Citations de Kylie Scott (181)
Il se mit à sauter partout dans la pièce. Ce mec devait sniffer du sucre pour avoir autant d’énergie.
Certes, il était beau, mais pas du tout sympathique. J'avais rencontré assez d'hommes antipathiques pour le savoir. Comptez donc sur moi pour le trouver attirant.
Et son sourire, oh mon Dieu son sourire, je n’avais qu’une envie : l’effacer de son visage à l’aide d’une pioche. Je serai douce, n’ayez crainte.
Le voir me fit le même effet qu’être au bord d’une falaise, avec une petite voix dans ma tête qui me chuchotait : « Au diable les conséquences, tu peux sûrement voler. Et si ce n’est pas le cas, imagine le grand frisson de la chute. » Mais la raison me criait que c’était du suicide.
- Il n'y aura pas de fin, Edie, m'a-t-il répondu. Tant qu'on le voudra, ça continuera.
Ce n'était pas si mal d'être là. Evidemment, je n'étais pas au centre de l'attention, mais j'avais le mérite d'avoir quitté mon nid et de chercher à être sociable comme une personne normale, alors que j'avais un nouveau roman à commencer.
Je vais aller me servir un verre. Je ne sais pas ce que j’ai fait du mien et j’ai tout à coup très envie d’alcool. Il me faut un peu de lubrifiant social.
Apparut ensuite une minijupe en jean.
— Mais à quoi pensait Martha lorsqu’elle t’a commandé ces trucs ?
— À sa décharge, tu as toujours des nanas en bikini pendues à ton cou. En comparaison, la robe dos nu est plutôt sage.
— Toi, c’est différent. Tu es mon amie, n’est-ce pas ?
— Oui.
Le ton de ma voix n’était pas totalement convaincant.
Son front se plissa de mépris.
— Merde, regarde la longueur de ce truc. Je ne pourrais même pas dire si c’est censé être une jupe ou une ceinture.
Oh, et sa voix... Sa voix ! Elle avait été créée pour faire chanter les parties intimes des femmes.
Avez-vous déjà remarqué combien le monde semblait différent aux premières heures du matin, lorsque vous êtes resté trop longtemps éveillé ? Irréel et à la fois plus clair, si paisible que vous pouvez entendre la vérité que vous n'arrivez pas à affronter à la lumière du jour.
_Lydia, la séparation du groupe, devoir revenir ici…
Dans l’obscurité, sa respiration me semblait si forte, profonde, même. Le silence avait été brisé et les secrets révélés. C’était toujours comme ça avec lui : impossible de me cacher, même si je le voulais.
_Oui ? l’encourageai-je.
_T’avoir rencontrée en vaut presque la peine.
- Salut, clitoris d'Anne. C'est moi, Mal, ton seigneur et maître.
- Oh mon Dieu, non. (Je couvris mon visage de mes mains.) Je t'en prie, pas ça.
- Chut. Il s'agit d'une conversation privée.
J’espérais qu’il existait un cercle spécial de l’enfer pour la récompenser d’une telle méchanceté. Un cercle sans Botox dans lequel, peu importe ce que vous ayez fait, les racines de vos cheveux étaient apparentes et où vos seuls vêtements étaient des joggings sales d’occasion. Ça lui apprendrait !
— Lena, mon petit cœur, dis-moi, par simple curiosité, quand écartes-tu les jambes, toi ?
Je me rapprochai jusqu’à lui faire face. Il eut l’air inquiet : les fossettes disparurent puis son front se plissa. Oh, pour ça, il avait bien raison.
— Jimmy, mon amour, répondis-je d’une voix mielleuse. Je ne baise pas avec un mec tant qu’il n’a pas les couilles de se comporter comme un homme et de me parler de ses sentiments.
Son rire me poursuivit la majeure partie du chemin du retour.
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L’amour n’est pas toujours facile et simple. Il peut être compliqué et douloureux. Ça n’en reste pas moins la chose la plus incroyable qui puisse arriver.
P.22
- Va t'en, Lena. Je veux rester seul.
- Je ne crois pas que ce soit une bonne idée.
Il poussa un grognement.
- Ce n'est pas un peu cliché le coup du saccage de la chambre d'hôtel ?
- Va te faire foutre.
Je soupirai.
Bon. OK, l'énerver n'était probablement pas l'idée du siècle. Je remontai mes lunettes sur mon nez tout en réfléchissant. Il était temps de changer de tactique.
... - Tu as vraiment un tatouage?
- Oui.
- Avec son prénom?
Je hochais la tête en soupirant.
- Et on peut savoir où?
Je fermais les yeux.
- Sur la fesse gauche.
Lauren ne put se contenir plus longtemps.
Elle explosa si fort de rire que les larmes se mirent à couler sur son visage.
Génial...
Pas étonnant que la plupart des mariages se soldent par un divorce. Le mariage, ça craint, et les maris encore plus.
Désolé, dit-il au plafond.
Je suis certaine que le plâtre apprécia énormément.
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Tu as kidnappé une nana. C'est super mais totalement illégal, Davie. Tu vas probablement devoir la rendre.
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