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Citations de Kylie Scott (181)


I like to embarrass myself horribly now and then," I said. "It keeps life interesting.
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When in doubt, don't answer the phone or the door. It's always people.
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Il frotta ses lèvres chaudes et humides dans mon cou. Je ne l’aurais pas cru capable de tant
d’affection à mon égard. Ma tête tournoyait de bonheur et les mots les plus troublants montèrent en moi avant de se coincer dans ma gorge. Puis ils poussèrent et poussèrent pour s’extirper hors de moi,
inconscients du danger. Je tentai de les arrêter ; ce n’était pas une bonne idée, je le savais. Mais ils
dégoulinèrent de mon âme en mal d’amour tandis que mon cerveau observait la scène avec horreur.
— Je t’aime, Jimmy.
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Jusqu’ici, je n’avais même pas de casier judiciaire ni jamais rien fait de particulièrement excentrique ou intéressant. Tout ça, c’était la faute de Chris, ce salaud ! J’allais simplement devoir croiser les doigts pour que ce type ait le sens de l’humour.

Alors que l’eau commençait tout juste à se réchauffer, il tira la chasse et l’eau glaciale m’aspergea de nouveau. Cela mit un terme à mon intention d’ouvrir la bouche pour indiquer ma présence. Des aiguilles d’eau glacée tombaient dru sur ma peau. Je me figeai une fois encore. Les dents serrées, je réprimai un cri de douleur et de rage.

Puis on écarta le rideau de douche.

— Oh putain !

L’homme était très grand, très surpris, et très nu. Il recula d’un pas, une main agrippée au lavabo derrière lui, ses yeux écarquillés lançant des éclairs.

— C’est quoi ce bordel ?

Bonne question.

J’ouvris la bouche puis la refermai. Mes compétences linguistiques m’avaient apparemment abandonnée. Dans un silence total, nous nous regardâmes en chien de faïence.
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Les princes ne sont que des hommes, des êtres humains. Je ne pense pas qu’une couronne ou un pénis vous offrent une invulnérabilité magique contre le chagrin. La vie est difficile. Des choses horribles arrivent. Nous avons des sentiments. Nous ne sommes que de la chair et du sang essayant de faire de notre mieux. 
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Je tentai de regagner ma chambre avec style et fis une sortie théâtrale. Claquer la porte était assez puéril mais qu’importe. Je retirai mes chaussures. Je dus m’y reprendre à plusieurs fois mais je ne tombai qu’une seule fois. Allez, équipe Lydia ! 
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— Tu es sûr ?
— Ouais, acquiesça-t-il. Et puis ta présence me donne une bonne excuse pour ne pas avoir à gérer mes propres merdes tout de suite.
— Tu as des problèmes, toi aussi ?
Haussement d’épaules.
— Qui n’en a pas ?
— C’est un des effets secondaires de la vie, j’imagine.
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Mon Dieu, vous avez raison, s’exclama Ev les yeux brillants d’émotion. Lena est sa seule amie. On ne peut pas la laisser partir.
— Ce n’est pas ma seule amie.
Les joues de Jimmy s’empourprèrent.
— Silence, Jimmy, ordonna Mal. Les adultes parlent
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— Ah, fit-elle, l'étonnement visible dans son regard. Tant mieux. Ça me donne une meilleure opinion du monstre à barbe.
— Mmh.
Bon, c'était toujours mieux que quand elle l'appelait Sperminator.
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Je suis quasi sûre que Dante a voulu faire des mariages l’un des cercles de l’enfer, mais qu’il a tout simplement oublié. 
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- C’est un animal ultra-sensible. Il est un peu comme Mal, en un sens.
- C’est un fou furieux qui court après sa propre queue jusqu’à ce qu’il tombe, la corrigeai-je. Si, tu as raison, en fait. Il est un peu comme Mal. 
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N’était-ce pas ça, la vie, finalement ? Non, d’accord. N’essayez pas de suivre ma logique. 
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En les regardant me tourner autour lentement, j’eus l’impression d’assister à une étrange danse d’hommes des cavernes. Plutôt amusant.
Le premier à me pisser dessus, en revanche, y laisserait ses couilles.
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De tout les fantasmes que je nourrissais à propos de lui, le voir se réveiller dans ma chambre en ressemblant à un animal écrasé ne figurait pas vraiment en haut de la liste.
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- [...] Mais tu n'es toujours pas heureuse. Qu'est-ce qui ne va pas, ma chérie?
- On m'a de nouveau brisé le coeur, rigolai-je en haussant les épaules. Je suis bête, n'est-ce pas ?
- C'est lui qui est bête. Ma fille est une princesse. Tous les garçons qui n'arrivent pas à voir ça ne méritent même pas de l'approcher.
Mon père devrait être président. Il disait les plus belles choses qui soient.
- Merci, papa.
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Il me sourit. Fossettes et tout le tremblement. Merde. Non seulement mes genoux chancelèrent mais mes orteils se recroquevillèrent. C'était si renversant, les étoiles et les rayons de lumière ne faisaient pas le poids. Les licornes pouvaient aller se faire foutre.
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Quand je lui ai demandé pourquoi il partait, il m'a simplement répondu qu'il ne pouvait plus continuer comme ça. Il avait l'air désolé, comme s'il avait coché la mauvaise case sur un formulaire et que, finalement, il changeait d'avis. Une famille ? Non. Oh merde, j'avais répondu oui ? Oups. Connard. Comme si s'excuser allait changer quoi que ce soit au fait qu'il se barrait.
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Lorsque je lui ai annoncé qu'on était mariés, elle m'a vomi dessus.

https://vibrationlitteraire.wordpress.com/2015/06/04/lecture-commune-stage-dive-t1-rock-de-kylie-scott/#more-637
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Cette voix m’était familière. Mais qu’est-ce qu’il foutait chez moi ? Stupéfaite, je clignai des yeux et découvris le magnifique visage que je connaissais.
— Mal, c’est toi ?
— Bien sûr que c’est moi, répondit-il en éclatant de rire. Tu as pris de la drogue ou quoi ? Tu ne devrais pas, c’est mauvais pour la santé.
— Je ne me drogue pas.
Quoique, cela aurait pu expliquer ce que j’avais sous les yeux. Parce que c’était surréaliste.
— Tu es là, constatai-je.
Ça ne faisait aucun doute. Il était bel et bien là. Preuve en était son corps moite à moitié nu, juste là, sous mes mains. Mes hormones m’interdirent de les retirer. Comment leur en vouloir ?
— Ouais, fit-il. C’est cool, non ?
— Oui. Euh...
Il hocha la tête.
Merde alors, comment avait-il réussi à entrer ? J’avais pourtant fermé à clé en partant.
— Bonne journée ? demanda-t-il.
— Ça va, merci.
— Ça fait des plombes que je t’attends, dit-il en m’adressant un sourire.
— Oui, j’ai dû faire la fermeture et des clients sont arrivés à la dernière minute. Mais, Mal… qu’est-ce que tu fous chez moi torse nu ?
— J’ai pris un coup de chaud en déplaçant des trucs (Il fit bouger son cou pour détendre ses muscles.) T’as beau habiter qu’au deuxième étage, ça fait quand même pas mal de marches à grimper. Nate et Lauren m’ont filé un coup de main mais après ils ont dû partir. Bref, on s’en tape. Y a un dress code, donc ?
Je demeurai immobile. Les mots continuaient à sortir de sa bouche sans qu’ils aient le moindre sens. Rien de tout ça n’en avait.
Son regard s’arrêta sur moi.
— Attends, je suis torse nu et t’as même pas ton regard de psychopathe. Qu’est-ce qui t’arrive ?
— J’imagine que je suis trop surprise de te trouver là.
Ses sourcils se baissèrent, tout comme les coins de ses superbes lèvres. Il « paraissait sincèrement peiné.
— J’ai attendu ça toute la journée.
— Désolée.
— Pas grave. Allez, viens voir.
Il m’attira à l’intérieur de l’appartement après avoir claqué la porte derrière moi, sans formuler le moindre début d’explication à sa présence chez moi. Mes mains se mirent à pleurer en silence lorsqu’il les ôta de son corps. Ça, ou je transpirais trop. La seconde hypothèse était plus vraisemblable. Il avait sur moi un effet très bizarre.
— Tadaaa ! chantonna-t-il, tendant le bras en un geste qui désignait mon petit salon.
— Ouah.
— C’est top, non ?
— Ah oui ?
— Oui ! Je savais que tu allais adorer !
Je continuai d’observer la scène. Je frottai mes yeux, qui commençaient à me brûler – sûrement à cause de tous les objets qui envahissaient la pièce.
C’était quoi, ce bordel ?
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-On a fait la cuillère ?
-Yep. Deuxième étape du processus de la thérapie de la mémoire : la position de la cuillère. Maintenant dors.
-Mais je me suis réveillée il y a tout juste une heure !
- Pas de bol. Je suis fatigué et je veux faire la cuillère. Avec toi. Tu me dois bien ça.
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