Citations de Mark Eacersall (47)
499 av. J.-C, les Grecs anciens ne savent pas qu'ils ont franchi les âges obscurs et l'ère archaïque, et qu'ils vivent à l'aube de ce que les historiens appelleront l'époque classique.
Autour de la Méditerranée, ils se divisent en petites communautés organisées en cités indépendantes, jaloux et guerriers, ils ont quelques points communs : un mode de vie, un panthéon et la langue grecque qui les différencie des barbares.
Cette culture partagée est portée par les récits fondateurs, poèmes épiques dont les plus célèbres sont deux recueils composés trois siècles auparavant par Homère, l'Iliade et l'Odyssée.
(INCIPIT)
Moi aussi je mourrai et serai enseveli. Mais si tel est mon destin, que ce soit dans l’éclat de ma gloire.
- Le mafé, c'est pas cher et c'est bon.
- La pizza aussi c'est pas cher et c'est bon.
- La pizza ? Tu es une vraie petite française, toi alors...
- Maman, la pizza, c'est italien !
–Tu parles comme un flic. Et pire : comme un flic qui ment.
– Je suis notaire ! J’ai une santé fragile, je porte des pantoufles toute la journée et je ne suis pas sorti de mon département en trente ans !
– Tu sais en quelle année a été fondée la légion, vieux flic ?
– Non, et je m’en fiche.
Chez nous, les femmes aussi font la guerre.
Relève-toi, beau gosse. Tu es mangeur de pain et sembles bien né...
Mais je ne suis pas Nausicaa, et tu n'es pas Ulysse.
- De toute façon, les blancs ne veulent pas partager leur femme.
- Surtout, ils ne veulent pas que ça se sache !
L’eau de la douche est froide !
Ça raffermit les chairs .
Puis tout à coup elle devient bouillante !
Ça ralentit le cœur.
- Alors tu vas renter?
- ...Qu'est ce que tu veux que je fasse d'autre?J'arrive...J'arrive.
Bon, dis, je suis emmerdé, là. J'ai les chefs et le juge qui me foutent la pression, t'as pas idée.
Quand bien même je vous l’aurais déjà récité, il faut savoir goûter aux plaisirs de la répétition. Ces vers ont été dictés à l’aveugle par les dieux eux-mêmes. Penses-tu qu’une seule écoute suffise pour comprendre tout ce qu’un dieu a à dire ?
La gloire est vaine. Veux-tu devenir comme tous ces coqs qui ne pensent qu’à briller et délaissent leurs épouses sous prétexte que la cité a besoin d’eux et qu’on ne peut s’aimer qu’entre hommes, entre égaux ?
Ah mais là, c'est pas pareil...les listes électorales sont publiques. Je peux même vous donner son adresse si vous me la demandez.
- Les choses importantes sont toujours cachées. (p.82)
Alors,qui c’est le dur à cuire ? Qui c’est l’aventurier ? Qui c’est le bonhomme ?
Avoue que tu ne t’attendais pas à ça, hein ?
Allô ? Allô ?
Oh, Amédée… c’est pas parce que tu n’as jamais pu me faire d’enfant que je ne te prenais pas pour un homme.
Comment vous avez su que Max mentait ?
Les menteurs je les attire…
Mais toi et moi, nous savons que pour un guerrier, la vie n'est rien comparée à la gloire, et la gloire n'est rien sans la voix du poète, qui seule donne l'immortalité.
— Encore toi morveux ? Elle va nous démoraliser. On a déjà connu des pillages, on survivra.
— Toi, bien sûr ! Tu ne travailles pas ! Mais nous, nous ne sommes pas des rentiers, nous ! Qui va se tuer à la tâche ? Qui va s'affamer pour nourrir nos nobles guerriers ?
— Cette fois, tu y as droit !!!
Je ne m'énerve pas ! Je suis en route pour la gloire !
- Quand t'as des dettes de jeu que tu veux pas payer, tu racontes quoi ? Que t'as des parts dans une mine d'or en Australie ou que tu fais du porte-à-porte, en 4L, pour joindre les deux bouts ? (p.57)