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Citations de Jean-Luc Marcastel (414)


Imaginons qu’un simple brin d’herbe nous soit un arbre…Et ce champ-là, où nous nous trouvons…un continent.
Voici le monde des Sinks.
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"[...] le mal le plus profond, ne se trouve pas au dehors, mais dans le coeur des hommes."
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"Les meilleurs mensonges, avait-elle appris très jeune, étaient ceux mitonnés avec de bon morceaux de vérité [...]."
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"Après tout, c'était peut-être mieux ainsi, il est des choses, des expériences, trop traumatisantes pour que le cerveau en gade une perception claire, car elles nous détruiraient."
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L'univers nous a donné une leçon d'humilité, nous a remis à notre place. (...)

Nous ne sommes que des locataires, des passagers que d'autres remplaceront. C'est à nous de nous adapter, et non au monde de se plier à notre bon vouloir ...

Nous nous adapterons, nous évoluerons, nous survivrons ... toutefois pas à n'importe quel prix, pas en sacrifiant notre âme.
Une nouvelle chance, un nouveau départ, une nouvelle humanité ...
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Un premier pas...
- Mon grand-père, y faisait des babouches...
Un deuxième...
- Et mon grand-père, y disait toujours...
Le troisième, guère plus assuré. Il tendit les mains.
- ... "Les babouches, c'est comme les gens, dans ta vie, t'en auras plein : des bonnes, des mauvaises, des belles, des laides, des trop raides, des trop molles, des trop petites, des trop grandes, des qui donnent des ampoules, des plus ou moins confortables. Et si t'as de la chance, tu trouveras celles qu'Allah a faites pour toi... (...) Alors enfile tes babouches, mets-les l'une devant l'autre, et tu verras bien où elles te mèneront.
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Quand tu as une formule, une recette, un protocole, enfin n’importe quoi que tu as mis au point ou que tu as découvert, et qui est en train de te rapporter une fortune, tu n’as pas forcément envie de la partager avec tout le monde. Ça a un nom, ça s’appelle le capitalisme et je suis désolé de te le dire, mais c’est précisément le système économique dans lequel nous vivons.
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Au voyageur averti…Cherche à l’endroit ou s’échangent les premiers baisers.
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- Tu les reverras. Un jour tu les reverras...
À cela, il m'avait répondu, avec un calme terrifiant :
-Là où on les envoie, personne ne revient.
Je ne savais pas ce qu'il voulait dire alors, car aucun d'entre nous n'imaginait, à ce moment, la capacité de l'humain à devenir inhumain et à faire de la mort une industrie bien réglée...
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Un journaliste, c’est pire qu’un chat. Même quand ça sent venir l’embrouille à cent kilomètres, ça peut pas s’empêcher de gratter.
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"La fin du monde attendrait bien demain..."
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L’ennemi, ce n’est pas le Crépuscule, ni même la Malesève ou les créatures qui la hantaient, non, eux n’étaient que le révélateur. L’ennemi, le véritable ennemi, c’était celui qui se cachait sous le masque de l’humanité, celui que les lois, les règles, les sanctions, étaient faites pour retenir, pour maintenir enfermé avec ses désirs de violence et de puissance.
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[…] le mal, le vrai mal, a ceci de terrible qu’il finit toujours pas contaminer même ceux qui le combattent. (p. 117)
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Dans ce pays, certains tenaient l’alcool de manière ahurissante. Il avait eu un jour le cas d’un type qui s’était cassé une cheville en sortant de chez lui compètement rond. On l’avait ramassé et ramené au poste pour dégriser. Par acquit de conscience, on avait fait une prise de sang… Elle était revenue avec la note « Record ! Sept grammes ! ».

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Dans un coin, un lit étroit, un édredon boursouflé ; dans l'autre, une petite cheminée où quelques braises diffusaient encore une douce chaleur ...
Au-dessus, posé sur son socle tel un serpent assoupi mais toujours vigilant, une longue lame recourbée à la ligne orientale : son sabre, celui que lui avait offert son maître quand il pratiquait encore le kendo au club, avant qu'il ne ferme, trois ans plus tôt ...

Comme beaucoup d'autres avant lui, il s'était longtemps passionné pour l'Orient en général, le Japon en particulier, sa culture, ou l'image qu'il s'en faisait, les samouraïs, le bushido, le zen.
Il espérait alors trouver, dans la philosophie qui accompagnait l'art du sabre, une réponse à ses propres interrogations.
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- J'ai beau être un saurien, je connais bien nos frères humains. Cette humidité lacrymale, au coin de vos paupières, indique sans conteste que vous êtes bouleversé, ne niez pas...
- Humidité lacrymale ? Kshaann franchement, vous êtes pire que Monsieur Spock.
- Monsieur qui ?
- Laissez tomber.
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- Tu trimballes souvent un lance-roquettes dans tes fontes ?
- Je ne sors jamais sans. Idéal pour éloigner les malotrus. [...] Je veux pas casser tes rêves, mais les Ewoks qui explosent les troupes de l'Empire à coups d'arcs et de gourdins en bois, ça marche que dans les films... Dans la réalité, les nounours, crois-moi, ils finiraient en barbecue.
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C'était peut-être ça, le grand pouvoir des humains se dit-il en la regardant : traverser des horreurs, des épreuves terribles, mais parvenir à les surmonter et trouver dans tout ça la force et le désir de vivre.
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L'ennemi,le véritable ennemi,c'était celui qui se cachait sous le masque de l'humanité,celui pour lequel les lois;les règles,les sanctions étaient faites,pour contrôler ses désirs de violence et de puissance.
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Le voyage du héros, du narrateur, c'est aussi un voyage au bout de lui-même, au bout de l'humain.
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