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Citations de Lee Lozowick (131)


Essentiellement, il s'agit d'être conscient. Cela ne signifie pas que quelqu'un qui est conscient ne va pas de temps à autre manifester une tendance ou une activité névrotique. Si vous êtes coincée dans une stratégie d'évitement mais que vous en êtes consciente, vous acceptez complètement dans l'instant ce que vous constatez. La clef pour accepter ce qui est ici et maintenant, c'est ici et maintenant. Le fait que vous soyez coincée dans une stratégie d'évitement n'implique en rien que vous le soyez pour toujours. Mais si c'est ce qui est ici et maintenant, cela doit être vu et accepté clairement dans l'instant. Voir clairement, c'est être conscient, et ce n'est pas simplement voir ce qui est apparent, en surface. S'il y a stratégie d'évitement, il y a aussi la raison sous-jacente à cette stratégie, la raison pour laquelle vous pensez qu'elle est nécessaire. Quand on voit quelque chose clairement et complètement, il y a alors une liberté pour que cela puisse se transformer. Mais si la vision n'est que partielle, on ne peut pas passer à un autre stade. Dans le travail sur l'inconscient, quand on arrive véritablement à la source d'une certaine manifestation et quand celle-ci est vue très clairement, la manifestation en question n'a plus de pouvoir. Mais si nous n'allons qu'à mi-chemin, cette tendance continue à nous manipuler et à nous contrôler.
Swâmi Prajnânpad disait : « C'est au-dessous de ma dignité » de faire telle ou telle chose. Pour lui, tout être humain avait donc une dignité et une noblesse intrinsèques.
p. 34
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… quand nous sommes toujours dans le personnage primaire, nous pouvons seulement ressentir l'intensité de notre séparation. Souvent, cela peut donner lieu à des émotions de chagrin, de frustration, de solitude. Donc, d'un côté notre réponse à cela est authentique, c'est-à-dire que c'est ce que nous ressentons maintenant, dans l'instant, et, en même temps, du fait que ce caractère primate est intrinsèquement séparé, il y a toujours une réaction qui s'ensuit, au lieu qu'il y ait une résolution.
La différence entre le personnage du primate et le personnage du Travail est donc une différence de perspective. Le contexte dans lequel le personnage primaire expérimente toute chose — y compris l'expérience de l'unité, de l'union — est celui de la séparation.
p. 31
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Alors, en définitive, toute une vie de pratique ça mène à quoi ? Eh bien à être un compagnon ou une compagne intègre, à être un parent intègre, à être un professionnel intègre et juste dans son travail et à ne plus être manipulé comme un pantin par les dérangements qui perturbent les hommes et les femmes ordinaires n’ont pas pratiqué. On en arrive à être intérieurement serein et cela n’a pas de prix. Il s’agit donc seulement de pratiquer d'instant en instant.
p. 104
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Si le mental résiste et que nous sommes un avec cette résistance, il n’y a plus de conflit. Pour qu’il y ait conflit, il faut qu’il y ait un agresseur et quelqu’un qui s'oppose à cette agression. Si nous sommes un avec l'agression, il n’y a plus de victime ni de lutte. Et que se passe-t-il s’il n’y a personne contre qui combattre ? Le mental cesse de s'opposer parce que ce qui le poussait à continuer c’était la résistance à la résistance.
Nous devons donc pratiquer toujours et pas seulement à l'ashram où notre pratique est encouragée par la présence du maître, par l'enthousiasme de la sangha, par la sainteté du lieu. Nous devons pratiquer là où nous sommes, au boulot, dans notre famille, quand nous nous inquiétons des factures que nous n’ allons pas pouvoir payer, quand nous sommes en plein trafic urbain et que c’est pénible. Si on pratique avec cohérence et persévérance, on construit une force dans ce domaine et peu à peu cet aspect devient dominant et la pratique finit par se présenter spontanément. On n’est plus obligé alors de chercher à se souvenir, cela devient naturel.
p. 101
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À chaque instant de notre existence, nous avons l’opportunité d’entrer en contact avec ce qui n’est pas limité par les lois ordinaires de la physique ou du mental, ni par la rigidité de la pensée et de la psychologie ou la mécanicité de nos schémas d’habitudes, et c’est cela qui fait que la vie est la vie.
p. 66
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Un adulte, même capable d'une grande considération envers les enfants, peut constituer un facteur de danger pour leur développement harmonieux s'il est, dans son être même, plein de déni, de sadisme, d'égocentrisme et de fausse piété.
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C'est en vivant avec des adultes épanouis que les enfants deviennent à leur tour des adultes épanouis, pas en se faisant bourrer leur petite tête de principes moraux par des hypocrites bien intentionnés mais inconscients.
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Gilles Farcet dans l'Avant-Propos de "OUI, et Alors ?" (dialogues avec Arnaud Desjardins) :
...
Plus profond encore demeure le pressentiment de ce que pourrait être l'intimité vraie. Au fil de ses nombreux séminaires, Lee s’est fait dans le monde francophone une réputation de « guru iconoclaste », de provocateur impénitent, d'instructeur vaguement sulfureux, pitre pour les uns, joyau de sagesse pour les autres. . . Tout cela ne relève que de la surface. L'intime vérité de Lee est sans doute celle d’un cœur brisé. Brisé par la vie, par la tragédie et la beauté de cette existence et surtout brisé par son maître, le mendiant fou de Tiruvanamalaï, Yogi Ramsuratkumar qui, comme son disciple, cachait sous une façade pour le moins déconcertante un abîme de sagesse.
Sans doute est-ce au travers de ses « poèmes d’un cœur brisé » - à ce jour non traduits en français — que Lee se dévoile le plus. Adressés pendant plus d’une décennie à son maître, ces textes qui n'auraient jamais été publiés sans la demande insistante de leur destinataire parlent la langue d’un amour qui brûle les ponts derrière lui. Ils disent l’audace d’une intimité radicale devenue pour Lee le noyau de toute relation. « Si vous avez réussi à aimer vraiment ne serait-ce qu’un seul être humain, votre vie n’aura pas été vaine » affirme-t-il en substance.
En ceux qui se laissent toucher par ce qu’il est, Lee instille le virus de l'intimité vraie, la volonté déraisonnable de parvenir, au travers des réactions, rejets, stratégies égoïques et camouflages habituels, à aimer son prochain, à commencer par les plus proches puisque, comme il le dirait encore, il est plus facile de se montrer très humain envers la caissière du supermarché qu’envers sa femme ou ses enfants. Il donne à sentir que la spiritualité vivante est une alchimie dont le creuset se nomme intimité.
L'intimité ne naît pas de la coexistence plus ou moins pacifique de deux ego mais d’un effacement de la revendication personnelle conduisant à la communion.
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Rencontrer le maître spirituel, c'est se confronter à la réalité telle qu'elle est, sans égards pour les contraintes provenant de formes sociales vides et pour les idées souvent dérisoires de ce qui est convenable ou qui fait bien dans le décor. De même, l'instructeur se dresse hautement face à l'ego, pour lequel il est dangereux, car l'ego se reconnaît une autorité, et ce faisant, corrompt la connaissance plus profonde du cœur et de l'âme. La confrontation au maître n'est rien de moins qu'un chemin direct pour accéder aux recoins de l'être les plus profonds, à la connaissance intime de soi. En ce sens, l'instructeur est comme un ouragan qui fait rage, mais avec la puissance et la dynamique d'une vraie et rare lucidité.
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Des véritables profondeurs de l'ombre naissent les révéla­tions et la guérison. C'est en y descendant que l'on découvre ses propres potentiels de guérison. On peut alors réintégrer ces aspects à la totalité. Par un processus de démembrement et de mort psychique, une porte s'ouvre sur la vacuité des mondes souterrains. S'ensuit une union avec la forme originelle.
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Je ne me délecte que dans la joie de mon propre amour jaillissant.
En amour il n'y a pas de séparation, il n'y a que rencontre. Je me réjouis donc en chants et en danses avec chacun et avec tous.
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Gurdjieff dit que nous avons plusieurs “je”. Chacun de ces “je” se croit autonome et cherche à contrôler et à dominer. Chacun d'eux est comme un organisme vivant qui veut essentiellement survivre. C'est ce qui nous empêche d'être unifiés. C'est ce qui nous sépare de notre union avec “Dieu”. Nous nous identifions à tous ces “je”. À un moment donné, nous nous identifions à l'un d'eux et, la minute suivante, à l'autre. Le maître ne s'identifie à aucun des “je” qui montent. Il n'est pas une entité limitée et contenue. Il est diffus. Il n'est rien ni personne. Ou il est tout et chacun. Il n'y a donc personne pour s'identifier avec tous ces “je” mais les “je” se présentent encore. Ils sont disposés autour de son organisme physique formant une sorte de petit système solaire parce que ce système psycho-physique existe. Ce n'est pas une illusion. C'est quelque chose de réel. Et cela n'a pas une signification. Rien dans l'univers n'a de signification sinon celle que nous lui donnons. Mais c'est entièrement réel. Il arrive que certaines lois physiques s'appliquent à ça (Lee se désigne lui-même) de la même manière que certaines lois scientifiques s'appliquent aux bananes, aux grenouilles ou à la lune. Nous prenons ces lois physiques qui s'appliquent à ça (Lee se désigne à nouveau) et nous les personnalisons, comme si ces lois étaient « nous ». Le maître ne le fait pas. C'est toute la différence.
Il n'y a aucune loi dans l'univers qui dise que nous devons ne jamais être en colère. Que faire quand vous êtes en colère ? Rien. Rien. Rien. Rien. Rien. Ne faites rien. Laissez la vie se déployer comme elle veut. Parce que la vie est fondamentalement bénéfique et va dans le sens de l'évolution.
p. 241
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« Au fait, quel est le problème », Lee Lozowick, Éditions La Table Ronde© 2005
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Le corps n'a pas besoin de temps pour traiter quoi que ce soit, il répond instantanément.
C'est à cela que nous nous confrontons quand nous essayons d'être vigilants. Nous sommes toujours en dehors du moment parce que ce qui en nous essaye d'être vigilant doit traiter des données, doit traiter l'information. Nous ne sommes jamais au point. Le temps de percevoir de quoi il s'agit, c'est déjà fini. Nous devons considérer cette intention de vigilance comme une fonction du corps et non pas comme une fonction de l'esprit. Quand le corps est vigilant, ce qui est présent — et qui peut aller de l'inconscience la plus totale à une conscience vaste et éclairée — est accepté tel que c'est, dans l'instant.
Un maître est un être réalisé. Cela ne signifie pas qu'il ne trébuche jamais en descendant les escaliers ou qu'il ne lâche jamais un objet qu'il tient dans ses mains. Nous pensons que, si quelqu'un est réalisé, il ne peut pas trébucher : il devrait être plus conscient, plus attentif. Or, une personne réalisée n'a pas à faire attention : quelle que soit sa condition naturelle du moment, elle lui convient. L'illumination implique qu'il n'y a pas de tension entre l'esprit et l'activité, c'est simplement cela.
p. 240 - 41
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LEE : Oui, parfois, quand nous avons des enfants, ils exigent tellement d'attention qu'il nous est très facile de ne pas voir tout ce dont il faudra aussi nous occuper par rap-port à nous-mêmes. Et ensuite, quand les enfants partent, on est seul avec soi-même.
p. 226
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Quand je parle de ma relation à Yogi Ramsuratkumar, j'utilise un certain vocabulaire. Et le degré de ma transparence à ses bénédictions est le degré de ma réceptivité à sa transmission. Donc, plus Lee Lozowick, avec toutes ses caractéristiques, son inconscient, sa névrose, etc., est laissé de côté, plus la transmission de Yogi Ramsuratkumar peut se faire de manière transparente et fluide. La grâce est toujours en train de couler, la bénédiction se transmet toujours, vingt-quatre heures sur vingt-quatre, quelles que soient les circonstances. Quand la transmission se fait à travers un être humain, elle peut être — et est souvent — compromise ou teintée à différents degrés. Si le véhicule de la transmission est complètement purifié, c'est-à-dire que le labyrinthe psychologique, les interférences personnelles sont complètement remises à leur place, alors la transmission se fait de manière totalement fluide. Par conséquent, il ne peut pas se produire d'abus, de blessures, il n'y a rien qui puisse interférer avec la transmission entre le maître et l'élève. Mais elle peut être compromise par le moindre aspect inconscient à l’œuvre dans le véhicule humain. On pourrait traduire cela en vocabulaire psychologique contemporain. Si, d'une manière ou d'une autre, il y a un déni en nous, s'il y a une part que nous n'avons pas vue et que nous n'avons pas acceptée, au sens objectif de ces deux mots, c'est précisément cet aspect, qu'il ait à voir avec le sexe, l'argent, le pouvoir, la violence ou autre chose, qui rendra le véhicule humain non fiable. Il ne sera plus complètement digne de confiance. Par les temps qui courent, c'est une situation extrêmement courante. C'est le Nouvel Âge ! Tout le monde s'imagine que l'illumination est quelque chose de très commun, que l'on peut trouver au coin de la rue.
p. 203 – 204
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Si un être humain a une intégrité très élevée (...), il n'agira jamais d'une manière qui puisse manifester de l'égocentrisme qui puisse blesser les autres.

Nous pouvons bien sûr voir le maître sous deux aspects : humain et divin. Si nous sommes vraiment reliés à un maître humain, nous pouvons percevoir dans sa forme humaine des aspects qui sont très utiles, très agréables et charmants. Mais le danger, c'est de ne jamais voir au-delà de la forme humaine. Parce que même si le maître ne manifeste apparemment aucune faiblesse particulière, tôt ou tard, nous allons bien trouver quelque chose. La confiance profonde est irrémédiablement reliée au fait de percevoir la nature de transmission du maître — comment il est essentiellement un outil de transmission —, et non pas seulement projeter sur lui le vieux sage, l'homme très honnête, etc., car cela, c'est la vision dualiste des choses.
p. 203
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… la cruauté des êtres humains les uns envers les autres, c'est inexcusable et inacceptable.
...
D'un certain point de vue, il existe donc beaucoup de choses qui sont insupportables, du moins dans les catégories de l'espace et du temps qui constituent notre monde habituel. Mais nous pouvons réfléchir à partir d'une autre perspective selon laquelle nous subissons en fait les conséquences d'actes passés et que, quoi qu'il arrive au corps, même si c'est inhumain, douloureux, insupportable, l'âme ou l'esprit reste sans tache, pur, indestructible, de sorte que rien de ce qui arrive dans le monde ordinaire ne peut atteindre cette individuation essentielle que nous sommes chacun. Par conséquent, tout cela concerne vraiment la distinction entre l'unité et la dualité, ou ce qui est multiple.
Est-ce que cela peut vous aider en quoi que ce soit ? (Silence.) Ce n'est pas une question politique, sociale ou morale, ni même une question d'éthique. “Dieu” n'est pas un individu qui fait des choses à d'autres individus. Quiconque veut comprendre cette phrase ne peut donc pas le faire d'un point de vue dualiste. Tant qu'on reste dans cette perspective, on peut plus ou moins se satisfaire de certaines explications mais, en pratique, il est impossible de comprendre réellement.
p. 200
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Il faut pratiquer maintenant afin de ne pas nous écrouler quand le maître sera mort. La douleur est une réponse humaine tout à fait normale quand une personne que nous aimons disparaît. Le chagrin suit son cours naturel, ensuite c'est terminé, on va de l'avant. C'est un peu comme dans la Bhagavad Gîta quand Krishna poussait Arjuna à aller combattre, en sachant très bien que certaines des personnes qu'il tuerait seraient des amis proches, des parents. Voyez la nature de la réalité et ensuite allez combattre ! Un certain nombre de personnes ici ont une pratique forte, peut-être seront-elles déstabilisées pendant quelque temps et puis elles reviendront à la pratique. Mais il y a certaines personnes pour qui le doute et la confusion seront plus forts que la dynamique de la pratique et celles-là partiront. Il y a d'autres écoles spirituelles qui sont bien mais il n'y en a pas tant que ça.
p. 198
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Vous venez ici pour faire un séjour, vous avez donc l'intention de vous consacrer véritablement à votre pratique. Or, une partie de la réponse à votre question, c'est : « Qu'est-ce que nous emmenons avec nous quand nous quittons Hauteville ? » Parce que si nous venons ici une fois par an et que nous n'emmenons rien avec nous que nous puissions appliquer à l'extérieur, alors nous passons complètement à côté de l'essentiel. Donc, qu'est-ce qui va permettre de bâtir une matrice pour la pratique, de telle sorte que nous puissions avoir l'énergie et la force pour accomplir ce qui doit être accompli ? Et, ensuite, quelles sont les caractéristiques que nous pouvons appliquer à notre existence qui optimiseront notre possibilité de comprendre, d'intégrer véritablement cette pratique de l'acceptation de ce qui est ici et maintenant ? Je parle d'une compréhension par l'expérience directe et pas simplement d'une compréhension purement intellectuelle.
p. 182
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Enfin, néanmoins vous me rappelez certains élèves que j'ai eus au tout début de mon enseignement, qui avaient beaucoup lu, qui connaissaient beaucoup de choses sur les différentes voies et les données du chemin. C'était très sympathique à l'époque parce qu'ils étaient tous plus intelligents que moi et je me disais : « Ah ah, ils sont tous plus intelligents que moi et pourtant c'est moi le guru ! » Mais, en fait, beaucoup d'entre eux ont fini par quitter le chemin précisément parce qu'ils étaient plus futés que moi. Au bout d'un moment, je n'ai plus rien eu à leur dire qu'ils ne sachent déjà. Quand c'est arrivé, ils ont été obligés d'aller chercher ailleurs, mais aucun d'entre eux n'est allé voir un autre maître, ils sont tous retournés à leurs livres. Donc, faites attention à ne pas remplacer la relation au guru par une connaissance purement intellectuelle. J'aime bien lire aussi et accumuler des informations, je peux donc tout à fait comprendre cet amour de la connaissance.
Qu'y a-t-il à dire par rapport aux mantras ? Eh bien, si Arnaud est votre maître et qu'il vous donne un mantra, très bien, sinon ça n'a aucun intérêt. Ou vous allez voir un Tibétain et il vous donne un mantra. Les “bouddhistes adorent en donner”, parce qu'ils veulent que tout le monde soit bouddhiste dans sa prochaine vie. OK ? Merci.
p. 173
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