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Citations de Jean-Luc Marcastel (414)


- La vie, Diane, la Nature, Gaïa, c'est pour elle que nous nous battons, parce que nous l'aimons.
- Et c'est par amour de la vie qu'on a stérilisé ces enfants, cet après-midi ?
Léo répondit, avec une profonde conviction qui lui glaça le cœur :
- Oui.
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Il n'appartient qu'à nous de faire de ce monde un lieu d'amour et de fraternité plutôt que de haine et de défiance
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La guerre comme ailleurs, partout, l'homme a toujours le choix, entre le mal et le bien, et qu'il n'y a pas de frontières ni d'uniforme pour l'un comme pour l'autre.
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Il semblerait que tu prennes de la valeur, ma petite Estella, puisqu'on vient te chercher jusqu'ici." Sa main humaine se referma sur le bras de la jeune fille et la tira en arrière, l'entraînant à sa suite vers son trône alors qu'il ordonnait, sa voix sèche résonnant sous les voûtes de pierre : " ils veulent entrer, et bien ouvrez-leur ! Puisqu'ils sont arrivés jusqu'ici, nous allons les recevoir comme il se doit ! Et nettoyez-moi tout ça ! Ce minable en a mis partout. Je veux que ma salle du trône soit présentable.
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"Fabuleux et triste"

Clara
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A cet instant précis, cette nuit-là, je compris une chose de manière certaine : le mal, le vrai mal, a ceci de terrible qu'il finit toujours par contaminer même ceux qui le combattent.
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...une voix s'éleva, sèche, moitié murmure de vieilles feuilles et sifflement de serpent.
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- Je suis allergique, répliqua l'intéressée sous sa grande frange où se cachaient ses yeux sombres. [...]
- Eh bien c'est dommage pour vous. Vous devrez vous contenter de pain et de fromage. À moins que vous ne chassiez un sanglier en chemin ?
Il devait certainement se trouver drôle.
- J'ai pas pris mon arc, répondu aussitôt Chassagne sans se démonter.
Bazan lui lança un regard en vrille.
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Monsieur Raymond hocha la tête :



-Tu as ouvert une brèche, une brèche qui l'a expédié là où leur assassin a envoyé tes parents ... Dans l'Entremonde.



- Vous disiez que les brèches se trouvaient juste sur les nexus...



-C'est tout à fait vrai, Nathan . Tu as très bien compris .



-Mais alors...



-Personne n'avait jamais fait ça avant toi , Nathan ... Personne ne peut ouvrir de brèche en dehors des environs immédiats d'un nexus, et donc en dehors de l'Auberge... Quant a ceux qui ont réussi à vaincre un limier nécromate de Kharia, on les compte sur les doigts de la main . Même les Silikhaï,comme Rémy, votre chauffeur , ne peuvent leur tenir tête longtemps et parvienne très rarement à les vaincre.



Il attendit un instant que ses paroles pénètrent dans l'esprit de Nathan avant d'ajouter, admiratif :



-Pourtant, tu as fait les deux . Tu es unique Nathan ...Ses yeux plongèrent dans les siens . Il assena avec une conviction inébranlable :



-Tu es né pour diriger cette auberge, mon neveu... Moi, je ne suis que l'intérimaire... Celui qui doit t'apprendre ton metier avant céder la place.



(citation choisie par Honey)
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« Félix et Nathan se retournèrent d’un bloc pour fixer celle qui venait de s’adresser ainsi a eux. Car il s’agissait bien d’une fille, de ses chaussures vernies à son chignon noir serré en passant par sa jupe crayon bleu foncé et sa chemises blanche au col strict.
Difficile de dire si elle était jolie, avec ses lunettes noires et carrées qui durcissaient son visage en une expressions revêche. »(page 55)
citation choisie par ALICE
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L' horloge... L' horloge des mondes... Le Liw'Jhaï'tan
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Johan.
Il marchait à pas lents, déterminés, ne regardant ni à droite ni à gauche, et Théo, surprenant l'expression de son visage, sentit un froid terrible se répandre dans sa poitrine.
Ce visage lisse, purgé d'expression, ce regard, noir et dévorant, qui prenait tout mais n'offrait rien, imperméable à la joie comme à la souffrance, il les connaissait.
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Et puis il y avait ses yeux, ses yeux dont personne ne soutenait le regard très longtemps, pas même lui. Noir était son habit, de la tête aux pieds, invariablement, lubie vestimentaire qui lui avait valu le surnom de "Corbeau". [...] Aujourd'hui, rares étaient les personnes à connaître et employer son véritable prénom.
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Il n'y eu pas un cri, pas un hurlement, même au plus profond de son être, quand Corbeau s'en alla, le laissant seul, vulnérable, et que les larmes, ces larmes qu'il n'avait pas pu verser pour sa mère, ni pour Léa, ruisselaient enfin sur ses joues, le baptisaient dans sa condition d'homme.
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-Quelle mise en scène ! J'espère qu'on ne va pas être déçus.
-Comment tu fais ? [...]
-Comment je fais quoi ?
-Plaisanter dans un moment pareil ?
-Y a pas grand chose d'autre à faire, princesse.
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Là-bas, au nord, les montagnes rougeoyaient, dominant ce coin de terre qu'elles avaient forgé du temps de leur jeunesse, quand toute la région n'était encore qu'un ancien volcan, le plus grand du monde.
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Quand nous serons chez Athos, gardez vos mains dans vos poches et ne dérobez rien !
- Pour qui vous me prenez ?
- Pour une voleuse.
- J'suis peut-être une voleuse mais je sais me tenir.
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Levant vers elle un regard aviné, il balbutia:
- Oh! Délicieuse apparition, êtes-vous ange ou démone ?
- Gasconne ! rugit-elle en lui décochant un coup de pied magistral qui l'envoya au sol finir sa nuit.
- Miséricorde, quel caractère ! Aucun doute, vous êtes bien du païs.
Il y avait du rire et une légère pointe d'admiration, dans la voix de d'Artagnan [...]
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"Le garçon de Mandailles, le Louis paisible tout empêtré dans sa carcasse trop vite poussée, qui ne s'énervait qu'une fois l'an, et encore, bonne pâte comme pas deux, avait disparu avec ses rondeurs d'enfance. Plus ferme ici, plus creux là, une nouvelle flamme au fond de l'oeil que l'on imaginait sans mal prompte à se répandre, à l'embraser comme bois sec, il en imposait.
Il y avait dorénavant chez lui une certaine noblesse, pas celle, affectée, des palais et des cours, mais celle plus brute, plus ancienne, plus sauvage, de la forêt, du prédateur."
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"En être réduit à la violence est déjà une défaite, pour la liberté, pour l'amour, pour la paix..."
"Frankia" tome 3, page 344.
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