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Citations de Martine Delomme (224)


- Lorsque vous m'avez montré la collection de tableaux de votre père, j'ai remarqué un Matisse, Soleil couchant à Collioure...Je vous ai dit que ma sœur était bénévole dans une association qui recherche le biens culturels volés. Il m'arrive de l'aider dans ses investigations.
- Le tableau,....il est toujours considéré comme disparu.
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- Il faut ouvrir un dossier au nom de Marine Moreau.
- Ah! Vous êtes sûr que ce n'est pas plutôt Marilyn Monroe ,
- Je vous avoue que je ne sais pas trop, dit-il en riant. Mon père ne peut pas supporter l'idée de me voir devenir vieux garçon. Il m'envoie très souvent une de ces créatures superbes en consultation.
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Débarrassée de ses frayeurs, elle avait compris que c'étaient ses propres colères, ses révoltes, qu'elle redoutait le plus.
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J’ai si souvent entendu mon père dire que certains êtres sont faits pour le bonheur et d’autres pour le pouvoir et la réussite… Alors, heureuse, je ne sais pas, je n’ai jamais su ce que cela voulait dire. Mais j’avais de l’affection pour Denis, et entre son travail, le mien, ses enfants, nous menions une vie simple, bien ordonnée, dans laquelle je me sentais bien.
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Elle aimait sa compagnie, sa présence apaisante, elle aimait cette impression touchante qu’il tenait à elle. Elle lui avait parlé de ses conflits familiaux, ils avaient fait l’amour et, comme toujours, c’était émouvant et merveilleux de se retrouver dans ses bras.
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« Je pense qu’il vaut mieux garder nos secrets, avait-elle déclaré avec un soupçon d’impatience, ne gâchons pas ce que nous vivons. »
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« C’est compliqué de vivre au sein d’une famille vouée au pouvoir et à l’argent. Je voulais tellement en être digne. J’aspirais à un parcours sans fautes pour répondre aux exigences de mon père, et si je l’en crois je n’ai jamais cessé de les accumuler… »
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. La vérité était tout autre. Il se sentait prêt à tomber amoureux d’elle, et il ne pouvait plus vivre dans cette éternelle expectative.
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Comment définir la place qu’elle occupait dans sa vie ? Elle l’attirait et il avait l’impression que c’était réciproque. Pourtant, dès qu’il tentait de se rapprocher, d’en apprendre un peu plus sur elle, elle reprenait ses distances. Elle le fascinait et le déroutait. Il avait rassemblé quelques effets dans un sac de sport pour s’installer chez elle jusqu’à la réfection de sa maison.
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Elle avait l’impression de tourner stupidement en rond avec une irrésistible envie de pleurer. Mais elle ne verserait pas une larme, elle les avait toutes épuisées bien des années auparavant.
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Tu préfères défendre les pintades qui défilent dans ton bureau en poussant leur mari au suicide. Et finalement échouer ici, à assurer un boulot de secrétaire dans cette région de ploucs ! Quelle réussite ! Et quelle honte pour un père d’avouer qu’il éprouve infiniment plus de fierté à l’égard de son gendre que de sa propre fille !
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«  Que faisaient les forces de l’orde dans une telle situation ? .
Apparemment les braqueurs ne voulaient pas communiquer et moins encore négocier, du moins pour l’instant.
Attendaient - elles que les braqueurs sortent ?
Mais ils auraient forcément des otages et ça pouvait finir dans un bain de sang.
Si les unités d’intervention donnaient l’assaut , dans ce cas- là aussi, les victimes seraient inévitables.
Le temps passait et le temps était le pire ennemi des deux parties » .p141.
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Toi, une tueuse ? Laisse-moi rire, mon éducation aurait pu faire de toi une tueuse, mais regarde ce que tu es devenue : une mauviette ! J’ai toujours su qu’au fond de toi tu étais incapable de réussir, tu n’es qu’une ratée qui fuit devant l’adversité, devant les difficultés.
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Il considéra sa fille un instant, et face à ce regard inquisiteur Camille retrouva un sentiment enfoui en elle depuis très longtemps, un certain malaise, l’envie de fuir.
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Son âge le rattrapait, il avait pris de l’embonpoint, ses bajoues cachaient presque son menton, sa chevelure blanche se clairsemait et accentuait ses rides. Il paraissait plus vieux que ses soixante-quatre ans.
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Elle l’avait trompé et l’idée de reprendre la vie avec lui comme si rien ne s’était passé était inimaginable. Elle avait fait ce qu’il fallait. Alors, d’où lui venait ce sentiment de malaise, ce vide au fond d’elle ?
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L’idée de le tromper ne lui avait jamais traversé l’esprit. C’était pourtant ce qu’elle avait fait et elle ne regrettait pas son aventure avec Vincent. Ils s’accordaient si bien, elle ne s’était jamais abandonnée ainsi.
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Un homme, une femme, une première fois… Un premier baiser, des gestes pudiques, maladroits. Et le reste se noyait dans un rêve en apesanteur. Comment Camille avait-elle pu ne pas penser à Denis en cet instant ?
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Il aimait le parfum de ses cheveux qui sentaient les fruits, et du bout des doigts il esquissait des arabesques sur son corps ; il avait oublié le plaisir de sentir le grain d’une peau sous ses mains. En dépit de cette intimité, il n’avait rien appris d’elle… Souvent il la regardait avec insistance, avec une envie de la connaître, mais il craignait de poser des questions qui pourraient tout compromettre. Elle gardait tellement de mystère !
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Chaque aventure… Sans que rien l’ait laissé présager, Camille venait d’entrer dans sa vie et il ne définirait certainement pas cet événement comme une aventure.
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