Jennifer Niven

"En fait, là, à tes côtés, j'ai l'impression d'être au sommet de l'Everest."



J'avais prévu le paquet de mouchoirs mais je n'ai eu QUE la gorge nouée ! Je pensais me vider de tout l'eau dans mon corps 😭



TW : suicide, violence domestique, harcèlement scolaire



Ce livre est beau. Bien écrit, la plume est fluide, il n'y a pas à dire !



Theo et Violet sont deux pré-adultes que la vie n'a pas épargnés et ils tentent chacun, ensemble et de leur côté, de se prouver que la vie vaut la peine d'être vécue.

On se laisse emporter dans ce projet de géographie qui prend un air de projet de vie, une belle ballade ensoleillée parfois enneigée. Une ballade qui doit forcement avoir une fin à un moment ou un autre.



Peut-être qu'inconsciemment, j'avais été spoilée au fil des ans. J'ai tenté d'invoquer une larme, histoire de dire vrai à tous les avis émotifs que j'avais lus ! Elle n'est pas venue.

Ce livre fut lon préféré parlis tous ceux que j'ai pu lire. Je conseille de le lire l'été. Je l'ai dévoré en deux après midi. Ce livre m'a transporté jusqu'à la fin ! Je n'avais envie de poser mon bouquin ! J'étais mélangée entre tristesse, amour et joie

C’est la première fois que je découvre la plume de Jennifer Niven , je ne savais pas vraiment à quoi m'attendre et c’est une belle découverte.



Dans ce roman, on va suivre Claudine qui a prévu de passer un été magique avec sa meilleure amie avant de déménager pour débuter ses études à l'université sauf que ses parents vont divorcer, tous ses plans tombent donc à l’eau. Elle va donc passer l'été avec sa mère sur une île à plusieurs km de chez elle mais finalement son été lui réserve plusieurs surprises !



Je me suis attachée aux deux personnages principaux surtout à Claude car elle était dans une étape compliquée de sa vie et qu’elle a réussi à s’en sortir. Concernant Jeremiah, j’aurais aimé que son personnage soit plus développé !



J’ai bien aimé la relation mère-fille qui est présente dans l’histoire ainsi que le lien d’amitié entre Claude et Saz qui résiste malgré la distance.



J’ai également aimé la relation entre Jeremiah et Claude, c’est le premier amour avec toutes les nouveautés qui arrivent pour ces deux personnages.



Cependant, j’avoue que j’ai eu un peu de mal à comprendre l’histoire de l’île et l'histoire des ancêtres de la famille, peut-être parce qu’elle n’est pas assez développée durant la romance, je sais pas.



Je trouve que c’est une belle romance pour adolescents qui répond à plusieurs interrogations.



Mais personnellement elle n’a pas été un coup de cœur, je l’ai trouvé longue pour ce qu’elle raconte.

Quand j’ai vu que Jennifer Niven (l’autrice de Tous nos Jours Parfaits) avait sorti un nouveau livre co-écrit avec David Levithan (que j’aime beaucoup également), j’étais obligé de sauter dessus... Et j’ai pas été déçue !



Au départ, j’avoue avoir eu un peu peur avec le côté épistolaire, je me disais que jamais ne n’arriverais à m’attacher aux personnages avec ces échanges interrompus et le fait qu’il n’y ait pas vraiment de narration ou de détails, et c’est là qu’on se rend compte du talent des deux auteurs. On ressent beaucoup de choses, certains passages sont même compliqués à lire.



Dans Ne pars pas sans moi, on suit Erza et Bea, frères et soeurs, qui vivent dans un foyer chaotique, jusqu’à ce que Bea décide de partir, sans donner de raison, d'un seul coup.



J’ai beaucoup aimé cette histoire. Elle m’a fait réfléchir et je me suis beaucoup attachée aux deux personnages. Ils sont touchants et surtout humains. Leur relation est magnifique et leur lien si fort.



Les pages défilent toutes seules et les sujets abordés sont révoltants et importants. Ce livre nous raconte l’histoire de deux personnes brisées par la vie qui font tout pour s’en sortir. Il nous rappelle également qu’on ne voit pas forcément la détresse derrière les sourires. Que le passé laisse des traces indélébiles, mais que le passé est passé, que l’on peut toujours s’en sortir.



Un vrai message d’espoir ❤️‍🩹
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Les mille visages de notre histoire fait partie des romans pour ado qui me font aimer les romans pour ado et me confirme que certains ont la capacité à toucher le cœur des lecteurs, quel que soit leur âge.



Jennifer Niven nous offre un très beau roman, émouvant et sincère qui traite intelligemment du handicap, de la différence, du regard des autres, du deuil et de l'espoir.



Les deux personnages principaux sont très attachants. D'un côté, un adolescent populaire qui dissimule un lourd secret derrière une façade bien construite, et de l'autre, une jeune fille autrefois obèse morbide qui se bat pour se réinventer et s'épanouir.



Libby Groby est impressionnante, j'aurais voulu avoir le courage et la force de cette lycéenne, de me soulever contre mes harceleurs, contre la méchanceté humaine et de changer les choses.



J'ai beaucoup aimé les parenthèses pour recenser les caractéristiques physiques qui montre le processus de pensée de Jack, son adaptation face à sa prosopagnosie. C'était tellement touchant de voir sa panique et son mal-être quand il est incapable de reconnaître les personnes qui l'entourent, y compris ses parents et ses deux frères.



La rencontre puis la relation de ces deux abimés de la vie est très touchante, tant elle semble évidente, tous les deux se comprenant au-delà des mots et dépassant l'image que les autres ont d'eux. Leurs différences les rapprochent et ils se comprennent vraiment.



Les chapitres sont courts et percutants, alternants les points de vue des deux adolescents avec beaucoup d'émotions.



Petit bonus pour les références à Supernatural et Hunger Games ~



Lisez ce roman, vous allez avoir envie de danser avec Libby.

J’ai beaucoup apprécié ce roman pour adolescents qui commence sur le toit d’un clocher. Lorsque deux élèves veulent se suicider. Je conseille fortement pour tous ceux qui aiment les romans avec beaucoup d’émotions. Je vous conseille de mettre une boîte de mouchoirs à côté de vous lorsque vous lisez ce roman .

Ça m’a vraiment touché personnellement, je me suis retrouvée dans ce livre et c’est déstabilisant.

Finch dans mon cœur hein, c’est un personnage tellement touchant et brisé. Ce livre parle clairement de suicide, de deuil, de bipolarité mais aussi les personnes qui ne remarquent pas forcément les indices de façon évidente que la fin est proche.

J’ai pas les mots jvous jure, juste une fille qui réapprend à vivre avec un garçon qui veut en terminer. Lisez le



03/07/22 : j’ai toujours aussi mal au cœur pour Finch :(

C’est une très belle histoire tragique. Écrite d’une manière très poétique, c’est une lecture à la fois légère et bouleversante. Elle traite d’un sujet très sensible.



Malheureusement pour moi, je n’ai pas été transporté. Je ne saurais pas vraiment expliquer la raison. Mais j’ai eu des difficultés à me plonger dedans à 100%. Sûrement parce que l’histoire a pris beaucoup de temps à réellement démarrer. J’ai trouvé la dynamique trop lente. J’ai eu l’impression de tourner un peu en rond sans avancer.

L’histoire est un peu « gnan gnan ». Pourtant j’adore les romances !

Beaucoup de bla bla aussi.

Ça fait très histoire pour ados. Si je l’avais lu plus jeune, je l’aurais sûrement mieux apprécié.



Finch est un personnage qui est très intéressant. Avec une vision du monde vraiment propre à lui. Mais lourd à force. Trop de clichés. Manque de réalismes.

Violet manque de profondeur. Je n’ai pas été très touché par leur couple.



Les citations, présentes tout au long du livre, nous poussent à la réflexion. C’est ce que j’ai le plus aimé dans ma lecture.

"Ne pars pas sans moi" ou le roman qui confirme que l'écriture de David Levithan ne m'emballe pas. Si Jennifer Niven sait habituellement réveiller l'adolescente qui sommeille en moi, ce roman à quatre mains ne m'a pas touchée autant que ses précédents. Loin s'en faut.

Et comme le phénomène s'était déjà produit avec "Will et Will", écrit par l'auteur avec John Green, la conclusion s'impose d'elle même.



Je suis pourtant assez friande des romans épistolaires habituellement. Les personnages de Beatrice et Erza sont plutôt sympas, mais la situation familiale (qui m'a rappelée celle de "Eleanor & Park") manque terriblement de nuances. Évidemment, la forme impose d'adopter le point de vue des deux ados maltraités. Mais sacrifier les grands méchants (beaux-)parents sur l'autel du tire-larme m'a semblé un peu facile. Ces personnages auraient dû être plus creusés pour paraître crédibles. Nous sommes ici proches de figures de contes, irrécupérables.



Il y a pourtant des réflexions intéressantes sur les traces que peuvent laisser le dénigrement et la peur vécus au quotidien. Cela modifie forcément la personnalité de jeunes en construction, les pousse à douter de leurs capacités et même à se demander s'ils ne méritent pas cette violence. Un comble !

J'ai aussi trouvé pertinente la question de fuir ou rester. Bea culpabilise d'avoir laissé son frère derrière elle, mais avait-elle vraiment le choix ?

J’ai passé un très bon moment en découvrant cette romance contemporaine, qui sort de mes habitudes de lecture. 🩵



Une lecture parfaite pour l’été ! J’ai adoré suivre l’été de Claudine qui essaye de se relever après la séparation de ses parents et son programme d’été chamboulé. 🌺



J’ai trouvé très émouvant de savoir que l’auteure nous explique que dans ce roman elle est inspirée de la rencontre avec son mari 🥹

Un livre vraiment émouvant et à la fois magnifique...

L'auteure évoque des thèmes importants tels que le suicide. Un peu difficile de rentrer dans l'histoire au début mais la suite en vaut vraiment la peine ! 😊

Je recommande car c'est un roman touchant et bouleversant.

J'attendais ce livre avec impatience et finalement, je suis resté un peu sur ma fin. L'histoire avait tout pour me plaire. Le sujet est touchant, poignant. Mais je n'ai pas vraiment accroché à l'écriture qui pour moi manquait de fluidité et d'émotions. Ce qui m'a empêché d'être réellement ému. D'habitude j'ai un énorme coup de cœur pour ce genre de thématique mais pas pour celui-ci. J'ai bien aimé mais sans plus.

Jennifer Niven est un nom dont on entend de plus en plus parler, j'avais ce titre au CDI sans le connaître, j'ai donc profité des vacances pour le découvrir et j'ai adoré !



On retrouve le schéma de la romance sous fond de maladie, sauf que cette fois c'est un peu plus complexe qu'un cancer par exemple. Les deux personnages ont des idées suicidaires, pour des raisons totalement différentes et se retrouvent un jour par hasard sur le toît du lycée, prêts à sauter. Tout les oppose, Violet est une fille populaire, bien dans sa peau et amie avec tout le monde... du moins en apparence. Finch est le garçon rejeté par tous, surnommé "Finch le Taré", qui ne peut s'empêcher d'agir bizarrement ou du moins différemment de ce qu'on attend des ados.



Alors que Finch va empêcher Violet de sauter, il va apprendre à la connaître et s'attacher à elle. De son côté, Violet ne veut pas côtoyer Finch, du moins au départ, mais va vite elle aussi être intriguée.



Petit-à-petit, le lecteur va découvrir se qui se cache sous les sourires de façade. Violet est en plein deuil depuis que sa sœur s'est tuée dans un accident de voiture. Violet en a réchappé mais n'arrive pas à aller de l'avant. Sans sa sœur, elle remet en cause beaucoup de choses, et notamment ses amitiés et ses choix pour l'avenir. Passionnée d'écriture, elle n'arrive plus à écrire la moindre ligne.



Finch, on le comprendra, est bipolaire. Ses parents se sont séparés il y a peu et même s'il ne s'en plains pas, sa famille est complètement dysfonctionnelle. Sa mère est démissionnaire, c'est sa grande sœur qui gère la fratrie, alors que son père est violent et dégradant. Finch n'est pas officiellement diagnostiqué et refuse de le faire car il ne veut pas être une "étiquette". Il n'a donc pas de traitement et s'enfonce dans ses idées noires.



J'ai dévoré ce roman qui est incroyablement addictif ! Les deux personnages évoluent en parallèle. Ils ne peuvent rien l'un sans l'autre mais on dirait que la jauge de bonheur ne peut pas aller dans le même sens pour les deux : lorsque l'un va mieux, c'est l'autre qui va plus mal et vice versa. Les émotions sont décuplées du fait de la maladie de Finch et du passé de Violet.

J'ai juste trouvé un peu dommage que l'aspect bipolaire ne soit pas davantage creusé et expliqué. Pour le reste, j'ai vraiment adoré !





Ce roman a été adapté en film sur Netflix. J'ai très envie de le voir ! (pour l'instant je n'ai pas Netflix mais ça changera peut-être...)
Lien : http://blogonoisettes.canalb..

L’avis de C



Dès les premières pages, j’ai pensé que je n’allais pas aimer ce roman à deux voix. En général, ce principe de l’alternance entre les personnages est assez répétitif, et un peu artificiel. Cela me donne l’affreuse impression de deviner où l’auteur veut nous emmener ! Mais finalement je vous rassure, cela ne m’a pas semblé gênant ici !



Dans un premier temps, j’ai été très sensible au rapprochement de Finch et Violet, leur douleur est tellement forte qu’ils ne sont bien que lorsqu’ils sont ensemble, le reste du temps ils sont comme en apnée… L’auteur réussit brillamment à réunir ces deux personnages que tout oppose a priori.



Au sujet des personnages, j’ai l’impression que l’auteur n’a pas travaillé le personnage de Violet autant que celui de Finch, bref, que Finch est le cœur, le centre du roman… Mais comment trouver les mots justes pour décrire Finch ? Il joue en permanence avec les mots et les métaphores – moi, cela me rappelle une personne qui est très chère à mon cœur ! Finch, c’est un poète maudit : douloureusement doué, et mortellement impressionnant !



Cela fait plusieurs jours que j’essaye d’écrire cette chronique, et je me rend compte que je n’arriverai pas à faire quelque chose qui soit à la hauteur de ce livre, car rien que d’y penser, j’en ai encore des frissons. Ce livre, pour moi, est bouleversant, renversant, tellement intense. J’ai beaucoup pleuré, j’ai pris une immense claque en le lisant…



Certes, c’est un roman young-adult mais franchement, prenez-le temps de le lire, j’espère que, comme moi, vous serez conquis.



L’avis de T



Mais que peut-on bien dire d’un livre comme celui-là ? Qu’il y aurait plein de remarques à faire sur la façon dont il est écrit, construit ? Que le début est un peu mou ? Qu’il a des côtés agaçants ?



Certes, tout cela est vrai. Mais, en fait, on s’en fout. On s’en fout parce que, en réalité, ce livre, soit on passe totalement à côté, soit on se prend un gigantesque coup de poing dans la figure. Et c’est tout. Tout, parce que les questions de ce livre (la mort, la « violence » des enfants et adolescents entre eux, pendant cette phase d’apprentissage de la socialisation qu’est l’école, la culpabilité, l’incommunicabilité, l’exclusion, la difficulté des relations parents/enfants…) sont tellement centrales, essentielles, en un mot vitales, vont bien au-delà de la forme.



La famille de Violet est déjà déchirée par la question insoluble de « comment continuer à vivre après la mort d’Eleanor » (dans un accident de voiture dont Violet se sent responsable). Les parents sont équilibrés, ils sont le prototype de « bons parents », mais comment vivre avec ça ? Violet, elle, déborde de colère, mais ne sait pas comment la gérer. Invitée à « passer à autre chose », elle bloque – et comment ne pas le comprendre ? Survient Finch, sorte d’OVNI, dont on ne sait finalement pratiquement rien, si ce n’est qu’il semble avoir tout compris, très tôt. Trop tôt ? Lui aussi est cassé, fracturé, fissuré.



Dans un roman classique, le happy end voudrait qu’ils se reconstruisent l’un l’autre. Mais cela ne fonctionne pas ainsi dans la vraie vie – du moins, pas systématiquement. Et il le sait, lui, et il le dit.



On n’a aucune explication, on ne sait pas pourquoi il finit par franchir le dernier pas. Et c’est peut être le point (qui n’est pas de détail) le plus fort de ce livre. Parce qu’évidemment, on se demande « pourquoi ». Mais, dans la vraie vie, on a justement très rarement la réponse à ce genre de pourquoi. C’est vrai dans le cas des suicides (et la note finale de l’auteure, qui connait malheureusement bien la question, insiste sur ce point), c’est souvent vrai également dans le cas d’une rupture amoureuse. Et continuer à vivre, c’est accepter de ne jamais savoir « pourquoi » cela s’est produit… Et donc, pour le dire autrement, accepter de renoncer au « pourquoi » et passer à une phase d’élaboration sur le mode « maintenant, qu’est-ce que je fais de ce fait qui s’est produit » ?



Bref, un livre qui formellement ne correspond pas à mes critères habituels, mais qu’il faut prendre comme il est… comme la vie !
Lien : https://ogrimoire.com/2017/0..

Ne pars pas sans moi



Ne pars pas sans moi est un roman épistolaire où un frère et une sœur qui a organisé elle-même sa propre "disparition",  échangent autour de leur enfance et de leur avenir.

Ils ont une relation fusionnelle qu'ils essayent

de maintenir et de remanier grâce à ces mails. Car si Béa est partie c'est pour échapper à l'humiliation journalière à la maison mais aussi pour trouver des réponses à ce qu'aurait été leur vie si leur père ne les avait pas abandonnés.



Nous faisons face à une magnifique relation fraternelle qui les a aidés tous deux à tenir dans cette ambiance malsaine au sein de leur foyer.  Oui parce que c'est cela le cœur de ce roman, la maltraitance des enfants au sein de leur famille. Ne pas hésiter à en parler, à partir, à se faire aider.

Ce livre renvoie un message plein d'espoir à tous ceux qui vivent ces violences. Vous trouverez toujours une écoute bienveillante.



On s'attache vite à Béa et Ezra et l'on souhaite

qu'ils retrouvent la paix pour se construire un bel avenir, ensemble.

Ce livre m’a emporté dans un univers plein de tourments et d’espoir. J’ai réellement adoré la plume de l’auteure, à sa façon de mettre en page une histoire personnelle pour qu’elle devienne enrichissante et fortifiante pour ses lecteurs et lectrices. Ce livre m’a fait me sentir comprise et me donne envie de revivre leur histoire mille fois. C’est un livre magique et riche en émotions. Sa façon d’explorer les pensées de Finch est tout aussi enrichissante que la façon dont elle a redonnée vie à iolet est fascinante.

Ce livre est à la fois bouleversant et plein de vie.

Ce livre m’a emporté dans un univers plein de tourments et d’espoir. J’ai réellement adoré la plume de l’auteure, à sa façon de mettre en page une histoire personnelle pour qu’elle devienne enrichissante et fortifiante pour ses lecteurs et lectrices. Ce livre m’a fait me sentir comprise et me donne envie de revivre leur histoire mille fois. C’est un livre magique et riche en émotions. Sa façon d’explorer les pensées de Finch est tout aussi enrichissante que la façon dont elle a redonnée vie à iolet est fascinante.

Ce livre est à la fois bouleversant et plein de vie.

J'ai adoré ! Violet et Finch m'ont emmène et m'ont tenus du début à la fin 😀

Ils auront tous deux une vie différente !

Certains thèmes sont abordés avec délicatesse, comme la bipolarité, le suicide, la jeunesse, c'est vraiment magnifique !

Se lit très rapidement

J’ai dévoré Ne pars sans moi de Jennifer Niven et David Levithan en 24 heures… Ça ne m’était pas arrivé depuis un moment !



On va suivre l’histoire de Béa et de Ezra qui ont toujours été là l’un pour l’autre. Frères et sœurs, ils ont subi des moments difficiles au sein de leur « famille » dans laquelle leur beau père violent leur fait vivre une véritable dictature. Seulement un matin, Béa n’est plus là, sa chambre est vide, laissant seul Ezra, impuissant face à la situation. Entre ses mains il n’a qu’une seule information : une adresse e-mail.



Il s’agit d’un roman épistolaire, c’est-à-dire que l’on va suivre l’intrigue à travers les échanges des deux protagonistes. Sous forme de mails, parfois très courts, à peine une phrase et parfois assez longs. Je me suis laissée emporter à travers un récit addictif, qui traite d’un sujet important : les violences familiales, sans pour autant être trop imagé, pour ne pas heurter la sensibilité de chacun. Si certains lui reprochent son côté léger et non détaillé, je le vois comme un moyen de le mettre dans les mains des jeunes, afin de faire une sorte de prévention. Je me suis grandement attachée aux personnages, même si la grande sœur a pu être agaçante par moments, j’ai toujours trouvé Ezra adorable et très perdu.

Je porte vraiment dans mon cœur, la plume des deux auteurs, qui écrivent pour moi, de très très bons ouvrages. Je vous invite à le découvrir, il est rapide et simple à lire par son format.

J’ai vraiment aimé cette lecture !

C'est l'histoire de Libby " la grosse ", qui après avoir été la plus grosse fille des USA ayant du être sortie de chez elle par une grue, et prête à revenir affronter le lycée et la vie après 2 ans de bataille pour s'en sortir. C'est également l'histoire de Jack, qui cache son handicap (son incapacité à reconnaitre les visages des gens) derrière une carapace de méchant. C'est leur rencontre, à ces deux qui fréquentent le même lycée. Libby, si distinctive avec son gabarit, est la seule que Jack arrive à reconnaitre sans peine. On alterne par courts chapitres leurs points de vue.



L'alternance des points de vue est ici bien amenée et bien traitée. Je distingue dans le phrasé qui est qui, et juste pour ça c'est déjà un TOP. Les chapitres courts (de 1 à 5 pages) permettent de donner du rythme à l'histoire. Je ne me lasse pas. Mais là où l'autrice révèle tout son talent c'est dans la retranscription des émotions et des ressentis de ces adolescents. C'est si juste, si bien décrit, si bien amené. Ni pathétique, ni dramatique, ni surjoué. Je me reconnais. Ça pourrait être moi ces adolescents-là. Je suis même presque sure d'avoir déjà ressenti ça, pas tout, mais une partie. Et ça c'est une balle en plein cœur. puis ces personnages, loin d'être caricaturaux : Libby est grosse mais solaire et drôle, sans oublier forte et vulnérable à la fois, ambivalente, comme n'importe quel ado, Jack également, sur d'autres points.



Des émotions, des vrais, et des adolescents, des vrais. Je crois qu'il n'en faut pas moins pour que je craque. Je n’irai pas jusqu'à dire que celui-ci est meilleur que L'été de tous les possibles, mais c'est un quasi coup de cœur pour cette autrice qui écrit si bien, et rend des histoires quasi banales prenantes. Un 4/5.