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Critiques de Maria Dueñas (124)
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Demain à Santa Cecilia

Professeure dans une université espagnole, Blanca ressent un besoin impérieux de s'éloigner temporairement de sa vie quotidienne après que son mari l'a quittée pour une femme plus jeune. Elle se retrouve un peu par hasard embauchée par l'université californienne de Santa Cecilia pour effectuer un fastidieux travail d'archivage des travaux d'un professeur décédé plusieurs décennies plus tôt. Ce séjour, qui s'annonçait peu haletant, va pourtant se transformer en véritable quête de la vérité sur le destin du professeur en question, sur la quête de Daniel, qui est à l'origine de son recrutement, et sur sa propre existence.

Les romans de Maria Duenas sont sans prétention exagérée, mais elle sait bien raconter les histoires et celui-ci est fidèle à son style.
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Demain à Santa Cecilia

Ce qui me plaît beaucoup dans les romans de María Dueñas ce sont les femmes si inspirantes qui y apparaissent.



J'ai trouvé que l'on apprend plus sur la vie d'un autre personnage que sur celle de Blanca, la protagoniste. A un moment donné, on comprend pourquoi, mais trop tard à mon goût. Il y a beaucoup de sauts dans le temps entre la jeunesse (dans les années 40 environ, si je ne me trompe pas) de cet enseigant et sa vie actuelle dans les années 2000. Dans certains romans, les sauts dans le temps sont bien faits, mais dans celui-ci, j'ai trouvé qu'ils n'avaient pas beaucoup de sens.



Cela ne m'empêche pas de continuer à adorer la plume de l'auteure.
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Demain à Santa Cecilia

J'avais lu son premier roman : l'espionne de TANGER qui m'avait beaucoup plu et celui-ci est également intéressant. Un sujet méconnu le départ de Jésuites et leur action en Amérique de l'Ouest pour développer la religion catholique aux indiens qui vivaient sur ces terres. A partir d'une étude sur un professeur réputé, une jeune femme dévastée par le départ de son mari va essayer de se reconstruire en se donnant à fond sur

la vie de cet homme parti d'Espagne et qui n'est jamais revenu dans son pays. Conseil à lire
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Demain à Santa Cecilia

Tout d'abord, je remercie Babelio et son opération Masse Critique mais également les éditions points pour m'avoir permis de découvrir cette petite pépite. C'est ma première rencontre avec Maria Duenas mais certainement pas la dernière car Demain a Santa Cecilia est un vrai coup de cœur.



Blanca vient de se séparer de son mari après vingt cinq ans de mariage, ses enfants sont grand et volent de leurs propres ailes et elle souhaite prendre un nouveau départ le plus vite possible : "Parfois, tout s’écroule autour de nous, telle une pesante et froid chape de plomb. Ce fut ce que je ressentis en ouvrant la porte de mon bureau. Si familier, si chaleureux, si personnel. Avant.Pourtant, de prime abord, rien ne justifiait ce désespoir. Tout était resté en l’état. Les rayonnages remplis de livres, le tableau de liège couvert d’horaires et d'avertissements. Chemises, dossiers, affiches d'expositions anciennes, enveloppes a mon nom. Le calendrier figé deux mois auparavant, juillet 1999. Tout était intact dans cet espace qui m'avait servi de refuge pendant quatorze années, le réduit qui , une année scolaire après l'autre, accueillait des hordes d’étudiants, indécis, revendicateurs et ambitieux. Dans ce décor immuable, seuls avaient changé les piliers qui me soutenaient. De haut en bas, en totalité.

Deux ou trois minutes s’étaient écoulées depuis mon arrivée. Peut-être dix, ou bien même pas une. En tout cas, assez pour prendre une décision. Mon premier mouvement consista a composer un numéro de téléphone. Pour toute réponse, je n'obtins que celle aseptisée d'une boite vocale. J'hésitai entre raccrocher ou non, le non l'emporta.

- Rosalia, ici Blanca Perea. J'ai besoin de ton aide, il faut que je m'en aille.Je ne sais pas ou et je m'en fiche. La ou je ne connaîtrai personne et ou personne ne me connaîtra. Je sais que ça tombe on ne peut plus mal, au tout début de l’année scolaire, mais appelle-moi des que possible, s'il te plaît." Un peu sur un coup de tête, elle qui l'Espagne pour la Californie et accepte un poste de recherche dans une université. Son nouvel emploi consiste donc a trier les papiers d'un professeur mort trente ans plus tôt.



Parallèlement, on suit l'histoire de ce professeur, Andres Fontana et de son élève Daniel Carter, devenu lui aussi brillant universitaire et qui va devenir proche de Blanca.

Si au début on est un peu déboussolé de suivre plusieurs histoires en même temps, il arrive très vite le moment ou toutes les pièces du puzzle s'emboîtent. Mais tout ceci se fait lentement. Certaines critiques parlent de longueurs dans le texte de Maria Duenas, mais de mon coté, je ne me suis pas ennuyée une seconde. Au contraire, c'est avec une certaine tristesse que je refermais la dernière page du roman. Dans certain avis aussi, certains évoque le fait qu'on devine rapidement l'intrigue de mon coté, je n'ai rien vu venir et je trouve que l'auteur a su maintenir un certain "suspense".



Mais le roman n'est pas simplement, l'histoire d'un trio de personnages, c'est bien plus que cela. On y découvre en toile de fond, l'histoire de l'Espagne sous le régime de Franco, les mœurs de ses habitants et leur vie au début des années 60. L'auteur fait également référence a de nombreux ouvrages de la littérature contemporaine espagnole mais aussi des chansons, de titres de films d'époque et l'on se sent transporté.

On découvre également l'histoire de la Californie et l'encrage des espagnols.

Bref c'est un roman très dense, magnifiquement bien écrit et très documenté que je ne peux que vous recommander.
Lien : http://missmolko1.blogspot.i..
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Demain à Santa Cecilia

Livre agréable à lire, les personnages sont intéressants, mais on attend tout le livre quelque chose qui n'arrive pas, ou du moins tard dans l'histoire. On a le sentiment en fermant le livre que l'auteur avait tous les ingrédients pour faire une bonne histoire, mais le résultat est décevant... C'est dommage car le plaisir de lecture était bien présent...
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Demain à Santa Cecilia

María Dueñas nous promène entre la Californie, l'Espagne actuelle et aussi celle des années 50-60 pour nous offrir une belle histoire, complète. J'ai tout particulièrement aimé cette plongée dans l'Espagne des années 50-60 au côté d'un professeur américain, élève de Fontana, animé d'une passion dévorante pour ce pays.



Et puis, ses personnages sont très travaillés et attachants, on prend plaisir à les suivre et à les voir évoluer au fil des pages. C'est le genre de livre que j'aime beaucoup lire, qui présente la vie, les relations entre les gens de manière simple, vraisemblable et où les événements qu'ils traversent trouvent un écho dans notre vécu.
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Demain à Santa Cecilia

Très facile à lire, qui vous donne envie de tourner les pages et vous aiguise la curiosité, voici ce qu'est Demain à Santa Cecilia.

Certes, le style ne vous fera pas oublier Stendhal, et dans un livre qui s'annonçait comme une universitaire refaisant sa vie et remontant la pente en se passionnant pour un vieux mystère historique, on ne parle finalement que de l'histoire de deux autres personnages masculins, mais c'est plutôt plaisant.

Un peu long à démarrer ce roman donne surtout envie d'en savoir plus sur les missions espagnoles en Californie, un sujet qui interpellera les amateurs d'histoire, et sur tous les auteurs espagnols évoqués au fil des pages, sans grande surprise vu que ça se passe dans un milieu universitaire.

Je l'aurai probablement oublié assez vite mais c'est un bon moment de détente qui m'a donné plein d'idées de futures lectures!
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Demain à Santa Cecilia

Ce livre conte l’histoire de trois personnages. Par ordre d’ancienneté, le plus vieux, mort à l’époque contemporaine de la narration : André Fontana. Andrés Fontana est le fil d’une famille très pauvre de l’Espagne préfranquiste, son père était mineur et voulait que son fils prenne le même chemin que lui. Sa mère était bonne à tout faire dans une très riche famille. La patronne de sa mère se prend d’affection pour son fil Andrés et lui offre des livres, une encyclopédie qu’il dévore. Devinant les dons et les aspirations de l’enfant, elle lui léguera une bourse d’étude qui permettra à Andrés de préparer et d’obtenir le baccalauréat puis de faire des études universitaires. Pour cela il lui faudra s’arracher à sa famille et s’exiler à Madrid. A la fin de ses études universitaires, Andrés part aux États-Unis pour un an. Mais entre-temps la guerre d’Espagne a éclaté et Andrés prend la décision de rester aux USA où il deviendra maître de conférences.



Ensuite nous avons Daniel Carter. Daniel Carter est un jeune américain, d'une vingtaine d'années plus jeune qu'Andrès, qui suit un peu la même trajectoire qu’Andrès. Daniel s’exile loin de sa famille pour poursuivre des études de lettres. Pendant ses études universitaires, Andrés Fontana devient son mentor et le pousse à aller en Espagne un an à la recherche des matériaux nécessaires à sa thèse sur un écrivain espagnol peu connu, Ramón José Sénder, écrivain qui a du s’exiler loin de l’Espagne à l’avènement de Franco. À l’université de Madrid, Daniel a pour protecteur un ancien collègue d’Andrés Fontana auquel ce dernier a écrit pour recommander chaudement Daniel. Daniel loge chez la concierge qui hébergeait déjà Andrés Fontana lorsque ce dernier faisait ses études à Madrid. Daniel va non seulement rassembler les matériaux nécessaires à sa thèse, mais il va surtout rencontrer la femme de sa vie. La manière dont il s’y prend pour conquérir les parents de la belle très réticents à leur union est drolatique à souhait et apporte un peu de légèreté dans le climat très lourd qui s’installe à partir de la moitié du roman.



Enfin, le troisième personnage est Blanca Perea, 45 ans, docteure en linguistique, de nationalité espagnole. Son mari l’a quitte pour une avocate plus jeune qu’elle à laquelle il a fait un enfant. L’univers de Blanca s’effondre. Elle demande à partir, loin, le plus loin possible. Elle obtient une bourse pour aller travailler quelques mois aux USA, il s’agit de classer les papiers d’Andrés Fontana légués à l’université de Santa Cecilia, une université californienne. Blanca va faire la connaissance de Daniel Carter, veuf depuis de longues années, c’est lui qui a accepté la candidature de Cécilia.



Trois exilés, trois vies, trois récits qui se mêlent et s’entrecroisent. Un roman dense et un suspense haletant. J’ai adoré !

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Demain à Santa Cecilia

Demain à Santa Cécilia de Maria DUEÑAS



Ce livre qui a déjà été vendu à 1 million d’exemplaires, comme indiqué sur la couverture de celui que j’ai reçu gracieusement, (et je les en remercie, de même que Babélio), des éditions « Points » ne me laissera pas un grand souvenir.

L’histoire de Blanca perea qui se retrouve seule après que son mari l’ait quittée pour une femme plus jeune, de même que ses deux enfants partis voler de leurs propres ailes, est intéressante mais un peu hors du temps. Elle fuit et s ’inscrit pour obtenir une bourse et travailler sur les écrits de Andrès Fontana, écrivain espagnol, parti en Californie dans les années après guerre, décédé en 1969, étudier les missions franciscaines du Camino real, il y en avait 22 au total.

Cela nous permet également de connaître Daniel Carter, un Américain, brillant universitaire qui va devenir omniprésent auprès de cette jeune femme et même...

Celui-ci est d’ailleurs présent lors des recherches que faisaient Fontana. Nous l’apprenons en remontant parfois dans le temps pour nous retrouver dans les années 1950 / 1960 à l’ère de Franco et partager la vie de ces deux hommes en Espagne (c’est là que cela m’a paru un peu long , car j’ai eu du mal à comprendre pourquoi nous remontions à cette époque, alors que les nombreux documents collationnés étaient encore aux temps présents ).

Le titre du livre en espagnol est : « Misíon olvido », je trouve que la traduction de ce titre « Mission oubliée » aurait été plus judicieuse, car il s’agit bien de cela qu’on apprend au moment où cela devient un peu plus passionnant, car le temps passe et Blanca doit rendre son rapport dans quelques jours tandis que rien de spécial ne se trouvait dans les nombreux documents à sa disposition. Mais comme dans tout bon roman une petite part de suspens fait durer l’attrait que le lecteur que je fus semblait perdre au fil de la lecture.

L’écriture est agréable, mais l’histoire ne m’a pas intéressée plus que cela.
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Demain à Santa Cecilia

Blanca Parea est une universitaire espagnole, mariée depuis 25 ans avec ALberto. Ils ont 2 fils, des jeunes hommes. Alberto plaque Blanca pour se mettre en couple avec Eva à qui il fait un enfant, le 3ème enfant qu'il avait refusé en son temps à Blanca. Complètement déroutée Blanca décide de s'exiler d'Espagne en acceptant un petit poste d'archiviste à l'université de Santa Cecilia en Californie, USA. Là-bas, elle doit trier, classer et archiver les papiers, les écrits, les articles et autres documents personnels d'un universitaire espagnol, Andrès Fontana, exilé aux USA et décédé en 1969. Au début, Blanca part juste pour échapper à Alberto, Madrid, aux souvenirs et calmer sa profonde blessure personnelle. Mais l'archivage des papiers d'Andrès Fontana va l'amener à percer un douloureux secret, à remettre en lumière une bien triste histoire d'un triangle amical-amoureux.



Je ne connaissais pas Maria Dueñas, c'est un peu par hasard que j'ai emprunté son roman.

L'histoire qu'elle nous raconte vous attrape bien dès le début. Mais que peut bien receler les documents d'Andrès Fontana ? M.Dueñas parvient à faire monter le mystère et a développé des personnages intéressants : Daniel Carter, l'élève de Fontana, la soixante bien tapée aujourd'hui, Luis, le directeur de Santa Cecilia heureux d'accueillir Blanca mais qui n'a pas l'air de s'intéresser plus que cela à Fontana et son legs, du moins en apparence, Rebecca, Fanny etc...Par ailleurs, l'auteure nous offre des descriptions très vivantes de l'Espagne de la fin des 50's, encore meurtrie par la guerre civile, arriérée (40% de la population est analphabète) mais qui accueille les GI's dans des bases données à l'OTAN, développe peu à peu son tourisme etc... Bah oui...L'Amérique a gagné. Il faut s'ouvrir. Les passages sur la vie des femmes des gradés américains sont plutôt réussis. De même, M. Dueñas restitue avec souci de réalisme la vie d'un campus d'une petite université américaine. Enfin, il y a un vrai côté romanesque dans cette histoire.



Mais je n'ai pas totalement adhéré, je l'avoue.

Pour commencer, je n'ai pas eu de réelle sympathie pour le personnage de Blanca. Du coup, son drame d'épouse lâchement abandonnée m'a laissé un peu en retrait. Ensuite, le mystère sur Andrès Fontana manque d'épaisseur, de véritable ressort dramatique. Donc pas vraiment convaincue.

Et le secret douloureux donnant lieu à la manigance n'est pas très bien exploité et se révèle une certaine banalité, fadeur alors que Maria Dueñas a réussi à faire monter l'histoire. Je reprends ma comparaison préférée : c'est comme un soufflet, cela monte bien mais il faut savoir garder le soufflet bien monté pour éviter qu'il ne retombe ou s'affaisse sur un côté.



Cependant, je ressors contente de ma lecture car j'ai eu envie tout le long du récit de savoir le pourquoi du comment. Et cette envie du coup rattrape largement une certaine déception. Jolie découverte.
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Demain à Santa Cecilia

Je n'ai pas ressenti de hâte à le reprendre ce livre pourtant bien écrit. Chaque fois que je le reprenais, j'espérais que j'allais m'attacher à un personnage. Mais non. Pas avant d'en avoir lu le trois quarts. Très bonne intrigue cependant, avec beaucoup de sagesse et une bonne leçon d'histoire hispano-américaine.
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Demain à Santa Cecilia

Une auteure espagnole à la plume élégante qui campe des personnages à la fois forts et tendres, un contexte historique parfaitement documenté, une intrigue mystérieuse, voilà de quoi donner envie de se plonger à corps perdu dans ce roman... et pourtant j'ai eu du mal à le terminer ...et je me suis ennuyée pendant ma lecture.

Une universitaire espagnole qui voit sa vie privée exploser à la suite du départ de son mari qui la quitte après vingt cinq ans de mariage pour aller s'installer avec une jeune femme enceinte de lui, décide de quitter son pays pour une mission de trois mois en Californie à l'Université de Santa Cécilia. Blanca, notre héroine, se voit chargée de décortiquer les cartons d'archives d'un de ses compatriotes Andrès Fontana, décédé depuis plus de trente ans après avoir passé sa vie à enseigner l'espagnol en Californie. Fontana avait consacré les dernières années de sa vie à la recherche d'informations précises sur les missions espagnoles en territoire américain et la fondation qui a embauché Blanca pour ce travail d'archiviste est fortement intéressée par la découverte de la dernière mission du "carmino real" que le défunt professeur avait probablement mise à jour...

Blanca se penchera, et le lecteur avec elle, sur l'histoire de la présence espagnole en Californie, sur les missions catholiques mais aussi à travers le récit de la vie des protagonistes de ce roman sur les incidences de la présence américaine en Espagne dans les années 1950 et sur le choc culturel provoqué par la confrontation des modes de vie et des civilisations.

Voilà le réel intérêt du roman car Maria Duénas parvient à merveille à distiller des informations historiques au fil des pages et à mieux faire comprendre l'évolution de son pays au cours du 20ème siècle.

L'intrigue m'a paru très faible et d'un intérêt trop limité. L'histoire sentimentale est convenue et sans réelle surprise.

Je ne retiendrai que les informations historiques glanées au fil des pages qui renvoient à la politique expansionniste de l'église catholique qui envoya ses religieux évangéliser des populations autochtones qui ne demandaient rien à personne et eurent à souffrir des exactions qu'elles subirent du fait de ceux qu'il faut bien appeler les colonisateurs.
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Demain à Santa Cecilia

Croisement deux histoires , deux époques



Aujourd'hui :

Blanca universitaire espagnole partie en Californie pour oublier, soigner son chagrin ( infidélité de son mari) où elle a postulé pour une mission temporaire classer des documents

Elle va croiser la route de Daniel



Hier :

Daniel universitaire américain part en Espagne pour approfondir ces connaissances



Je n'ai pas accroché, je me suis perdue dans l'histoire par trop de longueur
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Demain à Santa Cecilia

Je suis en train de lire le roman et je ne suis pas sûr de le terminer tant des passages m'ont paru longs, au point que pour un en particulier, les relations de Daniel Carter et la jeune femme espagnole dont il est épris, je lisais une page sur deux.

Enfin encore un effort, j'en suis à la page 337 (sur 497)
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Demain à Santa Cecilia

Très belle découverte que ce roman.

Après avoir vu son dernier roman envahir les librairies espagnoles, j’ai souhaité découvrir un roman de Maria Dueñas.



J’ai souvent pensé à Isabel Allende, puisque le lecteur navigue entre histoire d’amour, plusieurs pays (Espagne / États Unis) et différentes époques (fin du millénaire, Espagne franquisme et missions espagnoles franciscaines). Le personnage principal, quant à elle, nous transporte de Madrid à une université proche de San Francisco. Tous les ingrédients pour passer un bon moment de lecture sont réunis, tout en permettant au lecteur de découvrir différents pans de l’histoire de ces deux pays.

Maria Dueña n’oublie pas de nous faire entrevoir les guerres entre universitaires et les méthodes, plus ou moins éthiques, des enseignants chercheurs.



Un moment de lecture très agréable.
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Demain à Santa Cecilia

L’auteure fait se croiser deux histoires distinctes. La première nous permet de suivre l’héroïne, Blanca. La seconde réside en un flashback où nous suivons Andrès Fontana ainsi que Daniel Carter. Ce schéma m’a plu car nous découvrons les principaux protagonistes en alternance. Cependant, l’intrigue manque franchement d’intérêt et de surprise. Le lecteur devine bien avant l’héroïne ce qui l’attend. De ce fait, l’effet des différents rebondissements retombent comme un soufflet. Il en va de même avec la chute du récit qui n’est pas surprenante. Je l’attendais avec grande impatience pensant que Maria Duenas nous assènerait peut-être un retournement final.



Pourtant l’ambiance et le contexte général m’ont plu tout comme les personnages. J’ai plutôt aimé l’héroïne même si son histoire est un peu classique et déjà vu de multiples fois en littérature ou au cinéma. Elle a tout de même su m’être attachante par ses réflexions. Par contre, je n’ai pas su saisir Daniel Carter. Il possède deux faces et use de l’une ou de l’autre à sa guise. Nous sommes face à une espèce de chasse au trésor. Cette dernière m’a permis de découvrir les missions espagnoles et jésuites construites en Californie. Je connais peu l’histoire des États-Unis et encore moins l’histoire religieuse de ce pays.



Malgré des personnages et un contexte plaisants, ce roman souffre d’une intrigue un peu légère. Ce roman ne sera malheureusement pas inoubliable. Je reste donc sur une déception. Je retenterais peut-être cette auteure avec L’espionne de Tanger qui a reçu un bon accueil.
Lien : http://danslemanoirauxlivres..
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Demain à Santa Cecilia

Je remercie babelio et les éditions points pour l'envoi du livre. Malheureusement je n'ai pas du tout accrochée à l'histoire, trop long et parfois un texte où l'on se demande où l'on va. Le début prometteur n'a pas assez duré pour que je persiste à lire ce livre.
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Demain à Santa Cecilia

Belle histoire maudis trop de longueur
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Demain à Santa Cecilia

Malheureusement je n'ai pas accroché....
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Demain à Santa Cecilia

Demain à Santa Cecilia, c'est une grande fresque romanesque sur l'Espagne franquiste, le monde universitaire moderne, les missions des pères franciscains espagnols en Californie à la fin du XIXè siècle, les artistes espagnols exilés du XXè siècle... et Blanca, une universitaire de 45 ans dont la vie se met à dérailler en même temps que son mari à fréquenter une autre femme.



Le récit mêle les époques et les thèmes, les histoires personnelles et les recherches universitaires, la philosophie de magazine féminin et l'érudition. Ca aurait pu être un soufflé raté, mais ça ne l'est pas du tout. Le résultat ? j'ai adoré !



Maria Duenas devient de plus en plus pour moi la Ken Follet espagnole, avec le même goût des longues sagas, la même recherche historique et les mêmes histoires universelles mais tellement agréables. J'étais hier à Santa Cecilia avec elle, et j'y retournerai volontiers demain. Ou ailleurs, tant qu'elle me raconte de belles histoires !
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