On n’est jamais à l’abri de rien, c’est sûr. Mais on ne peut pas vivre constamment dans la crainte du pire. Il faut se faire confiance et faire confiance aux autres. Quand on fait de son mieux et qu’on garde la foi, tout se passe bien.
J’avais l’impression d’être celle que je rêvais d’être. Plus intelligente, plus drôle, plus jolie, plus femme, plus intéressante. J’ignore pourquoi. Sans doute parce qu’il m’écoutait toujours avec beaucoup d’attention et qu’il me dévorait des yeux…
Il y a des moments qui valent la peine mais il faut en payer le prix, et je veux être un de ces moments.
J’avais l’impression d’être celle que je rêvais d’être
- Promets-moi de ne pas vivre avec des regrets. Ils vous poursuivent jusqu'au bout. Je ne te souhaite pas ça.
Il n’empêche que de mon temps les jeunes femmes ne fricotaient pas avec des messieurs en dehors des liens sacrés du mariage, et l’on évitait ainsi ce genre de désagrément. Les femmes modernes n’ont aucune retenue, et ce sont les enfants qui trinquent !
Quand tout va très mal, quand elle sent que trop, c’est trop, elle se remémore son bonheur passé… Et que, quand elle se sent à bout de résistance, elle tient un petit moment de plus, et elle sait alors qu’elle peut tout endurer… C’est tellement vrai.
Kat n'avais pas envie qu'on s'occupe d'elle. Quan à "se caseré, elle en frémissait. Elle avait désiré Oliver longtemps, intensément, mais à forece de réprimer ses sentiments (comme le lui rabâchait sa copine Lizzie, dont le fiancé était psy) elle avait tout détraqué. Elle avait raté sa chance avec lui des années auparavat et n'osait plus envisager de passer sa vie à ses côtés. Le psy en question avait sur le sujet un tas de théories.
Un ami, un vrai – il ne faisait pas semblant ! Et quand on avait un ami comme ça, même un seul, ça suffisait.
Tout le piment des liaisons tenait à leur clandestinité, et non à une quelconque intensité de sentiments.