Ewa, c'est un roman estampillé thriller, entre fantastique, gore, horreur et young adult.
Notre petit Ewa débarque dans un pensionnat qui ne lui veut pas du bien, et vu qu'elle est "différente" (c'est-à-dire, elle a des pouvoirs dangereux qui font bien flipper), elle va en baver.
Genre vraiment en baver.
Humiliations, privations, tortures... Tout y passe pour faire comprendre à Ewa qu'elle est clairement persona non grata.
Mais... (car il y a toujours un mais)
Mais Ewa a bien décidé de ne pas se laisser faire. Attention, ça va chier.
En fait, ce roman, c'est comme un gâteau à 3 étages recouvert du plus merveilleux des glaçages, qui se révèle sec et sans goût à la dégustation. Grosse promesse, mais rien à se mettre sous la dent.
Ewa (le roman ET le personnage principal) accumule les clichés, les facilités et les bourdes scénaristiques qui font de ce titre un moment plutôt désagréable à passer.
Pourtant, on se laisse clairement porter au début : l'ambiance est mystérieuse, le ton très glauque et on se prend au jeu de cet asile de fous et de ses secrets.
C'était sans compter Ewa (le personnage principal seulement ce coup-ci) qui est une héroïne comme je les déteste : inconsistante et girouette à souhait.
Elle change du tout au tout en l'espace de quelques pages pour le bien de l'histoire. Très pratique pour faire avancer le récit, ou le faire reculer.
Un exemple m'ayant particulièrement marqué : Ewa arrive à faire évoluer sa situation de façon assez spectaculaire en l'espace de quelques pages. Sauf qu'elle s'est quand même faite malmenée (quasiment tuée en fait) depuis son arrivée au pensionnant.
Clairement, on s'attend à ce que la demoiselle soit en état de choc, avec quelques "PTSD" sévères, ou à minima qu'elle reste méfiante.
Et bien non, Ewa prend une CONFIANCE, encore pire qu'Afida Turner. En quelques chapitres, j'ai eu l'impression qu'on m'avait remplacée l'héroïne par sa soeur jumelle sortie de "Lolita malgré moi", version Shutter Island.
La dernière partie s'enchaîne sur son lot de révélations et de gores, pour s'ouvrir sur une fin ouverte, pleine de "suspeeeense", avec une Ewa version Marie Ingalls cette fois-ci, à nouveau très éloignée de tous les jalons de sa personnalité développée plus tôt.
Pour faire court (pas trop au final, mais chuuut), Ewa est en effet particulière, mais sûrement parce qu'elle souffre d'une personnalité multiple, et pas parce qu'elle ne peut pas se regarder dans un miroir.
Vraie question : y a-t-il une suite à ce roman ? Je n'ai jamais cherché à le savoir, car malgré la fin ouverte, j'étais tellement heureuse de refermer ce livre que je n'avais aucune envie de m'y plonger à nouveau.
Je me suis retrouvée par hasard avec un autre livre de l'auteur entre les mains, que j'ai arrêté au tiers tant les personnages me gonflaient, et je n'ai que tardivement connectée que c'était en fait le même auteur qu'Ewa.
Conclusion : Matthieu Biasotto, ce n'est pas ma came.
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Avec ses personnages névrosé (j’ai détesté Perrine qui avait un comportement incompréhensible), cette lecture ne m’a pas trop emballé, à mes yeux le scénario ne tient pas la route et tout est un peu trop spécial pour moi et sur la fin c’est vraiment glauque. Malgré un retournement final bien trouvé, cette lecture fut une mauvaise pioche pour moi.
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❤
Livre inclassable, no en fait tu peux le classer partout
Thriller psychologique, fantastique, philosophique, développement personnel, contemporain, romance
Mon 1er de l'auteur et pas le dernier, j'appréhendais sa plume, vu que l'auteur sort plusieurs livres par an. Je peux que constater qu'il a du talent. Bravo et merci
Cette histoire m'a fait penser au film Ghost, oui un de mes film préférés.
Quel est votre préféré de l'auteur ?
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🖤 Tearon 🏍
✒️ Mon avis :
Sur les vastes horizons d’Écosse se déroule une histoire d’amour plongé dans un thriller de bikers.
L’environnement mafieux des motards qui se veut familial, enchaîné par la hiérarchie et les obligations sur l’honneur, trace des chemins de sang sur le bitume de la vie. Cela nous offre une intrigue sombre, oppressante, pleine d’action, mais si captivante que l’on est prêt à affronter les enjeux mortels et éprouvants pour rallumer les phares de l’amour.
Loin de la violence, la poésie qui se dégage de la relation amoureuse, de leurs moments intimes et érotiques, tout en douceur et en pudeur, sont le réconfort mérité au milieu de cette lutte acharnée.
Qui se ressemble s’assemble comme nos deux amants, mais les opposés s’attirent comme dans ce roman.
Au commencement vint la mort, amenant Tearon a hérité malgré lui du rôle de chef des Saighdear Fala, les bikers écossais. Son cœur déjà en peine doit faire face au retour détonnant de Cienna, celle qui l’aime, mais qui l’a détruit. Cette seconde âme meurtrie par la vie, ravive et exacerbe sans le vouloir de vielle rivalité menaçant leur existence.
C’est l’aventure de deux êtres abîmés et torturés, que la vie n’a pas épargné, qui se retrouve après des années de séparations, avec chacun sa colère et sa rancœur. Tearon se laisse lentement détruire, subissant les pertes, les silences et les vérités cachées. Cienna, quant à elle, échappa à l’enfer et dut s’exiler contre son gré, mais à jamais blessée.
Bien que balafré jusque dans leur chair, leur volonté de survivre ensemble et d’aider leur proches face à l’adversité illumine notre lecture, nous donnons l’espoir de jour meilleur pour ses personnages au grand cœur.
Cette histoire imprévisible m’a étonnée, envoûtée, déboussolée, et même anéantie, au rythme des actions, des dangers et des révélations mettant à vif mes émotions.
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Victime d'un accident de moto, Thomas se retrouve entre la vie et la mort, guidé par TK, un enfant qui leui découvre des pans de sa vie.. IL réalise tous ses manques et . Ces electrochocs vont-ils changer sa vie à jamais. Sortira-t-il du coma...Et en fait, son accident avait -il une cause, autre que la vitesse! J'ai été profondément touche pas toutes les interrogations de Thomas qui nous ramènent aux notres. C'est un livre addictif, qui fait réfléchir à notre manière de vivre.
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Si vous avez envie d’un livre qui donne le smile du début à la fin. Je ne peux que vous recommander l’histoire d’Håkøn, ce suédois beau gosse, hétéro, séducteur, baratineur qui a la phobie des suppositoires ( oui c’est un trait de caractère important à préciser 😂)
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De nouveau au chômage, il est prêt à faire n’importe quel job qui lui permettrait de pouvoir assumer son père. Il va donc se faire passer pour un homosexuel afin d’obtenir un job dans une agence de pub qui a la réputation de n’embaucher que du personnel gay.
Mais c’est sans compter sur Suldrün, la fille du patron ( et seule hétéro de la boîte) qui sent bien qu’Håkøn n’est pas celui qu’il prétend être et elle est prête à tout pour découvrir ce que ce beau gosse cache.
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J’ai adoré l’humour, parfois à double sens des personnages. A chaque page j’avais le smile jusqu’aux oreilles tellement le livre est frais et drôle.
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Au contact l’un de l’autre, Håkøn et Suldrün évoluent. L’histoire prend un tournant assez inattendu dans le dernier quart et cela ajoute une pointe de tendresse au milieu de tout cet humour.
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A travers l’humour et l’amour, l’auteur fait également passer de jolis messages.
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En résumé, si vous aimez le froid, là pub, les licornes et les bretzels mais que les suppos ce n’est pas votre truc, je vois conseille de découvrir ce livre qui est à mourir de rire.
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Ayant pris l’habitude ces derniers mois d’entrecouper mes lectures issues de l’édition traditionnelle avec des lectures d’auteurs indépendants, je me suis laissé tenter par ce premier titre de Matthieu Biasotto parce qu’il semblait disposer d’une notoriété importante dans le milieu indépendant et que j’étais curieux de voir ce dont il était capable. Comme j’ai eu de très bonnes surprises et même découvert de véritables talents parmi les indés, j’abordai cette lecture en toute confiance.
Et, je dois le dire, je suis tombé de haut.
D’abord, sur la forme : il demeure de nombreuses coquilles (souvent des omissions de mot), des passages entiers sont dans une typographie plus petite que le reste du livre. Lorsqu’on s’exclame (ce qui arrive souvent), un point d’exclamation ne suffit pas, il en faut deux, voire trois ou quatre. Il en est de même avec les points d’interrogation lorsqu’on s’interroge, d’ailleurs. Et le mélange des deux est assez usité, comme dans une BD. Les majuscules d’imprimerie sont utilisées à tout bout de champ, dès qu’un personnage insiste ou gueule, ce qui arrive là-encore souvent. Un paragraphe entier en MAJ ? Ça ne l’arrête pas.
L’auteur ne se sent pas concerné par la concordance des temps. Il passe du passé au présent et du présent au passé à chaque instant, plusieurs fois par paragraphe, voire dans une même phrase, et c’est extrêmement perturbant.
Le style tourne très souvent à la rafale ininterrompue de phrases de 3, 4 ou 5 mots. Très souvent nominales, les phrases, ce qui peut aller presque jusqu’au style télégraphique.
Sur le fond, ensuite. Le livre n’est pourtant pas bien long, mais beaucoup de pages sont dépensées à nous répéter des choses que l’on sait déjà ou que l’on a forcément devinées, et à nous dire des choses parfaitement inutiles ou évidentes. Mention spéciale pour les textos que les personnages s’envoient, que l’on va retrouver texto, c’est le cas de le dire, en encadré s’il-vous-plaît. Idem pour le texte du billet de train SNCF (!) qu’un personnage va prendre, idem pour le rapport détaillé d’autopsie qui n’apporte strictement rien à l’histoire.
Les approximations techniques également sont légion, et font désordre dans un polar : par exemple, la victime meurt le matin, dès l’après-midi son autopsie a déjà eu lieu et le rapport est prêt. Et pour la deuxième victime, une nouvelle autopsie a lieu pour une victime d’un accident de voiture, à un moment où le lien entre cette victime et le suspect n’est pas connu, l’auteur le dit bien. Or, on n’autopsie pas en principe les victimes « ordinaires » d’accidents de la circulation.
On touche le fond, et cela a déjà été souligné dans d’autres critiques, sur la relation entre le capitaine Tourrié et sa subalterne, le lieutenant Sanchez.
« Sa peau en éveil. Ses sens à l'affût des moindres gestes de son supérieur. Elle est sa chose. Elle est le feu, il est sa glace. Elle est liquide, il est solide... » (sic)
Donc la policière en pince pour son chef et cela semble réciproque, au point qu’elle s’aventure à lui faire une petite gâterie dans la voiture, sur un parking, ce qui lui vaut de se faire jeter. Ils vont jouer au chat et à la souris ainsi quelques temps, tout en continuant brillamment leur enquête, comme ici :
"Sanchez ouvre la porte avec un coup de pied violent" (... puis, trois lignes plus loin...) "Sanchez porte son index aux lèvres pour indiquer à son capitaine de rester silencieux" (sic)
Il faut préciser qu'ils débarquent tous flingues dehors dans la chambre d'hôpital du mec parce qu'ils pensent qu'il risque de tuer une fille, Élise. On le sait depuis longtemps, puisque l'auteur nous a fait le coup de l'idée fulgurante et du rodéo en bagnole pour essayer de la sauver.
Et donc après avoir défoncé la porte, Sanchez demande à son capitaine de faire silence, braque son flingue sur le lit qui est... vide.
Et là, le capitaine s'écrie :
– Elise ! P***** ! Il va la tuer !
Ou là :
« Elle plonge dans la voiture [sérieusement ? La tête la première ?]. Met le contact et pulvérise la pédale d'accélération. » [Ah zut, ça c'est moche. On aurait dû lui expliquer qu'elle était Robocop et que sa jambe d'alliage pesait 1500 kg. Va falloir qu'elle y aille à pied maintenant !]
Sanchez l’amoureuse transie va encore se faire jeter une ou deux fois, faire quelques crises d’hystérie, menacer de démissionner (!), laisser entendre à ses collègues qu’elle a fricoté avec le capitaine (!!), avant que, finalement, il ne l’emmène chez lui dans le noir, n’allume la lumière et lui dise :
- Voilà, bienvenue chez toi Stéphanie ! (en fait je t’aime depuis le début, nianiania, la dernière qui est entrée ici c’est ma femme, nianiania, mais elle m’a quitté depuis 15 ans !)
De toute évidence, notre capitaine a absolument tout compris à la psychologie des femmes. Et l’auteur aussi, vu qu’en plus, ça marche !
La fin relève un tout petit peu le niveau, avec un chassé-croisé entre le présent et le passé qui explique certains détails qui nous avaient échappé sur le coup. Sans être révolutionnaire, c’est plutôt bien pensé et cela permet de raccrocher à peu près les morceaux du puzzle d’une intrigue qui n’est somme toute pas forcément mauvaise, mais quand même ultra-classique, et surtout très malmenée par les nombreuses scories susdites.
Le seul léger moment d’empathie que j’ai eu aura finalement concerné les coupables, et la raison pour laquelle ils ont mis en œuvre toute cette machination.
Pour parachever le tout, on introduit le surnaturel, mais sans la moindre explication à la clé, et le tout finit en énorme queue de poisson.
L’auteur nous donne quelques explications dans sa postface sur sa façon de voir les choses, et j’ai notamment retenu celle-ci :
« Mon écriture est accessible et je l’assume. »
Un joli euphémisme que voilà, en fait. L’écriture des collégiens est « accessible », elle aussi, mais ils n’ont pas la prétention de la vendre.
En conclusion, l’auteur pourrait sans doute faire du Marc Lévy, à condition de bénéficier d’une armée de correcteurs pro, ce qui doit être le cas maintenant puisque je me suis laissé dire qu’un éditeur venait de s’emparer de lui.
Et en tout état de cause, laisser en ligne quelque chose d’aussi inabouti est, pour moi, une faute inexcusable pour quelqu’un qui a l’ambition d’être un écrivain professionnel.
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Une très belle découverte, j'aime beaucoup la plume de cet auteur. Il nous emmène dans son univers, son récit ne m'a pas laissée indifférente. Sa plume est fluide, les chapitres sont courts difficile pour moi de lâcher cette lecture. Les personnages sont attachants malgré leur histoire assez poignante. Je suis conquise par cet auteur.
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Une histoire sur fond de Bretzel, de licorne, de boules de neige, de parapluie (j'ai adoré ce symbole la pluie apparaît encore au coin de mon oeil en y songeant), d'hélicoptère particulier, de sucettes, et j'en passe...
Des moments drôles, des moments fous, des moments tendres, des moments touchants...
Une histoire qui fait du bien au coeur.
Allez risquer un orteil (sans vous le cogner) du côté du froid scandinave vous en sortirez avec des étoiles dans les yeux
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Autant j'aime les romans du genre thriller de Matthieu Biasotto, autant j'ai du mal pour les romances.
Celui-ci, je n'ai pas pu le terminer, ou, même pas pu le commencer !
Un chapitre sur le lavement échoué du héros, whaou, on va où ? Je ne le saurai pas et ne veux pas le savoir.
Je laisse les fans de ce genre de roman le commenter et l'aduler. Malheureusement, l'auteur ne reviendra, à priori pas, aux Thrillers, il va donc falloir que je me penche sur d'autres auteurs de ce genre.
Les dames ne sont pas en reste puisque j'ai découvert Céline Denjean grâce à une AlphaLectrice de cet auteur, autrice à son tour. Merci donc Céline Servat ;-).
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Tearon est chef d’un gang de motards, et depuis la mort tragique de son meilleur ami (ancien chef de ce même clan), il part à la dérive et entraîne les siens avec lui.
Mais le jour où son ex refait surface avec un colis pas comme les autres, les emmerdes vont s'enchaîner et le sang va couler à flots.
Un couple dont la rupture a été quelque peu inattendue, avec des non-dits qui les ont précipités un peu plus rapidement vers cette séparation. Une cassure trop nette, mais surtout lâche qui laisse trop de rancune et de colère, et quelques chapitres vont permettre de s’expliquer et de se pardonner.
Il n'y a pas de scène de sexe à outrance comme dans beaucoup de livres de bikers, j'irai même jusqu'à dire que la toute première, qui n’arrive qu’à la moitié du livre, est assez tendre et poétique.
La brutalité viendra d’une guerre de gangs en périphérie de la romance et les pires saloperies seront faites, le but étant d’exterminer l'adversaire, peu importe les moyens utilisés, et encore moins le nombre de morts.
Des personnages très torturés qui traînent un lourd passé, autant commun qu'individuel, une romance douce et brutale en même temps.
Un livre choisi au hasard, car il me fallait un auteur masculin de romance pour un challenge, et je suis heureuse d'être tombée sur une histoire prenante, avec des personnages travaillés, de l’action, et surtout du suspense.
Je ne regrette pas mon choix et je pense que je lirais à nouveau cet auteur.
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Une romance sous tension au moins autant que l’intrigue, obscure et dangereuse, qui nous accule dans les affres de la perversion dans les hautes sphères des cols blancs. Nous côtoyons des héros meurtris, sanguins mais futés, brisés mais aimants, tout en muscle ou en ruse (voire les deux en bonus), on a affaire à une équipe soudée et malmenée dont le combat finit par presque devenir le nôtre tant on retient notre souffle puis qu’on s’égosille quand tout part en quilles ! Si j’ai bouillonné à plusieurs reprises (non pas à cause des scènes érotiques) c’est parce qu’à chaque fois que les antagonistes remportaient une manche cela revenait à me clouer la poitrine. Alors pour le coup, la fin, ma mamia ! j’ai presque bondi de mon siège ! Si j’ai été longue au démarrage, c’était pour mieux m’enliser dans la suite tout feu tout flamme qui m’a tenue en haleine jusqu’au dernier round, et quel K.O. ! Ma-gi-stral.
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J'ai été très impressionnée par l'analyse très fine que l'auteur a faite pour chacun des personnages de son roman.
Cette histoire nous touche obligatoirement car il y est question du deuil impossible à faire tant que la "justice" n'aura pas été rendue ,à savoir le basique oeil pour oeil.......qui pousse des gens sans histoire à commettre des horreurs. Je pense qu'on les comprend sans les approuver.
Les thèmes du Pouvoir, de la Dépendance à diverses substances sont traités aussi intelligemment.
Il faut lire ce roman afin d'essayer de trouver sa propre réponse à ce que nous aurions fait.
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Ce livre est d'utilité publique. Tout est très bien expliqué, se lis facilement. Pas besoin d'adhérer ou de croire à tout, je pense que le lire et prendre conscience des différentes ramifications qu'il existe dans le monde est un premier pas.
J'avais conscience de beaucoup de choses , ce livre m'a permis de faire de liens , de mettre des noms et de découvrir d'autres ramifications dont je n'avais aucune conscience.
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