Kaneyoshi Izumi

L'auteur clôt assez magistralement cet arc tout en sentiment, complot et drame. C'est du très bon shojo d'aventure. Seitetsu était vraiment LE personnage à suivre avec son charisme incroyable et son sens du sacrifice. Par contre, j'ai du mal avec la Reine de Do, son dessin est souvent raté quand ils veulent montrer à quel point elle est méchante. Voyons ce que nous réserve la suite pour Aki.
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Un tome très riche aussi bien en sentiment qu'en action et réflexion. Les complots se nouent et se dénouent peut-être trop rapidement justement, mais l'histoire a le mérite de bien avancer et de ne pas stagner. J'aime l'évolution d'Aki et sa prise de conscience aussi bien de sa place que de ses sentiments. J'attends maintenant de voir ce que nous réserve l'avenir maintenant que Seitetsu est parti.
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Dernier tome d’une série qui aura su maintenir son intérêt tout du long. Le personnage féminin de la princesse Aki s’est révélé aussi fort qu’intelligent et porte de bout en bout une intrigue guerrière faite de stratégies politiques et de manipulations familiales. La romance entre cette héritière du trône et son esclave/ami étranger s’est développée en douceur pour mieux exploiter les différences entre eux et leurs sentiments réciproques. Ce tome clôt de manière nostalgique et mélancolique une intrigue qui n’a jamais bercé dans la facilité comme le prouve le dernier chapitre.
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Dernier tome de la saga et l'auteur aurait bien mieux fait de s'arrêter avant. On retrouve ici tous les clichés qu'elle avait réussis à éviter jusque là, et les retournements de situations ne surprendront personne. Où est passée toutes l'émotion et la subtilité des débuts ?!

Un tome sympathique où on commence pour découvrir comment notre petit groupe peut être vu par des élèves extérieur à leur cercle. Ensuite, l'auteur approfondit enfin la relation Erika-Fuyuka. Malheureusement le retournement à la fin fait très artificiel et gâche un peu le tout.

Les dessins sont toujours aussi soignés et délicats, et j’attends la suite avec envie car la fin du tome nous laisse les personnages dans une situation très compliquée.
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Ce tome réserve à la fois de beaux passages romantiques et tragiques, ainsi que des ruses guerrières et des trahisons.
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On est loin de la romance classique dans les shojo. Aki apparaît comme une jeune chef d’état accomplie qui doit faire se qu’exige sa condition, loin de ses fantasmes de vie commune avec Hakusei...




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ce qui m'a déplus c'est qu'il y a des mots trop compliqués ce qui ma plus c’est leur aventure

À la fin du volume précédent, Takano Erika, notre jolie fujoshi au regard de glace est tombée sur la photo d’Erika, le premier amour de Maki. Maki décide de ne pas lui mentir en avouant que c’est la fille qu’il aime, car de toute façon pour lui Takano ne l’aime pas. Elle l’apprécie sûrement, mais elle préférerait sans doute le voir sortir avec un autre garçon.



La jeune femme a beaucoup de mal à exprimer ses sentiments et Maki n’est pas forcément clair non plus dans ses intentions. On observe ainsi avec plaisir les deux personnages se tourner autour avec leurs pensées contradictoires.



Ici, nous faisons également la connaissance avec Genda Arata, le camarade de chambrée de Rui Kamiki. Un grand garçon pas très loquace qui vient de rompre avec sa petite amie. Et nous avons le retour de Fuyuka qui veut essayer de séduire Kamiki et qui recevra l’aide de ce cher Hanai dans sa quête de conquête du jeune homme.



Il y a dans ce volume encore de nombreuses aventures avec nos pensionnaires. Ils sont tous attachants, et le fait d’alterner les personnages est un vrai plaisir. Pour chacun, on veut voir l’évolution de leur histoire. L’atmosphère est allégée par la présence de nombreuses filles et il est très amusant de les voir interagir ensemble. On est assez loin du monde exclusivement masculin, même si certains points permettent tout de même de nous le rappeler.



Ce manga est une vraie bouffée d’air frais, ça nous donne vraiment l’impression d’entrer dans un cocon très fermé. Ce qui est également amusant est qu’il se sert des codes et les détourne, on le voit par exemple très clairement avec Fuyuka qui se laisse entraîner par Hanai.



C’est bien un nouveau volume dans la lignée des précédents, divertissant, amusant, où l’on découvre encore de nouveaux personnages très attachants !
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Dans ce nouveau volume des aventures de nos lycéens, qui sont au final pas tant coupés du monde que ça, commence sur la nécessité pour Fuyuka, la jeune fille du volume précédent, de se faire passer pour un garçon déguisé en fille pour une pièce de théâtre.



Fuyuka n’est pas très emballée par l’affaire jusqu’à ce qu’elle rencontre "Carmen", un terminal qui croit qu’elle est un garçon vraiment pas mignon et qui aurait bien du mal à se faire passer pour une jolie fille.



En plus de cet orgueil blessé, Fuyuka est amoureuse de Kamiki, ce qui est pour elle un point en plus car le jeune homme va jouer le prince. Elle va donc relever le défi pour montrer qu’elle peut le faire, pour en profiter et faire voir à Kamiki la jeune fille qui est en elle.



Ce volume se concentre également sur la relation entre Fuku, la jolie infirmière et Nogami. Nogami - n’étant pas un garçon avec beaucoup de tact - a beaucoup de mal à accepter ses sentiments envers la jeune femme et Fuku décide de quitter le lycée pour le protéger. On se doute bien de comment cela va se terminer, mais ce n’est pas sans compter sur le caractère et le comportement bien particulier de Nogami. Le jeune homme est une vraie langue de vipère et ne mâche pas ses mots, et si en plus on rajoute sa bêtise légendaire, nous nous retrouvons avec quelque chose d’assez déroutant.



D’un autre côté, nous avons Maki qui fait la connaissance d’une autre jeune fille de l’île. Une jeune fille qui lui plaît mais son histoire précédente avec Erika l’empêche encore d’avancer, surtout lorsqu’il apprend le prénom de sa mystérieuse surfeuse.



C’est ici un nouveau volume tout à fait plaisant, niveau ambiance nous restons dans celle des précédents. La bande grandit peu à peu et nous les voyons évoluer. Nous avons ici une série qui est très divertissante et quelques anecdotes sont vraiment drôle.
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On débute ce deuxième volume avec un nouveau personnage féminin, Erika, qui semble être le premier amour de Maki. Ce récit avait déjà soulevé quelques interrogation dans le volume précédent, alors découvrir leur histoire est vraiment quelque chose de sympa, même si on s’éloigne de l’endroit rustre du lycée pour garçons.



Ce volume est composé pour sa majeure partie de cette histoire, elle est entrecoupée par des moments du présent de Maki, mais cela n’empêche pas de savourer l’évolution de la relation qu’il avait avec Erika et de leur lien. C’est une belle histoire, on comprend Maki et son amour pour la jolie jeune fille au caractère de cochon.



La demoiselle est en effet très franche et n’a pas la langue dans sa poche. Son caractère est peu agréable de prime abord mais aux yeux des lecteurs, on la trouve vraiment sympathique. De plus la confrontation de sa façon d’être avec celle de Maki est impressionnante et rend leur relation encore plus touchante.



Ce qui est également intéressant est de suivre la trame du point de vue de Maki, c’est sympathique car nous sommes plus habitués d’être du côté de la demoiselle. On connaît les pensées de Maki et on se dit que fille comme garçon, lorsqu’on est amoureux c’est toujours un peu compliqué de bien s’exprimer, bien agir. On se fait des films, des idées, on se brouille pour un rien car on n’est pas sûr de l’autre et qu’on n’est encore moins sûr de soi.



Maki est vraiment un chic type et ce volume nous le vend encore mieux. Un ami comme cela, oui on en voudrait !



Et afin de compléter le volume, nous faisons la connaissance d’une jeune fille en détresse de retour sur son île natale pour les vacances. Elle va demander à notre quatuor de l’aider afin que l’un d’entre eux accepte de se faire passer pour son petit-ami le temps d’une visite d’une de ses amies. Une mission qui ne sera pas si aisée mais qu’on appréciera car ces gars sont des amours !



Voilà un second volume tout aussi satisfaisant que le premier, on en découvre toujours un peu plus sur notre petite bande et ça c’est cool.
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Il faut bien se remettre en tête (grâce au résumé du début) les évènements car le manga se complexifie pour le plus grand plaisir des lecteurs. Une série qui gagne en épaisseur et dont la finesse des dessins n’est plus à dire.
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Ce tome voit les différentes intrigues avancées tant sur le plan de la romance interdite entre la princesse Aki et son esclave que sur les complots royaux et les guerres frontalières. Les rebondissements sont nombreux et on ne s’ennuie pas une seule seconde.
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La seule et véritable guerre va bientôt commencer pour Aki. Ne supportant de perdre plus qu'elle n'a déjà perdu, elle se sépare de ceux qu'elle aiment. Mais Hakusei l'entend autrement. La fin semble n'avoir jamais été aussi proche.

Sur une petite île un peu perdue se trouve un internat très réputé. Sa particularité ? Il n’accueille que des garçons. Voilà le pitch principal de ce shojo un peu particulier. Car ici, les héros sont des adolescents en mal de filles « en 3d » dont les lectures favorites sont des magazines pornos et des vidéos du même genre. Pas de petites fleurs, de doux sentiments, non. Les ados sont en rut et la fille est une denrée rare qu’il faut savoir protéger. Pourtant, des sentiments, on en trouve. Le tout est assez surprenant et original. On retrouve après toutes sortes de « mâles » (le « normal », le lunetteux, le beau gosse qui s’avère être un vrai crado, le garçon efféminé, etc.) qui nous font bien rire dans leurs aventures quotidiennes.

On retrouve nos héros ados et je commence à les apprécier de plus en plus. L’amour est bien sûr au centre de leur préoccupation, ce qui inclut la recherche de la petite amie. On replonge dans le passé de Maki, et de sa première relation amoureuse, et je dois bien avouer que l’histoire m’a surprise mais je ne veux pas en dire plus ici. Lisez cette série, cela ne pourra vous faire que du bien.

Au fil des tomes, j'apprécie de plus en plus la légère différence qu'il y a entre cette série et les shojo plus "traditionnels". Les histoires d'amour sont là, mais maladroites. Les garçons sont touchants avec leur réserve. Et puis, on retrouve leur vie quotidienne à un côté très masculin avec, notamment, l'"octopus attack" ^_^

Seiho est un lycée pour garçon avec son propre pensionnat, cela pourrait ne pas poser trop de problèmes pour ses pensionnaires en pleine force de l’âge s’il n’était pas situé au milieu d’un trou paumé. Il n’y a pas âme qui vive aux alentours et la seule chose positive est que la mer est à cinq minutes de là.



Voilà un établissement où le fait d’être coupé du monde fait travailler les hormones des jeunes hommes un peu plus que la moyenne. Ils ne voient que très peu de femmes en 3D.



Dans ce manga on accompagne une bande de potes, dont le héros est le mignon Maki, un jeune homme au visage agréable avec un cœur d’or, même s’il lui arrive d’être violent. Ces élèves qu’on commence à suivre en seconde sont tous différents et l’ambiance qu’il y a entre eux nous donne l’impression de les connaître et de faire partie du groupe.



La première histoire se penche sur Hanai, un beau lycéen qui s’est rendu compte qu’il a des préférences que l’on pourrait qualifier de plus féminines. Le souci étant que son ex-petite amie du collège vient lui rendre visite. Bien qu’ils soient restés en bon terme, il ne veut pas qu’elle découvre sa vraie nature afin de ne pas l’embarrasser.



C’en suit une aventure du colocataire de Maki, Nogami, qui a vraiment un problème de communication avec les filles. Et enfin, nous nous retrouvons avec Kamiki, celui étant considéré comme la "fleur" du lycée, le "prince" des secondes.



Les histoires n’ont pas forcément de liens ensemble, mais on s’en fiche, on cherche juste à entrer dans un petit train-train quotidien d’adolescents ayant les hormones en ébullition. Pleins de jeunes hommes, des amitiés fleurissantes, des amours naissant et des anecdotes amusantes.



Ce manga permet de décompresser sans se prendre la tête. Le style graphique est un peu particulier mais on s’y fait vite, les personnages sont reconnaissables, on y regrettera peut-être le manque de décors.



Nous avons en plus le droit à la fin d’une petite histoire indépendante qui raconte une rencontre entre un collégien et une étudiante. C’est la naissance d’une relation toute particulière qui permet à l’un et à l’autre de se rassurer. Très intéressant même si on ne cautionne pas forcément tout ce qu’il s’y passe.



Ce premier volume introduit bien la série, il nous permet de nous faire une idée de ce qu’on trouvera par la suite sans tout nous dévoiler. Pour l’instant, il n’y a pas vraiment de fil conducteur sauf qu’on s’intéresse aux amours de notre petite bande de potes et c’est plaisant !
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Ce qui pouvait paraître comme un simple shojo, apparaît désormais comme un manga à l’intrigue complexe et mystérieuse. Je ne peux en aucun cas prédire la suite et c’est tout simplement génial !
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