Citations de Mélodie Chavin (79)
J'aime sentir ses paumes chaudes contre moi, j'aime renifler l'odeur de sa peau, j'aime sentir son cœur battre contre la poitrine. J'aime absolument tout. Et je l'aime plus que tout.
Lexy
La vie est une chienne. Il vaut mieux être un pitbull, la dresser avant qu'elle n'ait le temps de te bouffer. Telle est la devise.
Calum
Bien entendu j'aimerais revivre certains moments, mais j'aime ma vie maintenant, j'aime mon évolution.
Je n'ai pas peur de grandir encore,moins de mûrir et de vieillir. La vie est faite ainsi. Alors oui, j'ai parfois envie de revivre certains moments passés, mais ceux que je vis là s'impriment dans la mémoire
Lexy
L’amour, c’est pour les autres, et c’est très bien comme ça.
Je t’en prie, lâche prise, toi aussi. Tombons ensemble.
La seule chose que j’ai toujours faite, jusqu’à maintenant, c’est fuir pour ne plus penser.
Son œil vert et son œil bleu réveillent les papillons dans mon ventre.
Elle a réussi à entrer là où personne n'a jamais réussi à pénétrer. Mon cœur.
Victoire, à toi seule, tu es un soupçon de timidité, une pincée de rires et beaucoup de piquant. ,
Mon cœur s’arrête. Enfin non, sinon je serais morte, mais…
Il est vraiment beau.
Encore plus de près.
Correction : mon cœur cogne fort.
Comme un malade.
Pourquoi, je ressens tout ça, d’abord ?
La vie est une chienne. Il vaut mieux être un pitbull, la dresser avant qu’elle n’ait le temps de te bouffer. Telle est ma devise.
« Et voilà notre bande d’amis une fois de plus réunie, une bande indestructible dont le lien fort qui les unit les mènera à s’aimer pour la vie. »
« – Je n’ai jamais vraiment eu de famille, Lexie. Alors oui, te dire que je n’ai pas peur serait te mentir, mais je suis prêt maintenant, prêt à toi, pour toi. Prêt à t’aimer chaque jour que la vie nous offrira. L’ancien Calum aurait pris ses jambes à son cou en découvrant ça, mais le nouveau, celui que tu as fait de moi, se sent tellement submergé qu’il ne sait pas comment mettre de l’ordre dans ses sentiments afin de te dire à quel point il est profondément heureux que tu lui offres la chance de construire sa propre famille à lui. À nous. »
« – Je suis désolée Calum d’avoir semé la zizanie entre vous.
L’homme que j’aime me relève le menton et m’oblige à le regarder.
– Eh, ne le sois pas, tu es la plus belle chose qui me soit arrivée.
– C’est vrai ? lui demandé-je, le cœur au bord des lèvres.
– Oui. « Je ne suis pour toi qu’un renard semblable à cent mille renards. Mais, si tu m’apprivoises, nous aurons besoin l’un de l’autre. Tu seras pour moi unique au monde. Je serai pour toi unique au monde… »23 »
« – Quand tu as enfin fait la connaissance de Lexie quelque temps plus tard et qu’elle t’a tapé dans l’œil, je n’ai pas voulu m’opposer. Je l’avais cernée dès le début : elle n’était pas de celles qui se contentent d’un coup d’un soir. Alors, malgré le fait qu’elle m’intéressait, j’ai préféré te la laisser. Je ne souhaitais pas de relation, je ne pensais qu’à baiser, alors que toi, toi, t’es un mec bien, dit-il en posant sa paume sur l’épaule de son ami. Toi, tu étais parfait pour elle. Alors, j’ai fermé ma gueule et je t’ai laissé sortir avec. Pour que la sentence soit moins difficile, j’ai rendu la vie de Lexie impossible afin qu’elle me déteste le plus possible car, de cette manière, j’étais sûr et certain que jamais, jamais je ne craquerai. Mais j’ai échoué, j’ai quand même craqué… »
« – J’ai brisé notre pacte, tout ça sans savoir que tu avais encore des sentiments pour elle, et j’en suis vraiment, sincèrement désolé. Je n’en suis pas spécialement fier, mais aujourd’hui, si on en est là, c’est parce que je l’aime, et qu’elle en vaut la peine. »
« – Calum… parle-moi, l’imploré-je.
– Je flippe, ouais là, je flippe à mort Lexie, mais la seule chose que je vois, la seule chose qui soit plus forte que cette peur, plus fort que tout, c’est que tu vas m’offrir ce que je n’ai jamais eu : une famille, souffle-t-il. »
« Pourquoi tu réagis comme ça ? Ça fait six ans qu’on n’est plus ensemble, Scott, et ne me dis pas que c’est votre foutu pacte, parce que je n’y croirais pas ! lancé-je.
Scott se fige, puis se tourne dans ma direction.
– Parce que je t’aime encore, Lexie !
– Quoi ?
Dans le coin de mon œil, je vois Calum s’accroupir, puis plaquer les mains contre son visage en soupirant.
– Ouais, je suis con, hein… J’ai toujours nourri l’espoir en moi que quand tu rentrerais de New York, on pourrait tout reprendre là où en était.
– Mais Scott… soufflé-je. »
« Aujourd’hui, si je devais faire un choix, je sais que celui-là se porterait sur Lexie. Putain, c’est horrible de penser ça. Je me sens honteux ! Scott est mon frère depuis toujours, et pourtant… Lexie, Lexie… Elle est clairement plus qu’un désir d’adolescent, plus qu’une passade de vacances, plus qu’un beau petit cul ou une belle paire de seins, plus qu’une beauté, plus qu’un diamant brut. Elle est celle qui m’a fait recouvrer la vue, et rien que pour ça, je lui en serais éternellement reconnaissant. On s’était toujours promis avec Scott qu’aucune femme ne passerait jamais avant notre amitié. Pourtant… j’ai failli à ma promesse. »
« – Je suis désolé, Lexie, et je suis aussi désolé de m’être comporté avec toi comme un enfoiré, et cela va bien au-delà de cet après-midi avec la fille au bar, bien au-delà de nos vacances ici. Je sais que tout remonte à nos années au lycée. J’ai été un connard car tu me plaisais et je ne pouvais pas t’avoir. Du moins, je n’avais rien de bon à t’apporter. »