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Critiques de John Green (3679)
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Qui es-tu Alaska ?

A 16 ans, Miles décide de quitter sa petite vie tranquille et son cocon familial pour poursuivre ses études sur le campus de Culver Creek. Là, il rencontre Chip, son compagnon de chambre surnommé Le Colonel, Takumi, Lara mais surtout la belle, mystérieuse et insaisissable Alaska...

Qui es-tu Alaska ? Difficile de répondre à cette question et pourtant...

Construit sous forme de compte à rebours, ce roman est jalonné de questionnements philosophiques sur le sens de la vie, de la mort, sur la quête d'identité des adolescents en pleine construction. Culver Creek est un lieu de vie où des amitiés réelles se créent.

J'ai apprécié le docteur Hyde, ce personnage du Vieux sage, qui permet à Miles, grâce aux réflexions qu'il provoque, de passer à l'âge adulte et l'Aigle, ce proviseur qui représente l'autorité à transgresser.

Un roman tout en émotions sur l'adolescence, qui m'a beaucoup touchée...
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Nos étoiles contraires

Je ne mettrai pas d’étoiles car trois étoiles voudraient dire que j’ai un avis mitigé et ce n’est pas vraiment le cas. D’abord c’est un type de livre que je n’aime pas vraiment lire, d’abord parce que c’est une romance, ensuite parce qu’il joue beaucoup sur les émotions (inévitable avec un sujet pareil !) Et puis c’est un roman étiqueté « littérature jeunesse ». Lorsque j’étais adolescente la catégorie n’existait pas et je ne m’en suis pas plus mal portée, j’ai lu un peu de tout pour découvrir les genres que j’aimais (par exemple, j’ai détesté les romans d’aventure pourtant si souvent considéré comme adaptés à cet âge!). En conséquence je me sens mal à l’aise pour juger ce roman car je pense qu’à l’adolescence je l’aurais probablement adoré.

Car en dehors de ce que je n’ai pas aimé, il a aussi quelques qualités indéniables.

D’abord le ton est d’une justesse incroyable, les moments d’humour de ces ados malades sonnent vrai, leurs attitudes parfois déroutantes pour les adultes aussi. Les enfants gravement malades restent des enfants mais avec une maturité inhabituelle, hors norme. De ce point de vue c’est bien observé et très bien retransmis ! Ce sont des qualités rares (et rarement présentes dans des romans ayant pour thème le cancer d’enfants). Dommage que la chute avec Peter van Houten soit à la fois expédiée et caricaturale !

Un mélange d’excellent, de médiocre et en plus, pas dans mes goûts ! A voir, … si vous aimez les romances et vous laissez porter par les émotions, il est probable que vous pardonniez le médiocre, et vous aurez bien raison.
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Nos étoiles contraires

De ce livre-là, j'en ai tellement entendu parler, je l'ai tellement vu passer dans les différents groupes de lecture que j'ai tardé à le lire de peur d'être un peu déçue tellement j'en attendais beaucoup. Choisi pour un défi, je me lance enfin !



Et effectivement, c'est un livre sublime ! Une histoire triste qui m'a fait sourire, rire quelquefois, mais surtout pleurer. Je suis passée par toutes sortes d'émotions.



C'est émouvant, touchant, triste et joyeux à la fois, plein de vie malgré le thème central de l'histoire (le cancer et la mort).



Il va falloir maintenant que je regarde le film, je suis curieuse de voir ce qu'il donne et s'il reflète bien le roman...



Je l'ai juste trouvé trop court, j'aurais aimé rester un peu plus longtemps dedans, ne pas en sortir si vite... Je l'ai lu presque d'une traite. Commencé en début de soirée, je me suis arrêtée à 2h cette nuit et me suis réservée les 50 dernières pages pour le petit-déjeuner ce matin... Et j'ai bien cru que je n'arriverai jamais à le terminer : les yeux pleins de larmes, je n'y voyais plus rien... En 25 ans d'addiction à la lecture, c'est la seconde fois que ça m'arrive : la seconde fois qu'un livre me fait pleurer "pour de vrai", avec de véritables sanglots, le nez qui coule, et tout et tout...



Une petite pépite, un très beau coup de cœur !



[Lu en août 2020]
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Tortues à l'infini

Quelque chose me dérange dans ma lecture. J'ai terminé ce livre et j'ai encore trop de questions. Le titre tout d'abord… Je ne comprends pas toujours le lien avec le quotidien complexe d'Aza. Malgré les explications de Daisy, je reste dubitative.

John Green parle d'un roman plus personnel mais je ne suis pas rentrée dans son monde. Pourquoi n'a t'il pas concentré son roman sur la relation Aza/Daisy? La partie Davis, j'ai eu cette mauvaise sensation qu'elle ne s'intégrait pas à la trame principale. Pourtant son quotidien est aussi intéressant mais je suis passée à côté. Je déteste louper des éléments qui devraient être importants. J'attendais impatiemment une connexion, un électrochoc, pas obligatoirement un happy end digne d'un conte de Bisounours. J'ai eu malheureusement un flop total et d'avoir lu deux histoires parallèles. Pourquoi être parti dans cette enquête? Pourquoi faire tout un sketch avec le lézard? Pourquoi ne pas avoir donné plus d'ampleur à Davis? Pourquoi ne pas être resté sur les relations compliquées pour Aza? Surtout quand on lit l'épilogue qui provoque chez moi une déception totale.

J'adore la manière dont John Green aborde les problèmes des adolescents. Il écrit très bien et avec beaucoup de douceur et de subtilité. Il leur offre une place noble et leur donne leur libre arbitre. Mais ici, son histoire dans son ensemble me titille. Sa plume est toujours douce et engageante, accessible et bourrée de tendresse. A chaque fois il nous propose des héros touchants avec des traits de caractères très forts. Des ados qui ont perdu une part de leur innocence bien trop tôt. Malgré cette déception, je continuerai à lire du John Green. On ne peut pas réussir à tous les coups. J'aurais aimé faire une table ronde pour me concerter avec lui sur mes points en suspends. Je voulais comprendre tous les messages qu'il voulait véhiculer. Dommage pour moi. Un roman jeunesse qui aurait pu être intéressant mais j'ai loupé le bon arrêt de bus.

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Nos étoiles contraires

Depuis le temps que j’ai reçu ce livre en cadeau… je l’ai enfin lu et je l’ai bien aimé, même si je garde un petit faible pour ma toute première lecture de John Green, Qui es-tu Alaska ?



J’ai aimé le mélange de fiction et de solide documentation sur le cancer des enfants, la manière dont John Green s’est glissé dans la peau de Hazel, cette courageuse et lucide ado à l’humour décapant, tout autant que celui d’Augustus. Il a vraiment l’art de créer des personnages, John Green, de les rendre attachants, attentif aux détails concernant les seconds rôles. De tisser aussi des liens très forts entre ses personnages. C’est un fameux roman d’initiation que Nos étoiles contraires, conduite par la familiarité avec la maladie et la proximité de la mort. Mais le tout est enlevé en des chapitres courts truffés d’humour noir et de tendresse.



Merci pour cette belle lecture !
Lien : https://desmotsetdesnotes.wo..
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Nos étoiles contraires

J'ai lu ce bouquin alors que je n'étais pas inscrite sur babelio. Il semble faire l'unanimité, mais moi je n'ai pas aimé . Il est vrai que je ne suis plus une ado, et ce depuis longtemps, et il se trouve que c'est un "livre jeunesse". En fait , je suis mal à l'aise avec cet espèce "d'optimisme à toute épreuve ". Souffrez mais ne le dites surtout pas ! Ces jeunes qui sont condamnés font preuve d'humour et d'autodérision , tant et si bien que l'histoire ne m'a pas semblé crédible, et ne m'a par conséquent fait ni chaud, ni froid. C'est curieux, mais il me semble que l'humour est très tendance dès lors qu' il est question d' évoquer des sujets graves, et s'en est lassant . Est-ce la peur, de la part des auteurs, que leurs écrits soient taxés de mélos, de larmoyants ou de je ne sais quoi d'autre ? Sans doute . Malheureusement, quoique parfois l'humour passe bien, il n'est pas nécessaire de le mettre à toutes les sauces. Nous sommes juste des humains. Nous avons le droit d'être heureux, mais

avons aussi celui de ne pas l' être. D'avoir mal, très mal, et ce, que ce soit physiquement ou moralement. Celui de le dire

Sans se sentir obligé de rire jaune ou de faire de humour. Si on veut pas de "mélo ", de "pathétique ", et bien on lit des "feel good". Mais faut arrêter de travestir les sentiments.
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Tortues à l'infini

J'ai beaucoup d'amour pour les livres de John Green.

Ce n'est pas un auteur parfait (il n'y a jamais eu d'auteurs parfaits), il peut même frôler l'agacement par moment, tant les reproches qu'on peut porter à son égard sont continuellement les mêmes: John Green a cette particularité de livrer des ouvrages très "ressemblants". Que l'on ne méprenne pas ce que je viens de dire: les thèmes sont tous différents, et Green explore via le regard adolescent, toujours un peu naïf en n'étant pas encore nostalgique, des routes extrêmement variées et intéressantes. Mais nous allons le voir par la suite: les "ficelles" de son écriture sont toujours les mêmes. Ce qui me donne envie de dire qu'on peut vite considérer John Green comme un génie, et cela dure le temps qu'apparaisse la lassitude.



"Tortues à l'infini" est donc un livre maturé, extrêmement attendu par les fans, et peut-être encore plus par l'auteur lui-même. Car vous l'avez sûrement compris, c'est dans cet ouvrage que l'on traite d'un sujet cher à l'auteur: l'anxiété, les troubles obsessionnels-compulsifs et plus globalement les pathologies psychiatriques (versant névrose, rien de psychotique non plus).

Alors j'ai été tout de suite extrêmement impatient. Etant en médecine et souhaitant m'orienter en fin d'année vers la sublime et absconse spécialité qu'est la psychiatrie, j'étais effectivement très curieux de lire la vision de ces troubles par John Green, auteur malin s'il en est.

Et je dois avouer que le résultat fut mitigé. D'une manière générale, je conserve l'idée que "Tortues à l'infini" est un bon livre, et ne nourris d'ailleurs aucun doute quant à sa réception critique et publique. Là où le bat blesse, je trouve, est lorsque l'on met ce livre aux côtés des autres déjà lus. Et j'ai trouvé (c'est un avis là, bien sûr, très personnel) que de un, ce livre n'est pas le plus réussi de cet auteur et de deux, la lassitude, si fine soit-elle, pointait peut-être le bout de son nez (mais le bout du bout du bout de son nez, d'accord?).



Aza est une narratrice agréable, notamment par son originalité, à ses dépends. Être dans ces pages, c'est accepter de rentrer dans un monde ritualisé où le moindre contact peut mener à une diarrhée, la moindre diarrhée à un traitement antibiotique, et le moindre antibiotique à la célèbre et peu fréquente infection par Clostridium difficile. Et pour éviter cela, il faut vous purger: arracher le pansement sur votre doigt, gratter la croûte, appuyer dessus pour faire sortir du sang. Si c'est du sang, ça va, mais évidemment, si le sang est un peu dilué ou n'a pas sa couleur habituelle, alors vous allez vous mettre du gel antibactérien. Et ainsi de suite...

La plausibilité médicale, évidemment, ne tient pas. Mais ce n'est en rien important, puisque nous sommes dans la tête d'Aza, et dans son monde, les règles sont celles-ci. Quel malheur, à bien y réfléchir, qu'Aza ne soit pas celle qui établit ces règles.

Alors oui, c'est passionnant au départ. La souffrance est palpable, formidablement bien retranscrite. Aza nous trimballe dans une spirale d'absurde qui ne cesse de se resserrer en son centre et d'étreindre la réalité d'Aza. Il y a de quoi paniquer.

Davis est également attachant. Ployant souvent sur le risque de devenir caricatural, John Green parvient à lui offrir quelques scènes très joliment pensées qui achèveront d'emporter l'adhérence du lecteur. Et évidemment, l'histoire qui se dessine entre Aza et lui fonctionne et nous fait fondre. Et porte le livre, par ailleurs.

Daisy est nettement moins réussie. Personnage bruyant et aux traits caractériels ultra-épais, elle m'a plus fait penser à ces adolescents décrits par les deux auteurs féminines de "Flocons d'Amour" qu'à des personnages de John Green. La comparaison est dure (vous pouvez vous référer à ma critique de Flocons d'Amour si vous voulez souffrir avec moi) et volontairement extravagante, puisque Daisy n'est pas non plus au stade de non-crédibilité. Deuxième personnage, pour le coup assez franchement loupé: la mère d'Aza, pour laquelle j'ai trouvé les dialogues de John Green assez maladroits. Si son inquiétude est évidemment convaincante, c'est plus dans ces moments où elle ne se ronge pas les sangs qu'elle parait improbable. Mais bon, passons.



Si le livre est assurément un page-turner de grande qualité (je l'ai lu en à peine deux jours!), je lui trouve malheureusement quelques aspérités malheureuses. Et je ne me voile pas la face: ces fameuses "aspérités" sont celles que je pouvais déjà deviner dans les précédents livres de notre cher John. Je m'explique: j'ai l'impression que John Green a réuni exactement les mêmes ingrédients qui ont fait le succès de ses livres précédents, mais avec moins de retenue qu'auparavant. Ainsi tout est là: le personnage principal qui va se redécouvrir à travers une relation amoureuse (très réussie par ailleurs), le/la meilleur(e) ami(e) explosif avec des centres d'intérêts ou activités farfelus (ici, Daisy qui écrit des fanfictions de Star Wars à succès), des métaphores filées à travers tout le livre (ici: l'image de la spirale, la temporalité floue et magnifique du firmament), des citations en grand nombre (très diverses, dans cet ouvrage et très bien choisies!), etc... Je pourrai évidemment développer en comparant avec ces anciens livres, si vous le souhaiter, mais je pense que vous percevez ce dont je parle si vous êtes adepte de l'auteur. Le problème, ici, c'est que le tout n'est pas forcément harmonieux. Ainsi, les citations à foison font flirter nos deux tourtereaux à la limite de la grandiloquence, la meilleure amie explosive est presque caricaturale, le thème principal surexploité, et ainsi de suite...



Alors attention! Je note ceci car je veux livrer ici une critique honnête du livre. Mais cela n'en reste pas moins un superbe roman, extrêmement agréable à lire et dépeignant (une fois de plus!) l'adolescence et ses tourments à la quasi-perfection! On passe un très bon moment, et je vous l'assure: je suis dès à présent impatient que John Green écrive son prochain bouquin.

Et sans m'étendre, je voulais noter en passant la grande intelligence de la fin du livre. Si l'intrigue à proprement parler n'a pas un dénouement fou, le final de notre Aza, et ses paroles à la fin du livre sont magnifiques, rappelant que John Green, je le répète, est effroyablement malin.



Alors, je vous conseille ce livre. Je lui ai préféré "Qui es-tu Alaska?", "Nos Etoiles Contraires" et même "La Face Cachée de Margo". Mais aucun doute sur le fait que "Tortues à l'infini" est un très bon roman, et qu'il sera retenu comme tel. J'espère simplement que pour son prochain ouvrage, John Green sortira des sentiers qu'il s'est lui-même tracés, et me surprendra un peu plus.
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La face cachée de Margo

Après avoir découvert « Nos étoiles contraires » et « Qui es-tu Alaska ? » ; je me suis lancée dans « La face cachée de Margo » en raison de la sortie du film le 12 Août. Cette histoire est compliquée à cerner, surtout les personnages. Quentin est le garçon un peu coincée, sage et amoureux. Margo c'est la fille populaire au début, mais elle n'est pas elle-même ; elle est ce que les gens souhaitent qu'elle soit, elle est assez égocentrique, sauf que c'est son mystère qui fait ressortir cet aspect d'elle. Ben c'est le comique, le pantin de service. Radar c'est l'intelligent, la raison ; celui qui trouve toujours des solutions, remettant le puzzle en place pièce par pièce. Lacey c'est celle qu'on pense superficielle, sauf que ce n'est pas ce trait de personnalité qui la caractérise ; elle est plutôt sympathique et réfléchie, loyale aussi. Mais ils sont tous plus que ça...



Quentin est le héros de l'ouvrage, c'est quelqu'un de tellement attachant que j'ai eu un petit pincement au coeur en finissant ma lecture. Il est sincère, vrai. Mais le plus important de lui c'est qu'il est prêt à tout pour les gens qu'il aime, j'ai beaucoup aimé sa maturité mais aussi son manque de confiance. Son seul problème c'est qu'il essaye d'être Margo, de se mettre à sa place mais comme s'est dit dans ce livre : « On n'est pas les différentes pousses d'un même plant. Je ne peux pas être toi. Ni toi, moi. On imagine assez bien l'autre, mais jamais à la perfection. » - En fait, Quentin découvre de nouvelle chose et un nouvel horizon de voir la vie, grâce à Margo.

Margo c'est Margo ! Impossible de la décrire sans se perdre dans les explications. C'est une fille tellement étrange, extravagante ; complètement à l'opposée de notre idée de ce que je me suis fais d'elle au départ. Elle n'est pas seulement égocentrique, c'est un personnage qui est très difficile à comprendre et pourtant à la fin j'ai entraperçus ses idées, sa personnalité. En tout cas, elle ne manque pas de mystère, ses zones d'ombres sont comme des plaques de verre qu'il faut casser.



Ensemble ; Quentin et Margo ils font la paire. Ils sont un peu le couple improbable et pourtant ils sont liés par un fil indescriptible, incompréhensible. Ils ont une complicité très forte et pourtant si fine. C'est profond leur relation et surtout impossible de se mettre dans leur peau à tout les deux puisqu'ils sont différents de A à Z. Mais unis, comme dans les 100 premières pages ou encore à la toute fin, c'est Imaginer leur philosophie combinée ; voir deux étoiles se regarder une dernière fois avant que les nuages les emportent vers un autre ailleurs. Leur instant tout les deux ne sont pas tristes, c'est mélancolique et plein d'espoir. Et très captivant.



De plus les protagonistes secondaires sont très importants, limite essentiels au bon déroulement de la synopsis. Sans eux, l'ouvrage n'aurait presque plus d'intérêt. Ben rajoute cette fraîcheur, Radar met à profit l'intelligence et Lacey transmet une certaine protection. Ils m'ont plu tout les trois.



C'est l'histoire d'un garçon et d'une fille, Quentin est amoureux de Margo mais ne peut l'atteindre. Un soir cette jeune demoiselle secrète demande de l'aide à Q. pour des coups en douces, se vengeant sur ses soit disant amis. Ils vont vivre une nuit d'adrénaline, jusqu'au petit matin. Et puis elle disparaît, sans laisser un mot ; mais ce n'est pas tellement nouveau, c'est assez habituel venant de sa part. Alors personne ne fait rien, sauf Q. qui mène son enquête en cherchant les indices qu'elle aurait pu laisser à son intention. Il va dépasser les montagnes, s'ouvrir et faire des choses qu'il n'aurait jamais pensé faire. Dans cette intrigue le suspense et l'originalité met en valeur tout le reste, dont les héros. Sans ce mystère les personnages seraient fades et vides. Mais ici, les secrets et les rebondissements sont comme des explosifs, ça rend la lecture entraînante du début à la fin. Et puis ce n'est pas ordinaire ce genre de récit, en effet c'est de la Young-Adult mais très loin d'une histoire d'amour triste, ou étrange ; dans ce livre c'est plutôt cette touche de thriller, de jeunesse, de philosophie et d'amitié qui importe.



La peur est une émotion tenace dans ce roman, c'est d'ailleurs l'un des sentiments dès plus fort ; celui que j'ai ressenti jusqu'au bout. Après il y a dans les dernières pages de la mélancolie et une sensation de perte ; tout comme un grand soulagement. C'est seulement au dénouement de cette oeuvre que j'ai eu les larmes aux yeux, le final n'est pas triste ; il est juste rempli d'espoir. En vérité les émotions sont très confuses, tout comme les personnages. Pourtant elles sont là, hypnotisantes. L'admiration de Q., son amour pour Margo ; cette dernière un peu perdue, peut-être même vide. La terreur d'avoir abandonné quelqu'un, le besoin de découvrir la vérité. Tout ça c'est « La face cachée de Margo ».



John Green a cette plume que peu d'auteurs ont. Celle qui emporte, transporte. Elle est toujours pleine de métaphore, elles ont souvent un sens caché. Ce n'est pas forcément fluide, mais son écriture est un mélange de douceur, de coeur et de bienfait. Ses mots et phrases me font constamment réfléchir. Et dans ce roman ça ne fait pas défaut, j'ai eu envie de rentrer dans l'esprit des héros tout comme de l'auteur pour saisir toute la valeur de la synopsis. Comme s'est dit sur la quatrième page de couverture : « Personne ne s'intéresse vraiment aux choses importantes » - Avec John Green tout a l'air si facile, mais il n'y a qu'une nuance de gens qui expire vraiment au sens de la vie et de l'espoir ; comme John Green.



D'après moi c'est une lecture qu'il ne faut absolument pas manquer ! Cependant ce n'est pas tout à fait un coup de coeur, les sentiments ne m'ont pas touchés comme dans « Nos étoiles contraires ». En tout cas c'est sûr et certain que je l'ai préféré à « Qui es-tu Alaska ? ». Margo et Quentin sont deux protagonistes qu'on apprécie pour leur qualité et surtout leur défaut ; ils ont quelque chose de vrais et de réels ; alors je me suis automatiquement attachée à eux. L'intrigue est évidemment mystérieuse, attenante ; elle m'a complètement mise sur pile. J'étais impatiente de découvrir le fin mot de l'histoire. L'authenticité est excellente aussi, c'est plus que ce que j'attendais. En dépit de tout ça, c'est tout de même la plume de l'auteur avec laquelle j'ai été totalement convaincu. Un récit formidable, un petit road-trip drôle avec de jeunes adolescents, une amitié fascinante où l'amour a également sa place, une grande harmonie entre les personnages ; tout y est pour faire partie de cette aventure !
Lien : http://lesfaceslitteraires.b..
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Nos étoiles contraires

C'est un livre qui est difficile à oublier une fois refermé ....le sujet est assez dur donc on sait qu'on ne s'en sortira pas sans une larme ou au moins une certaine tristesse .Pourtant John Green ,dont j'avais adoré le précédent livre "Qui es-tu Alaska" ,arrive à rendre cette histoire magnifique ,sans excès . Les deux personnages sont drôles ,matures et très attachants dès les premières pages . J'ai donc passé un très bon moment même si là encore j'ai la gorge un peu nouée.
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Nos étoiles contraires

PEPITE



Probablement la plus belle histoire d'amour s'il m'ait été donné de lire. Sans aucun doute la plus triste aussi.

Deux adolescents cancéreux tombent amoureux.

Ça pourrait être pathétique, ça ne l'est jamais.

Ça pourrait être démoralisant, et c'est le contraire qui se produit. C'est triste, mais on ressort de cette lecture avec un surplus d'amour.

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Will et Will

Bonjour :)



Je dois dire que j'ai longuement hésité avant d'écrire cette critique, puisque je n'ai pas lu tout le livre. Mais au final, je me suis dit que ça aiderait peut-être certains d'entre vous à vous décider sur cette lecture :D



Bon, je commence. On est avec un Will (le 1e) qui vit une vie normale (stéréotypée je trouve). Il n'a qu'un seul pote gay nommé Tiny. On a ensuite un autre personnage nommé Will (le 2e) qui est gay, et est dans une dépression assez importante, elle lui donne des envies de suicide. Les 2 font faire connaissance et se lier d'amitié.



Tout d'abord, je n'ai pas lu tout le livre. Je n'ai que lu les chapitres (alternés entre chaque Will) du Will 2. Ayant commencé avec ceux de Will 1, j'ai réalisé un bout d'un moment qu'on pouvait presque les lire indépendamment de l'autre. En fait je n'ai pas lu les chapitres de Will 1 car je ne comprenais absolument rien au texte (ça commence très vite, et il n'y a pas tellement de présentation des faits au début)... Le Will 2, malgré son côté obscur était mille fois plus compréhensible que le 1, et l'écriture était beaucoup plus entraînante.



Ensuite, c'est une bonne idée de donner le même prénom/nom à deux personnages, mais quelquefois c'est dur de comprendre ce qu'il se passe... donc ce point-là m'a aussi déçu. Pourtant, l'histoire, le sujet, et le concept étaient bien, et j'accrochais, mais pas à l'écriture...



Les personnages : on ne sait rien sur eux (j'aime bien avoir une présentation des perso vers le début, sinon je suis perdu, ce qui est arrivé ici avec les 2 will). On ne comprend pas forcément pourquoi Will2 fait une dépression (ce n'est pas dit explicitement).

Malgré cela, Will2, sa mère et Jane, je les apprécie beaucoup, ils sont attachants comme personnages.



Une autre chose me revient en tête, c'est la fin... elle n'est pas forcément explicite non plus. Le spectacle de Tiny, c'est bien beau, mais j'aurais aimé une fin plus longue, avec, je sais pas, un bisou, ou alors la mère de Will2 et Will2 aussi qui vont mieux, ... elle était légèrement courte ici, la fin, mais elle n'en reste pas moins appréciable :D



Bon, malgré tous ces points négatifs (on les voit plus facilement que les positifs je trouve), j'ai passé une lecture agréable, d'où le fait que je l'ai finis en une seule soirée :)



De plus, le message est vraiment bien, cependant, accepter la différence, l'homosexualité n'est absolument pas un choix, tout comme la dépression n'est pas juste se sentir déprimé ; enfin, l'obésité n'est pas facile à vivre (et comme le dit bilodoh dans sa critique, les couches qui recouvrent le cœur de Tiny ne l'empêchent pas d'être blessé par les jugements des autres.





J'espère que j'ai été clair dans ma critique, car l'histoire en elle-même est assez complexe je trouve.



J'ai donc été déçu par ce John Green, et j'espère trouver mieux dans un de ses prochains livres :D



Passez une belle semaine, et 189 critiques o/
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Nos étoiles contraires

Je m'attendais à lire un énième mélodrame sur la maladie et puis la quatrième de couverture ne me plaisait pas et la couleur bleue du livre non plus...



Finalement passant outre ces détails, je l'ai lu d'une traite, émue aux larmes, riant et pleurant à chaque page, tremblant pour chaque personnage, attachants et aussi beaux que des étoiles...



Une vraie réussite.
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Nos étoiles contraires

C’est une tâche difficile de faire une note sur un livre qui a déjà été chroniqué 1499 fois ! L’histoire est connue. Deux adolescents lourdement atteints de cancer se rencontrent, le courant passe entre eux, ils ont le même humour, le même regard distancié sur leur maladie, le même esprit caustique et le même sens de l’auto-dérision. Leur challenge : savoir par tous les moyens ce que deviennent les personnages de leur livre préféré, et pour cela ils vont aller voir l’auteur à Amsterdam… Rien ne se passera comme prévu mais leurs sentiments vont s’affirmer et une belle histoire d’amour va naître, malgré l’épée de Damoclès qu’ils ont tous les deux au-dessus de leur tête !



Comme je crois tous les lecteurs, j’ai eu un vrai coup de cœur pour ce livre. C’est certes plutôt un roman pour adolescent, mais l’histoire est vive, bien menée, les personnages sont attachants. Et l’émotion, inévitable, est mêlée à un humour ravageur qui vous laisse entre rire et larmes ! L’histoire est fictive mais a quand même été inspirée par une adolescente rencontrée par l’auteur. Je comprends l’engouement pour ce livre, moi non plus je n’oublierai pas Augustus et Hazel et les émotions fortes qu’ils nous offrent !

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Nos étoiles contraires

Il est assez difficile pour moi de commenter ce livre qui aborde un sujet que j'évite autant que faire se peut dans mes choix de lectures, à savoir les enfants malades (ici des ados atteints de cancers).

Pourtant, je dois avouer que, quitte à aborder une thématique aussi lourde, Nos étoiles contraires le fait très bien : par le prisme de ces jeunes qui refusent de se résumer à leur maladie et font preuve d'un humour à tout épreuve.

C'est un ouvrage poignant, émouvant et qui reste optimiste malgré tout.
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Nos étoiles contraires

Hazel, 16 ans, est atteinte d'un cancer incurable. Gus, lui, est en rémission après avoir été amputé d'une jambe. Lorsque ces 2 étoiles contraires se rencontrent lors d'un groupe de parole, c'est le coup de foudre. Ils vont apprendre à se découvrir, se soutenir, s'aimer malgré la maladie qui rythme leur vie.

Ce roman parle d'un sujet grave, le cancer chez les adolescents, mais le fait avec beaucoup d'émotions et de sensibilité.

Hazel, Gus et leur ami Isaac sont des personnages forts qui se battent pour vivre leur adolescence coûte que coûte, qui luttent contre la maladie avec beaucoup de courage et qui gardent en eux des espoirs, des rêves.

Ce récit parle de la mort mais c'est surtout une magnifique ode à la vie !

Je remercie Babelio et les Editions Nathan pour m'avoir fait découvrir ce livre poignant lors du dernier masse critique.

Un vrai coup de cœur, un petit bijou qui mérite amplement toutes les critiques positives lues sur ce site...
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Le théorème des Katherine

Je suis complètement passée à côté de ce roman.

j'ai pourtant adoré Où es tu Alaska? et Nos étoiles contraires.

Là je tombe de haut. Impossible d'accrocher à l'histoire et aux personnages. Je lis huit chapitres. Je me dis ce n'est pas possible. Je lis quelques bonnes critiques. J'insiste je reprends ma lecture. Mais la sauce ne prend toujours pas. Rendez vous manqué. Même le scenario m'a laissé de marbre. Un garçon surdoué Colin qui après être sorti avec 18 katherine se fait larguer par la 19ème. Suit un road trip avec son meilleur ami Hassan.

Voilà voilà. Je me suis ennuyée.
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Qui es-tu Alaska ?

Okay alors… par quoi commencer ?



Je connais la plume de John Green depuis quelques années maintenant, et c'est sa dernière oeuvre de fiction qu'il me restait à lire.

Bref, je voulais lire Qui es-tu Alaska ? depuis une éternité.



J'ai un rapport très ambivalent avec ses oeuvres. (je ne sais même pas si cela se dit... bref) C'est un peu étrange à expliquer mais voilà : autant Nos Étoiles Contraires avait été un immense coup de coeur, que j'ai relu et qui fait parti de mes lectures favorites de tous les temps... Autant j'avais eu beaucoup plus de mal à accrocher à ses autres romans.



Malgré le fait que j'appréhendais de ne pas aimer, je tenais quand même à lire Qui es-tu Alaska ? parce que j'en avais beaucoup entendu de bien, et quelque part j'étais très intriguée de découvrir cette oeuvre. Sincèrement, j'avais ENVIE d'aimer cette lecture.



Et pfiou. Qu'est-ce que j'ai bien fait de lire ce roman !...



Chip (aka le Colonel) n'est pas spécialement quelqu'un à qui je m'identifie, mais je l'ai bien aimé dès le début. J'éprouve beaucoup de sympathie pour lui et cela se confirma au fil des chapitres.

Alaska... je dois dire que j'ai eu beaucoup de mal à la cerner. Mais je l'aime bien. Elle me fait rire. Elle sort de l'ordinaire et ça me plaît. On s'attache à elle.

Takumi est un peu plus effacé je trouve, comparé aux deux autres. Il m'a moins marqué (et je le dis à l'heure actuelle, deux semaines après avoir lu ce livre), néanmoins, il n'en reste pas moins un personnage attachant et qui bien sûr parti de la bande.

Quant au personnage principal, Miles… au début je l'aimais bien sans plus. J'avais du mal à savoir que penser de lui. D'un côté, dans les premiers chapitres surtout, je le trouvais un peu sans personnalité particulière, presque fade face à Chip et Alaska. Et puis... je m'y suis attachée. Je me suis rendu compte qu'il était surtout réaliste. Et que n'importe qui, au fond, pouvait s'y identifier.



En commençant ce livre, je ne m'attendais pas à cela.

Mais qui s'y attendait ?

Je n'avais pas essayé de comprendre les titres de chapitres… « Tel nombre de jours avant ».

Aucune hypothèse ou idée ne m'était venu à l'esprit et je ne cherchais plus. Je lisais sans me poser de questions, constatant seulement le compte à rebours réduire de plus en plus au fil des pages...



C'était tellement brutal que je n'ai pas été envahie de tristesse. Enfin pas de suite. Je me sentais vide. Pleine d'incompréhension.

Mais bordel.



Je ne m'attendais pas à ce retournement de situation si brutal. Si dur. (on pouvait s'y attendre, si bien sûr, mais me concernant, je crois que je refusais de me faire à l'idée que ce livre n'était pas seulement une "sympathique lecture feel good et insouciante pour adolescents"...)



En continuant ma lecture le lendemain, j'ai été envahie d'une puissante et profonde tristesse.



Bref, j'ai beaucoup aimé le style d'écriture de John Green. C'est complètement contradictoire avec ce que j'ai ressenti durant mes autres lectures (excepté Nos Étoiles Contraires) mais je suis bien incapable de l'expliquer.

Durant ce livre, je me suis attachée au narrateur et aux autres personnages. Profondément



Je me souviens que pour Nos Étoiles Contraires, les notes écrites sur la couverture et la quatrième résumaient étonnamment bien le livre, cela en était impressionnant et particulièrement touchant.

J'ai ressenti exactement la même chose pour Qui es-tu Alaska ?.

« Un roman qui fait rire, et fondre en larmes l'instant d'après… »

Même si je n'ai pas fondu en larmes. C'était comme si.



Il y a des moments dans ce livre remplis d'humour, de phrases qui m'ont fait sourire, rire intérieurement. Même durant la seconde partie du bouquin.

Pourtant, l'histoire repose sur un fond aussi bien plus sombre et triste. C'est un drame, incontestablement.



Avant de lire les derniers chapitres, je ne me sentais déjà pas très bien émotionnellement. Je n'avais pas réellement de raison mais bref, peu importe. Tout cela pour dire que j'ai été bouleversée en lisant les dernières pages, puis la note de fin de l'auteur. Je n'ai pas pleuré mais j'avais la gorge nouée. Je ne m'attendais pas à ressentir tant d'émotions avec ce livre. C'est indescriptible.



Je suis tellement partagée avec les oeuvres de John Green, mais celle-ci… elle a réussi à m'emporter avec elle. Je n'ai juste pas les mots.

Je suis vraiment triste d'avoir terminé cette lecture, mais très heureuse de cette découverte.

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Nos étoiles contraires

Hazel Grace est malade, très malade : son cancer de la thyroïde a détruit ses poumons. Augustus est en rémission d’un cancer des os et porte une prothèse suit à l’amputation d’une jambe… Malgré cela, ces deux là vont se rencontrer, s’apprécier et même s’aimer sous nos yeux un peu humides.

Une grande force se dégage de cette histoire et malgré le sujet des plus dramatiques on rit et on admire ces ados aux caractères bien affirmés. Une belle découverte !!!
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Nos étoiles contraires

Quel roman ! On va suivre l'aventure que dis-je la belle et émouvante histoire d'amour de Hazel Grace et Augustus. Drôle de lieu, que de se rencontrer dans un groupe de soutien. On découvre qu'Hazel à un cancer de la thyroïde, mais surtout des poumons remplis de métastases et d'eau.

Augustus, lui a un ostéosarcome et s'il est ici c'est pour soutenir son ami Isaac qui va devenir aveugle.

Hazel et Augustus sont différents et veulent se protéger mais l'amour est là et va s'installer.



Ce roman fait pleurer, mais il n'est pas triste, disons que les larmes coulent toutes seules, il est poignant mais drôle.

Nos étoiles contraires se dévore, il est impossible de le lâcher tant par rapport à l'histoire, mais surtout au style de John Green que je ne connaissais pas.

Beaucoup de dialogues et des chapitres courts mais intenses.



Ce roman n'est pas un témoignage de gens ayant eu le cancer, ce roman est seulement une histoire entre une fille et un garçon, leurs amis et leurs familles.

Nos étoiles contraires est un mélange d'émotions qui laisse un très bon souvenir.
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Nos étoiles contraires

Ce livre, ça faisait longtemps que je voulais le lire. Et après avoir tant entendu d'avis positifs et de gens disant que ça avait été un coup de coeur, j'avait peur d'en attendre trop.

Et au début, je trouvais qu'il était bien, mais sans plus. Mais quand j'ai avancé dans ma lecture, j'ai adoré. Et j'ai pleuré.

Ce livre est super, on pourrait s'attendre à ce qu'il soit seulement triste et sombre, vu le sujet, mais il est beau, triste bien sur. le sujet principal n'est pas le cancer. Non, même si celui ci est très présent, le véritable sujet c'est l'histoire d'amour de Gus et Hazel.



Hazel est atteinte d'un cancer. Son traitement retarde sa mort, mais elle est tout de même condamné. Elle va régulièrement à un club de soutien pour survivants du cancer, elle déteste ça, mais c'est là-bas qu'elle va rencontrer Augustus. Celui ci est un survivant du cancer, on l'a amputé d'une jambe.



Ils vont tomber amoureux. Ils vont partager leurs passions. Ils vont faire un voyage aux Pays Bas. Ils vont même faire plus que tout ça.

Mais une nouvelle horrible va bouleverser leurs vies.



À lire ! Absolument !

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