Citations de Jill Shalvis (151)
“Pru Harris’s mom had taught her to make wishes on pink cars, falling leaves, and brass lamps, because wishing on something as ordinary as stars or wishing wells was a sign of no imagination. Clearly”
Soudain, le visage de Dexter, son sourire séduisant, envahirent son esprit.
C'était Chloe. Elle portait une minijupe en Jean et un pull en angora noir qui, en glissant d'une de ses épaules, dévoilait une bretelle noire en soie. Elle était tout simplement magnifique.
- Salut, lança-t-elle.
Depuis leur petit intermède sous la douche, chacune de leur rencontre était empreinte d'une certaine gêne qui se mêlait à leur habituelle agressivité pleine de sous-entendus. Là encore, l'atmosphère se chargea. Il
s'éclaircit la voix.
- Salut.
- J'ai oublié de te remercier pour la Vespa.
- J'ai oublié de te remercier de ne pas être morte dans ma douche.
- Pfff, tu es juste content de ne pas avoir eu à expliquer un truc pareil à Tara !
Il fronça les sourcils et sentit son estomac se nouer.
- Oh, ça va, je plaisantais ! dit Chloe en souriant. Il faut que tu te détendes, shérif, sinon la vie n'est pas drôle du tout.
Elle lui tendit deux gros sacs. Quelle vision appétissante !
- Je suis repassée au resto prendre à manger pour Maddie, Tara et moi, et j'ai trouvé Amy en train d'emballer ton dîner. Elle a envoyé le livreur à l'auberge, et je me suis chargée de ta livraison : un repas pour deux personnes ou pour un shérif affamé, au choix.
Elle fit un pas en avant, mais il l'arrêta net.
- Tu as ton inhalateur ?
- Dans ma poche, shérif. Chef, ajouta-t-elle en faisant un petit salut militaire. J'ai le droit d'entrer ?
C'était évidemment une très mauvaise idée, mais elle le dépassa sans attendre sa réponse, traversa son salon quasiment vide et gagna sa salle à manger d'une démarche chaloupée.
Tomber amoureuse,
c’est comme manger toute une boîte de chocolats :
au départ, on croit que c’est une bonne idée…
Les Accros du chocolat
J'ai complètement raté mes quinze ans. La jeunesse, ce n'est pas fait pour les ados, ils la gâchent complètement
Il se pencha au-dessus d’elle pour déboucler sa ceinture et la serrer quelques instants avec force contre lui. Puis il la souleva dans ses bras.
—Je peux marcher, dit-elle sans esquisser le moindre geste pour le faire.
—Fais semblant de croire que je suis encore un super-héros.
http://lachroniquedespassions.blogspot.fr/
Elle avait quelques certitudes. Si tu doutes, mange du chocolat. Si tu stresses, mange du chocolat. Surtout si ce doute et ce stress étaient liés à un homme et aux sentiments qu'il suscitait chez elle.
- Tu mérites le meilleur, continua Mallory en l’ignorant. Tu mérites d’être entourée de gens bien, et Matt, en plus d’être beau, est quelqu’un de bien.
Bon sang! Amy sentit sa gorge se serrer. Pourtant il n’y avait aucune publicité de la SPA en vue.
- Comment un homme peut-il être tout cela à la fois? demanda Amy.
- Crois moi, rétorqua Mallory. Ty a ses deux qualités. Matt aussi.
- Je suis de l’avis de Mallory, intervint Grace. Il n’y a pas l’ombre d’un doute. Tu devrais sorti avec cet homme ce soir. Mais j’ajoute: va jusqu’au bout.
- Grace! La sermonna Mallory.
- Non, mais allô, dit Grace. Il s’agit de Matt Bowers. Tu l’as vu. Il est beau, baraqué; il a un regard sexy. Et il porte un uniforme. Avec une arme… ( Elle poussa un soupir rêveur.) Je suis désolée, mais il est du devoir d’Amy de se déshabiller avec un mec comme ça et nous faire un rapport. Détaillé.
— Je suis déjà à toi. Je l’ai toujours été. Tu n’as qu’une chose à faire : entrer
dans l’arène.
Si tu es maladroite, Fonce à gauche.
"Le jour fait place à la nuit. L'océan va et vient au gré des marées. Et je te veux Tara. C'est dur à admettre, mais je te veux. Je t'ai toujours voulue."
"On est tellement mieux sur le plancher des vaches !" P.334
"La voie de la facilité étant toujours en travaux, prévoyez un itinéraire bis." P.96
"Une soeur, c'est une amie pour la vie" P.137
Il sentit quelqu’un lui tapoter la main et baissa les yeux sur Lucille.
— Ne t’en fais pas, mon chou, lui dit-elle dans un chuchotement qui devait s’entendre jusqu’à Seattle. Nous allons t’aider à avoir la fille.
— Nous ?
Elle fit un geste pour montrer quatre femmes qui avaient l’air encore plus âgées qu’elle et formaient un assortiment varié de cheveux bleutés et de rouges à lèvres tape-à-l’œil.
— Nous allons faire pencher la balance en ta faveur, expliqua-t-elle. Mais ça aiderait beaucoup si tu étais passé à la télé pour avoir gagné une course.
— Ça m’est déjà arrivé ! s’exclama-t-il en se pinçant l’arête du nez. Écoute-moi, Lucille. Vous ne vous en mêlez pas. Tu m’entends ?
Mais Lucille avait déjà rejoint ses acolytes.
— Ça ne va pas être facile, les filles, leur dit-elle. Mais nous pouvons y arriver. Pour Ford, d’accord ?
— Pour Ford, répétèrent-elles en chœur.
Sawyer souriait de toutes ses dents, le salaud.
— OK, ça suffit, dit Ford à Lucille en la pointant du doigt. J’arrête de te servir.
— Chut, mon chou ! dit-elle en le chassant d’un petit geste de la main. On bosse là. Et tant que tu es là, nous allons avoir besoin d’un pichet de margarita.
Mon Dieu.
- Il fait une chaleur infernale ici, remarqua Maddie en ouvrant la fenêtre.
- On appelle ça la tension sexuelle, répondit Jax en montrant Chloe et Sawyer.
Une soeur, c'est une amie pour la vie (page138)
Dans la vie il ne s'agit pas de se trouver, mais de se créer.
Ce serait certainement génial de faire l’amour avec toi, mais il existe des choses plus importantes que le sexe. Tu ne crois pas ?
Allait-elle se refuser le plaisir de faire l’amour avec l’amant le plus insensé qu’elle ait jamais connu ou bien allait-elle faire ce que toute femme sensée ferait à sa place ? Se réjouir du fait que les deux hommes qui la rendaient folle de désir n’étaient sans doute qu’un seul et même individu ?
« Miss Coincée » , « Elle finira vieille fille » , « Tellement géniale qu’elle n’est même pas parvenue à trouver un cavalier pour le bal de fin d’études » , « Classe, la tenue de croque-mort ! »
Zoe Gaston jeta un regard méprisant aux commentaires griffonnés au bas de sa photo de terminale. Elle détestait cette manie de coller des étiquettes aux gens. Cela dit, elle avait quand même une drôle d’allure sur cette photo. Des cheveux corbeau hérissés, l’œil charbonneux, les lèvres et les ongles intensément noirs et la tenue qui allait avec. Eh oui, elle avait été cette adolescente aux joues rondes, douée pour les études et qui s’affichait en style gothique de la tête aux pieds.
En d’autres termes, un ovni, une inadaptée totale.