AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet

3.98/5 (sur 64 notes)

Nationalité : États-Unis
Né(e) à : Ann Arbor, Michigan
Biographie :

Lane Hayes est auteure de romance M/M.

Elle vit avec son mari en Californie du Sud.

son site : https://lane-hayes.com/
page Facebook : https://www.facebook.com/LaneHayesAuthor


Ajouter des informations
Bibliographie de Lane Hayes   (14)Voir plus

étiquettes

Citations et extraits (21) Voir plus Ajouter une citation
Chapitre 1 :
«… — Et si je n’apprécie pas le propriétaire ?
— Tu viens de le rencontrer, commenta-t-il, les yeux plissés. Comment peux-tu ne pas l’apprécier ?
Je haussai les épaules, puis je gigotai inconfortablement dans mon fauteuil. Super. J’avais maintenant toute l’attention de Wes, et il allait me faire subir le traitement de la sonde microscopique.
Comment, Geordie ? Pourquoi, Geordie ? Et maintenant, Geordie ?
— Il est trop…
— Trop quoi ?
— En forme.
OK, c’était mauvais. Mais comme c’était la première chose qui m’était venue à l’esprit, je devais l’assumer.
— Qu’est-ce que ça veut dire ? se moqua Wes.
Je n’en avais aucune idée. J’agitai la main en grimaçant.
— Tu sais… il a l’air ultra-équilibré. Comme un fou de la santé qui passe trop de temps dans une salle de gym. Et puis il y a le casque de moto. Entre nous, soyons réalistes, cet homme en faisait beaucoup trop.
Wes ne dit pas un mot pendant ce qui me parut une éternité.
Il ajustait sans doute les lentilles de son microscope intérieur, pour voir ce qui s’était infiltré dans les fissures de ma fragile psyché. J’espérais qu’il m’informerait s’il trouvait quelque chose de nouveau.
— Tu l’apprécies, déclara-t-il sans ambages.
Je redressai ma colonne vertébrale et posai mes avant-bras sur le fauteuil comme s’il était un trône, puis j’arquai mes sourcils de manière impérieuse.
— Je te demande pardon ?
Le coin de sa bouche se releva et ses yeux pétillèrent d’humour.
— Tu le trouves mignon. Admets-le.
— As-tu douze ans ? C’est quoi cette question ? Les chiots sont mignons. Les chatons sont mignons. Les bébés, à l’occasion, sont mignons. Les hommes adultes ne le sont pas.
— Attends une seconde. Je suis sûr que c’est toi qui n’arrêtais pas de dire à quel point Joe Jonas était mignon l’autre jour. C’est un adulte.
— Ce n’était pas moi, insistai-je.
— C’était certainement toi et… j’ai des témoins. Danny, Ryan, Lauren, Nick…
— Oh, bon sang. Vas-tu arrêter ?
— Bien. Je me suis mal exprimé. Levi n’est pas mignon.
— Exactement.
— Il est sexy.
Je rejetai ma tête en arrière en signe d’exaspération et je gémis. … »
Commenter  J’apprécie          10
Chapitre 1 :
«… — Rien. C’est juste que… tu es un bon gars, Ry. Mais je te préfère quand tu n’as pas un bâton dans le cul.
J’attrapai le ballon et le mis sous mon bras.
— C’est drôle, le coupai-je. Parce que je t’apprécie pas du tout.
Danny inclina la tête et arqua ses sourcils. Puis il sourit. Un sourire lent, de guingois et coquin qui me donna envie de le frapper et d’enfoncer ma langue dans sa gorge en même temps.
Enfoiré.
— Oui, c’est ça. En fait, tu m'apprécies tellement que tu vas jouer au tennis avec moi demain.
…»
Commenter  J’apprécie          20
Chapitre 1 :
« … Et c’était l’essence même de notre liaison de six mois. L’art et le sexe. Nous nous retrouvions pour boire un verre, parler de poésie, de théâtre et d’art, et bien avant que l’addition arrive, nous vibrions pratiquement de désir.
— Dis-moi ce que tu penses en ce moment, murmura-t-il d’une voix basse et rauque en se penchant en avant.
J’avais l’impression d’avoir avalé un sac de boules de coton. Je secouai la tête et levai mon verre pour prendre une autre gorgée avant de répondre.
— Pas question.
Il soupira de ce qui aurait pu être de la déception, puis détourna le regard un instant
— C’est tout aussi bien. Ton timing est juste terrible.
— Lequel ? demandai-je en fronçant les sourcils. Juste ou terrible ?
— Terrible. Ou du moins, gênant. Ma vie est un peu compliquée en ce moment.
— Bienvenue au club, m’exclamai-je.
— Qu’est-ce qui ne va pas ? demanda-t-il, l’air sincèrement inquiet.
Je levai la tête et le regardai pensivement...»
Commenter  J’apprécie          10
Chapitre un :
«…Je bafouillai et je lui lançai mon plus beau regard « même pas en rêve » tout en levant les yeux au ciel.
— Je ne le suis pas. C’est simplement bizarre lorsqu’un ex décide de se marier. Tu ne crois pas ?
— Non. Quand c’est fini, c’est fini. Ton problème, c’est que tu réfléchis trop. Trouve-toi un partenaire sexy pour la fête de fiançailles et…
— Merde. C’est quand déjà ? m’exclamai-je en fermant les yeux un instant avant de prendre mon verre de vin et d’avaler une grande gorgée.
— Dans deux semaines. Hé, regarde-moi.
Il attendit que je m’exécute avant de continuer.
— Je peux voir si mon rendez-vous connaît des férus de technologie comme toi.
— Très drôle.
— Ou… nous pouvons y aller ensemble.
— Me demandes-tu de sortir avec toi, Zane ? dis-je, mon sourire automatique et large.
...»
Commenter  J’apprécie          10
Chapitre deux :
«…— D’abord « jugeant » n’est pas un mot. Deuxièmement… je ne l’étais pas. Je ne te comprenais pas, c’est tout. Tu étais du genre trop décontracté à l’école, affirmai-je en frappant son bras lorsqu’il leva les yeux au ciel. C’est vrai, si j’avais eu l’air de juger, c’est parce que je n’étais pas sûr de moi. Je n’étais pas branché. J’étais ringard.
— Tu l’es toujours, dit-il avec un sourire presque adorateur qui me fit rougir.
— Peu importe. Je n’avais que mon cerveau à offrir. Je n’étais ni beau ni athlétique et je ne me faisais pas facilement des amis. Je n’étais pas comme toi.
Je fixai l’action à la télévision et j’attendis le retour des sarcasmes. J’étais conscient de la tension dans mes épaules et de la poussée de chaleur dans mes joues. Zane avait raison. J’étais toujours ringard. Ou idiot. De toute évidence, mon cerveau n’était pas un atout aussi spectaculaire que je le prétendais.
— Hé. Regarde-moi, Schuster.
— Ne m’appelle pas Schuster, Richards.
— Regarde-moi, Eric.
Son ton gentil et le timbre grave de sa voix me traversèrent, m’enracinant à lui et à l’instant présent. Je me tournai vers lui comme il me le demandait et il était plus proche que prévu.
— Quoi ? croassai-je, fixant sa bouche avant de le regarder courageusement dans les yeux.
L’honnêteté que j’y vis me rendit humble. C’était saisissant et réel et cela appartenait fermement au présent.
— Peu importe qui nous pensions être à l’époque. Je te connais maintenant.
— Que penses-tu savoir exactement ?
— Eh bien… je pense que tu as probablement passé au moins vingt fois ta main dans tes cheveux aujourd’hui pendant que tu faisais des conquêtes financières. Je pense que tu fais semblant de regarder le football avec moi, mais tu aimes le vin blanc que je t’ai acheté, alors ça ne te dérange pas et…
— Je suis toujours ringard nul, hein ?
— Ne change pas, dit-il en se penchant vers moi, assez près pour que je puisse voir des taches d’or dans ses yeux bleus. Je t’aime comme ça.
Je me figeai un instant, déchiré entre l’instinct de m’éloigner et mon besoin de savoir si j’étais le seul à ressentir ça. Zane posa sa main sur ma joue et frotta son nez contre le mien. Nous n’avions jamais été aussi proches...»
Commenter  J’apprécie          00
Chapitre 1 :
«…
— Donnez-moi la moitié de ce que j’ai payé pour eux. Vous pouvez les ré-étiqueter, les coller sur vos étagères et les vendre pour le double de ce que vous m’avez facturé. Tout le monde y gagne. Vous récupérez la moitié de votre argent immédiatement et vous le triplerez probablement lorsque vous le revendrez.
Wes émit un grognement amusé.
— Je ne pense pas que ce soit tout à fait comme ça que ça fonctionne, malheureusement. Le coût de la création de nouvelles étiquettes pour un vin qui a été embouteillé lors de vendanges de l’année dernière n’est pas une bonne affaire. Vous avez signé une clause de vente définitive, et je n’ai pas l’habitude de rompre le contrats… surtout ceux qui ont été finalisés il y a presque un an.
Mes narines s’évasèrent alors qu’une chaleur d’un tout autre genre chatouillait mon corps, faisant frémir me doigts d’un désir intense de lui tordre le cou. Un foutu désir. Le seul point positif, c’était qu’il ne paraissait plus aussi attirant.
— Ne le prenez pas mal, mais votre vin porte malheur. Je n’en veux pas. Je suis prêt à vous payer pour que vous m’en débarrassiez. C’est une bonne affaire, non ?
Wes plissa les yeux et se leva lentement, réussissant à ressembler au héros d’un film d’action sur le point de botter un gros abruti. J’étais trop énervé pour profiter pleinement de l’effet, mais je ne pouvais pas nier qu’il était diablement sexy lorsqu’il s’énervait un peu.
— Vous n’avez pas dit ça, monsieur Jorgen…
— C’est exactement ce que j’ai dit, aboyai-je, passant ma main dans mes cheveux d’une manière irritée avant de retourner à la fenêtre. Je vous rendrai la moitié de l’argent. Prenez ce foutu argent !...»
Commenter  J’apprécie          00
Chapitre 1 :
« … Maintenant, je savais que je n’étais qu’un vrai crétin.
Je fis signe à Marley et un geste de la main afin de lui indiquer que je serais dans la galerie. Puis, je me dirigeai vers le rideau… juste au moment où Finn et sa cavalière se tournaient afin de voir le tableau sur le mur à côté de moi. Nous nous regardâmes pendant ce qui me sembla être une minute entière. C’était probablement trois secondes. Trois très longues secondes. La jolie femme à son bras ne remarqua rien. Mais je jurai que si c’était la version cinématographique de ma vie, c’était là qu’ils inséreraient le cri plaintif du violon signalant une collision dramatique du passé avec le présent. Ou peut-être pas.
Finn n’était pas l’amour de ma vie. C’était juste une connaissance.
— Josh.
— Salut. Comment vas-tu ?
Waouh. C’était extraordinairement mature de ma part. J’avais l’air tellement détaché et pas du tout dérangé par sa présence sur mon lieu de travail. Avec une femme à son bras, rien de moins.
— Je vais bien. Comment vas-tu ?
Son accent irlandais était comme écouter à la radio une chanson que j’aimais et que je n’avais pas entendue depuis longtemps. Comment vas-tu sonnait différemment dans sa bouche, et merde, si ce n’était pas chaud. Je voulais lui poser un million de questions pour le faire parler.
— Je vais bien, répondis-je, mortifié lorsque ma voix craqua.
Au temps pour la froideur et l’éloignement.
— Je ne savais pas si tu travaillais encore ici. Je faisais juste une pause avant de retourner au bureau et… c’est bon de te voir.
Bon sang, c’était douloureux. ...»
Commenter  J’apprécie          00
Chapitre 1 :

«… — Je crois qu’il veut dire qu’il veut que tu acceptes enfin l’offre de Miles de voir son string Batman.

Je repoussai Josh et jetai un regard furieux à Eric.

— Dis-moi qu’il plaisante, s’il te plaît

— Bien sûr qu’il plaisante, gronda Eric, alors que Zane se garait sur une place de parking devant l’établissement vinicole. Je voulais juste dire que ce serait bien que tu fasses un effort pour dire plus que « bonjour » et « au revoir ». Tu as tendance à l’ignorer dans les situations de tête-à-tête, Grant, et…

— Non, je ne fais pas ça, insistai-je, en fronçant les sourcils.

— Tu as tendance à l’ignorer, répéta Eric en levant les sourcils d’un air entendu. Je comprends. Miles est très énergique et a beaucoup de culot. Je sais qu’il est parfois difficile à supporter, mais il traverse une période compliquée. Sois gentil.

Il leva la main quand il vit que j’étais sur le point de me défendre.

— Ne t’enfuis pas, au moins, conclut-il.

— Il me fait peur, lâchai-je, en ne plaisantant qu’à moitié. En plus, je doute qu’il me remarque s’il y a soixante ou soixante-dix personnes là-bas.

— Mec, pour un homme intelligent, tu es spectaculairement ignorant parfois, s’exclama Josh en simulant la consternation en secouant la tête avant de faire signe à Finn d’ouvrir la portière.

— Qu’est-ce que c’est censé vouloir dire ? dis-je en rétrécissant mon regard sur Eric. Attends. Tu n’essayes pas de nous piéger, n’est-ce pas ?…»
Commenter  J’apprécie          00
Il embrassa ma joue et ferma les yeux. J’écoutai sa respiration pendant que je le tenais. J’attendais que le regret, l’anxiété ou même la claustrophobie me fassent tomber de mon nuage et tuent la joie et le sentiment de justesse que je ressentais. Mais ce moment avec Mitch était plus fort que les précédents. Je me sentais invincible et en phase avec ma place dans le monde comme jamais auparavant. Quelque chose me disait qu’il était la clé.
Commenter  J’apprécie          10
Il avait bouleversé ma vie en moins d’un mois. Il avait envahi mon espace personnel de toutes les manières possibles et m’avait laissé avec un sentiment d’instabilité, d’incertitude et de peur. Je n’avais aucune idée de ce que je ferais si les morceaux de moi-même que j’avais si bien cachés tombaient du placard. Je pourrais tout perdre. Mais la dynamique avait déjà changé. J’étais curieux, mauvaise décision ou pas
Commenter  J’apprécie          10

Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Lane Hayes (31)Voir plus

Quiz Voir plus

Auteur Mystère cher à mon Petit Coeur

Une pincée d'anticipation sociale:

Outrage et rébellion
Copyright

8 questions
29 lecteurs ont répondu
Thèmes : polar noir , romans policiers et polars , noir , littératureCréer un quiz sur cet auteur
¤¤

{* *}