« L'âme est le véhicule de la conscience, indépendante de l'espace et du temps
Elle survit donc après la mort. » PHILIPPE GUILLEMANT
À partir d'un ensemble de théories et de pratiques développées au travers de nombreux témoignages, Anne Deligné s'appuie sur les analyses d'auteurs, journalistes ou scientifiques, pour confirmer et éclairer davantage ses propos et les expériences présentées dans ce livre. Au fil des pages, vous prendrez conscience de ce qui pourrait vous tourmenter, parfois depuis des temps immémoriaux, dans d'autres vies ou quelque part dans votre arbre généalogique. Rechercher l'origine de certains mal-être profonds, dans des mondes énergétiques en résonance, est souvent salvateur. Chacun discerne alors son libre-arbitre, découvre sa raison de vivre et devient véritablement lui-même.
Grâce à l'hypnose spirituelle, l'auteure vous invite à comprendre son travail en dehors de l'espace-temps pour libérer les blocages qui limitent votre épanouissement.
Préface de Jocelin Morisson
Disponible ici : https://www.editions-tredaniel.com/mes-vies-anterieures-mes-ancetres-et-moi-p-9262.html
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Tout comme la vague a la nature de l'océan et qu'elle n'est pas séparée de lui, notre corps est une forme localisée dans le temps et l'espace, où se manifeste une conscience qui émane d'une supraconscience fondamentale unique et indivisible.
« Les premières sensations de choses irréelles sont des images d’un grand tunnel sans fin avec des couleurs vives et violentes, plein de tourmente et de bruit comme si je tombais dans un précipice sans fond. Mon corps me faisait mal avec des nausées, la panique s’emparait de moi de voir ce monde qui me paraissait être l’enfer. Dans un bruit infernal, tout s’arrête subitement et je suis assis au sol. Autour de moi des labyrinthes en forme de grottes dégoulinant d’humidité avec des plantes horribles et ces personnages hideux et encore ces vilains oiseaux, de gros « poussins ».
[Bertrand Pillot, témoignage recueilli par « Notre expérience »]
Le mot « quanta » tournait dans sa tête en boucle après l’accident et, une fois rétabli, il s’était rendu dans une bibliothèque universitaire pour savoir à quoi ce mot renvoyait. Avec le recul, il considère qu’il s’agit d’une suite logique à l’expérience d’omniscience qu’il avait connue au cours de son EMI, mais à l’issue de laquelle on lui avait dit qu’il ne pourrait pas ramener cette connaissance. Au fil des mois et au prix d’efforts intenses, il noircira des cahiers entiers de formules et concepts de physique quantique et obtiendra quelques années plus tard un diplôme de licence de physique.
J’ai continué à avancer et me suis retrouvé pénétrant dans un vide immense, totalement sombre, infiniment grand mais aussi infiniment réconfortant. Bien que d’un noir total, il débordait de lumière : une lumière qui semblait venir d’une sphère brillante que je sentais maintenant près de moi.
[Eben Alexander]
[…] une femme raconte qu’en plus de son hypersensibilité aux champs électromagnétiques et ses problèmes avec l’électricité en général, elle a provoqué des accouchements prématurés chez cinq femmes enceintes dont elle s’était approchée d’un peu trop près !
Dans le tumulte du monde moderne, il appartient à chacun de se confronter pleinement à sa nature profonde et de prendre ses responsabilités en conséquence, loin de dogmes et des croyances.
[…] lors de la décorporation, au moment où je quitte mon corps et que je m’en vais-je ne sais où… je quitte la dernière chose qui m’appartient et, de ce fait, je ne pouvais plus conjuguer le verbe avoir. Quelques instants plus tard, je quitte le cadre de l’hôpital et je me retrouve dans le néant, sans repère ni référentiel. Ce grand moment de solitude est une frontière ultime en soi qui me fait dire que je ne pouvais plus conjuguer le verbe être.
[témoignage de Nicolas Brulhart]
J’étais conscience, de la grandeur d’une poussière, invisible mais bien là… L’impression d’être dans un endroit où je ne devais pas être m’a assaillie aussitôt, mais je ne voyais pas le chemin qui m’avait conduite là, et je ne savais quoi faire ni où aller… Il m’a semblé être emportée très vite par mon regard, comme un kaléidoscope, dans le bleu intersidéral, et traverser ainsi une multitude d’étoiles qui formaient des univers succédant les uns aux autres, avec le sentiment de la présence de vies que je n’avais pas le temps de percevoir. Mais il me semblait entendre une musique venant des nuées de planètes et j’entends encore le son des franchissements, comme les bornes des autoroutes. Comme si le temps s’était arrêté.
[Justine, 34 ans, avant de s’endormir sous l’effet de l’anesthésie]
En réalité, il n’y a qu’une seule crise, c’est celle du sens, et elle est fondamentalement spirituelle.
Ces témoins qui sont revenus d`un état qu`il faut comprendre comme un entre-deux, une antichambre entre l`état de vie et l`état de mort, nous disent que leur vie, notre vie, a du sens, et qu`il ne s`agit pas de précipiter ici notre fin pour retrouver "de l`autre coté" ce qui serait notre véritable existence.