Jean-Marc Stalner

Un peu mieux que le précédent tome mais le scénario reste faible. Le secret est révélé, l'intrigue est moins portée sur l'action mais que ça reste pauvre et peu intéressant. Le dessin reste moyen et peu dynamique.

On ne peut pas dire que le scénario soit particulièrement passionnant. Et le dessin n'apporte pas de plus-value à l'ensemble.

Très belle BD avec un joli coup de plume et très fidèle au film

La conclusion de ce triptyque est la hauteur de nos attentes. La leçon de vie arrive un peu comme on l'attendait, mais de manière dramatique. On n'en ressort pas indemne.

Je ne connais pas l'œuvre de Nicolas Vanier, mais les frères Stalner ont su apporter une touche de drame, d'amour, d'aventure à cette série.

Un deuxième tome en ligne directe avec le premier : Matt s'est installé dans le grand nord avec ses chiens et occasionnellement, il va à Dawson pour y vendre de la viande et voir du monde. Dont son amie Marie qui vend ses charmes....

Dans la nature, il croise régulièrement le mystérieux et taciturne, Mersh, qui est l'ami d'une tribu indienne....

La leçon de vie commence !

En empruntant cette BD, je craignais une situation de déjà lu ! Franchement, même s'il n'y a pas d'originalité dans le traitement de cette BD, tout est bien fait : l'histoire, le dessin, les couleurs , les personnages.

On se laisse facilement emmener par le personnage principal MAT, dans sa quête de réussir au milieu de ces milliers d'autres, ayant tous la même intention de trouver le bon filon.

Les méthodes différent, les sentiments aussi, mais tous ont envie de faire fortune !

Grand explorateur depuis le début des années 80, réalisateur de documentaires assez réussis, Nicolas Vannier a ajouté depuis peu la corde d’écrivain et réalisateur de fiction à l’arc de ses talents. Cette trilogie (dont le dernier tome sort demain) se déroule dans le grand nord américain, en 1887, et l’on y suit un jeune aventurier idéaliste dans la ruée vers l’or. Un scénario prenant et mouvementé, qui cherche à se rapprocher de l’esprit des grandes aventures du genre (des récits de Cendrars ou London à la récente série TV Klondike) et y parvient assez souvent. Histoire d’hommes, d’amour, de conquête et de découverte de soi même, pour un peu que l’on accroche à son style graphique assez classique, L’Or Sous La Neige se révèle très agréable à suivre.
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Un scénario sans faille, solide, mais pas forcément original.



Un jeune homme est-allemand, qui a coupé les ponts avec sa famille , est rattrapé par son passé, suite à la mort de ses parents. Cela va déclencher des réactions en chaine : recherche de la vérité, agressions par des inconnus...etc



Une BD agréable à lire, mais un peu banale.

Le premier tome où tout se met en place.

De beaux dessins, de bons et beaux personnages agrémentent une intrigue très intéressante.

Une série très intrigante, qui donne envie de poursuivre jusqu'au bout pour savoir ce que vont devenir les personnages.

Dans ce tome, l’intrigue se décante suite au meurtre du baron.

De très bons personnages et de très bons dessins.

Une aventure aux allures d’odyssée au cœur du grand nord canadien. Rafraichissant !



Aventurier accompli, Nicolas Vanier s’est nourri de tous ses périples pour écrire ses romans aussi dépaysants qu’inspirés. Dans les années 90, il part sur les traces de 50 000 prospecteurs habités par la fièvre de l’or, poussés du Chilkoot Pass vers le Yukon à travers un pays aussi hostile que merveilleux, au milieu du 19e siècle qui tenta entre autre Jack London.

La dureté des hommes comme l’immensité du paysage sont rendues avec beaucoup de vivacité et de réalisme. Jean-Marc et Eric Stalner ont su mettre en image cette très belle adaptation de L’Or sous la neige. Sous la forme du récit d’aventure, ce premier tome permet de lancer le jeune héros qui de ses premier pas en Alaska finit par trouver sa place aux côtés de ses chiens de traineaux. Une épopée qui laisse entrevoir les véritables richesses insoupçonnées de ce pays sauvage...
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Vingt-cinq ans après la fin du premier cycle qui avaient passionné les lecteurs des années 1990, Jean-Marc Stalner reprend le héros co-créé avec son frère, pour un nouveau tome qui répond à bien des questions.
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Il en résulte un excellent divertissement fort bien narré et dessiné, parsemé de clins d’œil que ne manqueront pas de relever les initiés, et délicatement mis en couleurs, comme pour les précédents épisodes, par l’efficace et talentueuse Patricia Kraehn.
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Très bon moment en compagnie de cette bande dessinée. On y découvre des paysage magnifique ainsi qu’une histoire attachante.

Pour peu que l’on aime les chiens et la montagne en plus, cette BD nous emmène dans les Alpes.

Elle se lit plutôt rapidement mais elle nous fait voyager. C𠆞st l𠆞ssentiel.

Suite de cette série en quatre tomes balançant entre chronique familiale et récit d’espionnage dans cette France du XIXe siècle en pleine révolution industrielle.



Alors que le premier tome se concentrait plutôt sur tensions autour du Baron Charles de Villemont, c’est surtout le va-et-vient sur la propriété de son cousin, le comte de Charlant, que l’on va suivre dans ce deuxième tome.



Le mystère qui entoure ces personnages s'épaissit et les suspects sont encore beaucoup trop nombreux pour commencer à y voir clair parmi les raisons qui ont poussé au meurtre du Baron.



L’arrivée d’un nouveau personnage, en la personne de Jean-Baptiste Chagnon, va encore agrandir le mystère qui entoure ce drame familial et les actes criminels qui frappent la région.



Le graphisme des frères Stalner, magnifiquement documenté et très réaliste, continue de servir admirablement l’intrigue mise en place par les auteurs.

Mise en place réussie de cette série en quatre tomes de la Collection Caractère chez Glénat, qui se déroule dans la France du XIXe siècle et qui fait partie de l'univers des Cazenac ("La Croix de Cazenac").



Cette chronique familiale mettant en scène les proches du Baron Charles de Villemont se déroule sur fond de révolution industrielle, en cette France du XIXème siècle.



En revenant au château en compagnie de la jeune Mathilde, qu’il vient d’épouser pour sa dot, le Baron va jeter de l’huile sur les tensions qui règnent dans sa demeure, dans sa famille et dans la région.



Partagé entre un associé et cousin (le comte de Charlant) qui veut lui prendre son business, deux femmes (Mathilde et sa servante) qui rêvent de le fuir et une vague de crimes auxquels il ne semble pas étranger, le Baron semble avoir du pain sur la planche.



Sans jamais atteindre le niveau d’une série comme "Les maîtres de l'orge", cette mise en place des personnages et du décor, dessinée à quatre mains par les frères Stalner, est finalement assez prometteuse.

Tout ce que je connaissais de Belle et Sébastien, c'était les génériques et encore, plus celui de la série, puisque pour le dessin animé, je ne connais que le refrain. "Belle et Sébastien, c'est une histoire d'amour, Belle et Sébastien qui durera toujours".



Avant de lire cette bande dessinée, je n'ai pas plus vu la version cinématographique de Nicolas Vanier. En revanche, l'histoire de fond qui finalement est beaucoup plus profonde, que ne le laisse présager le dessin animé, ( je comprends maintenant pourquoi Cécile Aubry était déçue de cette adaptation), et la qualité des dessins de cette BD, m'ont donnée envie de voir l'adaptation du film.

D'autant plus que si j'en juge par ce que m'a dit mon mari après avoir lu la bande dessinée, l'histoire d'origine est bien respectée ( c'est un fan de la série, dès les premières heures).



Cerise sur le gâteau, à la fin il y a une interview de Mehdi, l'enfant qui jouait le rôle de Sébastien dans la série, et qui se trouve être également le fils de l'auteure. C'est d'ailleurs grâce à cette interview que j'ai appris que Nicolas Vanier, avait créé un personnage sur-mesure dans le film, pour Medhi.


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Une fin d'histoire aux accents véridiques très bien orchestrée qui ravira les amateurs d'aventures au grand air vivifiant du Grand Nord sauvage.
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Grand explorateur depuis le début des années 80, réalisateur de documentaires assez réussis, Nicolas Vannier a ajouté depuis peu la corde d’écrivain et réalisateur de fiction à l’arc de ses talents. Cette trilogie (dont le dernier tome sort demain) se déroule dans le grand nord américain, en 1887, et l’on y suit un jeune aventurier idéaliste dans la ruée vers l’or. Un scénario prenant et mouvementé, qui cherche à se rapprocher de l’esprit des grandes aventures du genre (des récits de Cendrars ou London à la récente série TV Klondike) et y parvient assez souvent. Histoire d’hommes, d’amour, de conquête et de découverte de soi même, pour un peu que l’on accroche à son style graphique assez classique, L’Or Sous La Neige se révèle très agréable à suivre.
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Mis en image par Jean Marc Stalner dans un un style très classique, Belle et Sébastien s'est avéré plus mature que ce à quoi je m'attendais .
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