Nationalité : Japon
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Biographie :
Kaori Yoshikawa est une mangaka et enseignante.
Elle fait ses débuts dans la très renommée Japan Designer School de Shibuya à Tôkyô.
Alors qu’elle est encore étudiante, elle remporte un concours organisé par la revue Dengeki Gao ! et réalise des dessins et scénarios pour la maison d’édition AscII Media Works.
Kaori Yoshikawa est la première mangaka japonaise à enseigner le manga par la pratique en France.
Elle est professeur depuis 2005 au sein de l'école A. A. A. (Associations des Amitiés Asiatiques) section manga à Paris, qui dispense une formation pour devenir mangaka professionnel. Elle anime également des stages auprès d'enfants dans des établissements publics.
Kaori Yoshikawa continue par ailleurs de réaliser des illustrations, notamment des pochettes d'albums pour des artistes japonais ainsi que des couvertures de magazines.
Elle est membre de l'Association des mangakas du Japon, qui regroupe des auteurs représentatifs du genre.
page Facebook : https://www.facebook.com/yoshikawaofficial/
+ Voir plusKaori Yoshikawa est une mangaka et enseignante.
Elle fait ses débuts dans la très renommée Japan Designer School de Shibuya à Tôkyô.
Alors qu’elle est encore étudiante, elle remporte un concours organisé par la revue Dengeki Gao ! et réalise des dessins et scénarios pour la maison d’édition AscII Media Works.
Kaori Yoshikawa est la première mangaka japonaise à enseigner le manga par la pratique en France.
Elle est professeur depuis 2005 au sein de l'école A. A. A. (Associations des Amitiés Asiatiques) section manga à Paris, qui dispense une formation pour devenir mangaka professionnel. Elle anime également des stages auprès d'enfants dans des établissements publics.
Kaori Yoshikawa continue par ailleurs de réaliser des illustrations, notamment des pochettes d'albums pour des artistes japonais ainsi que des couvertures de magazines.
Elle est membre de l'Association des mangakas du Japon, qui regroupe des auteurs représentatifs du genre.
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Retour en images sur le Festival de la BD d'Angoulême 2019 avec nos auteurs : Etienne Yuio Simon, Kaori Yoshikawa, Lorenzo Chiavini et Étienne Appert.
Citations et extraits (3)
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Les ninjas sont une catégorie de mercenaires qui pratiquaient l'espionnage, le sabotage, l'infiltration, l'assassinat et la guérilla entre 1467et 1869 (c'est super précis !). Les ninjas possédaient une grande force physique, mais aussi des connaissances pointues en pharmacie, chimie, astronomie et psychologie. Ils connaissaient également très bien les animaux et les plantes.
Quand on pense au ninja, on imagine une silhouette tout de noir vêtue qui se faufile comme un espion ! Dans les mangas, on les voit toujours déployer la panoplie entière du ninjutsu (l'ensemble des arts et techniques traditionnels des ninjas) pour assassiner un personnage, mais en réalité ils opéraient en toute discrétion.
Quand on pense au ninja, on imagine une silhouette tout de noir vêtue qui se faufile comme un espion ! Dans les mangas, on les voit toujours déployer la panoplie entière du ninjutsu (l'ensemble des arts et techniques traditionnels des ninjas) pour assassiner un personnage, mais en réalité ils opéraient en toute discrétion.
Le hakama est le pantalon large du costume traditionnel, qui ressemble à une jupe longue quand on le voit de face.
A l'époque on portait des zôri, des sandales japonaises faites en paille de riz, et des geta (qui se prononcent guéta), des chaussures traditionnelles en bois, souvent munies de dents (morceaux de bois verticaux placés sous la semelles).
Les tabi sont des chaussettes japonaises traditionnelles qui se séparent en deux au niveau des orteils, comme des moufles.
A l'époque on portait des zôri, des sandales japonaises faites en paille de riz, et des geta (qui se prononcent guéta), des chaussures traditionnelles en bois, souvent munies de dents (morceaux de bois verticaux placés sous la semelles).
Les tabi sont des chaussettes japonaises traditionnelles qui se séparent en deux au niveau des orteils, comme des moufles.
Traditionnellement, le Kimono d'un défunt se porte côté droit sur côté gauche. C'est pourquoi, quand on dessine un homme en Kimono, on ne doit pas oublier que le côté gauche est sur le côté droit.
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