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Citations de Laurie Faria Stolarz (51)


"On ne croise pas tous les jours des gens prêts à se battre pour défendre leurs valeurs, qu'ils en tirent ou non un avantage..."
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"On dit que les poètes nourrissent l'âme."
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Ce n'est pas le sort qui n'est pas à la hauteur de la sorcière, c'est la sorcière qui n'est pas à la hauteur du sort.
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"Personnellement, j'ai arrêté de me demander comment Amanda sait les choses, a affirmé Callie. Elle sait, c'est tout."
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- Considère cet appel comme un avertissement.
Sa voix est douce et grave.
- Un avertissement contre quoi?
- Il te suffit d'être gentille. Tu veux bien être gentille?
J'ouvre la bouche pour répondre mais rien ne sort. Je raccorhce. Il fait de même et je peux enfin composer le *69. Le numéro de l'appelant est bloqué.
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Et soudain j'ai l'impression d'avoir été parachutée en plein tournage de Vendredi 13, et que d'un moment à l'autre une lame de quinze centimètres va s'abattre par la fenêtre.
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Chapitre 8, page 52

Drea, énervée contre Chad pour une raison inconnue, nous voit, Amber et moi, nous diriger vers La Coquille Coquine et décide de se joindre à nous.
- Qu'est-ce qu'il a fait ? se renseigne Amber. Il a oublié de s'extasier sur ton bronzage ?
- Je n'ai pas envie d'en parler.
- Parce que j'ai raison ?
- Parce que je refuse d'évoquer ma relation adulte avec une fillette qui en est encore à craquer pour des héros de bandes dessinées.
Drea se tait pour regarder le short de bain Superwoman d'Amber et l'énorme S jaune qui lui barre la poitrine.
- Et c'est la fille qui boude pour obtenir ses quatre volontés qui me dit ça !
- Vous pourriez arrêter, toutes les deux ? Je passe une sale journée et votre énergie négative me déglingue encore plus.
- Pourquoi ? Que s'est-il passé ? me questionne Drea.
- Je n'ai vraiment pas envie d'en discuter maintenant. Plus tard, d'accord ?
- J'en connais une qui est en plein syndrome prémenstruel, observe Amber.
- Un peu de compréhension, c'est trop demander ?
- Je parlais de moi, précise-t-elle.
J'inspire un grand coup.
- Bon, écoutez, on va dire que moi je fais l'accompagnatrice de la sortie de classe à La Coquille Coquine, et que vous, vous avez interêt à bien vous tenir, sinon vous devez attendre dans le car.
- On aurait dû y aller en car. (Amber se met à traîner les pieds comme si elle avait des poids accrochés aux chevilles.) Jamais vu un sable aussi lourd. C'est beaucoup trop fatigant pour les jambes.
- Tu aurais peut-être dû éviter de trimballer ton play-boy sur ton dos.
- Qu'est-ce que j'entends ? Ces cannes de serin ont soulevé un étudiant de quatre-vingt-dix kilos ? s'étonne Drea.
- Tu pourrais t'intérresser un peu moins à mon absence de muscles et un peu plus à ta cellulite, rétorque Amber avec un coup d'oeil vers ses cuisses.
- Pardon ?
- Tu m'a bien entendue.
Drea s'arrête net et se met à onduler des hanches.
- Je te mets au défi de trouver un gramme de cellulite.
- Drea, dis-je tout en me déplaçant pour cacher la vue à un pépé qui s'intéresse sérieusement à son derrière. (il fouille d'ailleurs dans son sac de plage à la recherche de ses lunettes.) Sois un peu raisonnable. Tu sais bien qu'elle plaisante.
- C'est vrai, ça ? demande-t-elle à Amber en plissant les lèvres pour bouder.
Amber hausse les épaules, jette encore un regard aigu en direction de ses fesses, et arrondit un sourcil.
- Qu'est-ce que vous pouvez être vaches l'une avec l'autre, dis-je. Parfois je ne comprends même pas comment vous arrivez à rester amies.
- Oh, t'en fais pas, Lucy: on est vaches avec toi aussi, me répond Amber. J'espère que tu ne te sens pas exclue.
- Malheureusement, non.
- Mais mes piques verbales ne sont trempées que dans l'amour, tu sais ? poursuit-elle.
- Dans l'amour ?
- Mais oui, tu sais bien que ce n'est pas méchant.
Elle me claque une grosse bise sur la loue, puis se retourne pour faire la même chose à Drea.
- C'est vrai, quoi ! Je vous aime, les filles, c'est ma manière de le montrer.
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Fermez les yeux et répétez avec moi, dis-je, sentant la chaleur de leurs mains envelopper les miennes. Au secret.
Au secret, dit Drea.
Au secret, répète Amber.
Et à l'honnêteté, et au courage.
Et à l'honnêteté et au courage, répètent-elles chacune à son tour.
Ou la mort nous séparera sûrement.
Ou la mort nous séparera sûrement, dit Drea.
Ou la mort nous séparera sûrement, hoquette Amber.
Nous ouvrons les paupières pour nous regarder au fond des yeux, plusieurs secondes chacune, sans dire un mot, puis nous retirons nos mains.
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J'en arrive à me demander si je ne suis pas une de ces bêtasses dans les films d'horreur, celle qui ne cesse de trébucher sur ses talons hauts alors même qu'elle essaie d'échapper à un tueur en série.
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"- Toucher n'est pas forcément douloureux, lui dis-je."
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"Il pose ses mains sur mes avant-bras puis remonte jusqu'aux épaules.
Mon estomac se noue ; mon sang se fige. Ben me caresse la joue.
Je ferme les yeux. Je sens ses doigts se poser sur le creux de mon cou. Il me tire vers lui. Ma joue se cale contre son menton.
-Détends-toi, chuchote-t-il.
Ensuite, il m'embrasse. Il passe ses mains pleines de terre sous mon tee-shirt et les plaque sur mon dos. Je me sens fondre à l'intérieur
Je prends le visage de Ben entre mes mains et l'embrasse à mon tour. Il m'agrippe de nouveau les bras, me serre les poignets, ce qui envoie des petites pulsations électriques dans mon corps.
-Tu me dis si tu trouves ça trop intense, dis-je.
Il fait signe que non. Poussant la planche en bois, il me soulève puis me pose sur la table. Ses hanches viennent frôler mes cuisses."
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Ce qui me surprend, c'est qu'il admette qu'il y pense, ce qui est tout à fait diffèrent. Donc, il veut que je sache qu'il y pense.
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Chapitre 9, page 62

Ecoute, dis-je en me penchant vers elle, il va t'arriver quelque chose d'important, quelque chose qui pourrait être... pas vraiment agréable. Donc, si ça ne te dérange pas - et même si ça te dérange, d'ailleurs -, je vais te surveiller.
-Super ! s'exclame-t-elle avec un grand sourire. Ce sera marrant d'être ensemble. Ca peut être vraiment barbant, les vacances ici.
-Qui veut des beignets d'oignons ?
Amber interrompt ce moment de gêne en posant bruyamment son plateau sur la table. Il disparaît sous une montagne de nourriture, à peu près toutes les cochonneries meurtrières pour les artères que peut offrir le restau aujourd'hui : palourdes frites, beignets d'oignons, quelques saucisses et quatre Chocolicious géants.
-Comme je n'arrivais pas à me décider, j'ai commandé une portion de tout ce qui me faisait envie. (Elle nous distribue les boissons.) Alors, qu'est-ce que j'ai raté ?
-Lucy essayait de parler à Clara de ses cauchemars qui se réalisent.
-Ah oui, dit Amber en pointant un beignet d'oignons vers la fille. Tu ferais bien de l'écouter, sinon tu ne vas pas tarder à bouffer les pissenlits par la racine.
-Amber !
-La reine pour mettre les gens à l'aise, tu disais ? soupire Drea.
-Goûtez, poursuivit Amber, totalement inconsciente de son manque de subtilité, en se remplissant la bouche de palourdes frites. Je les trouve un peu sableuses.
Clara en prend une et mâche avec appétit. Je ne saurais dire si elle était nerveuse, si elle était affamée ou si elle cherchait simplement à faire diversion.
-Alors, qu'est-ce que tu en penses ? lui demanda Amber.
-Des palourdes ?
-De tout.
-Je vote pour ne rien penser, répondit-elle en reprenant une palourde.
-Enfin ! se réjouit Amber. Quelqu'un qui voit les choses comme moi.
-C'est rassurant, ironise Drea en attrapant un beignet d'oignons.
Je me sers, moi aussi, en victuailles graisseuses. Une petite page de futilité nous fera peut-être du bien... du moins pour le moment.
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Chapitre 9, page 59

Clara semble absolument ravie de nous voir la rejoindre à sa table. Je crois que son sourire ne pourrait pas être plus large ni plus contagieux. Assise au bout du banc, elle sautille sur place de joie.
Alors, comment lui annoncer ce que j'ai à lui dire ?
-Je suis hyper-contente de vous voir, les filles ! s'exclame-t-elle, rayonnante. Vous mangez ? Je peux vous offrir un café frappé, des frittes ?
-De la bouffe gratuite ? s'enthousiasme Amber en scrutant l'ardoise du menu. Je suis à fond pour. Je vais prendre un Chocolicious géant et une mégaportion de beignets d'oignons, s'il vous plaît.
-Va te les chercher toi-même, la rembarre Drea.
-Tiens tiens, la reine des garces est de retour. Pas étonnant que Chad et toi soyez en froid.
-Je n'ai jamais dit qu'on était en froid. On s'est juste un peu disputés.
-Ah bon, c'est vrai ? s'enquiert Clara en équarquillant les yeux. C'est le blond, c'est ça ? Il est trop mignon.
-Euh... merci, lui répond Drea en fronçant les sourcils devant ce compliment. je suis sûre qu'il sera tout prêt à s'excuser quand j'irai le retrouver.
-Bref...
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On se croirait dans un mauvais film d'horreur ou un truc comme ça. Je me sens dans la peau de...c'était qui déjà, la fille dans le premier Halloween ?
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-Au fait ,Chad, fait-elle, c'est trop mignon ce mail que tu m'as envoyé.
-Quel mail ? dit-il avec un grand sourire.
-La comptine ? "La maison que Jack a bâtie " ? Tellement adorable.
-Je ne vois pas de quoi tu parles.
-Ne sois pas gêné. Lucy l'a vu, et j'ai transféré le lien à Amber. Je n'ai pu résister. Trop , trop mignon.
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La neige tombe en cascade sur moi, vient se poser sur ma langue, sur le bout de mon nez, au sommet de ma tête. Je prie de tout mon cœur pour que quelque part, où qu'il soit, Jacob fasse de même.
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Avec l'honnêteté vient la force.
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J'opine, sachant que Jacob et moi sommes destinés à être ensemble, que rien - ni le temps, ni l'espace, ni l'amnésie - ne nous séparera plus jamais.
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Je passe les doigts sur mes lèvres, où s'attarde un picotement, pleine de l'espoir que mon rêve soit un présage de ce qui nous attend.
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