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Critiques de Kate Morton (782)
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Les ombres d'Adelaide Hills

Mon deuxième roman de Kate Morton.

Que de secrets de famille bien enfouis ! Jess revient en Australie pour partager les derniers instants de vie de sa grand-mère qui l'a élevé. Et lorsque celle-ci tombe sur certains documents mis de côté, nous remontons le temps pour suivre l'enquête sur la mort mystérieuse d'une mère et de ses 4 enfants.

Que de fils à dénouer! L'auteur distille des indices au compte goutte dans une parfaite maîtrise de la double temporalité. l'Australie est très bien décrite, la psychologie des personnages est finement amenée, chacun se dévoilant un peu plus au fur et à mesure des pages. Pour moi, un peu trop de longueurs car beaucoup d'éléments sont donnés dès le début, ce qui nous permet d'avoir une idée de ce qui s'est passé. Des raccourcis auraient pu être faits.

Attention, livre addictif qu'on ne peut fermer sans connaître le dénouement.

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Le Jardin des Secrets

Une lecture que j'ai appréciée, mais qui ne m'a pas autant emportée que les autres romans de l'autrice. Je trouvais qu'il y avait beaucoup trop de points de vue, avec chacun un passé, un présent, le début était alors laborieux, mais j'ai fini par m'habituer à l'abondance de personnages. Pour autant, je suis également passée à côté de l'histoire, puisque j'avais déjà deviné le grand secret trop rapidement. J’espérais qu'on me surprenne à la fin, qu'il y ait un changement inattendu, mais j'avais raison et je me suis donc surtout ennuyée tout au long de ma lecture, en attendant d'arriver au moment de la révélation aux personnages. Ça reste une bonne histoire, très riche, mais j'ai trouvé ça un peu trop long à mon goût. Dommage !
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L'Enfant du lac

Après mon coup de coeur avec la Scène des Souvenirs, c'est sans hésiter que je me suis lancée dans un autre roman de Kate Morton. Cette histoire, à travers son résumé, m'intriguait beaucoup et j'ai vraiment apprécié ma lecture. On ne peut s'empêcher de tourner les pages pour en apprendre plus. Je me suis peut-être moins attaché aux personnages dans celui-ci, ce qui fait que certains chapitres détaillés étaient un peu longs pour moi. Mais j'ai eu beaucoup d'affection pour Eleanor et son histoire, qui est finalement centrale à ce roman.



J'ai aimé les découvertes et les surprises révélées sur ce mystère, et c'est toujours un plaisir que de plonger dans plusieurs époques différentes ! En tout cas, la résolution est plus que satisfaisante, et je dirais même que la fin était émouvante et m'a permis d'apprécier encore mieux l'histoire que je venais de terminer.



Une très bonne lecture !
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La scène des souvenirs

C'est simple, je ne sais pas à quand remonte la dernière fois que j'ai eu un tel coup de cœur. Rien ne laissait présager un tel attachement, même pendant toute ma lecture, avant que la fin ne se dévoile petit à petit et me cueille au passage sans prévenir.



Je lis très peu de romans sur fond d'Histoire ou bien qui raconte des histoires de famille, mais il annonce sûrement le premier d'une longue liste, tant je me suis retrouvée à mon aise entre ces pages. C'est le secret, ce secret que détient la mère de Laurel qui m'a donné envie de lire ce livre, et s'il est à l'origine de ce coup de cœur, je n'ai pas trouvé ici le choc ou la surprise, mais plutôt un soulagement immense qui témoignait de toute ma lecture et de ce que j'ai pu éprouver pour les personnages au fur et à mesure. J'ai d'abord adoré me plonger dans cette histoire de famille dont le secret n'est que la conséquence de bien d'autres mystères. Je me suis prise au jeu de l'enquête de Laurel, j'ai aimé découvrir ces personnages réalistes qui font chacun de leur mieux, et je me suis laissé emporter par la plume si fluide de Kate Morton, que je découvrais pour la première fois (et certainement pas la dernière !)



Puis j'ai eu quelques craintes passé le milieu du roman, parce que mes sentiments pour les personnages commençaient à changer. Et ma libération est peut-être venue plus tôt que prévu, en devinant la réalité derrière ce que l'on présentait, mais j'ai été encore plus surprise de découvrir mon émotion aux dernières pages, en étant témoin de la véritable seconde chance de sa mère, plus que méritée, mais aussi en voyant tout l'amour qui se dégageait de l'histoire d'une seule personne. Et je crois que c'est ce témoignage, peut-être fictif mais si bien écrit, qui m'a véritablement bouleversé. Parce qu'il est porteur d'espoir, de résilience et d'amour, parce qu'il met en lumière les gens tels qu'ils sont, la vie telle qu'elle se présente. Ce roman témoigne pour eux en les présentant sous un jour réaliste, mais très émouvant.



C'est juste mémorable ! Cette histoire rejoint donc sans hésiter, et à ma plus grande surprise, le rang de mes coups de cœur. Il était temps qu'un nouveau venu les rejoigne !
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Les brumes de Riverton

Je n'ai pas réussi à m'intéresser à l'histoire de Grace et à ses souvenirs d'une période lointaine où, domestique à Riverton, elle a été témoin d'un drame qui a frappé la famille qu'elle servait.



Il faut dire qu'après la plume aussi concise qu'évocatrice d'Elizabeth O'Connor (Sur l'Ile), j'ai eu l'impression avec Les Brumes de Riverton que le texte s'étirait longuement sans que l'intrigue n'avance vraiment. Je me suis donc assez vite ennuyée, ne parvenant pas à m'intéresser à ce que raconte la narratrice, une vieille dame de 98 ans, qui passe sans transition du présent à ses souvenirs.



C'est dommage, j'avais bien aimé les autres romans de Kate Morton que j'ai lus...

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Le Jardin des Secrets

Ce livre est une pur merveille et incontestablement un vrai coup de cœur, j'ai fini ce livre avec des larmes, j'ai été bouleversé par ce roman historique.

Dès les premières pages J'ai été happé, transporter, aspiré dans cette magnifique lecture. J'ai voyager en Australie puis en Angleterre plus précisément en cornouaille avec la mer et ces falaises impressionnante...



J'ai aussi voyager dans le temps, d'abord en 1900 puis en 1975 et en 2005, avec des flash-back et des retours dans le passé-présent comme je les adore.



J'ai également fait la rencontre d'une femme ou plutôt des femme mais surtout une en particulier qui m'a bouleversé, et justement le personnage principal de l'année 1900 était une (conteuse) elle écrivait des conte pour enfants et l'autrice à eu l'idée génial d'introduire les contes de son personnage dans son propre livre et ces conte sont extrêmement émouvant.



Je ne connaissez pas du tout l'autrice mais quelle plume, quelle finesse, quelle écriture, quelle idée et quelle imagination car l'autrice à une imagination digne d'une des plus grand réalisateur hollywoodien...



Ce livre restera gravé dans ma mémoire, c'est même peut-être LE livre qui a détrôner tous les autres livres que jai pu lire.

C'est un beau pavé de plus de 700 pages mais clairement je ne les est pas vue.



Avec ce livre c'est une pur évasion assuré, entre secrets, héritage, famille, amitié...

J'ai rarement lu un livre aussi bien ficelé... aussi parfait!
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Les heures lointaines

Les heures lointaines



De Kate Morton



Meredith, reçoit une lettre égarée depuis 50 ans elle se retrouve confrontée à un passé qu'elle a toujours dissimulé.

En 1939 comme de nombreux enfants, elle a dû fuir Londres sous les bombes.. dans son malheur, elle fut recueillie par une famille d'aristocrates

duquel elle ce lié d'amitié avec la cadette Juniper... 50 ans plus tard sa fille Edie essaie de comprendre pourquoi cette lettre a bouleversé sa mère et décidé de découvrir le mystère du château de Milderhurst... Et ainsi comprendre ce qui s'est passé il y a 50 ans et pourquoi sa mère est si silencieuse de ces quelques temps passés avec la famille de Juniper..



Waouh... Je n'ai pas de nom pour cette incroyable histoire, Kate Morton nous trimbale du début jusqu'à la fin du livre du présent au passé, au suivant plusieurs personnages et nous découvrons au fur et à mesure ce qu'il sait véritablement passé. Je ne dirai pas que c'était un happy end pour moi, à la fin du livre j'avais le cœur gros et lourd...



J'ai beaucoup apprécié, la tournure des phrases j'avais l'impression d'être dans le château tellement elle a bien décrit toutes les scènes.



Edie, elle mène l'enquête avec beaucoup de délicatesse, j'ai vraiment apprécié ce personnage à qui on peut facilement s'identifier, très facilement et aussi cette évolution dans la relation avec sa mère qui m'a fait chaud au cœur... Grâce à cette histoire à ce secret elles ont pu se rapprocher l'une de l'autre.



Les sœurs Blythe, Persephone, Séraphina et Juniper, trois sœurs, unies jusqu'à la fin, cette famille m'a énormément touché, toutes les trois avaient des rêves et ils n'ont pas pu le réaliser.

Mais jusqu'à la fin elles sont restées ensemble..

Ces trois sœurs, resteront à jamais dans mon esprit.

Pour protéger ses sœurs, Perséphone alias Percy un sacrifice beaucoup de choses et qui la rend merveilleuse à mes yeux.





J'ai adoré la lecture de ce livre, même si au début c'était un peu long au démarrage.

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L'Enfant du lac

De nouveau un très bon tome de Kate Morton !



En 1933, Théo, un petit garçon de 11 mois disparaît au cours d'une soirée de fête dans le domaine familial en Cornouailles. En 2003, Sadie, une policière londonnienne en repos forcé après une affaire compliquée, découvre le domaine au cours d'un jogging. L'abandon de la maison l'intrigue et elle décide de reprendre l'enquête tant par intérêt que pour éviter d'avoir à réfléchir sur ses problèmes plus actuels.



Le début du roman est un peu lent. Il faut un peu de temps pour s'attacher aux personnages et comprendre leurs secrets. La multiplicité des temporalités et des narrateurs n'aide pas. Mais une fois qu'on est accroché, plus moyen de refermer le livre sans en connaître la fin. A plusieurs reprises, les indices nous emmènent vers les solutions ou des pistes de ces romans précédents. On se rend compte rapidement que c'est pour mieux nous mener par le bout du nez.

On a toutes les pièces du puzzle mais il faut attendre la toute fin pour enfin tout relier et que le tableau prenne tout son sens.



Kate Morton fait partie des auteurs que je lis sans regarder la quatrième de couverture et conserver intacte la surprise du roman. Jusque là, je n'ai jamais été déçue.

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Les ombres d'Adelaide Hills

Quand je vois la note moyenne de ce livre sur Babelio, et que la griffe noire l’a plébiscité herself. Je me dis : « fonce ma fille ».



Je n’ai pas trop foncé. Sûrement à cause des 800 pages.



Alors oui, c’est bien écrit, oui, les différents personnages sont intéressants, oui l,histoire tient de out , oui, le lieu et l’époque choisie donne envie.



Tout les ingrédients sont là pour faire un superbe livre mais j’avoue par moment m’être ennuyée tant il y a de longueurs.



Je ne suis en aucun cas spécialiste mais, je pense que l’auteur aurait pu par moment mettre certains chapitres de côté.



Je comprends l’engouement mais pour ma part ça n’a pas été là lecture de l’année : un manque de rythme tout simplement
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Les ombres d'Adelaide Hills

Excellent thriller plein de rebondissements...en fait, ils s'enchaînent les uns à la suite des autres (même si on devine où s'en va le récit, il faut admettre que c'est bien goupillé!)



On découvre un secret de famille et son impact sur 3 générations de femmes. Le mystère s'éclaircit au fur et à mesure de la progression de l'enquête menée par la plus jeunes des trois. La présentation du récit est intéressante, alternant entre la lecture d'un livre écrit par un des protagonistes et les pensées/vécu des différents instigateurs du roman.



Premier roman pour moi dont l'action se passe en Australie et j'ai franchement adoré les descriptions de la faune et de la flore ambiantes. Quel pays incroyable!
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Les ombres d'Adelaide Hills

Les ombres d'Adélaïde Hills

De Kate Morton



En 1959 la veille de Noël la tragique tombe sur le domaine des Turner, une enquête est menée et la petite ville de Tambilla et bientôt aussi affilié à l'une des affaires de meurtre les plus choquantes et le plus inexpliqué de l'Australie du Sud...

60 ans plus tard Jess une journaliste qui a vécu depuis quelques années à Londres doit retourner à Sydney lorsque sa grand-mère est hospitalisée elle retourne donc dans la maisonde son enfance et commence par tomber des choses qui liés sa grand-mère au drame des Turner... Elle décide donc d'enquêter de découvrir la vérité derrière cet étrange meurtre...







Waouh ! J'ai adoré ce livre je l'ai dévoré profondément j'ai pris du temps pour comprendre les chapitres qui venaient du passé et du présent comme je les aime!

Nous suivons Jessica en 2018 , puis nous retournons en 1959 pour suivre les événements de plusieurs individus à cette étrange veille de Noël...



J'ai beaucoup apprécié le suspense derrière cela j'ai commencé à deviner vers la fin à peu près la fin mais en fait je me suis complètement trompé sur certains points !



Au début j'apprécie beaucoup Nora la grand-mère de Jessica et au fur et à mesure je comprends que cette femme a énormément souffert lié aux événements de 1959 mais d'un côté tout ce secret en détruit beaucoup de monde..



Jessica est l'un de mes personnages préférés, elle n'a pas eu une vie très très facile certes elle a une enfant heureuse avec Nora sa grand-mère, mais lorsqu' elle est partie à Londres c'était beaucoup plus compliqué. Lorsqu'elle commence à faire des recherches sur ce mystérieux meurtre de 1959 elle commence à découvrir un autre visage de sa grand-mère, elle comprend que parfois les apparences sont trompeuses.



Poppy la fille de Nora et la mère de Jessica, nous avons pas vraiment au début sa version d'histoire, je pensais donc qu'elle n'était peut-être pas prête à être maman et en fait au fur et à mesure je découvre une femme qui aime extrêmement sa fille et que par peur et aussi à cause de Nora elle n'a pas pu tout exprimer tout ce qu'elle ressentait.

Et lorsqu'elle découvre le secret que sa mère lui a caché, elle était comme libérée de l'emprise de sa mère et décide de renouer le lien avec sa fille.



J'avais l'impression d'être en Australie plutôt que chez moi dans le Nord où il faisait froid, l'auteur m'a transporté dans ce magnifique paysage, qu'elle détaille très bien dans le livre.



À la fin du livre nous avons plus d'ombre tout est expliqué c'est ce que j'ai trouvé ça bien c'est que à la fin de ce livre nous avons toute l'histoire de tout ce qui s'est passé et nous comprenons enfin qu'est-ce qui s'est passé la veille de Noël en 1959 à l'Adelaide Hills.

Et parfois la vérité trompeuse....

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Les ombres d'Adelaide Hills

Roman époustouflant ! Incroyable ! Je referme ce livre avec une onomatopée à la bouche : waouh! Mais aussi avec la frustration d’avoir déjà fini de le lire. A la fin de l’histoire il n’y a plus de zones d’ombres qui persistent sur Adelaide Hills.

Kate Morton nous plonge dans la faune et la flore de l’Australie Méridionale, avec de belles et précises descriptions . Nous sommes totalement dépaysés. L’autrice choisit la double temporalité (1959 et 2018), afin de nous exposer l.histoire de la famille Turner. Kate Morton à l’art et la manière d’entretenir le suspens chez son lecteur. En effet en débutant ma lecture je m’attendais à lire une saga familiale mais petit à petit nous sommes plongés dans une enquête policière. Il faudra attendre les dernières pages afin de connaître la vérité à propos de la famille Turner. Je ne veux pas trop dévoiler l’intrigue sinon il n’y aura plus d’intérêt à lire e roman. Je dirais juste que le lecteur fera connaissance avec la famille Turner dans le passé, puis dans le présent. Une famille attachantes dans laquelle s’est déroulée une terrible tragédie. Une tragédie qui des décennies plus tard continue de tourmenter ses descendants. Qui a bien pu commettre cette tragédie et comment ? Pourquoi ?

Vous l’aurez compris j’ai adoré ce roman! Il est très bien écrit, l’intrigue est bien ficelée et bien pensée. J’ai apprécié également les belles descriptions de cette nature florissante , étouffante et mystérieuse, elles m’ont fait voyager. À chaque chapitre nous avons l’impression d’en apprendre plus sur l’intrigue mais nous sommes en dans le même temps déroutés car nous nous apercevons que la vérité n’est pas ce qu’elle semble être … les 700 pages se lisent rapidement tant nous sommes absorbés par cette histoire !!! Bravo l’auteure quel coup de génie
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La prisonnière du temps

Ce roman, que j’avais choisi avec grand soin pour mes vacances était tout à fait à la hauteur de mon attente, et complètement adapté aux circonstances (des vacances au printemps).

J’ai peut-être mis plusieurs chapitres à être vraiment immergée, mais une fois l’intrigue mise en place, c’est prenant. L’ambiance est poétique, lumineuse et pleines de couleurs. Il y a peut-être un effet « patchwork », surtout dans la deuxième partie, avec des personnages qui viennent mettre leur petite pierre à l’édifice. Partie qui fut un peu longue pour moi car on avance moins dans l’intrigue principale. Néanmoins, le dénouement est à la hauteur (même si pour les grands amateurs de suspense, ce n’est pas non plus le retournement de situation le plus inattendu).



Bref, je recommande en lecture des beaux jours aux amateurs de manoirs « vivants », d’histoires de famille, d’héritage et d’artistes. :)
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Les ombres d'Adelaide Hills

J'ai acquis ce roman dès sa sortie. Près d'un an après sa parution, cette histoire était toujours en attente dans ma PAL.

Attirance... crainte... j'ai fini par dépoussiérer et entrer dans les ombres d'Adelaide Hills.



L'expérience de lecture est décevante : je suis autant déçue par mon manque de persévérance que par mon abandon. Je n'ai lu que le quart du récit pour me faire une idée de l'ensemble... tout juste le début et l'introduction de cette double narration.



Si le thème me convient - j'adore les récits croisés présent / passé ; les secrets de famille, les non-dits qui ressurgissent - l'histoire ne m'a pas happée. J'ai tenté plusieurs stratégies : la relecture, les retours en arrière, différentes positions pour ne pas succomber au sommeil lorsque la journée est derrière moi. Plusieurs jours ont eu raison de mon obstination. J'ai reposé le livre. Vaincue.



L'écriture est pourtant agréable. Le voyage de Londres à l'Australie est un dépaysement garanti. La maison et ses souvenirs sont une accroche imparable. Mais...



Mais ce qui m'a gênée pour persévérer, ce sont les longueurs dans les événements qui ne surgissent pas assez vite (à mon goût) et par l'impossibilité d'accrocher au personnage de Jess. Le personnage contemporain se perd dans des souvenirs d'enfance. Il me semble qu'il y a eu trop de passé et pas assez d'actions...



Il existe aussi certainement un autre facteur qui est indépendant de l'histoire, de sa forme et de son fond : une baisse de motivation... ou une baisse de ma capacité d'attention. Donc, j'ai pensé qu'il valait mieux tourner la page sur ce roman et me concentrer sur un autre qui pourrait me libérer de cette sensation de panne de lecture.



Ce roman est pourtant entouré d'éloges, de chroniques vraiment positives et touchées par le déroulement. J'en arrive à penser que je n'ai pas découvert Les ombres d'Adelaide Hills au bon moment. A cet instant, je n'ai pas confiance en mon jugement... et en même temps, je n'abandonne JAMAIS un roman : je survole certains passages et je me confronte au livre entier.

Par respect pour l'auteur.

Pour avoir une idée complète.



Bref, il est maintenant posé à l'écart.

Il est toujours là.

Il s'ouvrira à moi lorsque je serai mieux disposée... vraiment.
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Les ombres d'Adelaide Hills

Adelaide hills, charmante demeure en Australie méridionale.

Au centre de ce parc majestueux, son un arbre, près de la riviere une mère et ses enfants ont décidé de poser leurs serviette pour un pique nique. Le père de famille est en voyage comme bien souvent .



Alors que le soleil se couche, un commerçant du village venu effectue une livraison sur le domaine, fait une terrible découverte dans le jardin. La mère et ses enfants ont l’air tous endormi ; mais en s’approchant il découvre tous ces corps sans vie. Pas un souffle, pas un bruit., pas de traces de violence.



Que s’est il passe ?



Plusieurs décennies plus tard, Nora qui a vécu ce drame alors qu’elle était en vacances dans la demeure pendant ce drame, va réouvrir ce pan de l’histoire de famille demeure inexpliqué en y convoquant sa fille et sa petite fille .



Va t’elle enfin leur livrer un immense secret de famille?



Ce roman de 700 pages alterne entre deux temporalités .

C’est une immersion totale au sein de cette famille puis des autres habitants qui ont vécu pour les plus âgés cette tragédie.



Les langues vont elles se délier ?



Un bon moment de lecture qui fait voyager, vivre des moment de plénitudes avec des personnages très attachants qui vous raconteront leur histoire avec toujours une touche de secret, de non dits, par pudeur ou par réel volonté de cacher leurs méfaits.
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Les ombres d'Adelaide Hills

2018 : Jessica, une jeune femme installée à Londres repart pour Sidney afin de veiller sa grand-mère Nora.

Nora, très âgée. Elle est hospitalisée, tourmentée, confuse, puis inconsciente. Nora est au bout du rouleau.

Jessica, Jess, habite dans la grande maison de Nora où elle a été élevée. Sa mère Polly l'a abandonnée à sa mère, Nora, une merveilleuse grand-mère pour Jess.

Polly, au caractère instable, ne pouvait pas assumer sa fillette.

Dans la confusion des paroles du délire, Jess relève quelques paroles mystérieuses délivrées par sa grand-mère.

Elle fouille au grenier de la grande maison et découvre un lourd secret de la famille de Nora où toute une famille, sauf le père parti en voyage, a perdu la vie en 1959.

La mère Isabel était supposée avoir administré du poison à ses enfants et à elle-même.

Parallèlement , Percy Summers, un habitant du village ayant découvert le drame nous livre son témoignage.

Original et intéressant, Jess va trouver un livre écrit par un certain Daniel Miller : " Comme s'ils dormaient".

Petit à petit, elle va démêler des éléments de l'histoire avec l'aide de sa mère Polly.

Après la mort de la grand-mère Nora, plus rien ne les retiendra pour essayer de trouver la vérité.

Le fils de Percy Summers, Marcus, devenu avocat, va les contacter pour leur livrer ses secrets de famille.

Son père et sa mère étaient très liés à la famille Turner, disparue.

Jess et sa mère démêlent finalement tous les mystères en grande partie grâce aux découvertes de Daniel Miller, l'écrivain qui avait envoyé ses conclusions à la grand-mère Nora. Il s'était abstenu de tout révéler pour ne pas nuire à la famille. Son roman était déjà écrit lorsqu'il a tout découvert. En tant que lecteurs, on peut découvrir une partie du roman en même temps que Jesse le lit.

Dès qu'elle arrête sa lecture on passe de 1959 à 2018.

Une histoire humaine et une enquête familiale passionnantes. Pas question de lire la dernière partie surtout en lecture plus rapide car on raterait les points les plus importants de l'intrigue.

Même si un point du mystère pouvait être aisément déduit par le lecteur, il était impossible de deviner le dénouement.

L'écriture et la traduction sont magnifiques.

L'ambiance et la nature de l'Australie méridionale reflètent la beauté des lieux mêlée à une dangerosité aussi bien venant des plantes que des animaux.

En 1959, c'est Noël au moment des faits, l'été pour eux et ils vivent déjà à ce moment sous une chaleur écrasante.

Un magnifique pavé qui m'a accompagnée pendant une semaine.



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La scène des souvenirs

C est un roman historique, une histoire de famille, des allers retours dans le passé depuis l Australie en 1929 en passant par Londres pendant la guerre.



En 2011, Lauren nicholson se rend au chevet de sa mère dans la ferme de son enfance dans le suffolk. Lauren à vécu un traumatisme dans son enfance et suite à la découverte d une photo ancienne de sa mère avec une personne inconnue, elle va enquêter afin de comprendre une part de la vie de sa mère.



Très belle histoire romanesque qui fouille le passé de cette famille comme un jeu de piste.

Émouvant comme la question sur la jeunesse de nos parents avant d avoir leurs enfants.

Historique comme la vie á Londres pendant la 2ème guerre mondiale.

Les personnages sont également très bien décrits et complexes ce qui nous permet de nous attacher à eux.



En résumé, un excellent livre que nous devorons pour connaître la fin de cette histoire qui en plus arrive à nous surprendre.
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Le Jardin des Secrets

C'est avec plaisir que je me suis plongée une fois de plus dans un roman de Kate Morton, disons une saga familiale plus que captivante où la quête d'identité met en exergue la vie de trois femmes issues d'une même famille mais appartenant à trois générations différentes! Une seule question se pose tout le long de la lecture ''quelle est 'l'origine?'' pout apaiser les esprits, si bien que Cassandra se lance à corps perdu, comme sa grand-mère, à la recherche de l'origine familiale de celle-ci/. Pour cela, il faut quitter la terre australienne pour l'Angleterre , car ladite grand-mère a été trouvée, toute seule, des décennies plus tôt sur le port de Brisbane, en Australie, en provenance d'Angleterre, alors qu'elle n'avait que quatre ans....

Cette quête des origines se transforme vite en un labyrinthe où chaque information devient une source d'interrogation! On s'y plait bien dans ce labyrinthe, chaque pas n'est autre qu'une nouvelle impasse qu'il faut se résoudre à décrypter...
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Les heures lointaines



 

Une lettre égarée qui remonte à la surface et cela suffit à faire ressurgir un passé enterré depuis longtemps, elle excite la curiosité de la jeune Edie, femme rêveuse dont le passé de sa mère va aiguiser sa curiosité.

Un jour, le destin pose sur son chemin le château de Milderhust où tout a commencé. Les descriptions me font voyager au cœur de ce château, le mystère survole la bâtisse, le récit est riche de détails passionnants et énigmatiques. C’est une recherche de la vérité, d’un vécu intense durant la guerre, où des promesses ont été oubliées, envolées avec des regrets, une recherche d’identité, des rêves perdus, inachevés ou désagrégés.

Sur certains passages, je me languis de découvrir les aboutissements, c’est avec hâte que je lis chaque page. L’autrice arrive à laisser planer le suspense des aveux entre colère et tendresse tout en pudeur londonienne.

La plume de Kate Morton est particulière, elle me transporte entre passé et présent, elle m’enveloppe pour mieux m’aider à m’imprégner du récit où je plonge avec délice au cœur du château de Milderhust, avec de la vie, des joies, des tragédies, des personnages atypiques et attachants. Je découvre ce quotidien, cette jeunesse qui évolue au gré des péripéties, de la guerre, des rêves secrets, un récit nostalgique qui regorge de sentiments forts. L’écrivaine transmet tant d’émotions qui me serrent le cœur durant ma lecture. C’est profond, passionnel et romanesque, elle donne à ce château une âme troublante, pesante, une cage dorée familiale.

 

J’ai littéralement adoré m’immerger dans cette histoire émouvante où le texte est vibrant, regorge de passion, il vous transporte en lieu et place avec des personnages passionnants et sensibles. La fin est vraiment bouleversante avec les révélations tant attendues.

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Les ombres d'Adelaide Hills

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