Citations de Laurell K. Hamilton (483)
-Son énergie est très bleue, la tienne est très rouge, et elles se sont mélangées.
-Et ça donne quoi, du violet ?
-Il n'y a vraiment pas de quoi plaisanter, Anita. Si je l'ai vu, Richard le verra aussi.
Si un jour, ca lui rapporte plus de me tuer que d'etre mon "ami", je sais qu'il n'hésitera pas.
Edward n'a pas de conscience. Ce qui fait de lui le parfait assassin
Avec Edward à l'interieur, je serai plus en securite dehors que dedans.
Si je suis l'executrice, Edward est la mort personnifiée
Quand vous tuez quelqu'un qui vous a fait du mal, vous en retirez une satisfaction glaciale qui detruit en vous des choses que la douleur initiale aurait laissées intactes. Parfois, la question n'est pas de savoir si vous allez perdre un morceau de votre ame, mais lequel vous allez perdre.
-Si j'ai bien compris, tu te tapes un métamorphe qui contrôle assez bien son corps pour en faire grossir certaines parties [...] Et à côté de ça, tu te tapes un vampire de plus de quatres siècles.[...]Puis-je supposer que son expérience et son savoir faires son proportionnel à son âge ?
Mes joues s'embrasèrent.
-Tu peux.
- Merde alors poupée. je suis doué, mais pas à ce point. Je ne suis qu'un pauvre mortel. je ne peux pas rivaliser avec un homme-loup et u seigneur des morts-vivant.
(bernardo et anita :D)
-Anita, me salua-t-il.
-Edward.
Son sourire se changea en grimace.
-Tu n'as pas l'air heureuse de me voir.
-Parce que tu as l'air trop heureux de me voir. Tu es soulagé que je sois venue; ça me fout les jetons.
Sa grimace s'estompa, et son visage se vida de toute bonne humeur comme un verre fendu laisse s'échapper l'eau qu'il contient.
-Je ne suis pas soulagé, répliqua-t-il d'une voix atone.
-Menteur.
J'avais l'impression que plusieurs jours s'étaient écoulés, même si ma montre affirmait que ça ne faisait que quelques heures.
Le même effet que le décalage horaire, sauf qu'au lieu de franchir des fuseaux, on franchit des évènements. Pour peu qu'ils soient assez traumatisants et se produisent à la chaîne, la perception du temps se met à déconner.
Jean-Claude m’attire. Il se peut même que je l’aime, dans le coin le plus ténébreux de mon âme.
Il éclata de rire. Son visage s’illumina de l’intérieur comme si quelqu’un avait allumé une bougie sous sa peau. Il était si beau ainsi que mon cœur se serra douloureusement.
Mais sa beauté ne me donnait pas vraiment envie de le toucher. Elle me rappelait un tigre du Bengale que j’avais vu autrefois dans un zoo. Aussi haut qu’un poney avec des yeux dorés et une fourrure orange, noire, crème et blanc nacré. A force de faire les cents pas, il avait creusé des sillons dans la terre battue de son enclos.
Je me souviens que mes doigts m’avaient démangé, tant j’avais envie de passer la main entre les barreaux pour le caresser. Il était si proche, si beau, si sauvage… Si tentant.
Je serrai mes genoux contre ma poitrine.
Le tigre m’aurait sans doute arraché la main et, pourtant, une partie de moi regrettait encore de ne pas l’avoir caressé.
Je scrutai le visage de Jean-Claude, sentant son rire caresser mon échine comme du velours. Une partie de moi se demanderait-elle toujours ce qui ce serait passé si j’avais dit « oui » ? Sans doute.
Harley était un vrai psychotique ; il avait la carte du club et le bail d'une chambre capitonnée.
Il entra dans le salon, une valise à la main. La plus légère. Je le suivis avec l'autre et avec les deux sacs de sport. Le féminisme a un prix.
Je vais te dire la vérité. Peu importe ce que tu fais ou les remords que tu éprouves, la vie continue. C'est ça le plus horrible de tout. La vie se fiche bien que tu sois désolée, bouleversée, ou même à moitié folle de chagrin et de remords. Elle continue, et tu dois en faire autant ou t'asseoir au milieu de la route pour pleurnicher sur ton sort.
- Ça doit être difficile d'entendre quoi que ce soit quand on a à ce point la tête dans le cul, commenta Edward.
Le courage n'a jamais sauvé personne. Il augmente un peu les chances de survie, c'est tout.
– Le pouvoir phallique, ça finit toujours par descendre aux gonades, commentai-je.
Seymour fronça les sourcils.
– Qu’est-ce que ça veut dire?
– Que tu réfléchis avec tes couilles, abruti, dis-je avec un sourire aimable.
Il est difficile de porter un flingue à Saint Louis en plein été. À l’épaule ou à la hanche, le problème reste le même. Si on met une veste pour le dissimuler, on fond littéralement de chaleur. Si on le range dans son sac, on se fait tuer, parce que aucune femme n’est capable de retrouver un truc dans son sac en moins de douze minutes. Une loi universelle.
-Pourquoi tout le monde en Irlande pense que je vais juste me mettre à flinguer des gens ?
J’aurais aimé lui demander des détails, mais la miséricorde de la Reine est une chose aussi fragile qu’une bulle d’air. Si on la touche de trop près, elle finit par exploser et disparaître. Je n’allais pas m’interroger sur cette largesse inattendue. J’allais simplement l’accepter.
Parfois , on lutte contre sa nature, parfois on s'y abandonne. Et parfois, quand on n'a vraiment pas envie de se battre contre soi, on se retourne contre quelqu'un d'autre.
"L'amour par accident." A l'écouter, on aurait dit que, chaque fois que je perdais l'équilibre, je tombais sur une érection malencontreusement placée.