Jennifer Niven

Cela fait 5 ans que Libby est déscolarisée, 5 ans qu’elle n’est pas allée à l’école, et demain, elle y retourne… Durant ces 5 ans, que s’est-il passé ? Sa mère est morte, elle a pris beaucoup de poids, tellement qu’un jour, les pompiers ont dû la faire sortir de sa maison à l’aide d’une grue, et depuis, la vidéo de cet événement tourne sur internet.

Jack est atteint de prosopagnosie, il ne sait pas reconnaître les visages, mais personne n’est au courant de ce secret. Les gens le trouvent juste hautain, rebelle. Et pour survivre au lycée, Jack suit le mouvement, fait partie du groupe des gars pas très fréquentables et reproduit leurs conneries…

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Je n’ai pas vraiment accroché au début, mais sur la fin, j’ai trouvé ça mieux :) Notamment, je pense grâce à la romance, on ne me refera pas…



La prosopagnosie est vraiment bien expliquée au travers de la narration et des descriptions, tout comme toutes les horreurs que subissent les personnes atteintes d’obésité. Moins connu que « Tous nos jours parfaits », ce roman touche des sujets aussi sensibles, avec une petite touche de danse. Libby est un personnage particulièrement courageux que j’ai beaucoup aimé, elle insuffle du courage !



La plume de Jennifer Niven est facile, touchante.

Cependant, je suis un peu déçue, car l’autrice n’approfondit pas les personnages secondaires, et le rythme est un peu étrange : trop rapide ou trop lent, avec trop d’ellipses, je sais pas…



Bref, ce roman ne m’a pas totalement convaincue, mais j’ai passé un moment sympa !

TW : suicide, loss of a loved one, bullying, very bad parenting

I was not expecting for that ending and it broke me a bit.

Well written book on the subject of grief and mental health/illness. It's also a teenage romance, but it refreshingly does not portray love as the solution of all the main character's problems. Recommended!

Un livre dont j'avais beaaaucoup entendu parler. Uniquement des critiques positives m'avaient été faites : les thèmes du suicide et de la dépression sont très bien abordés, les personnages sont profonds, le scénario est bien construit et très émouvant.



Je dois avouer qu'en refermant ce livre, je n'avais pas compris la raison de ces retours positifs. Pour être honnête, j'ai globalement été déçu·e par ce roman. Attention, il est loin d'être complètement mauvais et possède beaucoup de qualités, mais je me suis vraiment ennuyé·e. Peut-être ai-je un coeur de pierre, mais je n'ai ressenti strictement aucune émotion. J'ai mis du temps à passer outre l'ambiance cliché américain parfait (quelque chose que je déteste profondément), et les deux protagonistes m'ont passablement agacé·e, je ne sais même pas pourquoi. J'ai eu l'impression de relire un mauvais remake de « Nos étoiles contraires » (qui est un livre que j'adore), sans émotions et beaucoup trop alambiqué… tout m'a paru beaucoup trop cliché, les personnages secondaires tout bonnement insupportables. La fin m'a fait comme un petit pincement au coeur, mais c'est tout : je n'ai pas autant aimé ce livre que ce à quoi je m'étais préparé·e !



Personnellement, je donc eu beaucoup de mal, mais peut-être ce livre plaira-t-il à d'autres ?

J'avais peur que "Tous nos jours parfaits" de Jennifer Niven soit un livre "surcôté", pas assez approfondi par l'auteur. J'avais peur qu'il soit trop morbide, trop dramatique : il n'en n'est rien.



Ma peur s'est volatilisée à partir du moment où j'ai fait la rencontre de Theodore Finch, un garçon torturé par ses pensées, fasciné par la mort et tiraillé entre des phases "endormies" et des phases "éveillées". Ma peur s'est envolée lorsque j'ai découvert Violet Markey, une jeune fille qui avait tout pour elle jusqu'à un drame terrible qui la transforma à jamais.



Ces deux adolescents n'ont rien en commun : Finch alias "le fêlé" n'a pas vraiment une bonne réputation au sein du lycée. Connu pour son "je m'en foutisme" légendaire et ses accès de colère et de violence, il est rejeté par les autres. Violette quant à elle, est entourée des plus populaires et sort avec le mec "parfait", irréprochable (enfin presque...) : Rayan Cross.



Ces deux adolescents n'ont en effet rien en commun hormis leur désir de quitter ce monde pour un autre meilleur.



À travers une écriture poétique et prenante, l'auteur nous sensibilise à divers thèmes comme les maladies mentales ou encore le suicide. Mais, elle aborde l'amour, le vrai, celui qui est si merveilleux mais si destructeur, celui qui n'est pas parfait mais qui se révèle de part ses irrégularités.

La première fois que j’ai lu ce livre, je devais avoir 14 ans.



J’ai eu du mal à rentrer dans l’histoire mais, une fois dedans, il se lit vraiment très facilement (350 pages en 1j). Si j’ai eu tant de mal à rentrer dans l’histoire, c’est parce que l’écriture transcrit l’émotion des personnages. Non pas que ça soit un mauvais point mais, face à des personnages en proie à des idées sombres, l’écriture se fait rude et sans émotions. On peut sentir la lourdeur qui plane sur leur cœur aussi bien que la liberté lors de leurs balades et leur amour qui grandit. Cependant, au cours de l’histoire, on comprend que quelque chose cloche. On ressent l’angoisse. La pesenteur. On veut savoir comment ça va se finir : vont-ils réussir à se sauver jusqu’au bout ? L’amour sera-t-il assez fort pour combler le vide régnant dans leur cœur ? Vivront-ils pour l’autre ? 

 

Dans ce livre, l’auteure traite de sujets malheureusement trop fréquents et tabous avec une plume facile à lire. En écrivant avec un double point de vue, il est possible de différencier ce que chaque personnage ressent et donc, de comprendre que chacun réagit différemment, même en étant confronté aux mêmes émotions. Malheureusement, j'ai eu du mal car vu que ces sont des ados qui parlent et le livre est plein de vulgarités...

Claudine aurait dû passer le meilleur été de sa vie : un road trip avec sa meilleure amie. Malheureusement, ce sera l'été de la séparation de ses parents, et donc un changement de plan imminent de programme. Sa mère l'amène passer 35 jours avec elle sur une île perdue. Sur cette île, elle va faire la rencontre de Jeremiah Crew, qui peut-être améliorera son été.

Dans ce roman, il est question d'amour de vacances, d'amour de jeunesse, de premières fois.

Ce joli roman aborde également le changement, le passage de l'adolescence à la jeune femme, la séparation et l'amitié.

Jennifer Niven a réussi, grâce à ces divers sujets, d'écrire un roman rempli d'émotions, de réalisme et surtout d'amour !

Claude se cherche, se découvre, constate certains changements chambouler sa vie.

Cette lecture rafraichissante a su me convaincre de lire d'autre Jennifer Niven.

A la fin du livre, on apprend en réalité que cette histoire est tout simplement tirée de la vie de Jennifer Niven. Je crois que cela m'a encore plus fait apprécier ce doux moment passé sur cette île perdue avec la bande de copains. Cette île regorge de souvenirs.

On peut dire que Claud(ine) mène une existence plutôt normale et joyeuse. Des parents cools, des amies géniales, un petit copain ma foi sympathique, pas de problèmes d’argent…

Jusqu’au jour où le sol se dérobe sous ses pieds : ses parents se séparent. Ses parents, qu’elle pensait si heureux ensemble, ses parents, qui sont tout pour elle. De plus, sa meilleure amie Saz devient de plus en plus distante, trop accaparée par sa nouvelle petite amie, alors que Claudine et elle devaient être amies pour la vie.

Claude est sa mère partent (enfin, "sont virées de chez elles" serait le terme adéquat) alors pendant les vacances d’été se changer les idées sur une île, dont une maison appartient à la famille. Là-bas, la jeune fille perd de plus en plus pied et passe ses journées à ne rien faire, déçue par la trahison de son père et de son amie. Mais qui est le drôle de garçon qui s’amuse à l’appeler "my lady" ou "cap’taine" ? Claudine fera sa connaissance et l’appréciera de plus en plus, rendant son été merveilleux.

Alors parfois ne faut-il pas laisser le sol se dérober sous ses pieds, pour mieux flotter dans les nuages ?

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Note : 4/5

Avis : Un joli roman d’été à lire d’urgence au bord de la mer. L’histoire n’en est que plus émouvante étant donnée qu’elle est autobiographique, et la note de l’auteur m’a beaucoup touchée. La romance est très mignonne, et touche tous de même des abords importants d’une relation, comme le sexe qui est tabou dans notre société, c’était donc vraiment chouette qu’il soit abordé (et comme il faut !) La fin m’a beaucoup plu et j’ai aimé voir l’évolution de Claudine et comment elle retombait sur ses pieds (décidément ce mot revient !) tout le temps.

J’aurais seulement aimé que l’histoire soit un peu moins superficielle au début, et qu’on en apprenne plus sur la mère de Claudine et son livre, qui ont été un peu délaissés. Et par pitié, pourquoi pas d’épilogue de Claude et Miah plus tard ??? Dommage !

j'ai beaucoup aimé. Un livre magnifique qui traite du harcèlement mais aussi et surtout de l'acceptation de soi. Encore une fois je n'ai pas été déçu je n'ai pas eu le coup de cœur comme j'avais pus l'avoir avec TNJP mais ce livre est juste top.



On va faire la rencontre de Libby qui est une jeune femme extrêmement courageuse, depuis sa plus tendre enfance Libby à toujours été de forte corpulence et les autres enfants de son école lui ont très bien fait comprendre, mais a la mort de sa mère Libby sombre et pour "remplir" le vide que ça a laisser elle mange et elle se retrouve à être déscolarisée et ne pouvant plus bouger de chez elle. Mais un jour elle va perdre une bonne partie du poids qu'elle aura pris et retournera en cours. Mais la rebelote les autres élèves s'en prennent de nouveau à elle.

Elle va faire la rencontre de Jack qui ne va pas être très sympa avec elle au début, mais ils vont apprendre à se connaître et Jack va changer de comportement. Malgré les apparences et sa popularité Jack cache un secret que personne ne connaît pas même sa famille. Au début, je l'appréciais pas du tout par ces actes puis j'ai commencé à voir au-delà et il s'avère très attachant.



Néanmoins j'aurais aimé que la maladie de Jack soit un peu plus creusée et j'ai trouvé ça dommage qu'on en apprenne pas plus. Jack est atteint de prosopagnosie qui est une incapacité à reconnaître les visages.

Un livre que je vous recommande, j'ai adoré, de plus il se lit super vite de part ces courts chapitres mais aussi part l'écriture fluide de l'auteure.

Excellent ! Tout se tient plus ou moins. Son personnage a elle est fort intéressant, nouveau dans tout ce que j'ai lu. Elle a du caractère, elle donne du courage. On ne s'apitoie pas sur son sort, ce n'est pas mièvre. On va de l'avant.

Une très belle histoire d'amour. Qui va doucement, qui nous fait ressentir en même temps qu'eux. Subtil, c'est parfait. Pas de vulgarité, juste bien amener.

Mary Grove, Ohio. Claudine, surnommée Claude, et sa meilleure amie, Saz, s'apprêtent à passer un été aussi formidable que déchirant. Si elles ont prévu de parcourir l'Ohio en long en large et en travers, avant de lui dire adieu pour les quatre prochaines années, elles savent aussi que la séparation qui les attend, l'une partant étudier à New York, l'autre à Chicago, sera difficile à vivre. Mais 7 jours avant la remise des diplômes, Claude a une conversation pour le moins sérieuse et complètement inattendue avec son père. Celui-ci lui annonce que sa mère et lui se séparent et étant donné que Mary Grove est une petite ville, ils préfèreraient qu'elle n'en parle à personne. Même pas à Saz. Les jours suivants, la jeune fille les passe comme dans un brouillard, incapable de réaliser la situation et combien cela va complètement changer sa vie. C'est alors que sa mère lui annonce qu'elle a prévu de partir pour quelques semaines sur une île, en Géorgie, là où ont vécu ses ancêtres. Si elle a besoin de s'éloigner de sa maison, de son père, et d'y voir plus clair, elle tient à ce qu'elle l'accompagne et le road trip devra attendre...



Cet été-là sera celui des désillusions, des chagrins, des déceptions, de la perte de l'innocence mais aussi celui des rencontres, des amours, des amitiés, des découvertes, du passage à la vie d'adulte... En somme, de tous les possibles... Si Claude est triste à l'idée de voir ses parents se séparer, eux qui formaient le triangle parfait, est déçue de ne pas partir en voyage avec sa meilleure amie, ces quelques semaines, passées loin de tout, seront pour elle l'occasion de s'ouvrir au monde et aux autres, de prendre sa vie à bras le corps et de s'abandonner dans les bras d'un jeune homme, d'autant plus que tous les deux savent qu'au bout de quelques semaines, leurs chemins se sépareront... Comme Jennifer Niven l'écrit dans le préambule et ses remerciements, cette histoire se base sur des faits réels. Et cela s'en ressent tant les mots sont justes et posés, les émotions à fleur de peau. La relation que tissent peu à peu Claude et Jeremiah est particulièrement touchante et réaliste. Le temps de cette parenthèse estivale sera l'occasion pour la jeune femme de vivre intensément ce que la vie lui offre mais aussi de trouver et comprendre qui elle est vraiment. Porté par une plume sensible et émouvante, L'été de tous les possibles est de ces romans qui traitent avec subtilité et intelligence de la fin de l'adolescence et de tous ces émois...

Un très beau roman...

C'est un roman passionnant, très bien écrit, touchant et qui aborde pourtant un sujet grave. J'ai vraiment adoré le début et objectivement il mérite un 5 étoiles mais, malheureusement, la fin me laisse un goût salé de larmes dans la bouche. Le suicide (ou accident ?) de la fin nous surprend et nous faire ressentir ce sentiment de vide, d'incompréhension et de colère suite à un suicide. Pour moi cela annule le message positif que je croyais comprendre, ce droit d'être "fêlé", d'être bizarre et à côté de la plaque que j'aimais tant chez Finch.

Je trouve que cette histoire avait un bon début, j’ai bien aimé la rencontre hors norme. Mais j’ai tout de suite décroché ; j’ai trouvé que les événements n’apportaient rien à l’histoire, hormis le fait que Violet et Finn se rapprochaient. La fin était très prévisible, et je n’y ai pas versé une larme. Je trouve en général que Violet pense qu’à elle et pas du tout de Finn, et c’est seulement à la fin qu’elle le regrette…

J'ai, une fois de plus, adoré l'écriture de Jennifer Niven.

Ce livre est une merveille, j'ai été transportée sur l'île.

La lecture est fluide, agréable, addictive.

Les personnages sont attachants. J'ai adoré la romance, les personnages, les sujets abordés tels que l'amour, les premières fois, l'amitié, les liens familiaux et la séparation.

J'ai juste été frustrée par la fin.

Le mal-être adolescent et le suicide..voilà des thèmes pas facile à aborder qui sont traités avec beaucoup de justesse dans ce livre! 2 êtres complètement au fond du gouffre qui se complètent et s'opposent pourtant! la problématique de fond dans le livre est la suivante : l'amour peut il résoudre tous les problemes?

J'ai lu ce livre car j'avais besoin de lecture d'été, je voulais ressentir cette ambiance plage, famille, amour d'été, tous ces petits détails propre aux lectures estivales. Malheureusement, j'ai trouvé plus de défauts que de points positifs à cette lecture.



En effet, je n'ai déjà pas du tout aimé les personnages, que ce soit Claudine ou Jeremiah, ils m'ont soulé du début à la fin. Claudine a 18 ans mais agit comme si elle en avait 13 ou 14, j'ai d'ailleurs réellement été surprise quand j'ai réalisé qu'elle avait 18 ans tellement son âge n'est absolument pas reflété dans son comportement. Ses parents divorcent alors elle hait le monde entier, sa meilleure amie se met en couple alors elle commence à la détester aussi parce que du coup elle va moins la calculer, etc etc. Bon, je peux comprendre que le divorce de parents peut être terrible mais elle a 18 ans bon sang, elle va devenir adulte, elle va entrer à la fac et agit comme une collégienne.



Et Jeremiah, le parfait jeune homme au passé sombre, qui agit exactement comme le veut l'héroïne, il la remarque dès qu'elle arrive sur l'île, il la pardonne quand elle dérape, il ressent des choses pour elle comme il n'en a jamais ressenti avant, et, évidemment, il n'a vécu que des drames dans sa vie. Bon, pourquoi pas, mais c'était un petit peu trop de stéréotypes pour moi. J'ai surtout eu l'impression que l'histoire n'était pas très bien recherchée, même si apparemment c'est une histoire inspirée du vécu de l'auteure...



MAIS j'ai bien aimé le fait que l'on se trouve sur une île avec une histoire particulière que l'on apprend au fur et à mesure de la lecture. J'ai aussi bien aimé la mère de Claudine et sa meilleure amie d'ailleurs, les deux étaient bienveillantes envers Claudine malgré son comportement immature.



Honnêtement, j'ai eu quelques éléments de ma lecture estivale parfaite, mais malheureusement, ces quelques éléments m'ont à peine convaincu.

J'ai hésité à mettre 4 étoiles. Finalement ce livre les vaut. Cependant j'ai des réserves. Une en particulier : j'aurais apprécié une "trigger warning" en début de roman. D'ailleurs est-ce vraiment un roman ? C'est là tout mon problème. Il est écrit "roman" sur la couverture, les personnages sont fictifs, et tout commence comme un roman. Un beau roman, sur deux adolescents abîmés par la vie et qui tentent de se reconstruire ou tout au moins de poursuivre leur chemin. Ils se rencontrent, reconnaissent en l'autre une blessure semblable, s'aiment... C'est tellement bien écrit, tellement bien "fait" que j'ai laissé entrer Finch et Violet dans mon cœur, je suis presque tombée amoureuse, avec Violet, de Finch, j'ai ri, j'ai pleuré, j'ai douté, j'ai espéré avec eux... Et puis à un moment tout bascule. Mais comme c'est un roman, on se dit, on espère, qu'il y aura à la fin une lumière au bout du tunnel, quelque chose, une ouverture par laquelle s'échapper... En tout cas autre chose qu'un choc émotionnel terrible et imparable. Et puis non. Et en lisant l'épilogue, on apprend que c'est en fait une histoire vraie, que c'est arrivé à l'auteure, qu'elle a écrit ce livre pour éveiller les consciences. Personnellement je me suis sentie trompée sur la marchandise. Et j'ai été prise en traître. Si l'auteure avait annoncé la couleur dès le début, je me serai méfiée. Je sais bien que la vie est traître, qu'elle ne nous laisse pas toujours une chance ou une échappatoire. Mais il s'agissait d'un roman, d'une histoire que je pensais inventée "de toute pièce" et donc je ne me suis pas méfiée. C'est sans préparation aucune que je me suis retrouvée plongée dans l'horreur, avec des descriptions détaillées et macabres qui m'ont atterrée. Ce livre m'a BRISÉ LE CŒUR ! Littéralement. Et je me suis fait la réflexion que si j'avais été dépressive au moment où je l'ai lu, cela aurait eu sur moi des conséquences imprévisibles et déplorables. À cause de cela j'en ai beaucoup voulu à l'auteure. Cette histoire m'a poursuivie, hantée pendant des semaines. Des semaines de tristesse où j'étais inconsolable. Peut-être que je suis trop sensible, cependant je ne pense pas être la seule à qui ce livre, qui, je le répète, à mes yeux n'est pas tout à fait un roman, plutôt un récit inspiré de faits biographiques, puisse faire une telle impression. Alors, oui, les personnages sont merveilleux, attachants, profonds, et c'est bien écrit. Mais il faut prévenir les futurs lecteurs que ce livre va éventuellement leur briser le cœur. Un livre à ne pas mettre entre toutes les mains ! Si vous êtes dépressifs, attendez d'aller mieux avant de le lire.

Quand j'ai commencé à le lire, j'ai été très déstabilisée. En effet, ça a parlé tout de suite de suicide et de mort. Mais j'ai décidé de continuer et au fur à mesure du livre, j'ai découvert une histoire aussi émouvante que bouleversante. Ce livre m'a beaucoup apporté, il est très bien écrit avec Violet et Théodore qui parle chacun leur tour. Leur histoire d'amour est tellement belle et sensationnel ! Mal dans leur peau, ces deux jeunes vont réussir à soulager leur souffrance en étant ensemble. Ils ont besoin l'un de l'autre pour surmonter leur problème. J'ai trouvé ça tellement beau ! Les citations sont touchantes et donne un sens à la vie. A lire absolument et jusqu'au bout ! Ce livre vous donnera de la force et de l'espoir pour vos projets futurs, je vous le recommande !

Depuis que ce roman est sortit, j'avais super envie de le découvrir au vu des avis que j'avais vu, et cette couverture aussi qui m'inspirait grandement l'été. C'est donc pour cela que je l'ai mis dedans, un livre à lire pour l'été et ça, je peux que le confirmé après ma lecture !



J'ai vraiment beaucoup aimer ce roman, nous sommes ici sur une romance young-aldult, mais en vrai je classerais plutôt dans une romance new-adult. Nous allons suivre Claudine qui à la suite du divorce de ses parents, va devoir renoncé à un road trip avec son amie Saz, pour aller sur une île en vacances pour quelques jours avec sa mère. Claude se dis que « ce n'est que quelque jours de torture et qu'en suite on rentrera ». Et si le destin ou plutôt quelqu'un allait tout changer...



Dans ce roman, je pense que vraiment tout aimer. La plume de l'auteure est super agréable et fluide, je ne voyais pas les pages défilées. Les personnages de Claudine et de Jeremiah sont vraiment attachants, et j'ai bien aimer voir leur relation évoluer au fil de ces pages. Je reste quand même sur ma faim avec cette fin que je n'imaginais pas comme ça, mais bon.



En bref, je ne peux que vous conseiller de découvrir ce livre et cette histoire, romance, fun pour l'été. On suit des personnages attachants qu'on aime suivre, mêlés à cette plume très agréable et fluide qui se lit très très bien.

Dans ce roman, l'autrice sensibilise son lectorat et traite les sujets suivants : la maladie mentale, les traumatismes, les groupes de soutien, les tentatives de suicide, le suicide, le harcèlement, la manière dont est perçu le suicide par certaines personnes, etc.

Il est, d'ailleurs, intéressant de mentionner qu'au sein de sa famille, Jennifer Niven a connu le suicide et le deuil. Son arrière-grand-père s'est ôté la vie avec une arme à feu et cet évènement a traumatisé sa famille sur plusieurs générations. Sa famille a enchaîné cette histoire avec une multitude de rumeurs. Puis, bien plus tard, un garçon dont elle est tombée amoureuse s'est également tué. Elle s'est, ainsi, attribuée l'étiquette de “la “survivante d'un suicidé”.



Tous nos jours parfaits, c'est l'histoire de deux lycéens aux antipodes, soit celle d'une fille qui réapprend à vivre avec un garçon qui veut mourir.



En effet, Theodore Finch est la bête curieuse de l'école. Il est dominé par des idées morbides et des phases d'éveil où il déborde d'énergie. Il se bat régulièrement au sein du lycée et se retrouve souvent exclu. Il n'est clairement pas comme les autres adolescents de son âge et ce côté décalé forge l'idée qu'il se pense en vrac et que tout le monde le pense fêlé et « bizarre ». En réalité, il ne s'agit que d'un garçon à la condition familiale difficile, avec un père absent, une mère qui fait l'autruche et une grande sœur qui prend, par conséquent, le rôle de mère. Cela ne l'aide pas, lui, qui est rongé par un trouble bipolaire et des idées suicidaires.

De son côté, Violet Markey est une jeune fille populaire, pom-pom girl, qui est marquée par le deuil de sa sœur, morte dans un accident de voiture. Et, forcément, en tant que seule survivante, elle s'isole et se laisse submerger par la culpabilité.



Ces deux personnages, qui ne devaient au premier abord jamais se parler, se rencontrent lorsqu'ils sont au bord du vide, tout en haut du clocher du lycée, alors qu'ils ont décidé d'en finir avec la vie...



Pour tout vous dire, sur toute la première moitié du livre, j'ai eu beaucoup de mal avec ma lecture. Je pense que cela est dû au fait, qu'au début, la plume de l'auteure me dérangeait un peu. J'avais donc du mal à rentrer dans l'histoire – que je trouvais un poil lente à mon goût. Cependant, à partir de la moitié du récit, ma perception a commencé à changer, car j'ai commencé à être touchée par les personnages ainsi que par les thématiques évoquées. En effet, la méchanceté des lycéens, notamment, à cause de la thématique du harcèlement m'a complètement refroidie. J'avais de la peine pour Finch et je n'ai pas réussi à m'attacher au personnage de Violet, car c'est lui qui l'a sauvé et, pourtant, c'est elle qui récolte toute la gloire. de cette manière, Finch se fait encore plus passer pour un “fêlé” et Violet engraine cette idée. À un moment, je n'ai pas pu m'empêcher de détester Violet, car elle est sympathique que lorsqu'elle est seule avec Finch ; sinon, quand ses amis le rabaisse et le traite, elle ne réagit pas et cela m'a fait mal au cœur.

A contrario, dans le film que j'ai pu regarder sur Netflix, j'ai pu m'attacher aux deux personnages, parce que l'on ressent moins le côté harcèlement et le fait que Violet ne fait rien. de ce fait, nous sommes plus face à un Finch qui bouscule Violet pour son bien et qui la fait sortir de sa coquille.



En outre, j'ai bien aimé les citations qui parcourent le livre. On y retrouve celles de Virginia Woolf, d'Emily Brontë ou, encore, d'Ernest Hemingway !



Finalement, je n'ai qu'un seul mot à dire : Finch. Parce qu'il y a si longtemps qu'un personnage masculin ne m'avait pas touché, sentimentalement parlant. C'est un garçon extraordinaire aux pensées volatiles et une peu folles, que l'on ne peut qu'aimer et, forcément, j'ai ressenti et partagé son mal-être.

Pour terminer, je pensais pouvoir éviter les larmes, comme j'avais déjà vu le film et que je connaissais par conséquent l'histoire, mais, à la toute fin, l'autrice au travers des mots des personnages m'a eu…
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