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Critiques de Laurent de Brunhoff (23)
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Babar à Paris

J'adore Babar. Délicieusement naïf, gentil sans être mièvre, honnête et droit sans être moralisateur.

Il plaît aux enfants et aux parents qui aiment leur donner à lire des albums de qualité.

Il a bercé mon enfance, et naturellement, quand je suis devenue maman, je l'ai fait connaître à mes enfants.

Nous avons passé des heures incalculables penchés sur les différents livres.

Leur préféré a toujours été "Babar à l'école". Un univers qui parle aux enfants, une histoire intéressante, des textes à trous très sympathiques dans lesquels certains mots sont remplacés par des dessins : amusant à lire, une grande réussite.

Quand j'ai vu que l'opération Masse critique proposait le dernier Babar, je me suis précipitée !

Quelle joie, quelques jours plus tard, de recevoir un grand paquet ! Je ne m'attendais pas à cette taille, je pensais que ce serait un petit livre, mais non, c'est un album géant : un très bel objet.

Un immense merci à Babelio et aux Éditions Hachette pour ce beau cadeau.

Babar à Paris... en souvenir. Car ce n'est pas lui qui va voyager, mais sa plus jeune fille Isabelle, à qui il donne de nombreux conseils, ayant lui-même visité cette ville.

Les conseils sont avisés, Babar connaît bien la ville, et surtout, pleins de tendresse. On sent le papa ravi pour sa fille, mais assez ému de la voir partir.

À travers les propos de Babar, le lecteur a droit a une belle visite de la capitale. Cafés, brasseries, bouquinistes, bateaux-mouches... bien des aspects de la vie parisienne sont passés en revue, le plus souvent avec beaucoup d'humour : imaginez des éléphants accrochés à la barre dans le métro ou entassés dans un ascenseur "susceptible d'être petit" !

Les dessins sont adorables, comme toujours, et je tire mon chapeau à Laurent de Brunhoff qui a tout de même l'âge respectable de quatre-vingt-douze ans. Quelle vitalité !

Moi qui ai à coeur de faire découvrir la culture aux enfants, parce que je pense que c'est primordial, je trouve cet album excellent.

À offrir à un enfant qui s'apprête à visiter Paris, et qui sera ravi de découvrir les lieus qu'il a vus dans l'album : voir les éléphants au musée de l'Orangerie en train d'admirer les Nymphéas pourra le motiver pour y aller à son tour.

À offrir à un enfant qui ne connaît pas Paris et n'a pas l'occasion d'y aller, pour qu'il puisse un peu rêver et s'imaginer la ville.

J'ai beaucoup apprécié cette promenade dans la capitale en compagnie de Babar, guide avisé. J'ai apprécié les affectueuses recommandations qu'il fait à Isabelle, jusqu'à celle de la fin : très juste, c'est tout à fait ce qu'on a envie de dire à son enfant qui part découvrir le monde.

Je ne vous en dis pas plus et vous laisse le plaisir de la découverte !

Partez à votre tour à Paris avec Babar, vous ne regretterez pas le voyage et vous apprendrez pourquoi l'une de ses filles s'appelle Flore. (Là, je sens que tous les amoureux de Babar sont remplis de curiosité... mais je ne dévoilerai rien !)

Un grand merci à Laurent de Brunhoff pour cet album attendrissant.

Pour finir, une question : pourquoi avoir changé de police d'écriture ? Pourquoi avoir abandonné l'écriture scripte qui est, pour moi, indissociable des albums de Babar et en est (était ?) l'un des charmes ?

Même si cela ne retire rien aux qualités de ce livre, je trouve ça dommage.
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Babar à Paris

Visiblement, Laurent de Brunhoff n'a aucune envie de se casser la tête, mais grand désir de continuer à faire fructifier le pécule familial, et il faut croire que l'argent que génèrent encore aujourd'hui les albums déjà édités et réédités de Babar, ainsi que tout le merchandising qui va avec, ne lui suffit plus.



Voici donc la toute dernière livraison de Babar, parfaitement indigeste et d'un manque de créativité abyssal. Comme beaucoup de monde, j'ai aimé la série toute petite, même si je ne considère pas les albums de Jean de Brunhoff comme le nec plus ultra des albums pour enfants. Mais tout de même, ça avait son charme (mon conjoint vous dira que non, mais passons). Ici, Laurent de Brunhoff se contente de reprendre le dessin très épuré de son père, sans apporter la moindre touche personnelle. Pire, l'album étant publié en très grand format, le style très basique du graphisme a tendance à mal passer.



Quant au texte et à l'histoire, ils ne présentent pas le moindre intérêt. D'ailleurs, y a t-il seulement une histoire dans ce livre où Babar se contente de donner moult conseils à sa fille Isabelle, qui va se payer un petit voyage dans la capitale française ? Comme l'a très bien dit un autre Babeliote, l'album prend des allures guide touristique, et, de mon avis, c'est complètement à côté de la plaque pour les tout petits. C'est tellement bourré de clichés qu'on croirait volontiers que Laurent de Brunhoff n'a jamais mis les pieds à Paris depuis les années cinquante et que le Paris dont Babar parle à Isabelle n'existe plus que dans la mémoire de l'auteur, ou encore dans les fantasmes, ici précieusement entretenus, de touristes en mal d'exotisme.



Babar s'avère donc décidément, avec cet album, une belle machine à fric. Une machine qui vogue sur la nostalgie des parents et et des grands-parents qui achèteront cet album pour des enfants qui n'ont que faire du Café de Flore, vu qu'ils ont environ cinq ans, et que Michel Leiris et consorts leur sont très probablement inconnus (pure hypothèse de ma part, il est vrai). Et lorsque l'on sait que l'album en question vaut 20€, on se dit qu'on va plutôt aller acheter quatre petits classiques brochés dans une collection sympa à 5€.
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Babar et ses amis à l'école et au spectacle

On trouve dans cet ouvrage deux longues histoires de Babar et ses amis.

C'est le premier "gros livre" que mes enfants ont lu, ou plutôt, que je leur ai lu.

Mes beaux-parents l'avaient offert à ma fille aînée, et il s'est révélé être un très bon intermédiaire entre les albums pour les tout-petits et les livres plus conséquents.

Un chaînon précieux et de qualité.

Dans Babar et ses amis à l'école, les enfants sont ravis de retrouver leur univers : la salle de classe, la cantine, la cour de récréation, le gymnase, sans oublier la visite médicale ou le cours de géométrie.

Le jeune public est rassuré, il est en terrain connu et retrouve ce qu'il vit lui-même au quotidien.

Enfin... pas tout à fait : ici, les écoliers sont des éléphants, des rhinocéros et des hippopotames. Ils sont tout mignons, même si Victor (le fils de Rataxès) fait beaucoup de bêtises... pas méchantes et bien drôles.

Dans Babar et ses amis au spectacle, tout le monde est mobilisé pour préparer une grande soirée à l'opéra.

Beaucoup de travail, quelques obstacles, quelques péripéties : le spectacle (ou le "pestacle" comme le disent souvent les petits) sera-t-il réussi ?

Suspense, suspense !

Est-il besoin de parler des dessins ? Non, bien sûr ! Vous connaissez tous le coup de crayon de Laurent de Brunhoff et ses personnages attendrissants.

Les textes quant à eux sont excellents.

Pleins d'humour, très bien rédigés, avec une syntaxe et un vocabulaire riches, ils permettent aux enfants de se distraire tout en apprenant.

Cerise sur le gâteau, les phrases comportent quelques mots remplacés par un dessin : j'ai le souvenir de l'air ravi de mes enfants attendant dans ma lecture le moment où j'allais laisser ma phrase en suspens et où ils disaient triomphalement le mot manquant.

Vive le roi Babar !
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Babar et le professeur Grifaton

Quand je vois passer un Babar j’ai du mal à résister - surtout les vieilles éditions, comme ici celle de 1951. Pour les charmants dessins de Laurent de Brunhoff bien-sûr, mais aussi pour le style : tendre, joliment désuèt et naïf, et pour le joli texte à l’écriture cursive.
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Babar à Paris

La plus jeune des filles de Babar, Isabelle, va partir pour Paris. Babar adore cette ville et s'y est rendu très souvent. Il propose quelques destinations incontournables dans la capitale. Au fil des pages, on voyage dans la ville pour retrouver quelques lieux cultes : les cafés de Flore et des deux magots, les brasseries, les immeubles et ascenseurs trop petits, surtout pour un éléphant, les bouquinistes, le métro, les musées, les jardins comme le Luxembourg, les théâtres...

Ce nouveau titre d'un vieux héros créé en 1931 par Jean de Brunhoff reprend du service sous la plume de Laurent, son fils, qui avait pris le relais en 1937...

On est assez loin des premiers albums qui ont fait la fortune de la famille Brunhoff et la gloire de ce célèbre éléphant. L'histoire dramatique de ce petit éléphant orphelin de mère se transforme ici en guide touristique.

Les images sont belles et l'humour discret n'est pas absent de l'album. Néanmoins, j'ai regretté l'absence de trame narrative au profit de la lecture d'un guide touristique à l'usage des plus petits. Encore que... l'intérêt de connaitre les cafés comme Les deux magots et le Café de Flore, ou l'intérêt de l'Opéra et des brasseries n'est pas indispensable pour un jeune enfant !

Heureusement, l'auteur n'oublie pas le regard enfantin : étranges sculptures au Louvre, jardins publics merveilleux et plein d'étrangetés, ascenceurs trop petits (surtout pour des éléphants !).

La conclusion est débonnaire et simple : profite des voyages, mais reviens vite à la maison à Célesteville !

Il reste un très élégant album très grand format très agréable à feuilleter avec un enfant. Pour un parent, l'explication de texte risque d'être complexe, voire fastidieuse. Je soupçonne la famille Brunhoff, installée aux Etats-Unis de longue date, d'avoir écrit un scénario à destination des seuls américains, friands de culture française et de Paris, ville éternelle. Mais je peux me tromper.

Toutefois, par la qualité de la prestation et la beauté de l'ouvrage, ce livre très élégant fera une excellente idée de cadeau de noël que les grands-parents paniqués en recherche d'originalité et dépassés par la sophistication grandissante de l'industrie du jeu, auront à coeur d'offrir à leurs petits enfants en leur rappelant que Babar était déjà, il y a très longtemps, le compagnon de leurs jeunes années !



Michelangelo 2017

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Babar à Paris

C'est un bel objet, à n'en pas douter. Papier épais bien luxueux, taille immense, et ce nom qui claque sur la couverture pour tout amateur de littérature jeunesse: Babar.



Mais ne vous y fiez pas: c'est une bouse, une bouse d'éléphant lâchée à Paris, une bouse germanopratine mais rien qu'une bouse. Un dessin fatigué, une inexistante, un livre de trop (un de plus) pour Laurent de Brunhoff qui aurait du raccrocher les crayons depuis longtemps. Il avait plus de 90 ans au moment de sa parution, doit on lui jeter la pierre? Il devait peut être payer un arriéré d'impôts, ou l'école privée suisse de son arrière petite-fille. Rejetons la faute sur son cupide éditeur qui a accepté de publier une telle infamie: Hachette, qui n'a cessé d'exploiter jusqu'à la salissure le personnage de Jean de Brunhoff. Tout Celesteville en pleure. Même Rataxès n'aurait pas osé. Ils ont ont fondu l'or de sa couronne, ils ont vendu ses défenses. Ils ont fait tapiner Babar. La maman de Babar fut tuée par le chasseur des les premières pages de l'Histoire de Babar. Il est grand temps que notre héros préféré la rejoigne au cimetière des éléphants. Nous aurons toujours les chefs d'oeuvre de Jean de Brunhoff pour nous consoler. le Roi est mort, vive le Roi Babar! Quant aux bouses, elles sont très utiles séchées puis brûlée comme combustible. Vu le prix de l'énergie en ce moment, vous savez ce qu'il vous reste à faire.

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Babar à Paris

La plus jeune des filles de Babar, Isabelle, va partir pour Paris. Babar adore cette ville et s'y est rendu très souvent. Il propose quelques destinations incontournables dans la capitale. Au fil des pages, on voyage dans la ville pour retrouver quelques lieux cultes : les cafés de Flore et des deux magots, les brasseries, les immeubles et ascenseurs trop petits, surtout pour un éléphant, les bouquinistes, le métro, les musées, les jardins comme le Luxembourg, les théâtres...

Ce nouveau titre d'un vieux héros créé en 1931 par Jean de Brunhoff reprend du service sous la plume de Laurent, son fils, qui avait pris le relais en 1937...

On est assez loin des premiers albums qui ont fait la fortune de la famille Brunhoff et la gloire de ce célèbre éléphant. L'histoire dramatique de ce petit éléphant orphelin de mère se transforme ici en guide touristique.

Les images sont belles et l'humour discret n'est pas absent de l'album. Néanmoins, j'ai regretté l'absence de trame narrative au profit de la lecture d'un guide touristique à l'usage des plus petits. Encore que... l'intérêt de connaitre les cafés comme Les deux magots et le Café de Flore, ou l'intérêt de l'Opéra et des brasseries n'est pas indispensable pour un jeune enfant !

Heureusement, l'auteur n'oublie pas le regard enfantin : étranges sculptures au Louvre, jardins publics merveilleux et plein d'étrangetés, ascenceurs trop petits (surtout pour des éléphants !).

La conclusion est débonnaire et simple : profite des voyages, mais reviens vite à la maison à Célesteville !

Il reste un très élégant album très grand format très agréable à feuilleter avec un enfant. Pour un parent, l'explication de texte risque d'être complexe, voire fastidieuse. Je soupçonne la famille Brunhoff, installée aux Etats-Unis de longue date, d'avoir écrit un scénario à destination des seuls américains, friands de culture française et de Paris, ville éternelle. Mais je peux me tromper.

Toutefois, par la qualité de la prestation et la beauté de l'ouvrage, ce livre très élégant fera une excellente idée de cadeau de noël que les grands-parents paniqués en recherche d'originalité et dépassés par la sophistication grandissante de l'industrie du jeu, auront à coeur d'offrir à leurs petits enfants en leur rappelant que Babar était déjà, il y a très longtemps, le compagnon de leurs jeunes années !



Michelangelo 2017
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Les dents de la nuit

(...) Ce recueil propose 10 nouvelles ou extraits de nouvelles écrites par des auteurs classiques et d’autres plus contemporains sur le thème des vampires. Si la qualité est à peu près égale sur l’ensemble des nouvelles pour ce qui est des intrigues, c’est la plume qui fait la différence pour moi: un Maupassant, un Gauthier ou un Tolstoï se démarquent nettement d’un Gorman ou d’un King par exemple. La richesse du style des uns me semble plus correspondre à une ambiance vampirique que la modernité des autres. J’ai été plus sensible aux textes un peu gothiques.



Si je devais élire la nouvelle la plus originale, je choisirais celle de Ray Bradbury; mais celle que j’ai préféré est celle de Tolstoï, parce que je trouve que c’est la plus proche du mythe original et que c’est ce que je recherchais avec ce livre.



Quelques points m’ont chagrinée dans ce recueil, l’essentiel étant que l’anthologiste a choisi de présenter des extraits de certaines nouvelles qui étaient trop longues à son goût au lieu de l’intégralité du texte. Sarah Cohen-Scali précise que c’est pour ne pas décourager les jeunes lecteurs qui sont la cible du recueil. Je trouve l’argument facile. Un lecteur adolescent qui va s’intéresser au sujet ne va pas se décourager parce qu’un texte a plus de pages. Et pourquoi ne pas choisir d’autres nouvelles plus courtes, si on pense que c’est un problème? Surtout que, pour avoir lu la version intégrale de La Morte amoureuse, je me rends compte que la version proposée ici est moins bonne; j’imagine que c’est le cas aussi des autres histoires tronquées et je trouve ça frustrant.



D’autre part, j’aurais apprécié que chaque nouvelle soit présentée et remise dans son contexte séparément et pas seulement brièvement dans la préface.



Pour finir, une des nouvelles n’est pas une histoire de vampires, mais de fantômes. Je me suis demandé ce qu’elle faisait là.



A noter pour les plus sensibles que les histoires proposées ici ne font pas peur 😉 Mais j’ai fortement apprécié que les histoires proposées soient de « vraies » histoires de vampires monstrueux et pas des niaiseries avec vampires pour midinettes.



Dans l’ensemble, une lecture sympathique, mais qui aurait mérité une édition plus complète. L’occasion malgré tout de (re)découvrir certains auteurs qu’on n’imaginait pas forcément se pencher sur ce thème.
Lien : https://bienvenueducotedeche..
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Serafina la girafe

La fraîcheur de l'album est intacte, tout comme l'éclat des couleurs, de l'orange, du jaune et du vert pimpants. Délaissant le trait de crayon noir rehaussé d'aquarelle qui a fait la signature de Babar au profit d'aplats de teintes vives, Laurent de Brunhoff a livré un album qui reflète une personnalité artistique différente de celle de son père.
Lien : http://www.lefigaro.fr/livre..
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Babar en Amérique

Babar, personnage important parmi les pachydermes, a été officiellement invité aux États-Unis avec ses proches. Le voilà donc parti pour un grand voyage qu'il veut à nouveau faire en ballon avec son épouse Céleste, comme pour leur lune de miel. Les mésaventures qu'ils avaient rencontré alors, ne leurs ayant pas servi de leçon, ils vont à nouveau frôler la catastrophe. Heureusement, ils seront recueillis par le paquebot où justement, le prudent Cornelius (le plus sage des vieux éléphants), accompagné du jeune Arthur, faisaient eux le voyage.

Ils arrivent donc tous à bon port où une foule de journalistes les attend afin de photographier le célèbre Babar.

(parution en 1965)

Cet album a été suivi par ''Babar à New York'' en 1966
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La Fête de Célesteville

Très bonne idée de Laurent de Brunhoff pour cet album... Pour la fête de Célesteville, Babar organise une exposition universelle. Un pavillon est réservé à chaque tribu d'animaux. Chaque peuple a le sien. Les singes, les rhinocéros, les lions, les girafes... ils sont tous là et c'est l'occasion de croiser des personnages que l'on a rencontré dans d'autres albums, comme par exemple, Rataxés, le roi des rhinocéros les ennemis jurés du peuple de Babar.

Mais que l'on se rassure, ici, tout se passera bien...

(album paru en 1948)
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Babar et le fantôme

Babar et sa famille passent la nuit dans le Château Noir, après avoir été piégés par le mauvais temps. Pendant la nuit, les enfants font faire une rencontre extraordinaire...

Une aventure que mes enfants m'ont demandé de leur relire mainte et mainte fois. Le charme un brin désuet de Babar fait qu'on a envie de le conserver toute sa vie.
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Les chats de la tour Eiffel

En France c'est la catastrophe, tout le gouvernement est sur le pied de guerre pour combattre une espèce invasive qui s'est installée sous la mythique tour Eiffel. Ces squatteurs détournent les touristes de l'indispensable découverte des monuments historiques, ce qui est un comble au pays du patrimoine roi. Le président, sa mère, les ministres et une tripoté de conseillés vont devoir réfléchir à une solution... L'inspecteur Croûton, armé de son redoutable "pouvoir de déduction", va mener l'enquête pour trouver la cause de ce problème, et surtout le résoudre ! Une fable datée de 1967 qui n'a pas pris une ride !
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Les dents de la nuit

L'histoire de ce récit sur le thème des vampires est originales car les personnages sont intéressant .

L'auteur cherche a effrayer et émouvoir le lecteur. Dans ce roman les personnages principaux sont : Grandma , Dracula et Douglas . Il y a de longues description qui font avancer la lecture . Le récit est effrayant , étonnant mouvemente surprenant . Dans ce livre le passage qui m'a passionne est l introduction parce-que le narrateur précise la cadre spatiaux temporel et décrit le personnage principal .

Il permet de s’évader grâce au fantastique
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Pique-nique chez Babar

Un album franchement... décalé.

L'histoire pourrait être sympathique et drôle si les sauvages n'étaient pas des "nègres plutôt stupides". Zéphir, le singe, joue aux échecs, Babar conduit une automobile, mais les sauvages, eux s'enfuient en criant "Houla ! Houla la !" Drôle d'époque tout de même.
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Babar à Paris

Je remercie Babelio et les éditions Hachette pour l'envoi de ce livre, il m'a rappelé mon enfance et c'est avec grand plaisir que je l'ai lu.

La plus jeune fille de Babar doit se rendre à Paris et Babar lui donne des conseils sur ce qu'il faut aller voir et ce à quoi il faut faire attention. Une jolie façon de faire découvrir Paris aux plus jeunes.

J'ai beaucoup apprécié le charme désuet de cet ouvrage, mais il est possible que les jeunes d'aujourd'hui préfèrent des dessins aux couleurs plus vives. Personnellement, j'ai adoré le dessin représentant les éléphants se tenant aux barres du métro avec leurs trompes.

Un joli cadeau de Noël pour les plus jeunes et de beaux souvenirs pour leurs parents et leurs grands-parents.
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Les dents de la nuit

J'ai trouvé sympathique d'avoir ce petit panel de nouvelles sur le thème des vampires, qui permet de couvrir un large horizon des interprétations et visions de ces créatures fantastiques... J'ai aussi et surtout aimé que cela soit articulé autour de la sortie de Dracula de BS, qui est le livre ayant vulgarisé ce mythe.



Il y a bien entendu des nouvelles que j'ai aimé, un peu, beaucoup et d'autres moins...

Le principe même d'un recueil de nouvelles quoi!!!
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Les Vacances de Zéphir

La princesse Isabelle est enlevée alors que Zéphir est parti pêché. Lorsqu'il revient et apprend la mauvaise nouvelle, il emporte ce qu'il a de plus précieux et part à sa recherche aidé d'Eléonore une sirène.

Mon enfant a aimé, moi, beaucoup moins.
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La Fête de Célesteville

Je n'avais pas encore eu l'occasion de lire un Babar à mes petites-filles, c'est chose faite et bien appréciée. (Même si elles en connaissaient déjà)



Très grand album aux illustrations foisonnant de détails, à regarder de près.

Permet aussi d'aborder le thème des expositions universelles, avec ses pavillons des divers pays.

Babar, intemporel !
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Babar : Coup de foudre aux jeux olympiques ..

Celesteville s'est tellement agrandie qu'elle accueille dans cet album les jeux olympiques. L'occasion pour les grands enfants de Babar de découvrir des athlètes de tout pays et de toute culture dont un qui ne va pas laisser de marbre Flore très longtemps.



Je ne suis pas une très grande fan de Babar et même si ses sujets adoptent dans cet album les technologies les plus modernes : smartphone et web cam, je trouve l'univers de ces personnages toujours aussi désuet.



Mais bon, il faut admettre que cet album grand format, aux couleurs pastel et son récit en écriture cursive éveille le désir de lire de mon apprentie-lectrice de 5ans1/2. N'est-ce pas là l'essentiel ?
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