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Critiques de Khalysta Farall (45)
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Futurs conditionnels

Entre un robot qui veut exterminer la race humaine, une planète inhospitalière, une bande de scientifiques disparus, etc, ceux qui aiment la S-F ne seront pas déçus !



Douze histoires qui se terminent plus ou moins mal et dont le décor change du tout au tout. Nous sommes confronté au pire des situations qui pourraient bien se produire si nous n'y prenons pas garde... À lire !
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Futurs conditionnels

Un excellent recueil de nouvelles de science-fictions ou d'anticipation.... bien que j'espère que non ! Des nouvelles horrifiantes ou qui posent question et nous donnent à réfléchir. La plume de l'auteure est toujours aussi addictive. Chaque nouvelle est totalement différente des précédentes. Une réussite. Je recommande.
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La belle retraite

La belle retraite est une nouvelle glaçante.

Glaçante car elle ressemble à demain, parce qu'aujourd'hui en prend le chemin.

Sauf qu'ici on s'y prend différemment.



Pour avoir une belle retraite, travaillons vite, travaillons en dormant à peine, sans perdre de temps pour manger, prendre soin des enfants, lever le nez en l'air.

Les adultes avalent une pilule et hop ! ils sont ultra-performants, ultra rentables. Les enfants à partir de douze ans sont fortement incités par leurs parents, leurs enseignants, à se droguer à petit feu. de meilleures études, plus courtes, et les voilà plus rapidement sur le marché du travail qui ne demande qu'à les avaler, peu importe qu'ils soient tout maigres et le regard vide. Ce qui compte c'est le rendement, la vitesse. Être plus tôt à la retraite et se la couler douce.



Enrichir et s'appauvrir. Terminer sa belle retraite sur un lit d'hôpital. Ne plus penser, consommer, se fondre dans la masse. S'oublier. Oublier de vivre. Se dépêcher de polluer, de s'intoxiquer. S'illusionner avec des rêves fabriqués, uniformes, des voyages clés en main sur des sentiers battus et rebattus. Des objets dernier cri jetables et renouvelables, qui nous rendent sourds et aveugles à la réalité, à la simplicité. Être un pion sur un échiquier qui flambe. Et tout ça pour quoi ?



Dans cette nouvelle, les gens n'ont d'ailleurs plus le temps de partir en vacances, de se poser, de parler en dehors des échanges téléphoniques pour le travail. Ils travaillent. Le rêve sera pour plus tard.



Une nouvelle percutante qui aurait pu faire un bon roman.

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La belle retraite

Qui n'a pas rêvé de pouvoir prendre sa pension plus tôt surtout à une époque où on nous demande de travailler de plus en plus longtemps.

Une bonne nouvelle qui fait réfléchir sur ce qui est réellement important dans la vie.

Ne vivre que pour arriver le plus vite possible à la pension ou vivre bien pour arriver bien à la pension.
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La porte des esprits

Dans la continuité de mes commentaires sur le tome 1, je trouve maintenant une narration plus fluide, plus vivante. Nous réalisons également plus fortement la douleur du rejet par tous du métisse, car comme souvent il est rejeté par les 2 ‘camps'.



De la même façon que lors du tome 2, le décors se dessine petit à petit, l'histoire se découvre petit à petit.



- Histoire cependant plus complexe, le scénario est plus élaboré,



- Il ménage le suspense car il ne se découvre pas trop tôt quant à ce qui va arriver ou quant à qui sont les bons et qui sont les méchants (beaucoup cachent leurs jeux).



Les personnages sont présentés à la 3ème personne, mais en illustrant leurs pensées, soit littéralement soit en les commentant (on est proche d'eux).



- L'éloignement de nos 2 héros génère une alternance dans le récit entre leurs 2 points de vue.



- Mais cela perdure sur la fin même lorsqu'ils sont réunis ce qui perturbe légèrement la lecture dans l'habitude prise sur le 1er tome (ça va je m'en suis remis).



- Quelques pensées aussi d'autres personnages viennent compléter les changements de prisme donné par ce tome.



Le rythme commence un peu lent, puis il s'accélère et se termine en surchauffe, presque dur à suivre dans l'enchainement effréné et la complexité de la chute, mais belle chute !



Finalement, une ode à la nature et à son équilibre, une ode à la diversité de ‘race', de genre et même de gens bizarres…bien amené en tout cas !
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Larmes de sang, tome 1 : La source perdue

Ce n'est pas un univers que j'ai l'habitude de lire.

Un monde très bien construit.

L'histoire commence lentement, je dirais presque trop lentement, j'ai dû m'accrocher, mais il fallait bien installer tout l'univers et l'expliquer

Les personnages sont attachants, même si j'aurai bien baffé plusieurs fois Oppa ^^

La couverture est aussi magnifique ce qui me pousse à acheter le volume 2 en broché également ^^

Malgré la lenteur, j'ai fini par avoir envie d'avoir la suite de l'histoire et en connaître la fin. La fin du tome 1 nous laissant complètement dans le vague et n'est pas une vraie fin en soit.
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Larmes de sang, tome 1 : La source perdue

Cette histoire est une jolie trouvaille et je l'ai dévoré. Nous découvrons les personnages au fur et à mesure qu'ils commettent bourdes et actes héroïques. L'intrigue se dévoile par petites touches, nous n'avons pas d'autres choix que d'avancer pour comprendre. Je n'ai pas hésité une seule seconde à commander la suite. Suivre les deux héros malgré eux a été un vrai plaisir. J'ai adoré le pointes d'humours, les tensions savamment montées et la menace en arrière qu'on devine mais dont on ne sait presque rien. Le livre se termine sur une vraie fin et peut se lire tel quel mais je triche, j'ai lu le deux en écrivant ses lignes, la fin du deux est encore meilleure. Si vous désirez vous évadez et suivre une belle aventure, n'hésitez surtout pas, plongez à la découverte de la magie avec Sima et Gaert.
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Larmes de sang, tome 1 : La source perdue

Gros coup de foudre pour ce roman de Khalysta Farall.

De la fantasy de très bonne facture, avec des personnages très fouillés et attachants, une intrigue solide et un monde très sombre dans lequel j’ai eu plaisir à m’immerger.

Et pourtant je suis très difficile en fantasy !
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Larmes de sang, tome 1 : La source perdue

J'ai retrouvé la plume fluide et dynamique de l'auteure avec un immense plaisir. Elle nous emmène cette fois dans un monde épique et fantasy. On plonge directement dans l'action comme j'aime et les explications arrivent ensuite par bribe. Le tout est rondement mené et ce premier tome est prometteur pour cette sage. J'attends avec impatience la suite des aventures de la cendre-peau et du prince.
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Larmes de sang, tome 1 : La source perdue

Belle histoire emplie de magie qui nous promène dans un autre monde, si lointain, si différent de notre quotidien matérialiste. L'écriture est soignée et nous surprend d'expressions saisissantes, telle celle-ci : "Il eut une vision, à la fois furtive et pourtant emplie de connaissances, comme s’il avait lu des milliers de livres en un battement de cil." Je me suis sentie prise au piège d'un univers à la Edgar Rice Burroughs, le créateur de Tarzan et de John Carter, avec ses héros invincibles et pourtant fragiles, avec ses monstres aux pouvoirs exorbitants. Je salue l'imagination débordante et maîtrisée de l'auteure et recommande vivement cette lecture dépaysante, surtout si vous avez parfois envie de changer de planète. Mais attention, c'est aussi un monde plein de dangers où vous courrez de grands risques (bien calés dans votre fauteuil)
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Larmes de sang, tome 1 : La source perdue

Une histoire simple et efficace, avec des personnages néanmoins assez originaux de par leur apparence, ce que j'ai apprécié. J'ai passé un moment super, et j'aime beaucoup comment l'auteure a su nous donner un avant goût de ce qui nous attend dans le tome 2 sans nous laisser sur un horrible suspense à la fin de ce tome 1. La plume est agréable, les dialogues également. Je lirai la suite avec plaisir.
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Larmes de sang, tome 1 : La source perdue

L’idée est intéressante, le monde aussi. Le lecteur déflore petit à petit tout cela, même si ce 1er tome se concentre sur la région des montages, sur les dimensions cendre-peaux et larmes de sang.



Le style est plutôt élégant, avec une certaine gouaille des personnages que j’ai tendance à apprécier,

- Actions bien décrites, vivantes

- Dialogues un peu plus hachés (ils deviennent plus fluides petit à petit au court du roman)

- Descriptions et narration plus lentes, presque atones parfois (en dehors des scènes d’action et de combat)

- Dialogues complétés par les pensées de chacun des 2 héros, qui enrichissent la compréhension et la connaissance des personnages / Je trouve le procédé très intéressant, il permet en effet de rentrer dans la tête des 2 personnages à la fois, quasi simultanément, et cela entraîne une plus fine et plus rapide compréhension de leur personnalité

- L’assemblage de tout ça donne un résultat plutôt agréable et, malgré ces ruptures, une lecture fluide



Le scenario est dynamique avec pas mal de surprises et rebondissements, mais dans une bonne continuité, un bonne logique, une bonne structure.

Ce tome ne se lit pas seul car la chute appelle la suite….vite !

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Le monolithe

Ce matin, dans le train, j'avais envie de lire une histoire courte et cette nouvelle, téléchargée gratuitement, il y a quelque temps déjà, m'a fait de l'oeil.

Alors qu'ils viennent de découvrir une planète similaire à la terre, donc potentiellement habitable, l'équipe d'exploration et Lena, le médecin du vaisseau aux implants cybernétiques se préparent.

Lena, à l'aide de ses sens augmentés, soupçonne le capitaine de leur cacher quelque chose d'important ...

Très bon moment de lecture. L'écriture est légère et fluide. On entre directement dans l'histoire. Prenant et intelligent !

Dommage que ce ne soit pas un roman.



Challenge multi-auteures SFFF 2020
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Le monolithe

En piochant toute une série de titres gratuits sur ma plateforme numérique, je suis tombée sur celle nouvelle d'une auteure dont je n'avais jamais entendu parler : Khalysta Farall.



Cette nouvelle a également été publiée dans le n°1 de la revue L'Indé Panda (2016), qui est aussi disponible gratuitement.



J'ai beaucoup aimé l'histoire de Lena, le médecin de bord d'un vaisseau d'exploration à la recherche d'une planète à coloniser. Justement, une planète similaire à la Terre (à 86%) vient d'être découverte.



Est-ce la fin du voyage et le début d'une grande aventure? D'où vient le mystérieux monolithe qu'ils trouvent à la surface?



Tout ce que j'aime en SF sauf que je ne peux rien vous en dire sans spoiler. Le seul bémol : c'est trop court. Je pense que cette nouvelle aurait fait un bon roman.



Il ne vous reste plus qu'à la télécharger et à la lire ^_^

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Le monolithe

A travers le challenge auteures SFFF on fait de belles découvertes.

Au détour des avis que j’y lis, j’ai découvert cette nouvelle parue dans le premier numéro de l’Indé Penda.

Je trouve que c’est une bonne initiation à la SF, le thème abordé est un thème que j’ai déjà exploré dans d’autres livres, mais le format en lui même : la novella, fait que beaucoup de sujets y sont quand même abordés : le voyage dans l’espace, la biotechnologie, l’exploration et la conservation des humains en état d’hibernation le temps des voyages. Et bien sûr le reste que je ne vous dévoilerai pas. Ce serait dommage ; à vous de le découvrir !!!

Merci à Latulu et Fifrildi pour cette belle découverte. Je retiens la revue que je ne connaissais pas L'indé Penda...
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Le monolithe

C'est Fifrildi qui m'a conseillé de lire cette nouvelle auto-éditée pour son challenge multi-auteure. Je la remercie abondamment pour l'idée.



Ma réception a été mitigée cependant. En positif, le récit coule bien et est plutôt accrocheur. J'ai bien apprécié le personnage de Lena. L'idée des prothèses oculaires est super intéressante.

En fait j'aurais bien vu ce sujet être le thème principal du récit, mais ce n'est pas le cas.

Qu'à cela ne tienne. Ce fameux sujet principal est plutôt bien mené. J'ai aussi apprécié la façon « inexpliquée » de l'explication du paradoxe, toute dans le non-dit.



Mais qu'est-ce que je n'ai pas aimé, du coup ?

Eh bien j'ai d'abord trouvé les faiblesses psychologiques des membres du commandement décevantes. Un vaisseau d'exploration de ce genre nécessite des gars au psychisme en béton. Je peux comprendre que les multiples échecs de la mission aient passablement affaibli ses capacités, mais à ce point… On est très loin du capitaine Kirk.

De même j'ai eu du mal à comprendre .

Et puis j'ai mes manies. Sans être un extrémiste de Hard SF, je m'agace assez vite quand je lis dans des récits SF contemporains des phrases qui utilisent les termes scientifiques peu précis. Ici ce sont des mots tels que « les appareils détectent un rayonnement électromagnétique inconnu ». J'ai bondi. Le mot « inconnu » ne signifie pas ici qu'on ne sait pas d'où il vient (on le sait). Si les appareils ont donc capté un rayonnement électromagnétique venu de xxx, le mot « inconnu » est de trop. S'il est inconnu, c'est autre chose que de l'électromagnétisme, et du coup on se demande comment l'appareil a pu être étalonné sur un truc inconnu.

Bref vous voyez comment je fonctionne. Je suis plus souple quand je lis des trucs de ce genre dans des pulps du 20eme siècle ou dans des comics.



En résumé une lecture en demi-teinte.

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Le monolithe

Très encourageant.



Un vaisseau d’exploration et son équipage, son médecin aux implants cybernétiques qui lui permettent de surveiller tous les paramètres vitaux et donc savoir qui stresse, qui ment ect. Ils sont à la recherche d’une nouvelle planète à coloniser et tombent sur un étrange monolithe sur une planète qui pourrait devenir la nouvelle Terre. Et le capitaine qui cache quelque chose.



Un style délié, très agréable, une histoire indéniablement trop courte, mais en quelques pages, l’auteur a su faire passer une ambiance qui donne envie de s’attaquer à ses autres romans. Et je commencerai par les moissonneurs stellaires (dès que je me le serais procuré… )
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Le monolithe

J'aimerais bien faire une critique de longueur proportionnelle à la taille du roman (de la nouvelle), mais malheureusement je suis limité par la taille limite des 250 caractères mini !

Disons le tout de suite, j'adore les romans SF sur le thème d'artefacts abandonnés par des civilisations extraterrestre, mais il est à mon avis impossible de traiter sérieusement le sujet en 27 pages !

L'histoire, c'est un petit vaisseau d'exploration planétaire qui va explorer un astéroïde sur lequel il existe un mégalithe présentant des caractéristiques particulières ...

Sur le roman, quelques critiques sur ce qui m'a gêné :

- l'héroïne est "augmentée" par des capteurs qui lui donnent des capacités de perception de la psychologie de ses comparses. L'auteure donne beaucoup trop d'importance à cette capacité !

- il manque trop d'éléments à l'histoire (normal en 27 pages) pour que l'on comprenne les tenants et aboutissants du complot qui se trame par les autres soldats de l'équipe d'exploration ...

- je n'ai rien compris à la fin !!! Peut-être y a-t-il une suite prévue ? ...

Bref, une nouvelle que je vais oublier bien vite !
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Le monolithe

Le Monolithe est un court récit de sciences-fiction dans laquelle un groupe d'explorateurs s'apprêtent à quitter leur navire spatial pour découvrir les terres d'une planète présentant des caractéristiques communes à la Terre et ainsi colonisable.

L'un des passagers est une jeune femme médecin transhumanisée. Son cerveau dispose d'implants cybernétiques qui l'amènent à déceler chez son interlocuteur des signes de son état de santé et de son humeur. Très vite, elle va s'apercevoir que le capitaine de leur équipe cache quelque chose au sujet du monolithe qu'ils découvrent sur cette planète.



J'ai aimé le style et la construction du récit. Difficile de trop en dire sans divulgâcher. Réussir à monter une belle intrigue en aussi peu de pages relève de l'exploit. L'auteure est douée pour nous faire plonger dans l'action et construire des personnages crédibles. C'est très accrocheur.

Le récit est téléchargeable gratuitement en numérique.
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Le néant

Afin de fuir le clan Barat qu'il vient de voler en trichant au casino, Will embarque à bord du vaisseau de Red, un grossier personnage qu'il paie grassement. Ce dernier doit l'emmener en lieu sûr. Et le seul moyen pour y parvenir est de passer au travers d'une faille allant vers le néant. Passage particulièrement périlleux qui vous projette on ne sait où. Accroc dans l'espace-temps, dimension parallèle, ... nul ne le sait. Manque de bol, Mimi, l'I.A. du vaisseau, bidouillée par Red, semble complètement à l'ouest. Ce n'est clairement pas gagné ! Mais Will n'a pas vraiment le choix.

Le néant risque bien de les surprendre ...



Sympathique nouvelle, beaucoup trop courte ... Je reste sur ma fin/faim



Challenge multi-auteures SFFF 2020
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