Citations de Kerstin Gier (516)
J'empoignai l'épée à deux mains et fonçai dans le tas en ignorant le regard horrifié de Gideon. Les hommes ne m'entendait pas arriver ; ils ne remarquèrent ma présence que lorsque l'épée atteignit le dos du premier, à travers ses habits noirs.....
J'empoignai l'épée à deux mains et fonçai dans le tas en ignorant le regard horrifié de Gideon. Les hommes ne m'entendirent pas arriver ; ils ne rema
Le Cercle du sang enfin accompli
La pierre des sages à jamais à jamais la lie.
En habit de jeunesse, une force nouvelle
donne au porteur du charme un pouvoir éternel.
Mais la douzième étoile se lève,
le destin céleste s'achève.
Jeunesse passée, le chêne est voué
Au déclin dans le temps limité.
La douzième étoile en allée,
l'aigle atteint son but à jamais
Sache qu'une étoile d'amour s'éteint,
En cherchant librement sa fin
Extrait des Ecrits secrets du comte de Saint-Germain
Le corbeau sur ses ailes rouge rubis
Entend entre les mondes chanter les mort,
A peine connaît-il la force à peine connaît-il le prix,
Que le pouvoir s'élève et le Cercle se ferme.
Le lion... si fier ce visage de diamant,
De la lumière trouble le charme violent
Dans le soleil mourant il est le tournant,
La mort du corbeau révèle la fin.
Extrait des Ecrits secrets du comte de saint-Germain.
Douze colonnes portent le château du temps. Douze animaux régentent le royaume. L'aigle est prêt pour l'envol. Le cinq est la clé et la base à la fois. Ainsi dans le Cercle des Douze, le douze est le deux. Le faucon se glisse en septième et est pourtant le numéro trois.
Ex hoc momento pendet aeternitas (De ce moment dépend l'éternité).
Tu es chez toi là où sont tes livres.
- Et vous, qu'est-ce que vous voyez quand vous regardez dans le miroir ?
- Moi ? Je me vois avec une bonne paire de chaussettes de laine à la main.
Dors bien Liv. C'étais bien de rêver avec toi
J'atterris les fesses en premier sur un sol de pierre froide, un biscuit à la main. En tout cas, ça m'avait tout l'air d'un biscuit. Autour de moi, l'obscurité était totale, noire de noire. J'aurais dû être tétanisée de frayeur, mais bizarrement je n'avais pas peur.
- ... (Grayson) Comment peut-on dormir et être aussi fatigué en même temps ?
... En réalité, nous étions tous dans nos lits en ce moment et nous dormions à poings fermés dans un accoutrement bizarre. Par exemple, aujourd'hui, j'avais un foulard fleuri autour de ma taille, toutes sortes de pinces dans les cheveux, deux bracelets au poignet et un mouchoir fripé sous ma veste de pyjama. Ce que porte toute dame du monde quand elle hante des rêves dans la nuit. (J'avais donné la chaussette du Senator Tod à Henry, n'ayant pas le cœur à l'enfiler.)
Bref, ils s’étaient comportés comme des enfants de maternelle. Enfin comme en maternelle chez les vampires.
-On s'amuse tellement qu'on n'a pas besoin de chaise-longue, conclut-il, pas vrai, les filles?
-Oui, la dernière fois que je me suis autant éclatée, c'était quand j'ai dû aider grande-tante Virginia à faire la poussière de ses bestioles en verre, répondit Mia.
Elle ajouta à mi-voix :
Ou peut-être quand mon élastique à cheveux est tombé dans le lavabo et que j'ai dû démonter le siphon. Il y avait là tout un tas de cheveux à moitié pourris... super drôle.
-Quelque chose ne va pas? demanda-t-elle dans le bruit de la tondeuse et du karcher.
-Nous avons tués des iris, l'informa Mia. Et Ernest est en train de voir s'il peut les réanimer.
Comme la vie serait ennuyeuse sans défis à relever! Cela dit, il n'était pas vraiment nécessaire d'en rajouter à tous ceux que je devais déjà me coltiner...
Les nombreux couloirs ramifiés semblaient sans fin et se perdaient dans l'ombre. Pourtant, j'aimais cet endroit et l'idée que derrière chaque porte rêvait une autre âme et que toutes les personnes du monde étaient liées les unes aux autres par ce labyrinthe. C'était un endroit magique, mystérieux et dangereux, un mélange que je trouvais irrésistible...
Elle fondit en larmes tandis qu'il scrutait les alentours. Comme il l'avait supposer, le parc était désert à cette heure. Le jogging était encore loin d'être à la mode, et il faisait trop froid pour les clochards qui dormaient parfois sur les bancs, avec un simple journal en guise de couverture.
Il emballa prudemment le chronographe dans le linge et le mit dans son sac à dos.
Elle s'était accroupie près d'un arbre sur la rive nord du Serpentine Lake, sur un tapis de crocus fanés.
Ses épaules tressaillaient et ses sanglots étaient à peine supportables . Mais il savait par expérience qu'il valait qu'il valait mieux la laisser tranquille et il s'assit donc dans l’herbe humide de rossée, fixa la surface miroitante de l'eau et attendit.
Attendit que s’estompe la douleur, qui ne la quitterait sans doute jamais tout à fait.
Il ressentit exactement la même chose qu'elle, mais il s’efforçait de ne pas e montrer. Il ne voulait pas qu'elle se fasse en plus du souci pour lui.
-Au fait, les mouchoirs en papiers ont-ils déjà été inventé ? finit-elle par renifler en tournant vers lui son visage baigné de larmes.
-Aucune idée, dit-il. Mais je peux te proposer un authentique mouchoir en tissu monogrammé.
-G.M... Tu n'aurais pas piqué ça à Grace, par hasard?
-Je l'i reçu de sa mai. Tu peux te moucher dedans à ta guise, princesse.
Elle lui rendit bientôt le mouchoir avec un pauvre sourire.
-Il est fichu maintenant. Désolée.
-Mais non! A l'époque où nous sommes, il suffit de le suspendre pour le faire sécher au soleil, et on le réutilise, dit-il. Le principal c'est que tu ne pleure plu.
- Le plaisir de la fête dépend toujours de ses invités, répliqua énergiquement Mme Rossini.
Quelle perspective atroce ! Je voyais déjà Dark Vador tituber près de moi et proférer des parole meurtrières tout le reste de ma vie. Je raterais mes examens parce qu'il n'arreterais pas de me râler des truc a l'oreille, il me ficherais en l'air mon bal de fin d'etudes et mon mariage et...
Xemerius pensait appartement a peu près la même chose. Il leva vers moi des yeux innocents.
-Je peux le bouffer,là, s'il te plaît ?
Je lui souris.
- Puisque tu me le demande si gentiment, je ne peux pas te le refuser!
Je sais qu'entre le ciel et la terre il y a des choses qu'on ne peut pas expliquer. p.79
Cet après-midi, moi et mon imagination anormale nous sommes allées faire un tour dans le passé. p.79