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Critiques de Maryse Condé (336)
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Cahier d'un retour au pays natal : Césaire

Etant passée à côté du livre, j'ai tenté de lire le Profil pour mieux comprendre ce qui m'avait échappé, mais j'ai été une nouvelle fois déçue.

Le Profil commente beaucoup le contexte historique, politique et biographique (que je connaissais et que j'avais compris), et très peu le texte en lui-même (sur lequel j'avais buté).
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Chiens fous dans la brousse

Les jumeaux Naba et Malobali n'ont pas les mêmes centres d'intérêt que leur père: alors que ce dernier ne jure que par la chasse au lion, ils apprécient les arts, la musique... De passage dans un village où un célèbre griot se produit, ils échappent à la vigilance paternelle afin de profiter de leur soirée. Mais leur chemin croise celui d'esclavagistes qui les capturent...



Chiens fous dans la brousse adopte un angle d'écriture original: quand la plupart des romans parlent de l'esclavage en décrivant des êtres humains déjà captifs. dans le cas du roman de Maryse Condé, les sentiments d'impuissance et de désespoir des personnages - Naba, Malobali et, plus loin dans l'histoire, Ayodele - sont décrits en détail. L'auteure insiste également sur l'impuissance des pères, pourtant tous de rang social élevé, à sauver leurs enfants. Enfin, le roman nous permet de mieux comprendre la structure de la société malienne au XVIII° siècle et de combattre nos éventuels préjugés.



Pour autant, je n'ai pas éprouvé de plaisir particulier à la lecture de ce livre. Certes, les histoires se terminent toutes mal et l'on ressent bien la douleur des personnages. Mais ils sont peut-être décrits trop brièvement pour que l'on s'attache réellement à eux... Au final, le roman est intéressant mais peut-être encore trop proche du genre du documentaire.


Lien : http://livresetmioches.e-mon..
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Desirada

Je ne comprend pas très bien cela
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Desirada

Je n'ai pas vraiment aimé.

La fin est décevante. [On n'a même pas la réponse à la question posée dans tout le livre : qui est le père ?].

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En attendant la montée des eaux

Après l’adoption d’Anaïs, fille d’une réfugiée haïtienne, Babakar, né au Mali, part pour Haïti à la recherche de la famille de l’enfant.

Destins croisés de nombreux personnages hauts en couleur, ce roman attachant se quitte à regret.
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En attendant la montée des eaux

Babakar, médecin accoucheur malien par son père et guadeloupéen par sa mère, vit seul. Une nuit d’orage, il est appelé au chevet de Reinette, une jeune femme haïtienne vivant clandestinement en Guadeloupe. Emu par sa beauté, touché par sa mort en couche, il recueille le nouveau-né qu’il prénomme Anaïs. Elle lui rappelle sa propre fille tragiquement disparue. Il part bientôt avec la petite à Haïti pour accomplir la promesse faite à sa mère, sur les traces d’une famille, de son propre passé et d’un avenir…



Ce voyage, découverte d’un pays en ruine, traumatisé et sans espoir, est l’occasion de rencontres et de portraits de personnages poignants. Une succession d’histoires, de celle de Babakar lui-même, de son ami Hassan, de Zorhan, Fouad, Estrella… Autant de parcours chaotiques et tragiques, éternels fuites et renoncements. Et la présence constante de Thecla, la mère de Babakar, décédée et qu’on disait sorcière, qui accompagne son fils dans ses rêves, chose peu surprenante finalement à Haïti où vivants et morts vivent côte à côte.



Un roman envoûtant qui plonge le lecteur dans une atmosphère lourde et surnaturelle, qui heureusement finit par une note d’espoir. On retrouve tout l’univers magique et particulier de Maryse Condé.
Lien : https://familytripandplay.wo..
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En attendant la montée des eaux

Avec ce livre, je découvre la littérature des Caraïbes et quelle révélation!

Je connaissais l'écrivain Maryse Condé seulement de réputation.

J'ai vraiment été impressionnée par la puissance de son style, la force de ses évocations et son inspiration sans cesse renouvelée.

Maryse Condé a un parcours intéressant et riche : elle est d'origine guadeloupéenne et a étudié à Paris avant de vivre en Afrique au Mali, pays d'origine de ses ancêtres. Elle enseigne à l'Université de Colombia à New York et partage son temps entre New York et la Guadeloupe.

Dans son livre "En attendant la montée des eaux ", publié en 2010, elle se fait le porte-voix des exclus, de ceux qui connaissent la misère et vivent dans des pays soumis aux dictatures et aux changements répétés de Présidents, au gré des diplomaties des pays occidentaux, peu compréhensibles pour le commun des mortels de ces pays.

Trois héros dans ce livre: Babakar, l'Africain, à moitié malien par son père et à moitié guadeloupéen par sa mère; Movar le Haïtien et Fouad le Palestinien.

Trois héros aux origines très différentes au premier abord mais beaucoup de choses les rassemblent: le déracinement, le rejet par la communauté d'origine, l'incompréhension, l'exclusion et la perte de proches très chers dont ils n'arrivent pas à se remettre.

Le parcours de Babakar est étonnant : sa mère, d'origine guadeloupéenne et metisse, est mal acceptée par la communauté de son mari malien car elle a les yeux bleus et on la soupçonne de sorcellerie.

Elle va mourir jeune et continuer à dialoguer avec son fils au moyen des songes.

Babakar va connaître les soubresauts de la politique africaine: il va être pris dans le conflit opposant les "Nordistes" musulmans aux "Sudistes" chrétiens.

Les alliés d'un jour deviennent les ennemis du lendemain.



Babakar doit fuir son pays et se réfugie en Guadeloupe. Étant médecin il est amené à mettre au monde une petite Haïtienne dont la mère est agonisante et a perdu son compagnon journaliste lors d'un assassinat.

Il va adopter cette petite fille et décide de vivre à Haïti pour partir à la recherche des racines de sa fille adoptive.

Un roman magnifique qui montre les horreurs d'un monde "globalisé " où les héros n'ont plus aucun repère et subissent les aléas de la politique et des diplomaties occidentales.

Un magnifique livre sur le déracinement, la recherche identitaire et l'exclusion.

Bouleversant.

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En attendant la montée des eaux

C'est avec ce roman En attendant la montée des eaux que je découvre le talent de Maryse Condé. Née en Guadeloupe,diplômée de la Sorbonne en lettres classiques, elle a vécu longtemps en Afrique , Guinée, Ghana, Sénégal avant de rentrer en France et de se partager entre la Guadeloupe et les USA. Ce roman m'a littéralement envoutée . Je me suis laissée porter par l'écriture de Maryse Condé et par l'histoire de nos trois héros: Babakar le médecin, né au Mali d'une mère guadeloupéenne qui "fait peur" avec ses yeux bleus, Movar l'haïtien, analphabète ne parlant que le créole mais au coeur grand comme ça et Fouad le Palestinien établi en Haïti.Comment ces trois hommes se trouvent ils ? Pourquoi cette empathie entre eux ? Sans doute leur parcours chaotique, guerre, mort , misère , deuil, exil, leur envie d'aimer , de continuer à vivre si ce n'est pour eux que ce soit au moins pour les autres .

A travers le parcours de ces trois hommes c'est le parcours de centaines de milliers d'hommes femmes et enfants que Maryse Condé nous narre. Sobrement, simplement mais avec force les choses sont dites . Quand cette course au pouvoir, cette envie de détruire celui qui ne nous ressemble pas cesseront t'elles?

Un roman fort, douloureux, mais plein d'espoir, de tendresse ,d'amour et d'amitié . Un bien beau message .
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En attendant la montée des eaux

Un très beau roman d'une très grande dame de la littérature française, qui mériterait toute sa place.
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En attendant la montée des eaux

Reinette, une Haïtienne venue en Guadeloupe, meurt en accouchant d'une petite fille. Babakar, l'obstétricien qui l'a suivie adopte Anaïs. Ce médecin originaire du Mali a fui son continent de naissance secoué par les guerres et les luttes de pouvoir.

Ce solitaire est toujours hanté par le souvenir de sa mère, la Guadeloupéenne rejetée à cause de la couleur de ses yeux. Le bleu porterait malheur dans une Afrique où le sombre l'emporte. Thécla, cette forte femme, lui apprendra à mépriser les traditions pour être libre.

Poussé par Movar, l'ancien compagnon de Reinette qui devient son ami, Babakar emmène l'enfant en Haïti sur la trace de ses ancêtres.

Cette île des Grandes Antilles qui partage son territoire avec la République dominicaine est pétrie de croyances vaudou où les vivants et les morts cohabitent en bonne entente, corrompue par ses dirigeants et menacée dans son existence par la montée des eaux et les tremblements de terre. Ses habitants, si attachants, trouvent pourtant dans la création artistique un moyen d'échapper aux calamités qui les assaillent.

« En attendant la montée la montée des eaux » c'est l'histoire d'hommes et de femmes balottés et martyrisés par les circonstances de la vie et que l'amour et l'amitié parviennent à sauver de leur condition tragique. Le récit est rythmé mais les personnages manquent d'épaisseur.



EXTRAIT

L'Afrique est loin d'être cette-mère-pour-tous-au-sein-généreux que chacun vante. Aucune terre n'est plus inégalitaire et sans pitié pour les faibles.




Lien : http://papivore.net/litterat..
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En attendant la montée des eaux

Après avoir lu « L'histoire de la femme cannibale » et l'avoir apprécié, je suis à mon deuxième titre de Maryse Condé que j'ai savouré grandement en tant qu'un magnifique récit, envoûtant sans une intrigue captivante, brossant les réalités du Tiers-Monde, des guerres civiles en Afrique, de la misère endémique d'Haïti et de ses imbroglios politiques.



J'aime beaucoup le style d'écriture de Maryse Condé. En tant qu'haïtien, j'apprécie sa riche prose dans un français créolisé où à ma grande surprise elle n'offre aucune traduction française des termes créole haïtien et guadeloupéen. C'est ainsi que l'on doit lire des mots et expressions comme : « pyé bwa » (arbre), « natif-natal » (natif du pays), « poto mitan » (personne principale), « volan » (peut-être du créole guadeloupéen : sorcière) – comprenne qui pourra pour les non-créolophones !



Elle écrit dans un langage raffiné, visuel et très descriptif, quelque fois ironique et moqueur et vous fait voir le monde à travers ses yeux d'auteure antillaise, ayant vécu en Afrique et possédant une profonde compréhension d'Haïti (non pas « de Haïti ») sur son histoire et sa culture. Une recherche sur Wikipédia rapporte qu'elle entretient un lien viscéral avec Haïti. Cela est évident pour moi car il me parait lire une écrivaine haïtienne qui a une révérence pour le pays et le présente dans toute la réalité de sa grandeur historique comme de son présent décevant.



Elle décrit également le Mali, sa ville de prédilection Ségou qu'elle a déjà traité dans d'autres romans, le Liban et la Guadeloupe. On comprend l'origine des personnages principaux dans des chapitres où ils racontent leurs différents récits. On comprend alors ce qui les lie ensemble et perçoit leurs visions du monde. Cependant je n'ai pas encore compris pourquoi le choix du titre et le rapport avec le récit. Toutefois je commence à adopter Maryse Condé comme un de mes auteurs préférés et ai hâte de lire son autobiographie : « La vie sans fards » où elle raconte sa liaison avec le journaliste de renom haïtien : Jean Léopold Dominique. Ce roman-ci fut pour moi un vrai régal littéraire et je le recommande vivement !

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En attendant la montée des eaux

Il y a tellement de choses à dire sur ce livre ! Babakar, malien par son père, guadeloupéen par sa mère est médecin gynécologue obstétricien. Après moult péripéties, il quitte le continent Africain pour s’installer en Guadeloupe. Un jour Movar, un jeune haïtien le fait venir au chevet de sa compagne. Malheureusement la jeune femme ne survit pas à son accouchement, Babakar décide d’adopter l’enfant. Commence alors une toute autre aventure.



Authentique, les créolismes m’ont transporté aux Antilles. Dynamique, les tableaux se succèdent et m’ont tenu en haleine. Relations humaines, relations internationales, relations historiques...
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En attendant la montée des eaux

Quelle déception! J'aime beaucoup Maryse Condé, son écriture honnête et franche, et j'ai beaucoup aimé son auto-bio, que j'ai même étudié durant mes études de littérature.

Mais alors ce livre, une bouillie infâme. Une histoire sans articulation, des personnages qui se demandent s'ils ne se sont pas trompés de casting, des héros sans épaisseur, des situations sans direction. Je n'ai pas réussi à m'intéresser à leurs misères, aussi nombreuses fussent-elles. L'astuce de découper le livre en plusieurs récits a encore plus divisé mon intérêt. L'écriture en soi n'est pas mauvaise, c'est dommage.

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En attendant la montée des eaux

Un livre très prenant, qui invite le lecteur à suivre des personnages complexes et savoureux.

J'ai beaucoup aimé.
Lien : http://lirerelire.blogspot.c..
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En attendant la montée des eaux

J'ai aimé ce livre qui m'a fait voyager. L'auteur nous emmène en Afrique, en Guadeloupe et en Haïti, c'est très dépaysant. La trame principale du livre est l'histoire de Babakar mais dès qu'il parle d'un autre personnage, on en découvre aussi la vie. On découvre ainsi une profusion de personnages mais le livre est organisé de telle façon que cela n'est pas gênant, j'ai réussi à tout suivre sans trop m'emmêler.



Ce livre est facile et agréable à lire même si les histoires des personnages ne sont pas très gaies, il est en effet beaucoup question de déracinement, d'exil, d'attentats, de meurtres, de disparitions suspectes.



Babakar est un personnage attachant qui traverse des pays martyrisés par la guerre, il n'a pas la vie facile mais ne se laisse pas abattre.



Une belle lecture, de beaux personnages, j'ai donc passé un bon moment.




Lien : http://pages.de.lecture.de.s..
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En attendant la montée des eaux

Maryse Condé que l'on ne présente plus a réussi à me faire passer par différents stades d'appréciation tout le long des trois cent soixante-quatre pages.

J'ai croisé des personnages riches émotionnellement, des régions, des pays, violemment attaqués par des crises politiques, climatiques, on ne sort pas idem d'une telle lecture. Et cela fait un bien fou d'avoir entre les mains un livre qui s'exprime avec une telle force même si parfois on se perd un peu, mais ce livre vaut le détour.
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En attendant la montée des eaux

Babakar est Malien par son père et guadeloupéen par sa mère. Son enfance au Mali en pays Mandé est heureuse. Maryse condé fait référence à Ségou là où se trouve les racines de ses ancêtres, esclaves d'Afrique, qui furent conduits dans les caraïbes.



La mère de Babakar,Thécla, mourra alors qu'il n'est encore qu'un jeune enfant. Le souvenir de sa mère ne le quittera jamais. Elle lui apparaîtra dans ses rêves pour l'aider à choisir le chemin de sa vie et donner la bonne direction à son bonheur. Une étrange histoire entoure Thécal Minerve, femme noire aux yeux bleus.....



C'est ainsi qu'entre le moment de la naissance d'Anaïs, petite Haïtienne apatride, et avant leur départ pour Haïti, Babakar emmène le lecteur sur les traces de ses ancêtres, de sa famille. Il nous fait partager sa vie avant son arrivée en Guadeloupe. Rejeter en Afrique, tirailler par les guerres de clans, trahi par ses amis, Babakar fera le choix de quitter ce continent pour se rendre sur les terres de naissance de sa mère.



la suite sur le blog...
Lien : http://silvi.over-blog.com/a..
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En attendant la montée des eaux

En attendant la montée des eaux est ma première incursion dans l'univers de Maryse Condé.

On peut dire que l'atmosphère de son roman est au diapason du pays central de son livre : Haiti. Violence , Misère , Catastrophes naturelles , envoutement et humanité.

Maryse Condé a écrit un roman foisonnant , touffu , nous emmenant des Antilles , au Mali, au Moyen Orient et en Haiti.

Babakar est un médecin d'origine malienne qui vit en Guadeloupe

Movar est haïtien. Celui ci amène à Babakar une jeune femme ,Reinette ( réfugiée haïtienne ) qui est sur le point d'accoucher. Reinette donne naissance à Anais. Malheureusement Reinette décède à la suite de cet accouchement.

Anaïs et Babakar vont s'attacher l'un à l'autre, au point que Babacar va s'envoler pour Haiti à la recherche de la famille d'Anaïs.

De ce point de départ Maryse Condé va faire un roman envoutant traversé par la vie de trois hommes ( Babakar - Movar - Fouad) et de trois femmes ( Thecla - Alezia - Estrella ).

Peu à peu chacun de ces personnages va nous relater les étapes de sa vie.

Maryse Condé a eu l'excellente idée de ramasser ces étapes dans des chapitres uniques pour chaque personne et de les dénommer récits.

Des récits, des histoires comme peuvent en raconter des griots. Dans ces récits se télescopent la réalité mais aussi la légende , le spirituel, le subtil.

Et le lecteur de voyager entre animisme, vaudou contes et légendes de l'Afrique à Haiti.

Ce roman est aussi et surtout un roman d'humanité. Une humanité déracinée, ballotée entre des régimes politiques , des misères physiques et morales. Comment s'affranchir de sa condition mais aussi de son passé.

En attendant la montée des eaux.... Tout un symbole.
Lien : https://auventdesmots.wordpr..
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En attendant la montée des eaux

Une belle écriture que celle de Maryse Condé, très colorée ; de la poésie à toutes les pages. C’est un joli livre, même s’il ne m’a pas entièrement convaincue, je ne saurais pas dire pourquoi. Je pense qu’il trouvera néanmoins son public.
Lien : http://therewillbebooks.word..
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En attendant la montée des eaux

Babakar a du fuir le Mali en pleine guerre civile. En Guadeloupe, accompagné de l’esprit de sa mère défunte, il vit paisiblement jusqu’à ce que le destin mette entre ses mains la vie d’une petite orpheline d’origine haïtienne. Soudainement rejeté par la population, il choisit de partir pour Haïti, sur les traces de la famille de la petite.



J’ai aimé ce roman foisonnant et envoûtant qui m’a fait voyager entre l’Afrique, la Guadeloupe et Haïti. Un petit regret : j’aurais préféré que l’histoire se concentre sur Babakar et que les personnages secondaires prennent moins de place dans le récit. Cela dit, d’un point de vue géopolitique, le roman est passionnant. Bien que ce livre soit présenté comme une fiction, le rapprochement avec certains faits est troublant. La plume est vive et colorée.


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