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Critiques de José Alvarez (15)
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Helmut & June : Portraits croisés

Texte de José Alvarez.

Ami proche du couple, l’auteur a compulsé de nombreux ouvrages pour produire une biographie double. Il commence par celle du petit juif allemand dont la jeunesse berlinoise est marquée par la montée du nazisme et de l’antisémitisme. « Comblé par ses expériences photographiques, Helmut n’en demeure pas moins attentif à la situation politique ainsi qu’aux tourments vécus par sa famille. La haine à l’égard des juifs, les injures proférées à leur endroit l’inquiètent davantage qu’elles ne le bouleversent. Le fossé qui s’est creusé entre les deux communautés est incommensurable. Ces hommes et ces femmes humiliés, révoltés ou résignés, s’ils en réchappent, ne cesseront jamais de crier leur indignation. Le mal est fait, ainsi que l’inventaire des horreurs qui traversent le monde. On ne meurt pas par hasard. » (p. 41&42) Le jeune Helmut quitte l’Allemagne pour Singapour, puis pour l’Australie où il intègre l’armée pendant la Seconde Guerre mondiale. Survient la rencontre avec June Brunell, actrice australienne. Ils se marient en 1948 et, pour son époux, June renonce au théâtre et suit Helmut en France et à Los Angeles. Couple soudé par l’art, Helmut et June marquent l’histoire de Vogue dans différents pays. June devient photographe sous le pseudonyme d’Alice Springs. Les époux Newton restent liés jusqu’à la mort d’Helmut.

Je connaissais peu le travail d’Helmut Newton. L’ouvrage de José Alvarez a comblé cette lacune et me voilà les yeux béatement saturés de nus féminins très érotiques, grâce aux nombreuses reproductions disséminées au fil des pages. « Helmut rencontre le succès sans rien renier de ses ambitions. Son travail est d’un érotisme qui flirte avec la perversité, de quoi choquer les âmes bien-pensantes et faire trembler les rédactrices de mode prises à leur propre jeu, entre crainte et séduction. Ses clichés sont fréquemment refusés mais qu’à cela ne tienne, il récidive de plus belle tout en étant conscient que ses photos sont osées, très osées même au regard de ce qui est publié voire couramment admis par les annonceurs et les lecteurs. Mais les faits sont têtus. Helmut n’a-t-il pas toujours prôné la liberté absolue dans son travail, ne jamais transiger, ne jamais se soumettre à une vision consensuelle ? Un créateur ne doit pas se laisser dicter sa conduite. Avec le soutien de June, il est prêt à affronter la vie comme on prend possession d’un empire sur lequel on ambitionne de régner. L’important, c’est de trouver son style, inventer un monde singulier, le sien, sans concessions et sans se soucier du jugement d’autrui, en l’occurrence une bourgeoisie encore repliée sur ses vieilles valeurs, alors que la plupart des lectrices et des amateurs se reconnaissent déjà dans son travail, une majorité stimulée par la vision d’une femme affranchie, maîtresse d’elle-même. Un créateur moquant dans ses photographies en noir et blanc les fantasmes masculins. » (p. 180) Il faut cependant que je déplore le peu de place laissé à June dans cet ouvrage. Elle est la femme, l’épouse, la compagne, presque le faire-valoir, celle qui sacrifie son art pour permettre à son époux de développer le sien. Et de fait, le livre parle principalement d’Helmut. C’est certes passionnant, mais le titre annonçait davantage.

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Avec la mort en tenue de bataille

Loin de son époux Leopoldo resté en Argentine, Iñes Ibañez del Valle est prise dans le tourbillon de la guerre civile espagnole.

Elle envoie ses cinq enfants en France pour les mettre en sécurité, du moins, le pense-t-elle, tandis qu'elle-même va, désormais, être confrontée aux affres de ces combats fratricides .

Le père Dom Alfonso, familier de la table d'Iñes et de sa soeur Conception, va les trahir.

Sans vergogne, Il dénonce les deux soeurs qui cachent Francisco, un ami de leur frère Pédro , ce dernier est fusillé peu après , tandis qu'elles-mêmes seront dépossédées de leurs biens au profit d'un cousin notable phalangiste, emprisonnées dans d'horribles conditions puis libérées par l'entremise d'un étrange geôlier Andres. Au cours de cette incarcération, Iñes porte secours à un prisonnier Javier Davila, horriblement torturé, et avec l'aide d'Andres, parviendra à le faire évader, in extremis alors qu'il se trouvait devant le peloton d'exécution .



Ce roman décrit les violences, les atrocités de cette guerre civile. Il permet aussi, bribe après bribe de se plonger dans l'Histoire hispanique des XIX e et XX e siècles où l'on trouve tous les prodromes de cette peste civile qui dévastera le pays, toutes les composantes, et bien des prémisses de ce qui déclenchera ce désastre en 1937 : la première guerre carliste de 1833, où s'affrontèrent déjà des traditionalistes , des fanatiques religieux et des libéraux centralisateurs, puis la révolution de 1868, « La septembrina”…

On suit Iñes et les autres personnages dans leur périple à travers la péninsule ibérique, Séville, Grenade, Santander, Bilbao , Madrid, Barcelone …

C'est pour José Alavarez le prétexte à décrire les villes, les paysages, les monuments, de citer Lorca, poète martyr, d'ajouter d'autres anecdotes inspirées par des témoignages livrés par ceux qui participèrent de gré ou de force, de près ou de loin, à ce terrible conflit, et ceux , innocents qui en furent victimes, comme les enfants volés, d'autres figures , furtivement, apparaissent pour témoigner de ces barbaries, de ces monstruosités . Il livre aussi une anthologie du flamenco, de la corrida, des toreros de cette époque Manolete, Dominguin…

Un récit foisonnant de détails, de personnages ce qui rend, peut être, l'histoire prolixe mais personnellement, je n'ai pas ressenti cela.



Et puis il y a Iñes qui est est le paradigme , le symbole, de ces femmes espagnoles, déterminées, courageuses, inflexible, combatives jusqu'à l’extrême, qui participèrent à cette guerre terrible. Et comme cela a été le cas au cours d'autres guerres, la femme, Iñes ici, se libère du joug marital et sociétal. Au travers de ce personnage de fiction, c'est un hommage fort que José Alvarez rend à ces femmes.



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Avec la mort en tenue de bataille

Alléché ( comme souvent ) par la 4ème de couverture qui me promettait " une histoire d'amour ,de frahison et de sang" se déroulant pendant la guerre civile espagnole (1936 et la suite) , j'ai abordé ce livre avec bonne volonté et sans préjugé pour être rapidement rebuté par le style ou plutôt l'absence de style , c'est écrit, je ne dirai pas avec un manche de pioche mais presque , on dirait d'une rédaction poussive d'un élève sous-doué de 4ème , les faits historiques rapportés sont exacts mais ce n'est pas de la littérature ,même pas du journalisme ,c'est ... sans interet . j'ai péniblement poursuivi jusqu'à la page 127 ( ce truc ,je n'ose dire ce livre ---et pourtant tous les jours ,on déforeste pour nous alimenter en "ouvrages" du même acabit voire pires---fait 218 pages ) où j'ai décidé d'appliquer ma méthode dite "tranche-montagne" : quelques ligne par chapitre jusqu'au dernier que je m'astreins à lire en entier . et la conclusion pour moi est sans appel : aux oubliettes . Amen !
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Avec la mort en tenue de bataille

Un livre sur la guerre civile en Espagne en 1936.

Très bien documenté ce roman est l'histoire d'une femme qui joue un role important dans un réseau clandestin lors de la guerre civile espagnole.

Beaucoup de personnages célèbres sont cités peut être un peu trop à mon goût , j' ai passé beaucoup de temps à faire des recherches pas négatif en soit mais j'ai perdu le fil de l'histoire.

Un excellent documentaire pour les gens férus de cette période historique espagnole
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François Pinault : Artiste contemporain

« François Pinault : artiste contemporain »



Tel est le titre original et séduisant de l’ouvrage que consacre l’écrivain et éditeur de livres d’art José Alvarez au milliardaire français. Reprenant nombre d’articles et d’entretiens, ce livre offre peu d’informations nouvelles, mais dessine un portrait subjectif de François Pinault, des artistes de sa collection et de l’art d’aujourd’hui. Tellement subjectif qu’on ne peut que déplorer certains jugements à l’emporte-pièce sur des personnalités telles que Daniel Buren. Son intervention sur l’architecture de la fondation Louis Vuitton, en 2016, y est ainsi qualifiée de « spectacle d’une trop évidente complaisance », quand Beaux Art Magazine en loua au contraire la réalisation. Il en va de même pour Tino Sehgal, célébré du Guggenheim de New York au Palais de Tokyo, mais dont Alvarez compare les œuvres à « d’affligeantes répétitions de choses vues depuis les années 1960 ». Parallèlement, le directeur des éditions du Regard y fait l’éloge d’Anselm Kiefer –que, pour ma part, je qualifierais d’artiste pompier-, oubliant de préciser qu’il a lui-même publié des monographies du plasticien allemand. Au-delà des goûts et dégoûts de José Alvarez, ce qui fait la saveur de ce livre, c’est la passion de ce dernier pour François Pinault et sa tentative de percer à jour le « corsaire », ce « petit Napoléon, certes, mais en aucun cas un despote véritable », en établissant des corrélations entre son enfance, ses combats de capitaine d’industrie, sa passion pour la Bretagne et sa collection.



Cette tentative se solde par un échec. On n’apprend rien de plus sur François Pinault et les considérations personnelles de l’auteur nuisent à ce portrait, à l’instar de cette analyse sur la collection du propriétaire de Christie’s : « Certains artistes […] sont surreprésentés, ce qui s’explique par l’absence, selon moi, d’une personnalité forte au sein de son équipe, intransigeante et professionnelle, susceptible de conseiller François Pinault afin de mieux structurer la collection, si toutefois celui-ci est en mesure d’entendre un avis spécialisé autre que le sien. » Est-ce une candidature spontanée ? En tout cas, cet essai montre que le fondateur du Palazzo Grassi et de la Punta della Dogana, aussi créatif soit-il, n’est pas un artiste et que seuls, peut-être, ceux qu’il fréquente régulièrement dans leurs ateliers seraient à même de faire son portrait.



Edito de Fabrice Bousteau_ Beaux-Arts magazine Octobre 2018

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Avec la mort en tenue de bataille

Excellent ouvrage, très bien écrit, on plonge dans l'Espagne franquiste avec des personnages passionnés et passionnants, dur et réaliste, A NE PAS MANQUER
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Avec la mort en tenue de bataille

Dès le début, José Alvarez nous plonge dans l’univers violent de la guerre. La guerre civile d’Espagne. Aussi barbare et cruelle que n’importe quelle guerre. Si le récit possède quelques personnages dont un personnage féminin important, pour moi, le personnage principal de ce livre est inévitablement cette guerre.



L’auteur nous décrit toute l’horreur que chaque camp, l’un comme l’autre, a pu perpétrer. Parce-qu’au final, une guerre c’est ça : ni gentil, ni méchant, mais les actes que les deux parties commettent. Des actes de barbarie. La cruauté humaine comme on la voit encore tous les jours aux informations.



Pour cette raison, le livre est dur. L’auteur ne tourne pas autour du pot pour nous décrire les fusillades de masses dans les arènes. Il n’enrobe pas les choses pour nous raconter la torture d’un opposant. Et c’est tellement dur. Comme si je ne voyais pas passer suffisamment d’actes de violence tous les jours sur les réseaux sociaux. Mais il faut croire que c’est la nature humaine. Sans doute. Peut-être qu’il n’y a pas d’espoir.



Au fond, ce que je préfère retenir de ce livre, au-delà de la cruauté humaine, c’est la force de certains face à la dureté de la guerre. Inès, cette femme décrite d’abord comme une mère, se transforme au fil du roman en une véritable guerrière. Non, elle ne part pas en première ligne aux combats. Elle défend ses convictions, elle défend ceux qu’elle aime jusqu’à commettre le pire. Et qui est-on pour la juger ? Comment peut-on savoir comment nous réagirions si nous étions confrontés à ces choix infaisables que la guerre oppose à l’humain ? Si on peut espérer agir d’une certaine façon, la réalité peut-être bien différente.



Inès, elle, parvient à respecter ses idéaux. Et c’est admirable. Son mari absent, elle ne peut compter que sur elle-même et peut-être accordera-t-elle sa confiance à d’autres que certains trahiront. Inès est fière, intègre. Ses choix sont parfois instinctifs mais la plupart du temps, elle réfléchit. C’est une mère, une épouse, une sœur, une amante. Et elle vit avec passion chacun de ses statuts....https://pauseearlgreyblog.wordpress.com/2016/09/02/rentree-litteraire-avec-la-mort-en-tenue-de-bataille-jose-alvarez/
Lien : https://pauseearlgreyblog.wo..
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Anselm Kiefer : Au Grand Palais

A la question, quels sont vos deux artistes peintre préférés, ma réponse, d'abord hésitante, aboutit toujours à Zao WOU-KI et... Anselm KIEFER.

J'éprouve un véritable choc lorsque je le découvre en 2007 à l'expo Monumenta. J'apprends aujourd'hui qu'Anselm KIEFER revient au grand palais du 16/12/2021 au 11/01/2022. Rarement un artiste n'a produit un tel conflit cognitif chez moi, esthétique mélant nature et culture, histoire et poésie, pesanteur et lignes infinies. Et puis à travers lui je découvre Paul CELAN et Ingeborg BACHMANN, merveilleux couple de poètes.


Lien : https://www.grandpalais.fr/f..
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Histoires de l'Art Déco

Ce livre à l'attention des amateurs d'Art Déco est particulièrement réussi.

Il traite de l'histoire de l'Art Déco, en passant par a disparition du marché à sa renaissance. Il est parsemé de photos qui, si elles ne sont pas nombreuses, sont extrêmement bien choisies et mettent en valeur ce que peut représenter cet art majeur.

Le livre se termine par les explications sur les différents courants de l’Art Déco et sur la biographie des artistes les plus connus.

A noter que le format est lui-même très réussi. A comparer aux livres souvent trop imposants, celui-ci est d'un format raisonnable.





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Anna la Nuit

Un auteur assemble les mots, les contemple, les tripote, les éventre pour en extraire le suc, la sève nécessaire à son ouvrage. Et cette alchimie aboutit parfois à des réussites comme Anna la nuit.



Cette Anna apparaît comme une enfant gâtée aux tendances suicidaires, une sorte de fantasme que le narrateur gonfle et dégonfle au gré de son récit.



L'histoire ? Il est très malaisé d'en avancer une. Est-ce la vie qui passe ? Une relation amoureuse qui n'en est pas une ? Deux destins, deux vies, deux corps qui s'unissent un moment ? Le narrateur le déclare sans préambule : "je n'ai jamais recherché le bonheur".



Des personnages sont des clés et nombre les reconnaîtront. Il y a des pages superbes sur Lanzarote, sur les Newton, Helmut et June, sur l'amour désabusé. Et surtout sur une créature humaine magnifique, Jean-Marc.



On pense à Hemingway, celui de Paris est une fête, où l'on croise des célébrités. Anna la nuit s'achève sur un dialogue entre Anna et Maria Callas. C'est la chronique de toute une époque, celle des années 67-77, où l'insouciance était reine. Et c'est sans doute cette oisiveté disparue, cette formidable paresse de la vie qui est le véritable attrait de ce court roman.


Lien : http://livrespourvous.center..
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Helmut & June : Portraits croisés

Il ne serait pas devenu un grand photographe sans elle. Helmut & June raconte un couple fascinant.




Lien : https://www.lefigaro.fr/livr..
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Avec la mort en tenue de bataille

"Avec la mort en tenue de bataille " de José Alvarez (218 p)

Ed.Albin Michel



Bonjour les lecteurs...



Déception pour ce livre dont la 4° de couverture était pourtant alléchante.



Sur fond de guerre civile espagnole, nous suivons Ines, femme respectueuse appartenant à la bourgeoisie espagnole.

Ines est mariée à un capitaine au long court qui brille par ses absences et est mère de 5 enfants.

Ses enfants, elle les a évacués dès le début du conflit et espère qu'ils sont en sécurité en France.

Suite à une trahison d'un proche, Ines et sa sœur sont enfermée et dépossédée de leurs biens..

Elles seront libérées grâce à Andrès, un étrange geôlier qui n'est pas indifférent aux charmes d'Ines.

Lors de son enfermement, Ines réalise l'état dans lequel se trouve son pays. Ce ne sont plus que luttes sanglantes. Les amis d'hier sont devenus les ennemis d'aujourd'hui.

C'est le chaos total.

Ines révèle sa force de caractère et part à la recherche de ses enfants tout en se transformant en une combattante intrépide et amoureuse luttant pour ses idées.



Serez-vous conquis par l'histoire d'Ines ?

Pour ma part pas du tout !!



Tout d'abord, ce roman, axé sur la guerre civile espagnole, l'aborde en fait très peu. Tout est survolé et c'est bien dommage.

Il y aurait portant eu matière à développer, cette période historique étant peu relatée et riche en drames qui auraient mérité d'êtres mis en lumières.



Le style de l'auteur ne m'a pas franchement convaincue. Rien n'est approfondi, que ce soit le côté historique ou romancé du récit.

Par contre il y a ne pléthore de personnages qu'on en vient à en perdre son espagnol !!!



Et enfin, est-ce du au style d'écriture? .. je n'ai ressenti aucune empathie pour Ines!!!!



Bref, vous l'aurez compris, ce court roman ne m'a franchement pas convaincue, il m'a même agacée, lassée.



Il alimentera la boite à livre de mon quartier où il rencontrera peut-être un lecteur plus enthousiaste
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Avec la mort en tenue de bataille

Inès est emprisonnée avec sa sœur suite à la traitrise d’un ami proche. Mal nourrie et humiliée, la jeune femme se forge une carapace et rêve de vengeance. Son mari l’a abandonné et elle a confié ses enfants à une personne de confiance pour les faire passer en France.



Libérées avec l’aide de leur gardien de prison qui les prends sous son aile et qui tombe sous le charme de cette maman courageuse, il décide d’aider Inès à retrouver ses enfants pour qu’elle les rejoignent. Mais les petits sont introuvables et ne sont pas là où ils auraient du aller… La jeune femme va se battre bec et ongles pour sortir de tout cela et reconstruire sa famille éparpillée.



Le résumé m’avait beaucoup attirée, l’histoire de cette maman espagnole prête à tout pour retrouver ses enfants au milieu d’une guerre sanglante déchirant l’Espagne. Malheureusement, j’ai eu beaucoup de mal avec l’écriture de l’auteur qui raconte cela sous forme de mémoire avec peu de dialogues et beaucoup de politique. Impossible de s’attacher aux personnages. Les événements sont rapides, les écrits sont fluides mais finalement ce n’est pas du tout mon genre de roman. J’ai abandonné la lecture à la moitié du livre.



Je pense que c’est un roman qui parlera beaucoup plus aux passionnés d’Histoire, particulièrement cette période qui se passe à la veille de la seconde guerre mondiale et qui voit la montée de la dictature en Europe.



Je remercie Albin Michel pour ce service presse.
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Avec la mort en tenue de bataille

J'ai apprécié cet ouvrage, mais j'ai été perdu par tous ses personnages. L’héroïne est forte comme on aimerai l'être, et face à l'adversité elle se découvre. Très intéressant
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Un XXe siècle artistique

Ce panorama, érudit sans être élitiste et superbement illustré, aide en effet à mieux comprendre ce XXe siècle tout juste éteint.
Lien : http://rss.feedsportal.com/c..
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