Citations de Jill Shalvis (151)
— Que puis-je pour toi, shérif ? demanda-t-elle.
Oui, Sawyer, que pourrait-elle bien faire pour toi ? Il se tritura les méninges pour trouver une réponse.
— M’expliquer ce tapage nocturne.
Lance se mit à rire.
— Quel tapage nocturne ? s’étonna Chloe. Tu veux dire que je suis coupable de tapage nocturne parce que j’ai simulé un orgasme ?
— Tu faisais autant de bruit qu’une mule engluée dans du goudron, expliqua Sawyer.
— Une mule… (Chloe manqua de s’étouffer de rire.) Personne m’ayant entendu avoir vraiment un orgasme n’oserait me comparer à une mule !
Cette information ne rendait pas service à Sawyer. Du tout.
— Vraiment ? répondit-il.
N'oublie jamais que tu es unique.
Comme tout le monde.
La voie de la facilité étant toujours en travaux,
prévoyez un itinéraire bis.
—Quoi ? demanda-t-il quand il la sentit se figer.
—Tu...
Tara revit la façon dont ils faisaient l'amour si longtemps auparavant et se souvint du temps qu'il avait consacré à apprendre ce qui lui donnait le plus de plaisir. Elle avait toujours aimé qu'on l'embrasse à cet endroit en particulier.
Et il s'en souvenait. Après toutes ces années, il se souvenait comment elle aimait être touchée.
—Je quoi, Tara?
—Tu te souviens de moi.
—Dans les moindres détails.
http://lachroniquedespassions.blogspot.fr/
"Doux Jésus ! Ce sourire aurait dû être assorti d'une étiquette :
Avertissement : une exposition prolongée est susceptible de causer attendrissement, désir et stupidité."
Tomber amoureuse, c'est comme manger toute une boîte de chocolats: au départ, on croit que c'est une bonne idée...
Les Accros du chocolat
- Je pourrai me jeter du haut d'un pont, déclara Allie avec emphase. Ou essayer de devenir momentanément lesbienne.
- Oublie le pont, répondit fermement Chloé. Quant à l'homosexualité, réfléchit bien : qui dit deux cycles mentruels dans le même couple dit aussi deux syndrômes prémenstruels. ce n'est pas à prendre à la légère. Mais, en fait, je m'adressais à ma soeur.
Tu sais que certains secrets sont toxiques si on essaie de les garder pour soi trop longtemps, n'est-ce pas? Certains secrets sont faits pour ètre partagés, avant qu'ils vous rongent complètement.
Ses lèvres effleurèrent les sienns, chaudes et enivrantes, avec une douceur étrange qui fit s'embraser son corps. ses seins palpitaient, leurs pointes dures, dressés, tandis que ses jambes, soufdain flageolantes, menaçaient de se dérober sous elle. Elle referma les mains autour de la taille de l'inconnu et renversa la tête en arrière lorsqu'il prit soudain sa bouche avec fougue.
— Euh… bonjour, dit-elle enfin. Je suis Grace Brooks. Votre… promeneuse de chien. (Elle ravala un sanglot terrifié et se força à continuer, à tout avouer.) J’ai peut-être perdu votre chiot.
- Il y a cette grosse soirée caritative que j’organise pour l’hôpital la semaine prochaine, un dîner habillé avec une vente aux enchères. Je suis la seule infirmière de mon étage qui n’a pas de cavalier. Si on survit, avoir un cavalier serait vraiment super.
- Eh bien, quitte à faire un vœu, autant ne pas mégoter, répondit Amy. Souhaite une petite partie de jambes en l’air par la même occasion.
—Quoi ? demanda-t-il quand il la sentit se figer.
—Tu...
Tara revit la façon dont ils faisaient l'amour si longtemps auparavant et se souvint du temps qu'il avait consacré à apprendre ce qui lui donnait le plus de plaisir. Elle avait toujours aimé qu'on l'embrasse à cet endroit en particulier.
Et il s'en souvenait. Après toutes ces années, il se souvenait comment elle aimait être touchée.
—Je quoi, Tara?
—Tu te souviens de moi.
—Dans les moindres détails.
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Matt est le seul homme qui t'intéresse. Et Seigneur, la façon qu'il a de te regarder contribue au réchauffement de la planète !
Mais cela ne faisait pas la moindre différence. L'attirance que Ty éprouvait pour elle était apparemment basée sur quelque chose d'intangible qu'elle pourrait y réfléchir pendant un million d'années et qu'elle ne s'y ferait pas pour autant : peu importait ce qu'elle faisait ou ce dont elle avait l'air, il la désirait.
Le sentiment était bien trop réciproque.
Alors... un hamburger au bacon et au bleu avec un supplément fromage, des frites et une salade sans tomates, parce que les tomates c'est un légume et, bien que tu mesures un mètre quatre-vingt-dix de pure testostérone, tu as les goûts d'un petit garçon.
— Hé, la salade est un légume, protesta-t-il.
— La laitue iceberg ressemble plus à de l'eau qu'à un légume. Ça ne compte pas.
— Alors, oublie la salade. Et mets-moi deux hamburgers et une double portion de frites.
— Épouse-moi.
— Quoi ?
Elle eut l’impression que son cœur s’arrêtait de battre. Avait-elle bien entendu ?
— Parce que tu as pitié de moi ?
— Pitié de toi ? Pas vraiment, répondit-il en souriant. Épouse-moi parce qu’ensemble on tait des étincelles. Surtout sous la douche.
Tirez des leçons des erreurs des autres. Vous n'aurez pas le temps de toutes les commettre vous-mêmes... Phoebe Trager
La voie de la facilité étant toujours en travaux,
prévoyez un itinéraire bis.
(...) une réaction, même négative, était toujours préférable à l'indifférence totale.
"Ne prenez pas la vie trop au sérieux.
Après tout, personne n'en sort vivant, de toute façon."
Phoebe Traeger