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Critiques de K. Bromberg (1116)
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Driven, tome 1

Un premier tome qui me laisse un peu mitigée. En effet, beaucoup de positif comme le choc de la rencontre entre deux univers fondamentalement différents et des personnages qui, s'ils n'étaient pas aussi buté, ont beaucoup de charisme et un potentiel affectif énorme. Cependant cela manque d'originalité, c'est un peu cousu de fil blanc si ce n'est le dénouement un peu plus étonnant . La suite peut amener le meilleur comme le pire. A voir mais le prochain tome devra encore faire ses preuves ...
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Driven, tome 1

Encore une nouvelle parution qui va voir le jour chez Hugo New Romance ; décidément la collection nous gâte en cette fin d’année ! A l’annonce de ce titre, j‘étais très curieuse de le découvrir, surtout vu les très bons échos que possède cette trilogie dans le monde anglo-saxon. Et puis, il faut le dire, les titres d’Hugo New Romance me font à chaque fois passer un très bon moment, donc je n’ai pas vraiment cherché et je me suis lancée sans hésitation.



Driven nous fait ainsi découvrir un univers que je n’avais jusque là jamais rencontré dans les livres : celui de la F1. Mais loin de nous plonger à fond dedans, l’auteur ne le fait que par petite touche, ce qui nous laisse doucement prendre connaissance de ce décor, mais aussi de son envers. La Formule 1 reste du coup très compréhensible et, avec ces bases de posées, laisse envisager des prochains tomes bien plus riches.



Concernant ce premier opus, j’avoue par contre être assez mitigée. J’ai beaucoup aimé l’histoire en général, mais cela n’a pas été un coup de coeur pour autant. Ce tome est vraiment introductif, il nous dévoile une histoire qui ne brille pas vraiment par son originalité. En effet, elle pose les bases d’un récit qui va petit à petit nous interpeller, mais en reprenant les éléments habituels su genre. La première partie de présentation m’a quand même assez emballée, l’aspect charitable du travail de Rylee était vraiment touchant, tandis que le côté « star » de Colton était au contraire assez rédhibitoire dans le genre beau-gosse-macho-trop-sûr-de-lui. Par contre, la suite du récit laisse de côté ces aspects là pour se focaliser sur l’histoire qui s’installe entre Rylee et Colton. Cette partie là m’a moins captivée durant un moment, car ce jeu de « suis-moi je te fuis, fuis-moi je te suis » me semblait vu et revu et m’a, par moment, lassée.



Mais là où K. Bromberg m’a prise au dépourvu, c’est dans la psychologie de ses personnages. Ils paraissent dans un premier temps des plus banals, on a cette impression de déjà-lu qui s’installe. Pourtant, même si les personnages sont torturés, ils possèdent un côté assez « intelligent ». Ils ne se leurrent pas vraiment, Rylee est même remarquable quant à ses positions. Mais surtout ils trainent des bagages qui intriguent le lecteur. Si ceux de Rylee se devinent assez aisément, j’avoue ne pas avoir encore réussi à percer le mystère qui entoure Colton. Sans parler de l’épisode final qui me donne l’envie irrésistible d’en savoir bien plus.



Du coup, les pages ont rapidement défilées sans que vraiment je ne m’en rende compte. Et c’est tout le paradoxe de ce livre. Car l’histoire de ce premier tome fut un récit sympathique mais sans plus, et pourtant je l’ai dévoré en une après-midi ; le lâcher m’étant tout bonnement impossible.



Quant à la fin, elle m’a laissée des plus frustrée ! K. Bromberg a parfaitement maitrisé sa sortie, du coup je veux savoir la suite à tout prix. Heureusement qu’Hugo New Romance ne nous torturera pas de trop puisque les deux autres tomes sont prévus respectivement pour le 05 novembre et le 03 décembre. (Ouf, merci !)



Pour conclure : ce premier tome reste agréable à lire même s’il semble par moment déjà lu. Il pose un décor assez orignal que j’ai beaucoup aimé découvrir, et il met en place des personnages intelligents et assez développés. Il instaure ainsi solidement une base que je prendrai plaisir à retrouver. Sans parler de la fin qui soulève bon nombre d’interrogations et qui ont su susciter mon intérêt pour la suite de la série… Une suite qui s’annonce donc des plus intrigantes …!
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S.I.N., tome 2 : On one condition

Je remercie Hugo New Romance pour l’envoi de ce roman.



Étant ressortie un peu mitigée et déçue de ma lecture du premier tome, Last Resort, de la nouvelle trilogie de K. Bromberg, je dois avouer que je redoutais de me plonger dans cette suite. Il faut dire que nombreux ont été les points qui m’ont fait tiquer dans le précédent tome.



Un manque d’approfondissement et de développement (que ce soit au niveau des personnages, de la romance, ou de l’histoire en général), un peu trop de s*xe à mon goût (surtout que certaines scènes n’apportaient rien), un personnage masculin qui ne pensait qu’à ça, une romance qui peinait à trouver un quelconque intérêt à mes yeux et qui semblait ne reposer que sur l’attirance physique…



Bref, ce premier tome avait un peu été laborieux. Facile et rapide à lire certes, car cela reste tout de même du K. Bromberg, mais j’ai quand même été soulagée lorsque je l’ai refermé. Alors, vous comprendrez qu’en débutant ce second tome, je n’en menais pas large. J’avais une fois de plus peur d’être déçue.



Pourtant, et c’est peut-être cela qui m’a permis de mieux appréhender cette lecture, j’ai débuté ce second opus en décidant de ne pas avoir trop d’attentes. J’en avait pas mal pour le premier tome et c’est aussi certainement pour cela que ma lecture de Last Resort a été une petite déception. J’ai donc mis tout cela de côté et plongé dans On one condition sans me soucier d’être déçue ou autre. Par conséquent, je dois reconnaître que ma lecture de ce deuxième tome a été bien plus agréable que le précédent, sans prise de tête, et j’ai passé un très bon moment.



Toutefois, en lisant les premières pages, je ne pensais pas aimé autant On one condition. Il faut dire que le début est un peu bizarre, les retrouvailles entre les protagonistes m’ont laissé une sensation étrange. Comme si c’était surjoué, comme si l’autrice avait un peu trop forcé les choses. Je ne sais pas si vous voyez ce que je veux dire, c’est difficile d’expliquer cette sensation, mais en vérité je ne m’attendais pas à des retrouvailles de la sorte. En plus de me donner l’impression qu’elles étaient bizarres, j’ai également trouvé qu’elles arrivaient bien trop rapidement. J’aurais préféré que l’histoire s’installe un chouia plus avant qu’Asher et Ledger se retrouvent.



Bien évidemment, cela n’est qu’un ressenti personnel, mais il est vrai que cela m’a un peu refroidie. Heureusement, passé ce petit accroc, je suis réellement parvenue à m’immerger et à apprécier l’histoire. On est ici sur un second tome beaucoup plus approfondis, tant au niveau des personnages que de la romance, il y a plus de profondeur et de douceur dans la relation entre Asher et Ledger. Les personnages sont davantage développés, on arrive plus facilement à les cerner et à sentir leur émotions. Après, j’ai tout de même trouvé que la première partie du livre, plus particulièrement la romance, tournait un peu en rond. Néanmoins, cela devient bien plus intéressant par la suite.



Aussi, les thématiques abordées au cours de cette lecture sont mieux traitées et approfondis. On retrouve un panel de sujets, tels que le deuil, la maladie, les différences sociales… Si les thématiques du premier tome n’avaient pas ou très peu été traitées et développées par l’autrice, j’ai été heureuse de constater que cela n’avait pas été le cas pour On one condition.



C’est beaucoup mieux travaillé, l’intrigue est bien ficelée, les évènements s’enchaînent avec une très bonne dynamique et la plume est très fluide. De plus, j’ai également bien aimé que le roman s’ouvre sur une scène se déroulant quinze ans plus tôt. On découvre au fur et à mesure de notre lecture ce qu’il s’est passé durant cette fameuse nuit et cela ajoute un intérêt supplémentaire à l’histoire.



Les petits flashbacks présents également dans différents chapitres sont sympas et nous permettent de mieux comprendre les personnages, ainsi que les raisons de la séparation entre Asher et Ledger survenue quinze ans plus tôt. C’était très agréable à lire et je les trouve vraiment indispensables pour bien comprendre le reste de l’histoire.



En conclusion, un second tome bien plus agréable que le précédent ! J’ai passé un très bon moment de lecture en compagnie de personnages attachants et touchants, la romance est belle, les thématiques sont porteuses de très beaux messages et le tout est accompagné d’un exquis parfum de lavande. On one condition est une histoire de seconde chance comme je les aime et que j’ai pris plaisir à découvrir. Désormais, j’espère seulement que le troisième et dernier tome saura tout aussi bien combler mes attentes…
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Full Throttle Series, tome 1 : Off The Grid

Nouvelle saga, Full throttle de K Bromberg qui va nous emmener dans le monde de la Formule 1. Des personnages qui baignent dans cet univers depuis très longtemps, des problématiques familiales, des tensions. Une belle romance qui saura ravir les amoureux du genre



Spencer Riggs est un héros arrogant, sûr de lui et de son charme. Il a toujours été passionné par la F1 et il faut dire que son père Ethan était une légende. Marcher dans ses pas tout en tentant de lui rendre hommage est donc assez délicat. Il a cette tenacité en lui et le fait que sa mère l'ait toujours soutenur est vraiment attendrissant, surtout vu les circonstances. Il n'a donc pas le temps de se poser pour vivre une belle relation avec une femme. Un soir, un pari et c'est le drame car le baiser échangé s'est déroulé avec la fille de son nouveau boss. Les tensions seront présentes mais nos héros n'ont pas dit leur derniers mots. Ils vont jouer avec les flammes au risque de se brûler mais la meilleure façon de résister à la tentation n'est il pas de céder? Ce que j'ai aussi apprécié est le fait qu'on ait réellement des scènes sur la piste.



Camilla Moretti est une jeune femme assez renfermée sur elle-même et sans ses amies, elle ne serait pas sortie de sa zone de confort. On la sent à fleur de peau mais quand son père lui demande de reprendre les rênes vu les circonstances, elle n'aura d'autre choix que d'accepter. Elle va donc être chargée du marketing et quelle ne sera sa surprise en découvrir le nouveau poulain de l'écurie. Son père croit en lui donc il ne doit pas avoir si mauvais fond. Pourtant une femme bafouée n'accepte pas de perdre la face et elle devra garder son self control face à ce Don Juan. J'ai aimé en apprendre plus sur elle et ses motivations. On sent qu'elle aimerait être ailleurs pour travailler sur d'autres projets mais elle pourrait aussi être un atout pour l'écurie qui est en perte de vitesse et qui a du mal à remporter les trophées. Riggs sera t-il un réel atout et acceptera d'elle de le voir tous les jours?



Bref, j'ai passé un bon moment de lecture en découvrant cette nouvelle saga. On sent les vibrations qui vont habiter nos deux héros et on espére qu'ils donneront le meilleur d'eux mêmes sur et en dehors de la piste.
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S.I.N., tome 2 : On one condition

Un second tome que j'avais envie de découvrir, car j'avais beaucoup aimé le premier. Et franchement, j'ai passé un bon moment, même s'il m'a manqué des petites choses...



L'histoire est celle de Ledger, qui se voit passer deux mois à Cedar Falls pour jouer le jeu du maire et s'assure que La Retraite, le nouveau complexe hôtelier du groupe Sharp International puisse aboutir. Tout aurait pu être simple si une jeune femme de son passé, Asher, ne vivait pas encore dans cette ville...



Dés les premiers instants, j'ai été plongée dans cette nouvelle histoire sans soucis. Il faut dire que l'univers du tourisme et de la romance vont bien ensembles. On alterne entre le passé et le présent pour comprendre leur histoire d'avant et celle de maintenant. J'avoue que j'ai apprécié l'ensemble de cette romance. Cependant, j'ai trouvé qu'elle était peut-être un peu trop survolée. J'en aurais voulu plus.



Bien évidemment, la fin est comme j'aurais pu l'attendre dans ce genre de romance : mignonne mais attendue. J'en garderai un bon souvenir : une romance sans prise de tête.



Du côté des personnages, Asher est une jeune femme qui a toujours voulu quitter Cedar Fall. Pourtant, des années après, elle est encore là. Elle ne sait pas ce qu'elle veut devenir, elle se cherche toujours. En revoyant Ledger, cela va faire remonter des souvenirs en elle, positifs mais aussi négatifs. Je dois avouer que j'ai mis un peu de temps à m'attacher à elle, car je n'arrivais pas vraiment la comprendre. Mais au fil des chapitres, on apprend vraiment à la connaitre et à l'apprécier.



Tout a été plus simple avec Ledger. Il est beaucoup plus ouvert depuis les premières pages. Ce que je ne comprends pas, c'est pourquoi il n'a pas repris contact avec Asher depuis tout ce temps. Certes, rien ne s'est fini facilement entre eux. Pourtant, il avait le temps de trouver les mots pour la revoir. Cela ne m'a pas empêché de l'apprécier et d'être charmé par cet homme.



S'agissant du style de l'auteure, je trouve qu'elle développe moins les détails au niveau des sentiments et des ressentis des personnages. Néanmoins, j'ai apprécié retrouver sa plume et je lirais les prochains romans de l'auteure.



En général, un second tome un peu en dessous avec une romance mignonne mais classique.
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S.I.N., tome 1 : Last Resort

Un premier tome pas mal du tout ! J'ai passé un bon moment, sans prise de tête, avec cette chouette romance. On est là dans une romance spicy, piquante et où les sentiments vont dépasser nos deux héros (et ça, perso, j'adore 👀). Ajoutez à cela un décor iddylique, et ça donne une lecture aux allures presque estivales qui est tombée pile quand j'en avais besoin !⠀



Après un coup d'un soir, deux inconnus qui pensaient ne jamais se revoir, se retrouvent face à face, et découvrent qu’ils vont devoir travailler ensemble... Callahan Sharpe, multimillionnaire qui ne se plie à aucune loi, est déterminé à mener à bien un dernier projet pour honorer l’héritage de son père décédé, avant de prendre définitivement le large, loin de l’affaire familiale... Sutton Pierce consultante pour la Sharpe compagnie, chargée de remonter un établissement balnéaire en déclin, va devoir travailler, main dans la main avec l’héritier rencontré incognito la veille.⠀



Collaborer avec un homme qui l'attire de façon irrémédiable va être compliqué pour Sutton. et Idem pour Callahan d'ailleurs. J'ai beaucoup aimé le côté famille du héros, avec cette volonté d'émancipation, afin d'écouter enfin sa petite voix intérieure. Affronter les siens, s'affirmer, ce n'est pas toujours facile et il m'a touché dans ses choix, ses doutes et ses failles. Et Sutton m'a beaucoup plu dans sa volonté d'indépendance, dans sa façon de vouloir exister par elle-même ! Et puis, j'ai fondu pour les conversations touchantes entre les deux personnages. 🥰⠀



Alors certes, l'histoire aurait mérité plus de profondeur, de développement et d'un peu moins de spicy pour laisser la place à quelque chose de plus subtil mais dans l'ensemble, j'ai passé un très bon moment de lecture ! ☺️⠀
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Driven, tome 1

Waouuu qu'elle coup de coeur cette histoire avec Rylee et Colton, cette tension de fou qu'il y'a entre eux ,c'est les vrai montagnes russes

J'ai été embarqué dès les premières lignes

Mon cœur c'est serré plus d'une fois avec Colton et ces sautes d' humeur ,il m'a souvant agacé et dégoûter par son comportement avec  Rylee pour ensuite me toucher avec son côté attentionné et protecteur,il cache de grosses fêlures digne d'un 747 ce qui le rend tellement énigmatique.

Leurs joutes verbal sont exquises

Rylee je l'adore, j'ai adoré son environnement professionnel,son amitié avec Haddie,son côté fragile de part le drame qu'elle a vécu...

Il m'a juste manqué le pdv de Colton et son environnement professionnel.

Alors oui Driven n'est pas tout frais, sa a des airs de 50 nuance de Grey, mais mon cœur a boom boom pour ce 1er tome et je vais enchaîner direct avec la suite .

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Flirting with 40

Critique : Ce roman de K Bromberg était dans ma PAL depuis sa sortie, j’ai profité de la Saint Valentin pour le sortir et j’ai bien fait. J’ai adoré celui ci, qui m’a réconcilié avec elle après la déception du tome 3 de sa série « Play Hard «.



J’ai aimé Blake Ly. Je l’ai trouvé génial même si parfois, elle s’autoflagellais, même alors , je souhaite que les hommes étaient à son image car en plus d’être médecin, j’ai adoré qu’il lui redonne confiance en elle, le contrôle de sa vie. Cette homme est un bonbon, une perle.



Ce roman n’est pas juste une comédie romantique, mais il délivre quand même un lot de positivité incroyable, ainsi que très beau messages. En conclusion, je recommande ce roman de K Bromberg.
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Play Hard, tome 1 : Hard to Handle

Une femme forte, un sportif en mauvais état, une histoire familiale à la dérive, et un passé troublé....tous les ingrédients réunis pour écrire un très bon roman.



Mais si on ajoute à cela, l'écriture de K. Bromberg, la façon qu'elle a de construire son récit, et la dose de bons sentiments qui transpercent l'écriture, j'ai devant moi un coup de coeur total.



C'est beau, c'est courageux, c'est pure et c'est moral.

J'aime beaucoup cette autrice, j'aime sa façon de se fondre totalement dans une histoire sans avoir peur de nous montrer ce qu'il y a de noir ou de sombre.

J'aime qu'elle ne fasse pas de compromis sur ses héros. Elle les montre tels qu'ils sont sans fioriture.



Une très belle lecture et un très beau moment !



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Driven, tome 1

Le début partait mal pour moi, mais au final j'ai A-DO-RÉ !!!



Au début du roman, j'avais beaucoup de mal à m'attacher au personnage féminin, Rylee. Je la trouvais agaçante, un peu trop parfaite, un peu trop tout malgré son passé douloureux. Et je n'ai commencé à revoir mon jugement qu'en seconde partie du livre.



En revanche, pour le personnage masculin : Colton Donovan aucun problème, absolument aucun, juste wahouuu !



J'ai aimé la montée en puissance des sentiments, l'attraction, le jeu du chat et de la souris.



La fin est un gros cliffhanger et nous laisse en carafe.



Je vais donc bien évidemment lire la suite.
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Play Hard, tome 1 : Hard to Handle

J’ai adorée plonger dans « Hard to handle » on découvre Dekker et Hunter. Elle agent sportif. Lui joueur de Hockey professionnel.



Hunter est dans une mauvaise passade et personne ne semble le comprendre, même son propre agent se braque contre lui. Quant à Dekker, son couple bat de l’aile, pas d’amour ni passion.



On lui demande de recruter son ex amant Hunter coûte que coûte, l’agence a besoin de nouveau visage. Elle ne l’a pas oubliée, même 3 ans après, elle se promet alors une chose ne pas mélanger le travail avec le plaisir. Mais parfois les choses ne se passe pas toujours comme prévue. Et elle se retrouve à l’aider plutôt que le recruter en essayant tout de même de combiner les deux.



Ce livre est intense, j’ai ressenti beaucoup de chose durant ma lecture, de la joie, de la haine, de la tristesse et j’en passe. Hunter m’a beaucoup ému avec son histoire, ses traumatismes d’adolescence. Je vais m’arrêter la car je vais tous vous spoilez, alors qu’il faut que vous lisiez le livre et le découvrez au fil des pages. Je ne peux que vous le recommander.



Je ne sais pas encore si je lirais les autres de suite étant donné qu’ils ne sont pas vraiment la suite de « Hard to handle ». Les tomes de « Play Hard » parlent chacun d’une des sœur kincade, à voir.


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Flirting with 40

Hello les amoureux des livres, cette semaine les vacances se sont terminées pour moi et j'ai du reprendre le chemin du travail dès mardi. Autant dire qu'après trois super semaines de congés, la reprise s'annonçait difficile et j'avais bien besoin d'une lecture en mode cocooning et feel-good pour me réconforter et me donner du courage. J'ai donc commencé le roman "Flirting with 40" de K. Bromberg et je dois dire que j'ai vraiment adoré et même si ça n'a pas été jusqu'au coup de cœur, ce roman m'a agréablement surprise par sa profondeur,  sa plume et ses personnages vraiment bien travaillés.

Blakely Foxx traverse une année difficile, un divorce, un ex-mari déjà fiancé avec une version plus jeune d’elle-même et ses 40 ans qui approchent à grands pas.

Lorsqu’elle rencontre Slade Henderson, elle se demande pourquoi ce jeune chirurgien cardiaque d'une trentaine d'années, sexy en diable, s'intéresse à elle. Elle sait qu'il va très certainement lui briser le cœur, mais elle est prête à prendre le risque.

Mais Slade est la preuve vivante que les hommes bien existent, il l’encourage à redevenir la Blakely qu'elle était avant son mariage : drôle, combative, confiante. Et qui sait, peut-être que ce jeune homme, que Blakely considère comme un tremplin pour passer ce cap difficile, se révèlera être bien plus que cela ?

Je commencerai par vous dire que ce roman est d'une telle fluidité et d'une telle addiction dans l'écriture qu'une fois commencé, il m'a été difficile de le lâcher avant de connaître le dénouement de l'histoire d'amour de nos deux héros. Je le lisais dès le réveil, le continuais sur le chemin du travail, le reprenais à la pause de midi pour finir par l' abandonner tard dans la nuit !  Et oui, je pense que l'on peut dire que Blakely et Slade ont réussi à m'accrocher !

Si j'ai aimé notre héroïne par ses failles, ses doutes et surtout son évolution au fil des pages, elle m'a par moments fortement agacée et j'ai eu envie de rentrer dans le roman pour la secouer. En ce qui concerne le héros, il est la véritable force du roman !  Absolument parfait sans pour autant être caricatural,  il est l'image même de l'homme que toute femme voudrait rencontrer en venant boire un verre dans un bar !

Leur histoire, même si elle m'a semblée un peu trop précipitée m'a beaucoup plu. Leurs caractères, leurs échanges, ces moments suspendus qu'ils vivent et qui font naître de belles petites étoiles dans les yeux, des papillons dans le ventre et arrachent des soupirs au lecteur !

Mais au delà de l'histoire d'amour terriblement sexy, romantique, drôle et touchante, j'ai aimé les intrigues secondaires et notamment l'évolution et la reconstruction de l'héroïne qui grâce au héros devient enfin la meilleure version d'elle-même.

Première fois que je lis cette auteure et j'avoue qu'elle a un véritable talent d'écriture. Bien souvent j'ai oublié que je lisais et je me suis baladée dans un véritable monde peuplé d'images animées ! Et vous savez comme j'aime les livres avec une plume tellement cinématographique que l'on ne se contente pas de lire des mots mais que l'on croirait presque vivre les aventures de nos héros en se glissant dans leurs chaussures.

En bref, une très belle surprise que cette comédie romantique qui n' a pas été sans l'évoquer Anna Premoli et ses romans dont je suis tellement fan. Une lecture que je vous conseille vivement car elle fait du bien. Elle vous fera sourire, rire, rêver, vous évader et probablement tomber amoureux !

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Flirting with 40

! Attention petit spoiler !



Je n'ai pas du tout aimé.

Et pourtant c'était un livre prometteur ! Une belle romance, qui casserait le stéréotype de la femme âgée qui dépérit etc.

Non, non.



Déjà, le style était fade. Ennuyeux.



L'histoire est lente, la protagoniste (Blakely) est une véritable gourde qui ne comprend rien et qui est incapable de se débrouiller seule.

Sa meilleure amie n'est visiblement là que pour décorer ou pour faire se faire passer pour une greluche encore plus ridicule que Blakely.

Slade, ne sert à rien si ce n'est de nous faire entrevoir le fait qu'il soit encore plus cliché que sa copine.



Et puis les stéréotypes !!

Évidemment, il était nécessaire que Slade soit un brillant chirurgien qui se soit entiché d'une petite fille (qu'il ne verra qu'une seule fois dans sa vie) au point de se faire renvoyer temporairement afin de provoquer de la pitié chez le lecteur.

Bref, je ne conseille vraiment pas.

C'est un énorme déception
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Driven, tome 1

J'ai eu du mal a rentrer dans l'histoire et à vivre l'histoire avec les personnages. Beaucoup de pensée de l'héroïne mais il manque vraiment du dialogue a mon goût elle se parle a elle meme beaucoup mais j'ai besoin de plus d'interaction avec les autres personnages. Pas mal de scenes erotiques mais sans plus. pas un coup de coeur vraiment.
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Play hard, tome 2 : Hard to hold

Après un tome 1 que je n’avais trop apprécié, j’ai quand même tenté le tome 2.



Sur un point, Lennox n’est pas si différente de Dekker, personnage central du premier tome. La perte de sa mère l’a affectée et elle refuse de s’attacher à un homme. Du coup, elle n’entame que des histoires qui sont sûres d’avoir une fin. Je l’ai appréciée, notamment dans son combat pour prouver qu’une femme a sa place dans un milieu exclusivement masculin. Elle fait face aux moqueries, remarques sexistes qui dénigrent son intégrité, son professionnalisme, avec courage. Ça la vexe, la blesse dans son orgueil, mais elle garde la tête haute et ne pleure pas sur son sort à tout-vas. Elle veut à tout prix leur prouver qu’une femme peut réussir sans avoir à coucher.



Rush est un footballeur qui s’exile aux USA après qu’un scandale éclate en Angleterre, son pays d’origine. Il ne répond pas aux rumeurs, accusations et on comprend bien vite qu’il se trame quelque chose, qu’il garde le silence, ne dément pas pour une bonne raison. J’ai bien aimé son personnage, ses dilemmes, son histoire. J’ai été plus convaincue par lui que Hunter, héros masculin du tome 1.



Côté romance, ça va vite. Dès qu’ils se voient, le désir s’installe et ils ne mettent pas longtemps avant de conclure, malgré toutes les fois où Lennox s’interdit de céder. J’ai eu l’impression que tout était acté dès le début du livre, il n’y a pas vraiment eu de surprise, même la fin était prévisible. J’ai trouvé qu’il y avait pas mal de longueurs, de moments où il ne se passait pas grand-chose. Même si je n’ai pas retrouvé le gros hic du premier tome, à savoir des phrases incompréhensibles, mal traduites ou je ne sais quoi, l’histoire ne m’a pas émue autant que la précédente.



Hormis ce côté négatif, à mes yeux, le tome 2 s’avère meilleur ; des personnages plus attachants, une traduction plus soignée et une histoire qui tient quand même la route et se laisse lire.
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Flirting with 40

Le trope qui rythme ce roman est classique: pour impressionner sa nouvelle boss, Slade et elle vont faire semblant d’être ensemble.



Pourtant, on ne s’ennuie pas. Les dialogues sont plein de peps, on comprend ce qu’il se passe dans la psyché de Blake. Elle a été détruite par son divorce, elle ne parvient pas à s’en remettre et celui-ci a laissé des séquelles sur sa manière de se voir. Elle ne se voit plus qu’à travers le prisme de l’âge. Elle a perdu toute confiance en elle et son insécurité peut régulièrement nous exaspérer même si on comprend ce qu’il se passe dans sa tête.



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Flirting with 40

Un roman que j'avais envie de découvrir depuis sa sortie - d'ailleurs, il est dans ma PAL depuis ce moment-là - et même si je savais, avec le résumé, que c'était assez éloigné des romances de l'auteure que j'ai déjà pu découvrir, j'ai voulu quand même le lire. Et je pense être passé - pour partie - à côté de ma lecture...



L'histoire est celle de Blakely, bientôt la quarantaine, une vie complétement bouleversée, notamment lorsqu'elle apprend quelques temps après son divorce que son ex-mari vient de se fiancer à une version plus jeune d'elle-même. Elle va alors faire la rencontre de Slade, un jeune chirurgien cardiaque, la trentaine, qui l'a fait rêver de nouveau, même si elle sait qu'il peut lui briser le cœur en seulement un claquement de doigt. Pourtant, il n'en est rien. Slade va tout faire pour que Blakely redevienne celle qu'elle était avant le mariage...



Dés les premières pages, j'ai vu l'originalité de cette lecture. En effet, nous sommes en présence de personnages un peu plus matures et âgés que ceux dont j'ai l'habitude de suivre les aventures. Du coup, la mise en place de leur relation est légèrement différente et même leur évolution. Néanmoins, nous retrouvons tout de même un schéma de la romance assez classique. Cela permet d'avoir tout de même des repères dans notre lecture. Et je dois dire que j'ai apprécié cela, car il y a un équilibre entre inédit et classique. En ce moment, c'est ce que j'aime retrouver dans mes lectures de romance.



Concernant la fin, je dois dire que je m'y attendais un petit peu. Cela n'est pas franchement quelque chose d'inattendu. Cependant, j'aurais aimé retrouver quelques chapitres de plus pour réellement comprendre comment vont évoluer les personnages par la suite. Ce manque n'entache en rien ma lecture.



Du côté des personnages, Blakely est une femme qui atteint bientôt la quarantaine, qui doit supporter son divorce et le remariage de son ex-mari, ainsi que les problèmes de boulot. Pourtant, elle va connaître une seconde jeunesse au contact de Slade, qui va la pousser à redevenir celle qu'elle était avant. Je dois dire que j'ai eu du mal à m'identifier à Blakely, car je n'ai pas vécu ce qu'elle vit et c'est encore loin pour moi. Je dois dire que c'est le gros point noir de ce roman. J'ai tout apprécié sauf cela. Pourtant, son histoire est touchante, mais au vu de son âge, j'ai eu du mal à m'imaginer à sa place...



Et malheureusement, même si Slade est plus jeune, je n'ai pas réussi à m'attacher plus à lui, surtout qu'à part son boulot en tant que chirurgien cardiaque et sa relation avec Blakely, on ne connait pas grand chose de lui... C'est dommage, car cela m'aurait peut-être permis d'avoir une meilleure lecture.



En effet, j'ai vraiment retrouver la plume de l'auteure que je trouve toujours aussi entraînante. Mais finalement, les problématiques de cette romance semblent beaucoup trop loin par rapport à ce que je connais et je n'ai pas réussi à vraiment me plonger dedans... Par contre, au vu du style de l'auteure, je continuerai à lire les prochains romans de l'auteure qu'elle va sortir.



En général, une lecture mitigée avec une romance vraiment intéressante, mais des personnages auxquels je n'ai pas réussi à réellement m'attacher.
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Flirting with 40

Un divorce, un ex-mari déjà fiancé et ses 40 ans qui approchent, ce n’est pas une année facile pour Blakely Foxx. Elle perd totalement confiance en elle et ne comprend pas pourquoi Slade Henderson, ce jeune chirurgien, s’intéresse autant à elle. Il va lui prouver que les hommes biens existent et l’encourager à redevenir la Blakely pleine de vie qu’elle était auparavant.



K. Bromberg je l’ai découverte grâce à la saga Play Hard que j’avais plutôt bien aimé même si le sport ce n’est pas trop mon domaine favori en romance. Ce qui avait retenu mon attention c’est surtout cette plume addictive qui vous donne envie de tourner les pages encore et encore. J’aime sa façon de décrire les sentiments, j’aime ressentir la passion qui naît entre ses personnages, j’aime l’image forte et positive qu’elle donne à ses héroïnes. Blakely Foxx ne déroge pas à cette règle. Même si elle a besoin que Slade lui ouvre les yeux pour s’en rendre compte, c’est une battante avec une carrière incroyable.



En plus de retrouver la plume de K. Bromberg, elle a su installer dans cette histoire une ambiance cocooning comme je les aime. Je m’attendais à une histoire de bureau assez basique et finalement pas du tout, j’ai adoré suivre les personnages jusqu’à Red Mountain Lodge où feu de camp et cabane dans les bois sont de rigueur.



L’histoire de Blakely permet d’aborder des sujets intéressants tels que la différence d’âge et la perte de confiance en soi. J’ai adoré l’idée de bousculer un peu les codes de la romance avec une héroïne plus âgée. Quant à Slade, il est le parfait bookboyfriend, K. Bromberg joue avec nos émotions, son histoire vous touchera à coup sûr.



J’ai passé un super moment avec « Flirting with 40 », une romance prenante avec des personnages attachants qui nous décomplexe et nous pousse à avoir confiance en nous.

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Flirting with 40

Me voilà de nouveau pour vous parler d'un roman de K. Bromberg. Je l'avoue, j'étais quelque peu hésitante à l'idée de découvrir Flirting with 40, puisque je venais de lire les 4 premiers tomes de sa série Driver et... n'ai absolument pas apprécié mes lectures de celle-ci. Mais je me suis raisonnée, en me disant qu'avec un one-shot, le ressenti en serait différent et surtout, avant de lire Driven, j'étais vraiment enthousiaste.



Flirting with 40, c'est l'histoire de Blakely. Presque 40 ans, cette femme fraichement divorcée est bien déterminée à obtenir cette promotion pour laquelle elle bosse depuis tant d'années. Mais sa nouvelle boss la rabaisse sans cesse et réfute ses idées à coup de "c'est dépassé !". Blakely décide alors de sortir boire un verre et tombe sur Slade, un trentenaire aussi sexy que gentil. Une rencontre qui pourrait bien tout changer pour Blakely.



J'aime beaucoup les romans qui parlent de différences d'âge parce que j'aime assez voir deux générations se confronter et bouleverser un peu les chichés. D'ailleurs, le pitch de Flirting with 40, me faisait vraiment penser à Younger (le livre, pas la série partie en cacahuète). Une femme séparée qui tombe sur un homme plus jeune qu'elle et se confronte aux critiques etc. Bon pour le coup, la partie différence d'âge a été - à mon sens - inexistante. A vrai dire, c'est légèrement abordé en début de roman, énoncé au milieu et rapidement cité à la fin. Cela dit, ils n'ont que 9 ans d'écarts ce qui en soit me paraît pas si énorme au final. Mais avec un titre comme : Flirting with 40, je m'attendais à ce que celui-ci soit au cœur du récit. Petite déception pour ce point.



En revanche, là où j'ai trouvé que l'autrice avait particulièrement réussie c'est dans la parte totale de confiance de Blakely dans ses capacités et sa personne. Slade va bouleverser ses certitudes et la pousser à voir les choses sous un autre angle. A son contact, l'héroïne va reprendre confiance en elle, dépasser ses limites et prouver à tous sa valeur. J'ai beaucoup apprécié ce point de l'histoire. Cette petite escapade avec ses collègues sera riche en coups bas de la part de sa boss et heureusement, Blakely pourra compter sur Slade pour lui ouvrir les yeux.



Si j'ai aimé le fait que Slade soit un vrai gentil et qu'il boost vraiment Blakely, je reste totalement sur ma faim concernant la romance. Notamment parce qu'elle va bien trop vite à mon goût. Ils se dévoilent leurs sentiments en deux jours et le tout coule de source. Finalement, pas un brin de suspense (même si en romance les dés sont joués, j'aime avoir un peu de rebondissements, de doutes). Ici, Ca va bien trop vite. Leur relation n'est qu'une répétition de scènes superficielles qui auraient gagnés à plus de profondeur (notamment concernant la différence d'âge) et même leur dispute ne m'a pas touché....



Si dans l'ensemble c'était plutôt pas mal et les pages sont assez faciles à tourner, il m'a manqué quelque chose pour rendre l'histoire davantage entrainante et inoubliable. J'ai fini ma lecture en me disant, c'était sympa mais... sans plus. J'avais espoir de retrouver ce que j'avais tant aimé avec Sweetheart de l'autrice, vu qu'il s'agissait aussi d'une one-shot, mais non... Je pense ne plus tenter les prochaines romans de l'autrice, n'y trouvant plus mon compte malgré des résumés alléchants et une plume fluide.
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Play hard, tome 5 : Hard to love

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Je remercie les éditions Hugo Roman pour l’envoi de ce roman.



Alléluia ! Voilà ce que je me suis dit lorsque j’ai pu (enfin) me plonger avec bonheur dans le cinquième et dernier tome de la saga Play Hard, Hard to Love ! Il faut dire ce tome me faisait énormément envie étant donné que celui-ci se concentre principalement sur un personnage qu’il me tardait de découvrir. En effet, ici, il n’est pas question de suivre l’une des soeurs Kincade, mais plutôt de suivre leur concurrent, Finn Sanderson.



Finn est un personnage que nous avions déjà rencontré dans les précédents tomes de la série puisque celui-ci était sans arrêt en train d’essayer de voler plusieurs clients aux soeurs Kincade et par la même occasion de leur mettre des bâtons dans les roues. De plus, nous apprenions également que ce dernier avait eu une relation compliquée avec l’une d’elles. Vu le caractère et le comportement de con***d de Finn tout au long de la saga, disons que son personnage commençait sérieusement à m’intriguer. C’est un personnage complexe et difficile à cerner, un style de personnage masculin que l’on aime particulièrement retrouver dans un roman écrit par K. Bromberg. Du coup, est-ce que ce dernier tome m’a plu ? Oh que oui !



Mais avant de vous en parler plus en détail, je vous propose une petite présentation de l’histoire. Stevie Lancaster est la petite chérie du tennis. Meilleure joueuse de sa génération et toujours en tête du classement, la carrière de Stevie ne tient désormais qu’à un fil. Préférant faire la fête plutôt que de s’entraîner, la jeune femme devient un véritable problème pour son manager qui ne sait plus comment la gérer. Celui-ci va donc faire appel à Finn Sanderson, agent sportif de talent, pour remettre Stevie dans le droit chemin et redorer par la même occasion son image. Mais lorsqu’une tempête médiatique s’abat subitement sur la jeune femme, Finn l’accueille chez lui afin de la mettre à l’abri. La cohabitation entre eux est tendue, compliquée, et aucun des deux n’a oublié leur aventure sans lendemain qui ne s’est,  d’ailleurs, pas vraiment déroulée comme prévue !



Comme je le disais, Finn est un personnage qu’il me tardait de découvrir. En fait, en le découvrant dans les précédents tomes, je m’étais dit qu’il y avait forcément un truc à gratter chez lui. Un mec qui se comportait comme un tel abruti devait forcément avoir quelque chose à cacher. D’ailleurs, je dois vous avouer que j’appréhendais de découvrir son personnage. Comprenez qu’à force le voir aussi calculateur et antipathique avec les soeurs Kincade, ça ne m’aidait vraiment pas à l’aimer. Donc, j’étais curieuse de voir la façon dont K. Bromberg allait parvenir à me le faire apprécier. Pourtant, plus j’avançais dans l’histoire et plus je parvenais à comprendre les raisons qui poussaient Finn à se comporter comme il le faisait. Il s’est construit une carapace afin d’empêcher quiconque de faire la connaissance du véritable Finn Sanderson. Car si en apparence, Finn est le roi des cons et ne semble faire son boulot que pour la notoriété et l’argent, il possède en réalité un grand coeur.



Honnêtement, j’ai beaucoup aimé sa personnalité, je ne pensais pas que je parviendrais à l’aimer autant. Il apparaît dans ce tome sous un jour différent, avec des failles, des blessures, un passé compliqué, et on ne peut pas faire autrement que de s’attacher à lui. Par contre, j’aurais juste aimé que Finn se dévoile un tout petit peu plus. Je pense que c’est d’ailleurs pour cela que je n’ai pas eu de coup de coeur. Comparé à Stevie qui est un véritable livre ouvert, j’ai trouvé que Finn ne s’était finalement pas autant dévoilé. Après, je l’ai mis sur le compte de son tempérament puisque Finn est quelqu’un d’assez pudique lorsqu’il s’agit de ses sentiments.



Pour ce qui est de Stevie, j’ai également beaucoup aimé son personnage. Bien qu’elle soit une femme adulte, on a parfois l’impression d’avoir affaire à une petite fille. Attention ce n’est pas un reproche, c’est juste que Stevie manque terriblement de confiance en elle et est toujours en train de chercher l’approbation de quelqu’un. Son père vient de mourir et depuis, Stevie a perdu tous ses repères. Son père, c’était son roc, son meilleur ami et son plus grand supporteur. Il a également été le premier homme de sa vie, Stevie faisait tout pour le rendre fier. Pour tout vous dire, certaines des réactions de Stevie m’auraient en général agacée. Elle peut parfois se montrer colérique et immature, mais en même temps, il y a tellement de fragilité et de combativité chez elle que j’ai carrément fondu. Stevie est quelqu’un qui besoin d’être rassurée, accompagnée et surtout aimée. Elle est attachante, pétillante, amusante… C’est certainement mon personnage féminin préféré de la saga.



Vient ensuite la romance. Bien que le schéma de celle-ci soit tout ce qu’il y a de plus classique, je l’ai vraiment adorée. Elle débute par un flirt, une histoire sans lendemain qui ne se déroule pas du tout comme Stevie et Finn l’avaient imaginée et elle évolue par la suite lentement. En général, je ne suis pas une grande fan des romances qui débutent par une histoire sans lendemain. Souvent, je trouve que cela débouche vers quelque chose de trop rapide, de trop prévisible. Je reste toujours un peu sur ma faim et j’avais peur qu’il en soit de même pour celle de Stevie et Finn. Toutefois, étant donné que leur début de relation est loin de ressembler aux autres, ça ne m’a pas dérangée. On pourrait croire qu’au vu des évènements et de la cohabitation, leur relation évoluerait rapidement, pourtant pas du tout.



Bien sûr, vu que le temps passe rapidement, on a l’impression que les sentiments s’installent vite, mais à côté de ça, ils apprennent à se connaître, ils se rapprochent et se sortent un peu tous deux de la spirale infernale dans laquelle ils se trouvent. Pour Finn, il s’agit de parvenir à faire une place à Stevie dans son coeur et pour Stevie, il s’agit d’aller de l’avant et de vivre enfin pour elle. Vraiment, leur histoire est magnifique ! Pourtant, il m’a fallu attendre de passer la première moitié du livre pour commencer à accrocher. Et puis les pages défilent, on voit Finn et Stevie s’attacher l’un à l’autre, à tomber amoureux et on espére que l’un des deux fera le premier pas. Il y a des moments très doux, d’autres plus sensuels et chaque jour qu’ils passent en compagnie de l’un et de l’autre est un régal pour nous… Alors oui, j’ai trouvé que Finn ne s’était pas trop dévoilé, mais vu la sublime déclaration d’amour qu’il fait à Stevie plus tard, je pense qu’il s’est largement rattrapé !



En conclusion, Hard to Love vient conclure en beauté cette incroyable saga ! Encore une fois, K. Bromberg nous offre une histoire magnifique avec des personnages aussi attachants que touchants. Comme pour le reste de la saga, l’univers du sport est parfaitement mis en avant et les émotions sont au rendez-vous ! Certes, l’intrigue est assez simple, mais c’est efficace, addictif et ça fonctionne toujours autant sur moi ! Que demander de plus ? Je referme ce dernier tome avec un énorme sourire, les larmes aux yeux et avec la certitude que K. Bromberg n’a pas encore fini de nous éblouir !
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