurs et découpage limpides. Deux albums à ne surtout pas oublier au fond d'une bibliothèque.

Suite des aventures de miss Endicott.

Le décor est toujours un peu magique, digne des contes de fées ou de sorcières, entre deux tons, entre deux mondes .. celui que l'on voit et celui qui se cache.

La guerre se prépare ... non plutôt ... la révolution.

Les oubliés prendront ils enfin leur revanche, les habitants de la surface résisteront ils aux soubresauts de l'Histoire ?

Prudence et Kevin réussiront ils à reconstruire un monde dans lequel tout le monde pourra se supporter ?

Nos héros arrivent dans une mine abandonnée... ou presque. Ils se font attaquer par les creepers, des ennemis inattendus et s'engagent dans une bagarre en wagonnet. Leur ennemi est presque anéanti. enfin, celui de cet épisode, bien sûr ! Car ils en ont toujours plein à vaincre.

Dur d'atterrir sur une île déserte propulsé par un bateau pirate. Nos héros vont devoir survivre aux patates de la mort. Et aux kreeper comme dans le tome 4.

Après un premier tome à succès, les personnages inspirés de l’univers de Minecraf reviennent pour une nouvelle aventure. Alors on ne s’étonne pas de revoir nos héros en carrés dans un monde pixellisé. Le Youtubeur Frigiel a sur fédéré des milliers de spectateurs dans le monde pour ces parties de jeu en ligne commentés. Il a trouvé son public dans l’édition des bandes dessinées et de la littérature jeunesse. Le jeune public saura s’identifier aux personnages de l’équipe qui ont chacun leur personnalité avec ces faiblesses et ces forces. Et chacun s’apprécie et fait confiance à l’autre. C’est d’ailleurs la clé du bon fonctionnement de leur trio avec un chien. De plus, le personnage féminin n’a rien à envier aux autres. D’ailleurs, c’est grâce à sa témérité et à sa curiosité que notre héros en chef peut s’en sortir. Même les bd issues du monde du jeu commencent à montrer la bravoure des femmes. Le girl power arrive sans forcément voir des seins à l’air et des shorts au raz-des-fesses.



 Au global, le récit reste très gentillet sans grande surprise mais permet une originale plongée dans une aventure pour les petites têtes blondes.




Lien : https://22h05ruedesdames.wor..

Quel plaisir de voir des personnages féminins forts ! Miss Endicott nous apparaît tout d’abord comme une simple gouvernante orpheline (quoique différente des autres comme le dit Conrad, le majordome), mais endosse rapidement son rôle de justicière, de « conciliatrice », qui défend les intérêts des pauvres gratuitement ! Pas de gros revolvers, ni de fouets comme Catwoman, simplement deux aiguilles à tricoter dissimulées dans ses manches qui se révèlent de redoutables dards.



A l’exception du digne et bon Conrad, les hommes font souvent figures de rigolos à côté d’elle et se laissent mener à la baguette par la demoiselle. Malgré tout, ils ne sont pas que des bouffons et sont tous attachants à leur manière.



Une enquête, un méchant, une armée, des dangers : Miss Endicott est une véritable bande dessinée policière teintée de fantastique. Je ne veux pas trop en révéler pour ne pas gâcher le plaisir de la lecture, mais les rebondissements sont nombreux et le final du premier tome titille la curiosité !



Si je n’ai que peu de choses à dire sur les traits des personnages, j’ai en revanche adoré les décors de la capitale anglaise du XIXe siècle. On plonge dans le Londres huppé des grandes familles avec manoirs et domestiques avant d’explorer dans la planche suivante celui des bas-quartiers, des tavernes, des voyous et des humbles. On descend même dans les profondeurs de la ville où se tapit un peuple d’oubliés. Un monde souterrain où se cachent les « freaks » qui refusent d’être exhibés dans les foires pour faire rire les masses. Il y aura là une touche de steampunk, ce qui n’est pas pour me déplaire.



Une bande dessinée bien sympathique et entraînante. La recette mélangeant action et humour fonctionne et le résultat se lit avec grand plaisir.


Lien : https://oursebibliophile.wor..

Dans un Londres victorien Miss Endicott, la conciliatrice veille à la concorde employant souvent un charmant sourire et parfois des arguments autrement piquants. Ce roman graphique de la collection Signé est parfaitement réussi tant pour son scénario, ses dessins et ses couleurs. En deux volumes Fourquemin et Derrien nous plonge dans les bas-fonds où menace un mystérieux révolutionnaire.

Les personnages attachants, le rythme, le script, l’humour et l’ambiance font de ce roman graphique une œuvre accessible à tous, filles et garçons, à partir de 10 ans.



Le Lombard, 2007, couleurs de Scarlett Smulkowvski, 2 volumes d’un total de 160 pages pour 33€.


Lien : http://www.quidhodieagisti.c..

Nous avons là une histoire pas banale. Miss Endicott est une sorte de Mary Poppins.



La dose de fantastique qui est instillée nous fait baigner dans un folklore qui nous devient rapidement familier. On trouve dans l’ambiance celle que l’on trouverait dans les fables qui mentionnent les Leprechaun. Si je devais la comparer à un pays, je penserais tout de suite à l’Irlande. Or je ne saurais vous dire pourquoi.



L’autre point fort de cette histoire est l’humour. Miss Endicott ne se prend pas au sérieux. Elle détonne complètement par rapport à son environnement. J’adore le fait qu’elle ne se laisse pas impressionner. Elle est forte dans tous les sens du terme. Sa curiosité fait d’elle une enquêtrice hors pair. On prend plaisir à suivre ses aventures.



[Avis complet sur mon blog]
Lien : https://lesentierdesmots.wor..

Une bonne suite de la bande dessinée et qui retrace bien la seconde guerre mondiale et l'histoire de la résistance.

bande dessiner sympathique qui donne envie de lire le tome suivant

Vivre libre ou mourir est un ouvrage collectif qui raconte neuf histoires de neuf résistants pendant la deuxième guerre mondiale.

Chaque histoire met en avant les risques que prennent les résistants pour défendre leur liberté ou encore s'enfuir de cette "prison" qu'est devenue leur vie.

Que ce soit l'histoire de cette jeune femme qui doit, la nuit, en vélo, délivrer des papiers "secrets" de la Résistance sans se faire prendre, ou encore l'histoire d'un homme qui cherche à faire une fausse carte d'identité... chacune est instructive, émouvante et même choquante.

C'est un livre qui m'a beaucoup plu ! Et que je recommande à tous.

Joséphine