Makoto Hoshino

Angleterre, XIXe siècle.

Wisteria est une pauvre petite orpheline victimisée par un prêtre sans scrupule. Marbas lui est un diable de haut rang mais que très peu de gens peuvent voir. Suite à une rencontre fortuite, ces deux-là se lient, jusqu'à ce que Marbas et Wisteria scellent un pacte entre eux.



Le tome 1 m'avait laissé une impression un peu mitigée, dû à des petits points qui ne m'emballaient pas des masses, mais ce tome 2 permet de gommer certains de ces défauts. Les dessins sont toujours aussi beaux, le mangaka nous présente vraiment de très belles tenues et s'est fait plaisir concernant le design des diables. Naberius est très sympa dans son design, même si j'ai un peu tiqué sur ses vêtements très modernes qui paraissent en total décalage avec l'époque historique.



L'histoire avance tranquillement, mêlant petites tranches de vie, combats et intrigues de manière très équilibrée. Les moments tendus succèdent aux moments plus calmes dans un rythme agréable, on ne s'ennuie pas mais on n'a pas non plus l'impression que le manga se presse. L'humour n'est pas oublié non plus, certains moments sont très drôles, là où d'autres sont plus mignons.



J'ai beaucoup aimé toute l'histoire qui se passe à Warrington, ça m'a un peu rappelé certains mangas de Kaori Yuki en terme de personnages et d'ambiance, c'est une très chouette réussite !



Par contre, ma plus grosse réserve liée au tome 1 est toujours présente dans le tome 2 : la cécité de Wisteria n'a aucun intérêt. Voir le handicap être ainsi utilisé à la légère, comme s'il s'agissait d'un simple attrait esthétique ou d'une facilité, ça a vraiment tendance à m'agacer, et ici ça ne loupe pas.



Malgré tout, l'histoire est intéressante, les personnages sont attachants, et le tout est très agréable.

Angleterre, XIXe siècle.

Wisteria est une pauvre petite orpheline victimisée par un prêtre sans scrupule. Marbas lui est un diable de haut rang mais que très peu de gens peuvent voir. Suite à une rencontre fortuite, ces deux-là se lient, jusqu'à ce que Marbas et Wisteria scellent un pacte entre eux.



Côté design, les dessins sont très beaux, c'est une vraie réussite.



Côté histoire, inutile de se voiler la face : l'idée n'est pas follement originale, la période non plus, mais savoir ce que le mangaka va en faire m'intrigue. Le personnage de Marbas est sans doute le plus intéressant de tous même s'il semble assez classique et qu'on devine déjà ce que cachent ses silences, le frère de Wisteria est lui aussi très classique mais attachant. Par contre, Wisteria est clairement le point faible de cette histoire : on est vraiment sur le cliché de la pauvre gamine bien gentille, bien brave, mais qui a constamment besoin d'être aidée/sauvée. La faire devenir aveugle n'est vraiment pas l'idée du siècle non plus, d'autant plus que ce handicap n'est pas traité sérieusement mais apparaît plus comme un ressort scénaristique ou un artifice de l'ordre du cosmétique.



Mais malgré ce manque d'originalité, je trouve Marbas attachant, et je tenterai au moins le tome 2 pour découvrir dans quelle direction va ce manga.

J'ai découvert ce manga en furetant dans ma librairie et le résumé m'a tout de suite intriguée. C'est un premier tome prenant qui pose les bases de l'histoire, avec des personnages attachants. J'ai hâte de découvrir la suite des aventures de Marbas et Wisteria.

Et voilà le tome final. Je l'ai trouvé intéressant car Wisteria prend vraiment du poil de la bête et que sa relation avec Marbas continue à évoluer. Cette notion de relation entre diable et humain est d'ailleurs un thème important de ce tome (mais aussi de la série). Malgré tout je reste un peu sur ma faim. Certains points ne sont pas résolus et certaines explications sont un peu bancales... Je pense qu'il aurait fallu au moins un tome supplémentaire pour apporter de vraies réponses...

Cela reste quand même une très bonne série et j'ai eu un pincement au coeur en disant au revoir à ces personnages auxquels je m'étais beaucoup attachée...

C’est le dernier tome de la saga, mais ça n’y ressemble pas.



Sytry a piégé Wisteria dans l’esprit possédé de Snow, mais ce dernier a dû prévoir le coup puisque la jeune femme trouve une solution pour se libérer et vaincre le dragon.

On a enfin la véritable conclusion avec Dantalion et Luther.

Et on termine sur le passé de Marbas et des douze autres diables. On fait vaguement la connaissance de leur maître, et on ne voit toujours que les cinq mêmes diables.



Ça ne ressemble pas à un tome final pour la simple et bonne raison que c’est une fin ouverte… rooooh, ce que je déteste ce genre de conclusion !

Le point positif est que Wisteria et Marbas sont à nouveau les protagonistes de ce huitième tome et ça fait du bien. Ça a rendu l’histoire plus sympathique que dans les précédents… en tout cas, ils m’ont manqué.



On reçoit pas mal d’informations, mais je les ai trouvées assez confuses pour la plupart… peut-être parce que ça concluait des intrigues trop lointaines à mon goût, ou simplement parce que la fin a été torchée pour finir sur des chapitres à l’ambiance semblable aux premiers ?



Ce huitième tome s’est laissé lire. C’est le mieux depuis un moment, mais il est loin d’être aussi bien que les premiers. C’est une série qui commençait bien, malheureusement, l’auteur s’est perdu et finalement, ce n’était pas terrible comme saga. Dommage.
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Evidemment, on s'attendait à ce que notre duo soit maintenant accompagné du duo Black Bell pour leur voyage. Les grands lacs sont magnifiques et de nouveaux personnages vont pointer le bout de leur nez (ou de leurs cornes de diables !). Je n'ai pas de chance car c'est le dernier tome que j'ai en stock et vais devoir patienter pour le prochain !!

La série prend amplement de la consistance avec l'arrivée du Grand Maître voulant se battre contre le clan Black Bell. Diana est blessée et cela rend Naberius fou de colère, il libère ainsi toute sa force pour se battre et se venger avec l'aide de Marbas. C'est du shônen ! C'est déjà la moitié de la série et il me faut trouver la suite sous peine que je libère moi aussi mes pouvoirs de pauvre diable !

Wisteria, transie par le froid, tombe malade et cela oblige nos 2 héros à demander asile au domaine des Black Bell. On retrouve ainsi Diana et Naberius. La relation entre nos 2 diables est comme chien et chat, ça se chamaille et ça allège l'atmosphère pesante sur le domaine. Où est le reste de la famille ? Quel mystère entoure la jeune Diana ? Le rythme ralentit pour nous donner un grand aperçu de l'origine de l'Ordre pourchassant les diables et le Grand Maître. L'intrigue et la qualité de la série s'intensifie et s'épaissit !

La relation entre Wis et Marbas est très attachante. J'ai réussi à décoller de la similarité que j'avais en tête avec la Princesse et la Bête et j'en suis bien contente. Le lien qui se noue entre eux deux est joliment réalisé et renforcé par de nouvelles rencontres et de nouvelles situations telles que la jeune noble Diana Black Bell et son diable Naberius. Ca ouvre de bonnes perspectives, surtout que le frère de Wisteria ne va pas tarder à se retrouver de nouveau sur leur chemin sans oublier la secte pourchassant les diables!

A la vue de la couverture, j'ai eu de gros a priori : serait-ce un remake de la Princesse et la Bête (que j'avais tant aimé) ? voire même la Belle et la Bête ? En résumé, j'aime beaucoup, cette série me fait clairement penser à la Princesse et la Bête mais les royaumes ont laissé place à des phénomènes plus obscures, des personnages plus sombres et violents que sont les diables. Wisteria est naïve et douce et je sens un potentiel de battante en devenir, ce qui offre déjà avec un tome une belle perspective d'évolution et il faut le dire : le duo est attachant et le graphisme, très attrayant.

Je me triture la cervelle depuis au moins 7h pour savoir ce que je vais pouvoir dire de cet avant-dernier tome… et rien ne me vient. Donc sans surprise, ma chronique va être courte.



Il ne se passe pas grand-chose :

– Dantalion et Luther affrontent le Grand Maître de l’Ordre de l’épée et démolissent le quartier de Londres où ils se battent.

– On découvre le passé du Grand Maître.

– Des démons attaquent le quartier général de l’Ordre de l’épée.

– En se rendant au QG de l’Ordre, Marbas et Wisteria sont confrontés à Sytry et son nouveau contractant.

On voit très peu Marbas et Wisteria, et c’est bien dommage. Par contre, Dantalion et Luther sont bien trop présents à mon goût, et comme je ne les aime pas vraiment, ça m’a paru long.

Pourtant, ça bouge beaucoup, les combats s’enchaînent, mais ça m’a ennuyée.



En ce qui concerne les dessins, je suis partagée. Dans les grandes planches, les illustrations sont travaillées, les diables ont la classe, mais dans les vignettes classiques, c’était assez moyen.

C’était une lecture moyenne qui m’a laissée indifférente. J’essaierai de lire le huitième et dernier tome le mois prochain, histoire de terminer cette saga.
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C'est avec une certaine tristesse et une mélancolie que je referme ce dernier tome de la saga, mais aussi avec la promesse de la conserver et la relire plus tard.



Cette saga est un petit bijou, trop peu connu, qui mérite largement d'être découvert.

Nous venons d’atteindre la ligne d’arrivée pour ce titre Le Conte des Parias, et c’est avec un peu de tristesse que je dis au revoir à ces personnage et à cet univers un peu de Londres victorien que j’apprécie beaucoup ! Quelques éléments ont manqué de développement, et un ou deux tomes supplémentaires n’auraient pas été de trop pour bien terminer, et ne pas laisser d’interrogations sur certains événements de l’histoire…



On reprend notre histoire avec Wisteria qui s’était retrouvée enfermée dans les souvenirs de son frère Snow alors que ce dernier est emprisonné dans le corps d’un diable. Elle va devoir subir le cours du temps où les secondes sont des années pour elle, pour pouvoir sauver Snow ou Marbas, puisque le diable Sytry ne lui laisse pas vraiment le choix…



Wisteria reste toujours aussi agréable à suivre, je l’ai trouvé attachante, elle fait preuve d’une certaine force et d’une détermination qui contraste avec son corps de fragile si l’on peut dire.

Surtout que les événements s’accélèrent Marbas et Naberius doivent s’allier pour éliminer Dantalion qui a laissé trop de puissance se libérer. Mais aussi pour éliminer son contractant Luther qui commence lui aussi à poser problème à nos personnages principaux…

Ce combat qui devait s’annoncer comme dynamique, prenant voire même épique, n’a pas vraiment été à la hauteur de mes attentes… En effet, bien que Marbas fasse preuve d’une grande force grâce à son lien avec Wisteria, il plie tout de même ce combat trop rapidement à mon goût surtout quand on voit tous les moyens qu’ils déploient pour abattre ces deux personnages. C’était une de mes plus grandes déceptions de ce tome et de cette conclusion, c’est que ce combat a vraiment été survolé à mon goût…



En revanche, la mangaka nous réserve un autre événement, c’est l’affrontement contre Sytry, ce diable qui s’est tranquillement imposé comme un ennemi. C’est un enchaînement de combats, et d’événements qui apportent du rythme au récit et qui ne nous laissent pas vraiment respirer !

Contre Sytry, j’ai surtout préféré ce que cette rencontre a amené, des souvenirs oubliés par les autres diables, c’est-à-dire leur vie avant leur mort et leur transformation. On en découvre plus sur ces cinq diables, leur mort, leur passé, mais aussi sur le pouvoir qu’ils ont acquis face à cette renaissance. On apprend aussi comment ils ont été réunis, l’homme qui les a fait vivre dans cette idée, de famille, de réunion. Si j’ai adoré ce passage, et voir ce développement, je reconnais qu’elle amène et met en avant ses faiblesses… Je m’explique, le récit nous parlait de treize diables, et en finalité on a pu en rencontrer que cinq, premier point qui ressort… Ensuite, on découvre le diable à trois yeux qui les a réunis, son but, ce qu’il devait faire, malheureusement, on n’a pas plus de développement sur lui. Il aurait même dû être présenté comme le dernier boss de l’histoire, mais il n’en est malheureusement rien, et on reste sur notre faim avec lui…

De plus, pour Sytry c’est un peu la même chose, on se retrouve face à une fin ouverte avec lui, on ne peut qu’imaginer son sort, et je trouve que c’est un peu léger.

L'Ordre de l’Épée n'a pas eu plus de moment pour se mettre en avant, et prouver ce dont ils sont capables contrairement au tome précédent qui avait bien développé l'Ordre.



La conclusion du manga après tous ces combats et ces événements fait le travail, c’est assez simple à comprendre malgré quelques éléments comme Luther que j’ai trouvé trop facile pour en terminer avec lui… Mais encore la toute fin avec Marbas et Wisteria m’intrigue sur la façon dont les choses on pu se passer puisque l’on n’a pas eu plus d’explications…

Bien que le titre ait quelques lacunes et soit passé par quelques facilités pour se terminer, je relirai tout de même avec plaisir ce titre qui m’a tout de même plu, avec des personnages intéressants, forts et déterminés !

Une très bonne lecture et qui met en avant son dynamisme à travers de nombreux combats ! Je trouve dommage de ne pas avoir mis plus l'accent sur le combat de la doyenne de l'Ordre, elle l'aurait mérité... Nos protagonistes sont en retrait pour mieux découvrir l'Ordre ou Luther. On sent que l'on se rapproche de la fin avec de plus en plus de pertes, et des choix qui s'imposent en tant de guerre...

Sa conclusion constitue l’occasion parfaite de jeter un coup d’œil à ce manga qui mérite d’être découvert.
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La fin approche!! Plus qu'un seul tome, malheureusement, à cette très belle série qui en compte 8.

L'histoire est de plus en plus prenante au fil des tomes et atteint son paroxysme ici. Mais comment tout cela va t-il se finir??



Une superbe série fantastique, pleine de douceur, mais aussi de combats héroïques et d'enjeux qui dépassent nos personnages principaux. Tout cela dans un décor et une ambiance particulièrement bien rendue du Londres victorien. Vous aurez même la chance de croiser ce cher Sherlock!

Malheureusement la fin approche, il nerestant reste plus que 2 tomes!

Qu'est-ce que j'aime cette série, vraiment, c'est un énorme coup de coeur que je clame, encore une fois, haut et fort!



Je ne vois pas encore quel sera le dénouement (en tout cas je n'ose exprimer mes hypothèses, de peur que certaines s'avèrent justes), mais j'espère que nos héros vont s'en sortir.



Dans ce tome, au rythme haletant, l'intrigue se passe exclusivement à Londres. L'atmosphère est lourde, tendue, en raison des enjeux qui se jouent, mais notre duo préféré, Wisteria et Marbas, continue de nous faire fondre devant tant de tendresse, d'amour et de soutien l'un envers l'autre. Wisteria fait preuve d'une force morale et de courage depuis le tout premier tome, mais ici elle apparaît bien plus forte, comme transcendée, surtout en fin de tome. Je n'en dirai pas plus.



C'est une série qui se savoure (avec une bonne tasse de thé), qui fait du bien et qui tient en haleine.

J'ai très envie de me plonger tout de suite dans le septième tome, mais j'ai aussi envie de prendre mon temps pour savourer ce dénouement avec les deux tomes restant...

Un tome où l'intrigue s'épaissit de plus en plus et laisse entrevoir des enjeux qui vont dépasser nos deux héros, Wisteria et Marbas. De nouveaux personnages font leur apparition et leurs intentions ne sont pas toutes louables, loin de là.

Et la fin Ah!!! Trop hâte de lire la suite après ce clifangher!!

Derrière le côté très standard du déroulement, on a donc droit à un final soigné, joli, satisfaisant, où l'on sent bien toute l'application de Makoto Hoshino dans son oeuvre.
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On attendra donc avec une réelle impatience l'ultime volume du Conte des Parias, Makoto Hoshino semblant bien savoir où il va dans cette dernière ligne droite assez intense.
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