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Critiques de Laurell K. Hamilton (1293)
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Merry Gentry, tome 1 : Le baiser des ombres

De l'urban fantasy (encore) par notre amie madame Larell K. Hamilton. Le premier tome des aventures de Merry Gentry avait tout pour m'attirer au premier abord. Dans ce premier opus, nous rencontrons une princesse du peuple des Unseelis. La jeune femme se cache de ses semblables au sein d'une agence de détectives. Mais bientôt son passé la rattrape et met en danger tout ce qu'elle a pu construire... Une trame sympathique donc...



Comment dire ? Hier je me plaignais de l'absence de sexe dans les trois premiers tomes d'Anita Blake. Ben c'est pas dur, tout l'érotisme qui aurait pu être dans ces derniers s'est retrouvé dans Le Baiser des ombres. Et plus encore. Je suis pas contre un peu -voir beaucoup- de cul s'il est justifié. D'ailleurs au début du bouquin cela ne m'a aucunement gêné. Surtout que l'auteur justifiait tout cela par les différences culturelles qu'il existe entre Merry et l'humain de base. Soit. Par la suite j'ai vite été saoulée par cette exposition permanente de chaire. Surtout que l'écriture de madame Hamilton, bien qu'elle soit convenable, n'apportant rien dans le domaine de la narration (en tout cas en version française) les très nombreux passages sexuel ne recèlent rien de poétique, d'original ou de troublant. Tout ceci est peu vide finalement.



Alors je ne sais pas trop. Le personnage de Merry est prometteur tandis que la nature même de sa quête -que je ne dévoilerai pas ici- n'augure rien de bon pour la suite. Je tenterais sans aucun doute de lire le deuxième volume des aventures érotico-sexuelles de notre princesse mais pour le moment je ne suis pas vraiment emballée.
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Anita Blake, tome 1 : Plaisirs coupables

Une société où les vampires vivent pacifiquement avec les humains se partageant le temps entre jours humains et nuits vampiriques. Il reste néanmoins pour élaborer une intrigue netre hommes et vampires non seulement le recouvrement entre la fin du jour et la tombée de la nuit mais aussi le noctambulisme de certains humains, dont évidemment Anita Blake, la fameuse tueuse de vampires ! Ayant emprunté ce roman en bibliothèques à titre professionnel et par curiosité, je me suis surpris à en apprécier l'intrigue, plus élaborée que ce à quoi je m'attendais, mais surtout l'excellente construction de ce véritable "cliffhanger". Un bon moment de lecture à suspense dont j'ai particulièrement apprécié le rythme entraînant.
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Anita Blake, tome 1 : Plaisirs coupables

On me l'avait présenté comme la 8e merveille du monde, je m'attendais donc à une histoire extraordinaire, mais pas du tout à ce que j'ai découvert...



Car effectivement, si Anita Blake est haute en couleur et a un sacré caractère, l'histoire dans laquelle elle apparaît est bien fade. Digne d'un roman de gare, l'intrigue de Plaisirs Coupables se résout trop vite et trop facilement.

La lecture n'en est pas pour autant désagréable. le livre se lit très rapidement et on plonge facilement dedans, mais rien n'explique, ni dans le récit, ni dans le style d'écriture, l'engouement auquel il a droit.



Laurell K. Hamilton ne fouille pas suffisamment les éléments les plus pertinents de son oeuvre, préférant mettre en avant ceux plutôt ordinaires. Si Anita est réanimatrice et tueuse de vampires, c'est le côté réanimateur que l'on aurait aimé découvrir un peu plus, car l'héroïne le dit elle-même, la tuerie de longues canines n'est qu'un plus, une activité secondaire.



Bien que la lecture de ce titre fasse passer le temps, la fin déçoit. Trop rapide, trop facile, seul un détail émeut le lecteur, détail qui, justement, concerne le métier principal d'Anita. On passera aussi sur les noms, véritables clichés du genre qui donne une image comique involontaire des personnages. Tous ces défauts sont-ils excusables du fait de l'âge de ce premier tome? On en doute. Il manque donc indéniablement quelque chose à Anita Blake pour faire partie des livres inoubliables.



Face à la médiocrité de ce titre, et si vous recherchez vraiment une histoire qui sort de l'ordinaire, La Communauté du Sud est une série de bien meilleure qualité et à l'intrigue bien plus poussée.

Par curiosité et parce que les couvertures ont le mérite d'attirer l'oeil, Anita Blake aura sa deuxième chance, mais pas une de plus...
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Anita Blake, tome 1 : Plaisirs coupables

La série se déroule aux Etats-Unis dans un monde où se côtoient, humains, vampires, loups-garous, goules et autres personnages fantastiques. Le personnage principal de Laurell K. Hamilton, Anita Blake, se démarque par son coté sombre et sensuel où l'aspect sado-masochiste est souvent présent.
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Anita Blake, tome 1 : Plaisirs coupables

Dans une longue série de livres que sont les aventures d’Anita Blake, nous suivons sa vie. Cette dernière n’en est pas moins reposante et normale. Anita est en quelque sorte, à la fois réanimatrice de morts-vivants et exécutrice de vampires quand la situation l’exige. Ce personnage, plus qu’intriguant au premier abord, survit dans un monde semblable au nôtre à quelques exceptions près. Il n’y est, en effet, pas plus surprenant de croiser un humain qu’un vampire, une goule ou un lycanthrope, même si ces trois derniers ne sortent que la nuit. Notre héroïne sera, malheureusement pour elle, enrôlée dans une affaire de meurtre vampirique, dans laquelle ce ne sont point les vampires qui sont les assassins, mais plutôt les victimes… … Anita sera donc obligée de coopérer avec ces êtres qui l’effraient et qui lui répugnent.



Commençons par les principaux défauts que j’ai pu observer dans ce livre. Il faut tout de suite souligner le fait que l’on ne sait rien des personnages secondaires. En effet, mis à part leur nom et leur physique stéréotypé, aucune information sur leur passé ne nous est dévoilée. Il est d’ailleurs, au fil du récit, du plus en plus difficile de savoir qui est qui. Mais un point important étant l’intrigue principale, il est dommage qu’au bout de quelques chapitres, on s’en désintéresse rapidement pour se focaliser sur le personnage principal et ses plus proches compagnons.



Perpendiculairement à cette autoroute de difficultés, les points positifs semblent n’être qu’un dangereux passage piéton. Le seul point vraiment notable est le frissonnant sentiment de peur qui est extrêmement bien retranscrit par l’auteur. A part cela, le livre est facile à lire, mais il ne faut pas le lire d’un seul trait, sinon il devient vite ennuyeux. Mieux vaut laisser passer quelques jours pour que l’envie de connaitre le dénouement de l’histoire reprenne place dans notre esprit.
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Anita Blake, tome 22 : Affliction

Un petit pavé cette fois. Je m’étonne toujours du volume disparate des tomes de cette série. Celui-ci fait 1200 pages, le suivant 167…

Cela dit, si on enlève toutes les redondances (les même pensées d’Anita qui reviennent en boucle dans le récit), les descriptions inutiles de personnages même pas secondaires mais carrément figurants (je pense à chaque membre de la famille de Micah, mais qu’est qu’on en a à battre franchement), les récaps des tomes précédents (pratique mais au 22ème tome on connait déjà par cœur les physiques de tous les hommes de sa vie), et bien on réduirait considérablement le nombre final de pages au compteur.

Le premier tiers du tome me parait un peu too much, comme une pièce de théâtre puisque mis à part les descriptions physiques et vestimentaires ennuyeuses, le texte se compose essentiellement de dialogues. Le charme est rompu pour moi. Ensuite et comme toujours je dirais, il y a un peu trop de blabla existentiel, sentimental même, le coup du mariage non mais au secours ! Surtout quand ça arrive en pleine baston, ou comme un cheveu sur la soupe après la mort d’un proche d’Anita (dont je tairai le nom pour ne pas spoiler) complétement occultée par les réflexions de la demoiselle. Non mais Allô, elle vient de buter un de ses mecs !

Ceci étant dit, j’ai aimé l’intrigue, même si l’originalité des débuts s’essouffle, cela me fait toujours plaisir de vivre une aventure pleine de méchants zombis et de vampires renégats. On retrouve également Nicky, la relation dans ce tome est plus centrée sur ce personnage que j’apprécie. Moins de scènes épicées également, bon dosage pour une fois. Et toujours une héroïne dont j’adore le tempérament et la répartie, un plaisir à la lire.

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Anita Blake, tome 26 : Serpentine

Après un petit voyage en Irlande, voilà Anita et son harem, augmentés de 2 arlequins supplémentaires, de retour aux Etats-Unis, pour la préparation du mariage d'Edward et de Donna.



Après un démarrage en fanfare au Nouveau-Mexique pour un essayage de robe plutôt folklorique, Anita rentre au bercail ou l'attendent Micah et Jean-Claude, en train de joyeusement barboter dans un bain moussant pour passer le temps. Une petite galipette à 4, vu que Nathaniel était là aussi, et pas le temps de souffler, Micah a des questions à poser à l'une des employés du Cirque des damnés et qui pourrait l'aider face à un cas mystérieux mêlant métamorphes et serpent en Floride. Vite expédié, après un bref retour d'Asher dans l'équation (le vampire blondinet souhaite se faire pardonner, se rabibocher avec Jean-Claude et réintégrer sa place de dominant dans le lit de Nathaniel et d'Anita). Ce sera pas pour cette fois, mais nul doute qu'il va y arriver... cette réapparition permet toutefois de faire le tri des gardes du corps de Micah, Anita et Nathaniel en Floride pour le mariage.



Mais là ou Nathaniel souhaitait vivre un mariage de rêve (une sorte de répétition du sien, maintenant que Micah a accepté sa demande), le-dit Micah est en mode "je suis le chef de la coalition poilue et je dois résoudre les problèmes de tout le monde", Anita se pose (comme d'habitude) beaucoup trop de questions et doit gérer Donna et sa vieille amie hystérique et fouteuse de merde, Olaf et Bernardo sont de retour (normal pour le second mais une invitation surprise de Donna pour le premier)... et des jeunes femmes commencent à disparaitre de l'hôtel. Et tout se complique quand l'inspecteur chargé de l'enquête semble détenir un pouvoir qui semble hypnotiser Nathaniel et le soumettre à sa volonté...



Un tome moitié plus court que le précédent, avec un peu plus de sexe (mais moins que certains tomes (où certaines scènes pouvaient durer des chapitres entiers...), une enquête finalement assez bien fichue, un final en apothéose digne des 4 cavaliers de l'apocalypse, Micah qui se pose des questions sur sa place dans le trio (il semble souhaiter un peu plus de temps avec Anita en duo et s'interroge sur sa capacité à satisfaire pleinement Nathaniel), le léopard-garou voit son passé tragique évoqué mais semble le vivre plutôt pas mal, entre deux caprices, Damian qui était l'un des personnages principaux du tome précédent doit se reposer dans son cercueil, on ne le voit ni ne l'évoque à aucun moment, on assiste au retour de Richard le chieur, égal à lui-même, on aperçoit Jason trop brièvement, les 2 R irlandais se révèlent, Bernardo a un cœur, Olaf aussi même si personne ne sait à quoi il sert et Anita passe un peu trop de temps (comme d'habitude) à s'extasier sur les mecs qui l'entourent (ceux qu'elle se tape et ceux qu'elle pourrait se taper), à reluquer les nanas, à mater les chevelures de tout le monde (une obsession ou un placement de produits capillaires) bref... fin de la parenthèse floridienne serpentine maritale (je sais, ça se dit pas, mais on s'en fout).
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Anita Blake, tome 27 : Jeu dangereux

Laurell K. Hamilton semble finalement avoir entendu les suppliques de ses fidèles lecteurs : on retrouve enfin, dans ce vingt-septième tome, une bonne enquête policière, des mystères à élucider, un certain nombre de suspects, des flics pénibles, et évidemment, un bon gros monstre à occire.La lecture est donc plutôt plaisante, on est baladé par l'auteur qui s'étend un peu plus sur le système judiciaire tentant de faire face au surnaturel, et sur les différences entre États américains. Une touche de modernité montre le bout de son nez : on retrouve dans la narration des allusions au féminisme, au racisme et...aux smartphones et à leurs emojis (on aurait pu s'en passer), comme si l'auteur se devait de refléter dans ses romans les soubresauts de notre société.Cet opus n'est cependant pas exempt de défauts : le laps de temps très court dont dispose Anita pour résoudre l'enquête contraste avec la longueur du bouquin et l'impression que l'on a de tourner en rond, et l'auteur n'a pas pu s'empêcher de décrire des retrouvailles mi-mièvres mi-caliente entre Anita et sa troupe de combat. Enfin, je ne parviens toujours pas à comprendre que l'auteur revienne encore à la relation entre Anita et Olaf ; leurs discussions à ce sujet semblent totalement hors de propos et décorrélées du reste du récit ; l'auteur semble vouloir développer ce sujet sans parvenir à s'en dépatouiller...Une bonne lecture sans prise de tête néanmoins !
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Anita Blake, tome 28 : Rafael

Grande fan de cette série que je suis depuis plus de 10 ans, j’ai assisté à son évolution et ses changements.

Néanmoins Rafael est le premier tome dont je fais la critique et malheureusement elle ne me fait pas plaisir.





Avant toute chose, oui Anita est un personnage problématique, je la vois un peu comme un Rambo féminin qui a évolué avec son époque sans pour autant s’y adapter, elle y met toute sa bonne volonté mais laisse un sentiment de conversation étrange avec ta mère quand tu lui explique comment facebook fonctionne et qu’elle te répond avec des expressions “jeuns”. Pour moi c’est quitte ou double avec Anita soit on arrive à passer outre certains aspects et on s’embarque dans l’histoire soit on reste sur le côté en attendant avec impatience qu’il se passe quelque chose.





Ce tome fait malheureusement partie de la deuxième catégorie.







Il est à la fois très court et très long: les derniers tomes ont tendance à poser l’action et parler avant d’agir mais je trouve que là on atteint le summum de l’expression “parler pour ne rien dire” !

J’ai eu l’impression de suivre une des péripéties d’un des premier tome étiré au son maximum pour en faire un roman de 285 pages. Les 100 premières pages, jusqu’au chapitre 9, peuvent clairement être réduites en 25 pages sans que cela impacte la compréhension de l’histoire.





Au vu du thème abordé je ne peux que le comparer au tome 7 et la différence est clairement visible.







La fin m’a aussi déçue. Après autant de longueur on expédie le récit sur un baiser, pas de chapitre résumant les conséquences de ce qui c’est passé juste “on a battu le méchant - FIN-”





La série m’a habitué à mieux sur plein d’aspects. Je pense que ce tome aurait dû être intégré au prochain et pas être le seul support de l’histoire du tome.

J’ai néanmoins hâte de lire la suite des aventures d’Anita et de voir ou tout cela va nous amener.
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Anita Blake, tome 3 : Le cirque des damnés

Anita ne sait plus où donner de la tête entre son travail de réanimatrice, et les sollicitations de la police. A cette situation déjà compliquée s'ajoute l'arrivée en ville d'un nouveau maître vampire très puissant, accompagné de sa meute, qui compte évincer le maître actuel Jean-Claude. D'ailleurs, d'autres individus en ont aussi après lui. Et Anita a également de quoi être furieuse contre Jean-Claude, hors de question qu'elle lui cède et devienne sa servante humaine !



J'ai apprécié ce volume, une lecture divertissante, en mode détente. Au niveau de l'histoire, il y a de l'action. La présence de nouveaux personnages apporte également du dynamisme (et un peu de piquant). Le personnage d'Anita me plaît toujours ; certaines de ses remarques, réflexions donnent lieu à des passages plutôt comiques.

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Anita Blake, tome 15 : Arlequin

Anita Blake est une saga chère à mon cœur, commencée à l'adolescence, j'étais d'ailleurs bien trop jeune à l'époque pour une telle saga avec le recul. Mais je l'aime vraiment beaucoup, c'est ma première saga d'urban fantasy/bit-lit. Mes tomes préférés vont du premier au neuvième. A partir du tome 10, les tomes sont devenus inégaux en terme de qualité, surtout que les scènes de sexe à gogo ont pris le pas sur les intrigues qui sont passées au second plan malheureusement.



Anita, ses pouvoirs et tous les hommes de sa vie, ont attiré l'attention des Arlequins, une sorte de milice vampirique redoutable, masquée et secrète, chargée de la discipline et de l'ordre dans le monde surnaturel. Ils se doivent d'être neutres mais ici, ils ont enfreint la loi, leur propre loi, en essayant de la contourner de X manières, en semant le chaos dans la vie d'Anita qui est déjà un capharnaüm sans nom. Le danger est grand, l'inquiétude gagne toutes les créatures surnaturelles. Anita doit alors créer de nouvelles alliances avec différentes factions comme celle des cygnes et celle des rats, va faire appel à son ami chasseur et marshal fédéral Edward pour l'aider dans son combat, passera même près de la mort avec Jean-Claude et Richard, au risque d'entraîner tant d'autres personnes/créatures liés à eux. La riposte en est terrible !



Le sexe est devenue une partie inhérente à cette saga, elle prend une énorme place au sein de l'histoire. C'est quelque chose de vital et c'est aussi pourquoi Anita a un harem plus long que mon bras et qui ne cesse de s'agrandir d'ailleurs. Elle rajoute deux hommes de plus à son tableau de chasse si je puis dire : Donovan, le roi des cygnes et Rafael, le roi des rats. Il y a toujours les principaux hommes de sa vie, les autres sont secondaires, d'autres des cas exceptionnels. J'ai toujours une affection particulière pour les deux premiers qui sont là depuis le début, Jean-Claude, vampire et Maître de St Louis et Richard, roi de la meute de loups locale. S'ajoutent aussi Micah, roi des léopards et Nathaniel, léopard qui a un passé très difficile que j'apprécie beaucoup aussi. Je n'ai pas d'accroche particulière avec les autres, certains me laissent de marbre. Les personnages sont tous étroitement liés d'une manière ou d'une autre et les relations sont très complexes et c'est tant mieux.



Dans ce tome-ci, j'ai pu voir Nathaniel sous un nouveau jour, il est vraiment en train de changer, s'émancipe et c'est très appréciable. Richard est une fois de plus torturé par ses démons, ses sentiments d'une puissance sans nom, ça va très mal se finir mais franchement, pour moi, il dénote vraiment de tous les autres hommes de la vie d'Anita ! Edward a une nouvelle vie de famille et c'est compliqué d'allier son travail et cette vie. Anita est en prise avec les créatures qui "vivent" en elles, elles chahutent beaucoup pour tenter de s'échapper, ce qui provoquerait une transformation (léopard, lionne, louve, tigresse)... Bref, il se passe énormément de choses autour de plein de personnages, c'est complétement fou !



Le rythme est lent, il y a pas mal de répétitions si bien que j'ai très souvent eu l'impression de tourner en rond mais en même temps, cela m'a permis aussi de me rappeler tel ou tel personnage/événement/tome... Les scènes de sexe sont très détaillées, c'est une saga pour adulte, le langage est d'ailleurs très cru et familier. Je suis vraiment admirative face à la complexité, à la richesse de l'univers, fan de l'imagination débordante de l'autrice.



En bref, même si je critique la saga pour ses scènes de sexe et pour sa perte de qualité, il n'empêche que je passe toujours ou presque un super moment avec un tome car c'est tout de même très addictif. Ce tome a d'ailleurs relevé un peu le niveau car le tome 14 avait été une déception pour moi. Il ne me manque plus qu'à continuer cette très très très longue saga en cours avec 28 tomes pour le moment. J'ai beaucoup de retard à rattraper !
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Merry Gentry, tome 7 : Les ténèbres dévorantes

Dans la même mouvance que le tome précédent : L'auteure a enfin bien réduit les scenes de sexes à tout va, on peut alors songer à l'intrigue et à faire avancer l'histoire. Merry est enfin arrivée à ses fins, puisqu'elle est en cloque et que puisqu'on est chez les faeys, soyons fous, nous sommes en présence de paternité multiples. Elle peut alors songer à garder tous ses chouchous avec elle.

On commence alors enfin a bien avancer, ce qui fait du bien même si on garde quelques longueurs et répétitions inutiles à mon gout.

J'ai quand même envie de dire : vivement que ca se termine.
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Anita Blake, tome 3 : Le cirque des damnés

J'ai l'impression que le suspense et l'action vont en crescendo à mesure que l'on avance au cours de cette saga. Malgré que ce troisième tome soit une relecture, il s'est tout de même écoulé un peu moins de dix années depuis ma lecture. Ayant une mémoire de poisson (comme dirait ma chum Readeuse...) j'avais complètement oublié l'intrigue de ce récit. J'en ressors complètement emballée et j'ai vraiment hâte de lire la suite.



J'apprécie énormément la personnalité d'Anita. Une héroïne badass comme je les aime. Elle a du caractère et ne se laisse pas imposer quoi que ce soit. Malgré qu'elle ressent parfois certaines sueurs froides, elle préfère foncer aux risques et périls de sa vie. J'adore les remarques qu'elle sème au gré des conversations, elles me font tellement rire. Elle est tout simplement incroyable! Sérieusement, je ne comprends pas pourquoi j'avais cessé de lire cette saga...



Plusieurs personnages font leur entrée dans ce tome-ci, dont Richard, et je suis sous le charme de sa personnalité. Il a l'air si calme, je crois que cet homme apportera un certain équilibre dans la vie d'Anita, mais bon, il ne faut pas non plus espérer trop vite que leur relation deviendrait sérieuse et sur du long terme, mais j'ai bien hâte de voir comment il va réussir à la séduire.



Surtout sachant que Jean-Claude a de grandes espérances et qu'il tente de séduire Anita, et ce, par tous les moyens inimaginables. Nous en apprenons également un peu plus au cours de ce récit pourquoi notre maître vampire veut à ce point avoir Anita auprès de lui. Et cela a tout à voir avec ses capacités extraordinaires.



Vous l'avez probablement deviné, je ressors vraiment emballée par ce troisième tome. L'intrigue est captivante et addictive. C'est palpitant d'un début à l'autre avec des événements qui s'enchaînent à une vitesse incroyable. Je vais assurément lire le prochain tome cet été!


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Anita Blake, tome 26 : Serpentine

Je ne sais pas si c’est du au fait que j’ai arrêté de binge reader cette série puisque je suis à jour, mais j’ai trouvé ce tome bien plus digeste que les tomes précédents. Ce tome, c’est l’une des raisons qui a fait que j’aimais Anita Blake : une enquête policière, du sexe mais pas trop (pas de partouze, de viol, ou de zoophilie, gosh !), ou si parce que Anita est plus mesurée qu’avant (vive les thérapies !), mais elle me paraissait tout à fait supportable.



Le seul point dommageable c’est qu’il y a énormément de répétition, d’un chapitre à l’autre, une remarque que j’avais déjà formulé dans le tome précédent : Laurell K. Hamilton est-elle payée au mot ? Mais rien de vraiment agaçant.



Du coup je donne la note de Bien, mais du BIEN bien, pas le bien-mais-bof que j’ai l’habitude de donner à cette auteure. J’espère qu’elle continuera dans cette veine pour les prochains tomes !
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Anita Blake, tome 1 : Plaisirs coupables

Ayant vu pas mal de critiques négatives sur ce roman, j'étais un peu sceptique en le commençant, mais à ma réelle surprise, j'ai adoré cette lecture !



Je l'ai "bouffée" en 3 jours et quand je l'ai terminée, j'étais dégoûtée de ne pas avoir la suite sous la main car je n'avais qu'une envie, c'était de me jeter dessus.



Il y avait longtemps qu'un livre ne m'avait pas fait cet effet, et ça fait un bien fou !



Pourtant, ce n'est pas de la grande littérature, loin de là, et au début, j'ai même cru que je n'allais pas aimer.



Et puis sans que je m'en rende compte, je me suis mise à dévorer les pages et à ne plus pouvoir le lâcher.



Je pense que c'est dû en partie à la plume dynamique et à un mélange d'action et de suspense qui ne laisse pas le lecteur souffler un instant, sans pour autant que ce soit "too much".



De plus, j'ai apprécié que malgré un ton "léger" et des péripéties qui s'enchaînent rapidement, on sent quand même que l'univers qui se présente à nous est potentiellement très riche, et beaucoup moins superficiel que ce que l'on pourrait croire au premier abord.



D'ailleurs l'enquête elle-même était prenante et réellement intéressante, avec des méchants qui ne faisaient pas semblant (d'ailleurs la Grande Méchante était à la fois fascinante et effrayante : tout ce que j'aime), des rebondissements ébouriffants et une résolution intelligente qui m'a surprise, ce qui est toujours un bon point.



Ce qui m'a plu aussi, je pense, c'est qu'on ne sait pas très bien à qui l'on peut se fier : presque tous les protagonistes - à part un ou deux amis fiables sur qui Anita peut compter - peuvent se révéler des alliés ou des ennemis, selon les circonstances.

Et cela rajoute une tension à l'intrigue qui n'est pas désagréable.



Et pour finir, je dirai que j'ai été agréablement étonnée de ne trouver AUCUNE scène de sexe et pas l'ombre d'une romance non plus, contrairement à ce que j'avais pu lire sur cette série, et qui m'avait fait hésiter à la commencer. Il faut dire aussi que la couverture et le titre sont assez ambigus à ce sujet.



Vous l'aurez compris, cette lecture a été un régal pour moi et j'ai vraiment hâte de me plonger dans le tome 2 !

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Anita Blake, tome 1 : Plaisirs coupables

Si le style rend le roman très facile à lire (je l'ai lu en deux cessions), j’ai eu du mal à rentrer dans cet univers particulier. Chaque fois que je lis un livre dont les héros sont des vampires, je dois m’approprier les caractéristiques du vampire dans cette série. J’ai tendance à me référer pour ceux-ci soit à Bram Stoker, soit à Charlaine Harris, ce qui peut me valoir certains égarements.

L’héroïne connaît son métier, le monde dans lequel elle évolue, mais les explications tardent à venir pour le lecteur, qui se trouve un peu perdu. Si j’ai compris facilement ce qu’était une réanimatrice, je me demandais parfois quel était l’utilité de son métier. De même, j’aurai voulu connaître plus tôt les raisons de son aversion pour les vampires. Les personnages sont très nombreux, les liens qui les unissent, tout comme la hiérarchie qui existe entre certains (je pense aux vampires notamment) sont complexes et pas toujours évidents à retenir. Parfois, un personnage apparaissait dans le cours de l’intrigue, et disparaissait sans que le lecteur sache ce qu’il était devenu. Je pense au jeune homme qui voulait se convertir, ou plus simplement à Catherine, l’amie d’Anita.

Quant à Anita, elle paie de sa personne. Ce n’est pas qu’elle n’a peur de rien, c’est plutôt qu’elle est prête à tout affronter. Comme Sookie, l’héroïne de La communauté du Sud (ma seule référence pour ce genre de romans), Anita est la narratrice de ses aventures, sauf que le ton employé est plus dur, l’ironie est parfois mordante. Anita n’a pas de répit – et le lecteur non plus. Ses aventures nous permettent de découvrir toutes les créatures qui hantent son monde – et tous les ennemis potentiels qu’elle va devoir affronter.

Les questions restées en suspend donnent envie de lire la suite et de savoir si mes hypothèses de lecture se trouveront confirmées.
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Anita Blake, tome 25 : Mort écarlate

En format poche, le roman fait 959 pages et Anita et son boys's , non pardon, son girls and boys' band touchent le sol d'Irlande à la page 509... Heureusement qu'il s'agit d'une enquête irlandaise! Et si vous voulez mon avis on pouvait largement se passer de la première moitié du livre, parce qu'à force de négocier avec tout le monde pour savoir qui pourra coucher avec qui et dans quelle position; l'auteure devient d'un ennui! Sérieusement elle parvient le tour de force de donner dans le sexe, on va dire, marginal (je n'ai rien contre le polyamour, le bondage, SM etc mais c'est quand même pas le goût du plus grand nombre) et en même temps, des platitudes du genre l'importance de l'écoute, du partage au sein du couple... On dirait le courrier du coeur des magazines chers à ma grand-mère. Le pire c'est qu'il y a tellement de personnages que parfois même la romancière s'y perd "Nolan faisait les cent pas devant Nolan"? C'est lui qui se dédouble ou c'est moi qui devient schizophrène ? Sincèrement, je suis suffisamment déçue cette fois pour que ce soit sans doute le dernier que j'achète.
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Anita Blake, tome 14 : Danse macabre

Je pense que cet avis sera relativement bref : il ne se passe rien dans ce tome. Ah, si, pardon : Anita multiplie les relations sexuelles avec des partenaires multiples. Une intrigue ? Où ça ? Ah, si : Anita craint d'être enceinte. Avouez que cela changerait beaucoup de choses à la saga si c'était le cas. Après tout, Piper, sorcière de Charmed, a bien eu des rejetons, alors....

Je suis contente d'être allée au bout de ce livre, ne retenant pas vraiment les noms des nouveaux prétendants d'Anita, mais je ne pense pas poursuivre prochainement la série.
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Anita Blake, tome 25 : Mort écarlate

Voici venir encore un tome intéressant et prenant.



Anita va devoir, accompagnée de certains de ses amants se rendre en Irlande. Des vampires s'attaquent à la population. Ce qui pose problème aux autorités car officiellement « IL N'Y A PAS DE VAMPIRES EN IRLANDE ».



Elle va devoir cette fois encore faire face aux préjugés habituels mais agrémentés cette fois de nouveaux concernant sa nécromancie et sa violence. C'est Edward qui fait appel à elle mais pour la première fois depuis longtemps il va avoir du mal à tenir son rôle de Marshall Forrester. Quelque chose le tient à cran là-bas et ce n'est pas simplement le fait que les autorités refusent tout d'abord la venue d'Anita. L'in de ses anciens coéquipiers est sur place. Ils ont un passé commun et fait des choix diamétralement opposés plus jeunes qui les a totalement éloignés. L'ambiance est donc lourde.



L'Irlande est un pays à part magiquement du fait de la présence quasi séculaire du petit peuple. Cela a un effet particulier sur cette terre et sur la magie qui peut s'y développer. C'est pourquoi la nécromancie d'Anita n'est pas sensée y fonctionner. La magie de mort ne semble pas avoir d'effets sur cette terre particulière.



C'est un tome vraiment intéressant car il va nous permettre d'avoir un aperçu du passé de Ted, de sa vie avant. C'est édifiant et en même temps ça laisse présager plein de nouvelles interrogations car Ted reste Ted. La Mort garde ses secrets.



Ce tome va aussi remettre en cause certains fondements du mode de pensée de nos deux acolytes envers les vampires. Ted et Anita ont une conception assez particulière due à leurs missions d'extermination aux Etats-Unis qui ne correspond pas à la manière de voir des Irlandais. Beaucoup de questions vont ainsi être posée sur le bien-fondé de tuer des vampires par ex. Sur le fait de ne les voir qu'en agresseurs et non en victimes. L'Irlande et ses forces de police ont pour cela une façon bien particulière d'appréhender les choses qui vont fortement compliquer la vie de nos deux cavaliers de l'Apocalypse, la Mort et la Guerre que sont Edward et Anita.



On va aussi voir se développer des relations laissées en suspens depuis quelques tomes et des grandes décisions émerger aussi.



Encore un tome à la fois psychologique et purement sanglant.

J'ai vraiment apprécié entrer enfin dans la vie d'Edward, dans son passé et de voir certaines choses avancer dans les relations d'Anita. On sent la tension et une ambiance lourde. Les évènements d'Irlande apportent une image des conséquences des choix qu'ont faits Jean-Claude et Anita depuis qu'ils gouvernent les vampires des Etats-Unis. Cela explique aussi certaines des relations compliquées qu'ils ont encore avec les Harlequins. Beaucoup de remise en question donc pour plusieurs de nos amis.

Mais j'ai particulièrement apprécié voir mis en avant Nathaniel et Damian dans ce tome. Leur triumvirat avec Anita prend enfin son envol pourrait-on dire ou du moins essaient-ils tous de le mettre vraiment en place.



Une série qui parfois laisse à désirer sur certains tomes mais qui dans la majorité me tient en haleine et me rend accro. Un bon tome à lire pour en découvrir plus.
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Anita Blake, tome 25 : Mort écarlate

Anita Blake est une idée de série très bonne. Un personnage principal qui se démarque pas mal des autres (du moins de ceux dont j'ai l'habitude) et un univers pas cul-cul la praline surtout quand on parle de vampires et d'autres êtres surnaturels.

Mais, et il y en a un gros, c'est que l'auteure tourne en rond. Tombe dans le facile. Et nous nous retrouvons avec une série qui traîne en longueur alors qu'il y a encore pas mal d'idées à développer.

Je continue à acheter les livres parce que j'aime connaître la fin et je n'aime pas avoir une série incomplète, mais depuis plusieurs tomes j'attends de les trouver d'occasion.



Avant de le lire j'ai lu toutes les critiques que j'ai trouvé. Je savais donc que le livre était proche du catastrophique. Mais j'aime quand même me faire ma propre opinion. Et je rejoins tout ce que j'ai lu à son sujet. Le livre traîne en longueur, l'enquête de police est bâclée. Mais une différence est à noter par rapport aux autres tomes: Anita est devenue insupportable. Tout d'abord son caractère avec la difficulté qu'elle a de se trouver belle, mais surtout qu'elle soit irrésistible pour tout le monde... Quelque chose me dérange: tout le monde est subjugué par sa soit disant beauté. A ce rythme c'était sirène qu'il fallait la faire. Elle en devient réellement ennuyante. De plus son côté méchant et hypocrite ressort beaucoup, elle se permet de critiquer les personnes monogames ou complètement hétérosexuelles. Je trouve ça dommage de critiquer un choix de vie différent alors que c'est ce qu'elle prône. J'ai surtout l'impression qu'Anita Blake est devenue un exécutoire pour l'auteure qui y déverse toute sa frustration sexuelle ou qui parce qu'elle fait un choix de vie différent se permet de dire que c'est comme ça qu'il faut vivre sa vie. Hors, une vie sexuelle débridée va de paire avec un traumatisme et des névroses. On peut aimer le SM, le polyamour etc.. mais à un moment donner faut également être honnête avec soi même. Surtout qu'on se rend compte que ce choix de vie pèse sur Micah et même sur Anita (notamment lorsqu'elle dit qu'elle préférait se marier qu'avec JC, Micah et Nat), on sent bien que Micah est sa véritable âme soeur et que même les deux autres ne sont que des conséquences de ses pouvoirs. Anita n'est plus crédible, elle n'est pas en accord avec elle même. Et je trouve ça insupportable que l'auteur répète tout le temps la même chose...



Il y a de fortes chances que le prochain volume traite d'une quelconque grossesse.... je l'achèterai quand même mais il serai temps que l'auteure finisse la série.
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