AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet

3.85/5 (sur 140 notes)

Nationalité : États-Unis
Biographie :

Lauren Blakely est une romancière américaine.

Elle est diplômée de l'Université Brown. Auteure à succès, sacrée numéro un des ventes par le New York Times, le Wall Street Journal et les livres audio Audible, elle est célèbre pour ses romans contemporains qui mêlent tendresse, sensualité et humour.

Depuis l'auto-édition de son premier roman "Caught Up in Us" (2013), Lauren Blakely a vendu plus de 3 millions de livres.

Sous le nom de L. Blakely, elle écrit des romances M/M.

Elle vit en Californie avec sa famille.

son site : https://laurenblakely.com/
page Facebook : https://www.facebook.com/lauren.blakely.79?locale=fr_FR
Twitter : https://twitter.com/laurenblakely3

Source : http://laurenblakely.com/
Ajouter des informations
Bibliographie de Lauren Blakely   (30)Voir plus

étiquettes

Citations et extraits (26) Voir plus Ajouter une citation
Ma queue est fantastique. Si vous ne me croyez pas sur parole, prenez en compte tous ses mérites. Commençons par le plus évident. La taille. Bien sûr, certains vous diront que la taille importe peu. Vous voulez mon avis ? Ils mentent. Aucune femme ne voudrait un minuscule diamant à son doigt au lieu de trois carats. Aucune ne voudrait un billet de un dollar au lieu d’un de cent. Et aucune ne voudrait chevaucher un poney minuscule au lieu d’une queue de rock star pour un rodéo de plaisir. Pourquoi ? Parce que, plus c’est gros, mieux c’est. Le plaisir est décuplé. Demandez à n’importe quelle demoiselle qui a déjà dû prononcer ces mots redoutés : « Tu es dedans, là ? » Jamais une fille ne m’a posé cette question. Vous vous demandez sûrement : elle est grosse, oui, mais à quel point ? Voyons… Un gentleman ne révèle pas ses secrets. Je suis peut-être un dieu sous la couette, mais je reste un homme bien élevé. J’ouvre la porte aux femmes avant de leur ouvrir les cuisses. Je les aide à retirer leur manteau, je leur offre le dîner, je les traite comme des reines à l’intérieur comme à l’extérieur du lit.
Commenter  J’apprécie          20
Chapitre 4 : 10h03, au-dessus de l'Ohio :
" - Je déteste devoir faire ça, mais Rizzo emploie la manière forte à Comedy Nation, et il faut que je règle le problème.
- C'est un vrai emmerdeur, dit-elle d'une voix irritée. J'aimerais que tu lui mettes ton poing sur la gueule.
Il éclata de rire, adorant sa nature combative.
- Crois-moi, j'aimerais bien le faire.
- Alors, il faut que tu ailles à L.A. plutôt qu'à Vegas ?
Il inclina la tête en lui adressant un sourire amer.
- Pour deux petites heures. Je ne pense pas pouvoir me joindre à toi à la réunion avec Farrell, mais si tu veux absolument que j'y sois, je vais trouver un autre moment pour rencontrer Rizzo.
- Non. Je sais que Grant a besoin de ce contrat, insista-t-elle en faisant référence au client de Clay.
...
***
Quand le Cessna atterrit à Los Angeles une demi-heure plus tard, il prit son ordinateur portable et son téléphone, mais il n'arrivait pas à trouver sa cravate pourpre. Il la chercha sous les sièges, sur les sièges et même dans la salle de bains. Elle n'était nulle part, et il expédia un texto à Julia en espérant qu'elle l'ait.
Elle lui répondit qu'elle n'était ni dans ses bagages ni dans son sac et qu'elle profitait de la vue sur la Strip du balcon de la suite de luxe au dernier étage de l'Allegro.
Il était heureux qu'elle aime la chambre, mais tout à coup, son esprit se fixa de nouveau sur sa fichue cravate. Peut-être était-ce irrationnel, peut-être était-il superstitieux, mais il eut la douloureuse impression que sa chance l'avait abandonné."
Commenter  J’apprécie          10
Chapitre 1 :
"- Hammer, susurre-t-elle C’est vraiment votre nom ou est-ce une image concernant votre…
Non, non, non.
On abandonne.
Ne pas aller sur ce terrain. Ne pas jouer au jeu des synonymes coquins sur mon nom de famille avec cette Samantha qui s’apprête à faire courir ses ongles pointus le long de mon bras.
- Oh ! excusez-moi, vous avez fait tomber quelque chose ?
Je me redresse un peu en entendant cette voix familière derrière moi : humour cynique et pure innocence à la fois.
La blonde sursaute.
- Non, crache-t-elle avec un grondement. Je n’ai rien fait tomber.
- Vous êtes certaine ? ajoute la voix d’un ton sincèrement préoccupé.
Je ne peux contenir mon sourire, car je sais que la personne derrière cette voix s’apprête à faire quelque chose pour le moins de sournois.
Harper Holiday.
Rousse. Yeux bleus. Un doux visage d’ange sexy, un corps de princesse guerrière ninja et une tendance au sarcasme bien placé. Je jouerais bien au jeu des synonymes coquins, des antonymes coquins… à quoi que ce soit de coquin avec elle.
Harper apparaît derrière mon admiratrice et tend sa main ouverte.
- Parce que je suis quasiment certaine qu’il s’agit de votre alliance, dit-elle avec un air inquiet alors qu’elle exhibe une bague en or devant la blonde maintenant en colère.
- Ce n’est pas à moi, répond la femme, sur la défensive.
Tout le mielleux a disparu de sa voix.
Harper frappe son front de sa main libre.
- Oh ! mais oui, bien sûr. Vous avez rangé la vôtre il y a quelques minutes. Juste là.
Elle pointe du doigt la poche droite de la femme à travers laquelle on aperçoit la forme d’une bague. C’est exactement ce que j’avais cru remarquer dans la file d’attente. Elle avait probablement oublié qu’elle portait son bijou et a essayé de la cacher au dernier moment.
Le visage de la femme mariée se décompose.
Pincée.
- Celle-ci, continue Harper en levant l’anneau de manière à accrocher la lumière du plafond, c’est celle que je garde à portée de main pour ce genre de situation.
Tandis que Samantha tourne les talons et s’éloigne, on l’entend souffler un « salope ».
- Bonne lecture ! lui crie Harper.
Puis elle me regarde, penche la tête et me lance un regard à la Je-viens-de-te-sauver-les-miches. À la manière des fans de Mister Orgasme, elle me balance alors :
- Nick Hammer. C’est vraiment votre nom ?
Et voilà que j’espère soudainement que Serena reste dans les toilettes le plus longtemps possible."
Commenter  J’apprécie          00
Chapitre 3 :
" Puis, il vit apparaître un nouveau courriel dans sa boîte de réception. D'elle. L'objet ne révélait en rien le contenu : Salut. Mais son réflexe de Pavlov s'enclencha, et il l'ouvrit avant même de réfléchir. Parce que voir son nom lui semblait encore une bonne chose, sous-entendait encore la promesse d'un message croustillant, d'une phrase coquine ou d'un mot gentil. Mais plus que tout, il sous-entendait la promesse d'elle.

De : purplesnowglobe@gmail.com
À : cnichols@gmail.com
Date : 25 avril, 4h08
Objet : Salut

Clay,
Salut. Je suis au lit, réveillée, et je pense à hier soir. Comment, il n'y a que vingt-quatre heures, tu étais ici avec moi. À quel point c'était beaucoup mieux de dormir avec tes bras autour de moi, en sécurité et bien au chaud. À quel point j'aimerais que tut sois encore ici. Mais je sais que ça n'arrivera pas. Et je comprend. Je comprends vraiment. SI j'étais toi, je me détesterais aussi. Si j'étais toi, je serais terriblement soupçonneuse. Et je ne me ferais probablement pas confiance non plus. Alors, je saisis exactement ce que tu éprouves et j'aimerais que ce soit autrement. Je te veux tellement dans ma vie que je peux sentir cette douleur où tu es censé être. Mais je sais que je ne peux pas t'avoir et je suis désolée de ne pas pouvoir m'ouvrir à toi maintenant. Tu mérites plus que ça. Plus que moi. Je dirai seulement que c'est un gâchis, et si je pouvais remonter le temps et refaire certaines choses, il y en a beaucoup que je changerais.
Mais je ne changerais pas une seule seconde avec toi.
Wow. Je viens de relire mon message. Je pense que c'est le pire que j'aie envoyé à quiconque. Merde, tu m'as séduite, et je me suis carrément éprise de toi. Je te l'envoie pendant que j'en ai encore le courage, même si je vais probablement le regretter. Sauf que tout ça est vrai.
Xoxo
Julia

Il se prit la tête entre les mains et jura. Une vague de frustration et de désir déferla en lui, et il savait qu'il devrait éteindre son téléphone et ignorer Julia. Mais cette femme, il l'avait dans la peau. Il détestait les mensonges, mais il se mentirait s'il faisait semblant de l'avoir oubliée en une journée.

De : cnichols@gmail.com
À : purplesnowglobe@gmail.com
Date : 25 avril, 7h12
Objet : Salut

Je ne te déteste pas. Loin de là.

Il appuya sur le bouton d'envoi avant que le regret ne l'envahisse, comme il était sûr que ça se produirait."
Commenter  J’apprécie          00
Partie 1 : Première nuit :
Chapitre 3 :
" - Alors, voici. J'ai une idée de la façon dont le reste de la soirée pourrait se dérouler. Ce que je demande, c'est si elle correspond à la tienne ?
- Horizontalement ? Cette sorte de correspondance ?
Elle hocha plusieurs fois la tête.
- Je vois que nous sommes sur la même longueur d'onde. Alors, est-ce que ça signifie que tu vas coucher avec moi, ce soir ? demanda-t-elle avec un sourire pervers en le titillant avec la crudité adolescente de ses paroles.
Il craquait, et elle aussi. Julia aimait le fait qu'il puisse apprécier son humour sec et salace.
- Ouais. Je pense que je vais coucher avec toi ce soir, dit-il, puis il s'approcha d'elle avec son corps solide, éliminant l'espace entre eux tandis qu'il prenait ses joues entre ses mains et s'emparait de sa bouche en un baiser chaud et humide."
Commenter  J’apprécie          10
Chapitre 5 :
" - La femme de Vicieux n’était pas très subtile. Toutefois oui, je comprends ma langue maternelle. Ce sont les hommes, avec lesquels je suis perdue.
- Tu ne sais vraiment pas comment te comporter avec un mec ? dis-je délicatement.
Elle lève les yeux sur moi.
- Je suis magicienne, Nick. Je vais à des anniversaires d’enfants. Je travaille avec les mamans. Je ne rencontre jamais d’hommes. Simon, c’est une exception : c’est un père célibataire, ce qui est rare. Je n’ai pas la moindre connaissance en rituels de flirt et d’accouplement des mâles. J’ai presque vingt-six ans et caresser ton bras dans le parc l’été dernier pour faire une blague à mon frère est à peu près le seul geste que j’ai eu depuis des années.
J’ai horriblement envie de me pencher et de lui offrir mon bras pour qu’elle le touche encore une fois, parce que mon ego est titillé par la mention de ma personne. Puis ça me frappe de plein fouet. Le seul geste qu’elle a eu depuis des années ?
Avant qu’elle ne puisse élaborer sur sa vie sexuelle, ou plutôt son absence, une pointe de tristesse apparaît dans ses yeux bleus et elle détourne le regard.
- Sérieusement ? fais-je doucement, tandis que j’essaie d’assimiler l’énormité de ce qu’elle vient de dire. C’est l’enfer.
...
- Vas-y.
- Bon, tu es d’accord que tu m’en dois une ?
Putain, oui. Je suis plus que prêt à payer ma dette. Commençons le remboursement par un petit cunni, tu veux bien ?
- Je t’en dois même deux, si je ne me trompe pas, lui dis-je afin qu’elle n’oublie pas tout ce que je suis prêt à faire. Une première pour m’avoir sauvé des griffes de cette femme et de son dragon de mari, puis une deuxième pour m’avoir simplifié la vie avec mon patron ce soir.
Bien joué, Hammer, tu viens de gagner deux tours de manège avec la fille qui te fait fondre dernièrement.
- Parfait, me dit-elle avec un large sourire. T’es prêt ?
Vas-y, balance.
- Absolument.
Elle pose ses mains sur le comptoir.
- Tu vas être mon professeur et me donner des cours de séduction…"
Commenter  J’apprécie          00
…Je suis complètement et totalement obsédé par la volupté des femmes. « La faire décoller », voici le nom du jeu, et si un homme n’y parvient pas, il n’a qu’à déguerpir de la chambre à coucher.

Mais je suis assez humble pour admettre que je suis encore en apprentissage. Car il y a toujours quelque chose de nouveau à découvrir chez une femme.

Préfère-t-elle la version douce, hard, rapide, tendre, agressive ? Aime-t-elle plutôt les dents, les jouets, ma queue, ma langue, mes doigts ? Espère-t-elle un petit quelque chose en plus comme une plume, un vibromasseur ou peut-être la combinaison des deux ? Elles sont toutes différentes les une des autres et toutes les routes qui mènent à leur plaisir sont des aventures érotiques aux mille fantastiques détours. Je prends des notes, étudie les signaux et travaille systématiquement mon enquête de terrain.

Je suppose que ça fait de moi le Magellan de l’orgasme féminin. Un explorateur, un vrai, un intrépide et prêt à tout pour cartographier les méandres de son plaisir jusqu’à ce qu’elle pleure d’extase.

Evidemment, certains pourraient avancer que j’ai une sévère addiction. Mais est-ce réellement une mauvaise chose que d’aimer donner du plaisir à la femme avec laquelle je suis ? Si cela fait de moi quelqu’un de monomaniaque, ça me va, je plaide coupable. J’admets sans honte que, lorsque je rencontre celle qui m’attire, j’imagine dans la seconde ce à quoi elle doit ressembler quand elle jouit, quand elle crie, comment je vais le faire grimper au rideau.

Le problème, c’est qu’il y a aujourd’hui une femme avec laquelle je ne peux pas m’embarquer sur ce chemin, alors même que, dernièrement, mon esprit cherche désespérément un moyen de la rendre ivre de plaisir.
Commenter  J’apprécie          00
Lauren Blakely
Sept :
" Un baiser de Charlotte.
Dans les rues de New York.
Ses lèvres sur les miennes.
Quel goût incroyable !
Un goût de crème, de sucre, de café, de douceur. De toutes les bonnes choses du monde. Exactement comme je l'imaginais.
Attention n'allez pas croire que j'ai déjà pensé embrasser ma meilleure amie !
...
- on dirait bien que je vais jouer ta fiancée cette semaine, Barbapapa. D'ici l'achat de la bague à quatorze heures, je vais avoir besoin d'un débriefing en bonne et due forme.
Ce n'est pas la seule chose que j'aimerais débriefer à cet instant précis. Mais ça me convient aussi.
Commenter  J’apprécie          11
Chapitre :
" - Ça a été un plaisir de te connaître, dit-elle un peu sèchement, et elle se retourna pour partir.
Il lui saisit le poignet et l'attira contre lui. Merde, elle adorait la sensation de sa puissante poitrine contre la sienne. elle aimait trop ça.
- Julia, dit-il d'une voix intense, sérieuse. J'ai passé un moment extraordinaire avec toi. Je sais que ça semble dément, puisque nous vivons à chaque bout du pays, mais j'ai besoin d te revoir. Je vais t'appeler."
Commenter  J’apprécie          10
Trois :
" M. Offerman croit déjà que Charlotte est ma petite amie de longue date, et cette idée le ravit. Et si je continuais sur la lancée ? Tant que j'y suis, autant jouer le jeu à fond.
- En fait, Charlotte et moi sommes seulement amis depuis l'université.
Je marque une pause avant de lui annoncer ce qu'il a envie d'entendre.
- Mais nous avons commencé à nous fréquenter il y a un mois, et nous sommes fiancés hier soir. Quel bonheur de partager la nouvelle ici ! Charlotte est à présent ma future femme.
Harper laisse échapper sa fourchette, mon père cligne des yeux et M. Offerman s'illumine - franchement, il n'a rien à envier au sapin de Noël du Rockeffeller Center. Il jubile de se retrouver au cœur de cette famille. Lui qui pensait tomber sur un séducteur ! Voilà qu'il décroche un futur marié.
- Et je serai ravi d'être accompagné par ma superbe et brillante fiancée pour votre dîner demain, dis-je.
J'adresse un immense sourire à mon père avant de plonger dans mes œufs brouillés. Ma sœur me regarde comme si elle allait bientôt mener un contre-interrogatoire. Ce n'est que partie remise, je n'en doute pas. Mais une journée chargée m'attend, à présent.
Il ne me reste plus qu'à convaincre Charlotte que cela fait partie de notre pacte."
Commenter  J’apprécie          00

Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Lauren Blakely (549)Voir plus

Quiz Voir plus

Un quiz qui n'est pas littéraire

Parmi ces trois métaux, lequel se trouve à l’état liquide dans les conditions ambiantes ?

le manganèse
le mercure
le béryllium

10 questions
14 lecteurs ont répondu
Créer un quiz sur cet auteur
¤¤

{* *}