Loïc Le Pallec

Merci à Babelio et Sarbacane pour l'envoi de Fréquence Oregon !



J’avais juste hâte que ce roman arrive dans ma boîte aux lettres. Entre deux BD pour le boulot, j’ai fini par m’y mettre, et je l’ai dévoré. Fréquence Oregon, ça se lit bien et ça se lit vite. Toutefois, je suis très partagée sur cette dernière sortie d’Exprim’.



La première partie est très intéressante. Nous découvrons le personnage d’Alta Luna, protagoniste et narratrice, ainsi que ses amis : Jonas, Gaspard et Seven. Chacun a sa petite particularité, sa personnalité. Mais c’est surtout Alta Luna qui nous intéresse, qui est toute en nuances, contrairement à son entourage qui pourrait paraître un peu caricatural, entre le sidekick geek rigolo et le grand balèze plein de bienveillance. Je ne dis pas que je n’aime pas leurs personnalités, juste qu’elles manquent un peu de détails…



Ce qui n’en manque pas en tout cas, c’est le contexte de l’histoire. Alta Luna nous montre la vie des riches pendant l’apocalypse, l’opulence vaniteuse de l’île sur laquelle elle vit avec d’autres personnalités fortunées. Elle n’a aucune idée de ce qui se passe sur le continent, jusqu’à l’arrivée de deux réfugiés, qu’elle et ses amis ont guidés jusqu’à l’île par radio. Le couple leur explique alors ce qu’il se passe dans le monde. Bien sûr, ces évènements font écho à ce que nous vivons tous et ce que nous craignons…



La première partie se termine lorsqu’Alta Luna et ses amis décident de quitter l’île pour se rendre en Oregon, sur les conseils du couple recueilli. Commence alors un road-trip, mais pas « à la Mad Max » comme le dit la 4ème de couverture ; si la première partie était croustillante de détails, ici ils disparaissent. Alta Luna, qui a vécu toute sa vie en autarcie, ne semble pas curieuse ou friande de ces paysages inédits. Oh, de l’action, on en trouve, même beaucoup ! Mais j’avoue que j’ai eu du mal à m’imaginer les scènes, le décor étant très pauvre de descriptions…



La fin m’a quelque peu réconciliée avec le roman, mais pour moi le vrai problème reste là : malgré une vraie réflexion, un beau discours, ainsi que des rebondissements intéressants, Fréquence Oregon souffre d’un manque de précision et de descriptions pour vraiment impliquer son lecteur. Alors, oui, il se lit vite, on ne le lâche pas, mais on ne respire pas vraiment non plus. Il ne détrônera pas Sirius dans mon cœur !
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Un petit roman jeunesse qui présente un monde uniquement composé de robots après que les humains ont disparu. Ces robots sont très développés et ont chacun des caractéristiques différentes. Ils cherchent à comprendre ce qui s'est passé et pourquoi ils peuvent désormais "penser" par eux-mêmes à moins que ce ne soit un programme prévu pour ça ?



Je n'ai pas trop accroché avec ce roman même si le thème me plaisait. La quête des robots est longue et ennuyante, la découverte des sentiments semble un peu trop précipité et artificielle.



En revanche, c'est un bon roman pour aborder un cours de philosophie, pour explorer le thème de la détermination et de la liberté.

J'ai aimé ce livre car il m'a tout de suite attiré par sa page de couverture et ses robots .Ce que je n'ai pas aimé dans ce livre ce sont les hommes qui disparaissent et qui parlent sans arrêt des émotions. L'histoire parle de robot qui essaient de vivre comme les humains dans une ville et que les robots ressentent des émotions entre eux.

Voici mon premier livre gagné lors d’un concours organisé par le blog Le souffle des mots en partenariat avec les éditions Sarbacane que je remercie chaleureusement.



Pourquoi avoir concouru pour ce livre ? Un de mes camarades de classe l’a lu lors de notre stage au Salon du livre jeunesse de Charleroi (2013) et a, apparemment, bien aimé ce roman. De plus, la couverture colorée et le thème post-apocalyptique m’ont beaucoup attirée.



Une catastrophe de grande envergure a détruit toute humanité sur la planète Terre, seuls les robots ont résisté aux radiations et aux secousses violentes qui ont eu lieues. On suit la vie d’Archi, Meph, Domo, Eliza et d’autres robots qui ont vu leur destin changer du jour au lendemain.



Nous entrons, dès les premières pages, dans un monde post-apocalyptique par le biais d’Archi, un robot « biblio » qui avait pour tâche de renseigner les lecteurs, de rechercher des informations, etc. dans une bibliothèque. Je me suis tout de suite identifiée à ce robot attachant, mais très tourmenté, car je suis moi-même future bibliothécaire. A part cela, tout le roman m’a déçue…



Premièrement, je n’ai pas réussi à visualiser correctement les personnages. Dans tout roman, il me semble important de faire travailler son imagination pour créer, via les descriptions données par l’auteur, les personnages. Or, ici, l’auteur m’a un peu embrouillée.

Au début, je voyais des robots « simples », mécanisés, comme sur la première page de couverture du livre mais, vers la fin du roman, l’auteur nous parle de robots avec une apparence quasi humaine : avec des bras, un torse musclé et une tête. Cela m’a beaucoup perturbée !



Deuxièmement, je pense que j’en attendais trop du thème « post-apocalyptique » (je regardais autrefois « The Walking Dead » donc cela m’a sûrement influencée). Dans ce roman, nous avons juste de « bêtes » robots qui prennent conscience de leur existence. Nous sommes dans un monde de bisounours. Aucune catastrophe ne vient entacher ce beau tableau. On ne connait même pas le sort du reste du monde. Nous sommes cloisonnés à une seule partie des Etats-Unis, il me semble...



Enfin, le fil du roman et son intrigue sont monotones et ennuyeux. Comme je l’ai dit précédemment, aucun événement ne vient perturber leur monde. Tout va bien. Ils font leurs petites réunions chaque mois, ils organisent des fêtes, des histoires d’amitié et d’amour se créent… On y retrouve quand même un peu de « philosophie » sur l’humanité et les hommes.



Pour ce qui est de la fin, elle est incompréhensible !



Un point positif: On peut remarquer que Loïc le Pallec s'est beaucoup documenté avant de commencer son ouvrage car celui-ci est parsemé de termes robotiques. On y retrouve également des références littéraires.



C’est vraiment un roman banal pour ma part et j’ai été très déçue car cela allait au-dessous de mes attentes. Après, chacun a une opinion différente. Comme je l’ai dit en début d’avis, il y a eu quand même pas mal d’avis positifs. De plus, il a gagné le prix littéraire Jeune Talent Cultura et le Grand Prix SGDL du livre jeunesse 2014.


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L'idée crée la surprise puis s'enlise. Barbatruc et Pokémon au pays de Malevil.

Idée originale. J'ai beaucoup aimé certaines interprétations de la société humaine par les robots, avec un petit faible pour l'analyse faire du nouveau testament ou celle développée concernant le sentiment amoureux...

La première de couverture est assez esthétique et présente l'intérêt d'être mixte.

Mais le rythme me parait un peu lent. A mon avis cela manque d'action pour les adolescents.

L'idée crée la surprise. Une sorte de Malevil robotique mais ce roman un peu lent s'enlise dans une douceur laborieuse dénuée d'aventure et une platitude placide et bon-enfant qui en devient soporifique.

Il m’a fallu un temps fou pour me décider à me lancer dans No Man’s Land. Le résumé m’avait intriguée et me semblait novateur, cependant je restais dubitative et avec les cours et le mémoire je n’ai cessé de repousser ma lecture. Je ne pensais pas avoir une aussi belle surprise avec ce livre.



Dans No Man’s Land la terre a été dévastée et le règne des Hommes est terminé, ils n’existent plus. Des robots se sont « réveillés », construits pour des tâches particulières par l’Homme, ils sont les seuls survivants et ils développent des capacités cérébrales, des sentiments, une existence propre qui n’a plus rien à voir avec celle de servitude d’auparavant.



C’est Archi qui est le narrateur principal du roman. Un ancien robot archiviste de bibliothèque qui souhaite écrire ses mémoires de ce nouveau début de civilisation. Il vit en communauté avec d’autres robots qui se sont mystérieusement réunis dans la même ville et s’organisent peu à peu. On apprend à connaître chacun d’entre eux au fur et à mesure des pages et, chose très rare, je me suis attachée à tous les personnages, des principaux aux très secondaires. Ils ont tous un caractère précis, agréable et qu’on aime découvrir. Je n’ai donc aucune préférence à ce niveau, je les aime tous autant les uns que les autres.



L’écriture de l’auteur m’a aussi beaucoup plu, elle est pleine de sensibilité et je ne me suis pas ennuyée un seul moment. C’est simple, j’ai dévoré son livre en une journée seulement. Ce début de civilisation est touchant et captivant. La visée écologique évidente est fraîche mais percutante, et puis, finalement, on en vient à se dire que peut être ces robots sauront faire hommage à notre belle planète bleue bien mieux que les Hommes ont pu le faire au fil des siècles. Contrairement à d’autres, je n’ai pas trouvé que l’épilogue était un point négatif, au contraire il va dans la logique des « et si » qui viennent à l’esprit de Archi et ses compères (dont je ne vous dirais rien pour vous laisser le suspens). J’ai donc été très triste en le lisant, mais je le trouve presque dans la logique des choses.
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Reste septique, ne suis pas parvenue à entrer dans ce livre...

Je ne lis que très peu de Science Fiction mais ce roman m'a tout de suite intriguée. J'adore la couverture, très jolie et avec d'agréables couleurs. J'étais bien tentée par cette histoire futuriste avec des robots !



Une catastrophe a détruit l'humanité et il ne reste plus que des robots. Il y a des robots réparateurs, trieurs de déchets, écrivains, acteurs etc... Tous avaient une mission avant la catastrophe nucléaire. Cette dernière va changer leur vie et va les doter d'une certaine forme d'humanité.



L'histoire est narrée par Archi, un robot qui se donne pour objectif d'écrire leurs aventures. Il est entouré de Meph, Domo, Eliza, Doc et bien d'autres encore. C'est assez déstabilisant de se mettre à la place d'une machine créée par l'homme. On ne peut pas vraiment s'identifier aux personnages mais leur histoire a su me captiver.



L'écriture de l'auteur est agréable. Plein de jeux de mots, de petites touches d'humour sont disséminés dans le roman. Le roman en lui-même n'est pas un coup de cœur mais il n'en est pas moins plaisant avec une réflexion intéressante.
Lien : http://x-livres-passion-x.sk..

Je n'ai malheureusement pas réussi à entrer dans l'histoire. Quel dommage alors que le sujet me semblait très intéressant !

Un bon livre un peu gentillet dommage que la fin vienne gacher le plaisir de l'histoire.

Mon avis :







Je remercie les Éditions Sarbacane pour ce partenariat, en particulier Myriam Touche.







J'ai choisi ce livre, car j'ai tout d'abord trouvé la couverture très jolie. Elle est claire, épurée et sa simplicité m'a plu.



Lorsque j'ai lu le résumé, je l'ai trouvé sympathique et intrigant, le thème des robots change beaucoup de ce que l'on trouve dans les rayons de nos librairies et du coup, ça m'a donné envie de tenir ce livre entre les mains.







Mon petit aperçu de l'histoire :



Nous faisons dès le début du roman la connaissance d'Archi, un robot. Suite à une catastrophe, la terre est dépeuplée de toute vie humaine et animale.



Plusieurs robots se regroupent dans une petite ville, apprennent à se connaître, à vivre en communauté. Puis leur vie va évoluer, ils vont connaître les sentiments, l'amour, la tristesse, l'amitié, ils vont en vouloir encore plus et vont tenter des expériences. Ils veulent aussi savoir pourquoi ils sont là aujourd'hui. C'est toute une évolution robotique qui est mise en avant dans ce roman très particulier !







Mes ressentis :



Avant d'ouvrir et de lire ce livre, j'ai trouvé l'histoire intéressante et innovante. J'ai aimé le fait que ce soit des robots qui soient mis en avant.



J'avais hâte de découvrir ce que l'auteur me réservait à travers ses écrits. Malheureusement, j'ai vite déchanté.



Je n'ai à aucun moment réussi à rentrer dans l'histoire. J'ai l'impression d'avoir survolé le livre du premier au dernier mot.



Les personnages ne m'ont pas touchée, je n'ai pas réussi à m'attacher à eux, par contre j'ai apprécié l'humour et le langage qui sont instaurés dans le roman.



Je trouve que l'idée de base est plutôt bien trouvée. Loïc Le Pallec a une jolie plume, agréable à lire. Sa façon de percevoir et de transmettre les choses sont intéressants, d'ailleurs, comme dans tous les livres des Éditions sarbacane, il y a forcément quelque chose à retenir, un message, un passage, une idée, quelque chose qui a la fin de la lecture a laissé une trace.







Pour conclure :



Je reste sur ma réserve pour « No Man's Land », je ne suis pas convaincu par ce roman. Malgré les efforts de Loïc Le Pallec, je suis resté à la porte de son univers et n'ai malheureusement pas franchi le seuil.



J'ai lu sur le blog de Marinette (lien ci-dessous), qu'il y aurait peut-être une suite, pour ma part, si cela se fait, je ne la lirai pas.



Si, toutefois, vous lisez ce roman, n'hésitez pas à me laisser un petit mot sur vos ressentis :)







L'avis de Marinette est à découvrir ICI



et



L'avis de Mutinelle est à découvrir ICI







Lily
Lien : http://leslecturesdelily.ove..