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4.03/5 (sur 30 notes)

Nationalité : France
Biographie :

Jean-Michel Derex est diplômé de l'Institut d'études politiques de Paris et docteur en histoire (HDR).

Il est président du Groupe d'histoire des zones humides. Il travaille sur l'histoire de l'environnement et sur l'évolution des paysages français. Il s'est spécialisé dans les questions sylvicoles et hydrologiques.

Spécialisé dans l'histoire de l'environnement et des relations de l'homme à la nature, il a récemment publié une histoire des forêts et une histoire des zoos parisiens :

- La Mémoire des forêts. A la découverte des traces de l'activité humaine en forêt à travers les siècles (Paris, Éditions Ulmer, 2013),
- Les Zoos de Paris. Histoire de la ménagerie du Jardin des Plantes, du Jardin d'acclimatation et du zoo de Vincennes, Prahecq (éditions Patrimoines et Médias, 2012).

Il est également l'auteur de nombreux livres consacrés à l'histoire de l'environnement dont:

-Le Grenier de Paris, histoire de la Brie, du Multien et de la Goële (1978),
-Histoire de l'eau et des zones humides en Brie du milieu du XVIIIe siècle à la fin du XIXe siècle,
-Histoire du bois de Boulogne, le bois du roi et la promenade mondaine de Paris (1997),
-Histoire du bois de Vincennes, la forêt du roi et le bois du peuple de Paris (1997).
- La Gestion de l'eau et des zones humides en Brie, fin de l'Ancien Régime-fin du XIXe siècle, ouvrage couronné par l'Académie d'agriculture de France (2002)
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Bibliographie de Jean-Michel Derex   (14)Voir plus

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Citations et extraits (15) Voir plus Ajouter une citation
Que la peine fut capitale ou non elle était toujours signe d'humiliation et de déshonneur.
A la sortie de prison du condamné, Sanson criait et demandait silence pour que le greffier puisse lire à haute voix le jugement. Par ce cri, Sanson révélait au monde l'infamie du condamné et son humiliation publique. Sanson introduisait ainsi publiquement le condamné dans le monde du déshonneur.

C'était " le cri du bourreau ".
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Le supplice du condamné devait servir la gloire de Dieu. Peu importe les souffrances puisque Sanson aidait Dieu à arracher l'âme du condamné aux griffes du démon.
Le supplice de la roue, du bûcher ou de la potence n'était rien comparé aux épreuves infiniment plus cruelles du purgatoire et de l'enfer.
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Qui aurait pu deviner à ma naissance que j'allais devenir le chien le plus célèbre au monde ? ...
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Sanson, et tous ses confrères, intervenaient pour lacérer et brûler les livres censurés; ils accomplissaient des gestes symboliques pour signifier le bannissement d'un condamné; ils tenaient un rôle à l'égard des corps des suicidés; ils soignaient également et étaient apothicaires.

C'était aussi tout cela le travail du bourreau.
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Sanson était aussi médecin.

La question préalable ( torture ) exigeait de la part de l'exécuteur une bonne connaissance des muscles et des nerfs de l'homme dans l'art de la souffrance et dans celui d'infliger rapidement ou non la mort. cela en faisait un personnage reconnu pour ses compétences de rebouteux et de réducteur de fractures.

La croyance était admise, en effet, que pour savoir rétablir les membres, il fallait d'abord apprendre à les briser...!
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Tous les représentants en mission avaient le même problème à résoudre : comment épurer rapidement la Nation de ses éléments dangereux.

Des projets étaient à l'étude et l'on envisagea de construire une guillotine à quatre ou cinq fenêtres pour accélérer la cadence des exécutions.
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Lors de la première exécution avec la guillotine, le peuple ne fut pas satisfait : Il n'avait rien vu ; la chose était trop rapide ; il se dispersa désappointé, chantant pour se consoler un couplet d'à-propos : " Rendez-moi ma potence, rendez -moi ma potence ".
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C'est ainsi qu'en 1922, je me retrouvai devant l'objectif pour tourner mon premier film, un western.
Il avait pour titre "l'homme de la rivière de l'enfer" ...
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Une fois ma mission du jour accomplie, j'allais m'allonger sur les lits des blessés en ronronnant et quémandais quelques caresses. Ma présence les réconfortait, car ils étaient reconnaissants et je leur faisais un peu oublier leurs souffrances. J'étais "l'ami caresses" de l'équipage. Sans moi, ils n'auraient peut-être pas tenu.
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Il fallait maintenant passer par des bouches d'aération pour pénétrer dans cette forteresse à demi écroulée : un vrai labyrinthe ! La nuit de mon arrivée fut épouvantable. Le sol tremblait sous mes pattes à chaque obus qui tombait sur le fort.
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