Michel Ocelot

Une belle histoire de la collection des Contes de la nuit (superbes ombres chinoises) dont il faut impérativement voir aussi le film (toujours réalisé par Michel Ocelot).

Eh oui, malheureusement, encore un album que je vais devoir désherber et mettre au pilon dans la petite médiathèque pour laquelle je travaille (mais que mes jeunes lecteurs soient rassurée, je possède dorénavant une autre version de cet album qu'ils pourront donc toujours venir découvrir, que ce soit seuls pour mes jeunes lecteurs ou avec leurs parents pour les plus petits.



De Kirikou, je ne connaissais que la version animée (et encore cela remonte à un certain temps déjà et je me rappelle vaguement ne pas avoir accroché avec celle-ci mais j'aurais été incapable de vous en faire un résumé). Aussi, cette petite piqûre de rappel via la version imprimée ne m'a-t-elle pas fait de mal et permis de me réconcilier un peu avec l'histoire en elle-même. Il est vrai que ce sont les dessins qui m'avaient à première vue dérangée (je parle ici toujours de la version en dessin animée) à tel point qu'en fin de compte, je n'avais pas tenu grand compte de l'histoire. Ici, effectivement, c'est étrangement l'inverse qui s'est produit. Même s'il est vrai que je ne suis tours pas fan du graphisme, j'ai trouvé une grande sagesse dans le conte en lui-même puisqu'ici, tout comme dans les fables de Monsieur Jean de La Fontaine, Michel Ocelot nous prouve une fois de plus que ce n'est pas la taille qui fait la valeur d'un homme mais bien sa ruse et son intelligence !



Si vous aussi, vous voulez découvrir pourquoi la sorcière Karaba est aussi méchante (il y a toujours une explication rationnelle à tout pour un peu que l'on prenne la peine d fouiller un peu), je ne peux que vous inciter à découvrir cette version imprimer et à la faire découvrir autour de vous même si pour ma part, et ce, toujours en raison du graphisme avec lequel, je sais que je vais me répéter mais tant pis, il n'y a rien à faire, je n'accroche pas ! Une lecture agréable néanmoins !

Une jeune fille va être transformée en biche sous les yeux de l’homme qui l’aime. Comment la retrouver parmi les autres ? L’histoire n’a rien d’originale. Cet album vaut vraiment le coup d’œil pour sa magnifique illustration. Des ombres qui font un arrière-plan lumineux ou des dessins symétriques.

Vainqueur de multiples épreuves grâce à sa ruse, Ti Jean gagne le droit d'épouser la Belle-sans-Connaître. Mais, ce monde souterrain, bien qu'attrayant, Ti Jean le trouve inférieur à celui, bien réel dans lequel il vit avec sa promise. Michel Ocelot nous a mijoté une histoire à dévorer : vous m'en direz des nouvelles !

Réciprocité, témérité. Kirikou le vaillant n'a de cesse de nous surprendre par la justesse et le naturel de ses actions. Le chèche bleu devient un symbole fort de l'acceptation de l'autre. Graphisme tout simplement lumineux, peut-être plus encore que les autres Kirikou.

J'avais acheté ce livre pour mon fils aîné il y a quelques années et je n'en gardais pas vraiment de souvenir. Je viens de ressortir ce livre de ma bibliothèque et j'ai lu cette histoire à mes deux plus jeunes enfants. (7 ans et 5 ans). Moi, j'ai beaucoup aimé. Les légendes africaines, la sorcière, le bébé Kirikou, c'est magique. Les dessins sont beaux. Pour moi, c'est un beau livre.

Ma fille de 7 ans a aimé aussi. Mon loulou de 5 ans, lui, posait beaucoup de questions. Ca l'a intéressé mais il n'a sans doute pas compris grand chose.

Ils ont été attentifs durant la lecture mais n'en redemandent pas. C'est un peu compliqué pour des jeunes enfants, me semble-t-il. A relire dans quelques années, peut-être.

Comment naît une vocation ? Les enfants nous cassent tous les oreilles. Aussi, nous les invitons plus ou moins courtoisement, avec plus ou moins de conviction, à mieux « canaliser leur énergie » à préparer déjà (ce n'est jamais trop tôt !) leur avenir, à trouver leur place dans le monde. Notre garçon tam-tam a raison d'y croire, même quand les autres se sentent perdus. Nous ferions mieux de le lire.

J'ai revu récemment le merveilleux film de Michel Ocelot, et je me suis dit que ça valait la peine, de chroniquer un des livres que nous avions acheté par la suite. Bien sûr c'est différent du film, on n'entend pas les voix extraordinaires de Jenane, les chants très doux et beaux du début à la fin, mais c'est une jolie découverte de cette très et puissante histoire. Un moyen âge où le Maroc permettait une cohabitation entre juifs, musulmans et autres croyants, une période avec des érudits, et tellement de beauté.



L'histoire débute en France, un petit seigneur embauche une nourrice pour son fils. C'est Jenane qui l'élève comme son enfant avec son propre fils.



Elle leur conte l'histoire de la fée des djiins, et de celui qui la délivrera.





Les deux garçons vont grandir, être séparés, mais Azur, fera le voyage de l'autre côté de la Mer et nous ferons avec lui toutes les découvertes,les retrouvailles et l'aventure rêvée des deux garçons.



Comme toujours chez Michel Ocelot, se mêlent bien, la symbolique des contes, avec un brin d'humour, beaucoup de délicatesse et de la culture de plusieurs civilisations.

C'est un grand artiste qui fait du bien et du beau.

J'ai beaucoup apprécié cette histoire, qui m'a paru très originale ; notamment par ses magnifiques illustrations, ses écritures en arabe le parsemant de temps à autre.

Beaucoup de parties de cet ouvrage m'ont plu par le lien émotionnel qu'elles dégageaient, comme les retrouvailles d'Azur avec sa nourrice.

Les personnages m'ont beaucoup plu, dont les créatures, qui correspondaient bien à nos deux héros, et un énorme coup de cœur pour la princesse Chamsou-Sabah ♥♥ !!!



Je vous recommande cette lecture ♥♥♥♥♥ !!!

Très beau conte et très bel album, une adaptation de type "La Belle et la Bête", version loup-garou. Les illustrations sont vraiment jolies et le conte, malgré le fait qu'il soit très prévisible, reste intéressant pour les enfants comme pour les adultes.

Dans la même collection que La Fille-Biche et le Fils de l'architecte, et que Le Loup-garou, Michel Ocelot nous entraîne cette fois dans une histoire de monstres. Ils sont affreux ces monstres, même en ombres, ils font vraiment peur avec leurs multiples bras, leurs crocs aiguisés... Heureusement une fillette découvre qu'elle a le pouvoir de les faire disparaître. Elle va peut-être enfin réussir à quitter le centre de la terre pour découvrir le monde?...

J'aime toujours autant les ambiances créées dans cette collection, les couleurs associées au bleu nuit et les personnages tout en ombres noires. Mais cette fois, les dessins et l'histoire sont très effrayants, la fillette est rejetée de sa tribu, ils la maltraitent et elle va même perdre ses cheveux après un combat avec un des monstres... Autrement dit: attention à ne pas lire cette histoire aux plus petits, c'est nuit de cauchemars assurée. Je viens de tester la lecture avec ma fille de 7 ans et elle a bien aimé mais elle a eu du mal à bien comprendre l'histoire. J'ai dû dédramatiser en réexpliquant que l'héroïne (qui n'a pas de prénom, c'est dommage) était vraiment très courageuse. Mais je garde un avis plus mitigé que pour les autres titres de cette collection à cause de la peur que les illustrations peuvent provoquer...

Des illustrations magnifiques qui s'accordent à merveille aux deux contes imaginés par Michel Orcelot qui récidive après Princes et Princesses.

On pénètre dans un monde magique autant grâce aux contrastes des couleurs et des découpes noires que par les contes.

Dans le premier, deux princesses au caractère opposé se disputent un beau chevalier mais celui-ci se révèle être un loup garou. Comment se terminera ce conte?

Le second suit la trame d'un conte traditionnel où un jeune homme affronte 3 monstre et s'attire leur amitié avant d'être soumis à trois épreuves impossible pour conquérir la belle princesse. Heureusement ses nouveaux amis viendront à son aide. Toutefois, la chute du conte sera une surprise pour le Roi des Enfers et ses trois filles....

Beaucoup de plaisir avec ce livre, à voir autant qu'à lire.

Kirikou et les bêtes sauvages est un recueil de plusieurs petites histoires relatant les exploits de Kirikou avant qu'il ne devienne adulte.

Les illustrations sont juste splendides avec une richesse de détails et des couleurs qui explosent.

les histoires: notre petit Kirikou demeure un petit bonhomme terriblement futé.

C'est juste beau.

Perso j'adore le passage avec la girafe.

J'ai retrouvé avec beaucoup de plaisir l'univers particulier et reconnaissable de Michel Ocelot. Ce conte est empreint de poésie et de fantaisie, mais aussi de noirceur et d'humour.

DU FILM AU LIVRE 🎬

Je suis souvent déçue par les adaptations de romans en films (je dis ça mais j'ai très envie d'aller voir Un amour impossible avec Virginie Elfira alors que le livre ne me tente pas #pasaunecontradictionpres) mais l'inverse est vrai aussi.

Alors que Dilili à Paris est un film d'animation 🎬 à la hauteur du talent de Michel Ocelot (avec une intrigue qui permet d aller à la rencontre de Marie Curie, Pasteur, Claude Monet, Renoir et de re-découvrir Paris 🗼), les livres 📚 qui ont été publiés à la sortie du film, affichent soit de jolies illustrations mais le texte paraît si plat, si littéral.

Je ne pensais pas écrire cela un jour mais pour une fois je préfère l'écran à l'écrit😉
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Une histoire de quête illustrée magnifiquement.



Dans cette album, il est question de quête, mais aussi de dépassement de soi, d'affronter ses peurs, ou encore de venir en aide aux autres.



Les dessins qui accompagnent ce livre sont juste magnifiques. Ces dessins ressemblent fortement à des ombres, créant un univers fascinant mais aussi terrifiant.



Un conte drôlement bien ficelé, qui encourage les plus jeunes à affronter leurs peurs !



Bonne lecture à tous.

Je garde un très bon souvenir du film que je ne me lasse pas de revoir. Les courts métrages de Michel Ocelot sont bien aussi, mais je les ai découverts plus tardivement. Ils ne m’ont donc pas donnée les mêmes émotions.

L’album retranscrit bien l’ambiance du film avec ses grandes illustrations. Les pages sont dans le style des livres médiévaux. Le font des pages est beige pour rappeler le parchemin. Des filets encadrent le texte et les illustrations. C’est un effort apprécié, mais qui ne cadre pas totalement avec les images numériques et le texte dactylographié en gros caractère. Le texte est assez plat. Il manque beaucoup de chose pour retrouver la richesse du long métrage.

J’aime toujours autant la fin, parlant de métissage et d’amour. Un conte comme j’aimerais en lire plus, mais je vais retourner regarder une nouvelle fois le DVD.

Le format géant est déjà un plus qui attire les enfants. ils sont attirés par un livre si grand. Ils comparent, immanquablement, le livre et le dessin animé.



Les illustrations, très colorées, font voyager. On se sent directement embarqués tout droit en Afrique, dans le village de Kirikou.



Kirikou est tout petit. Mais, en opposition à sa taille, il est très grand: grand par sa bonté, son sens de la justice, son intelligence, sa perspicacité, sa ruse, même,, et, par dessus tout son courage. C'est avec tous ces atouts qu'il va combattre la sorcière Karaba et aider ainsi à sauver le village et tous ses hommes. Mais ses aventures pour y parvenir vont être longues et compliquées. C'est ainsi qu'il devra rencontrer le sage du village- avec qui il a plus de liens qu'il n'y paraît et qui vit de l'autre côté de la case de Karaba - pour y parvenir. Arrivera-t-il à la vaincre ou la rendre plus agréable? Vous le saurez en lisant ce livre où tellement de valeurs sont véhiculées.




Lien : http://lecoindeslecturespart..

Cette version bien plus petite de cette saga africaine mais je l'ai aimé. Je l'ai trouvée bien plus dynamique!!!

Le Kirikou est resté le même et la sorcière aussi la même, l'histoire a conservé sa beauté de toujours!!! Géniale!!!

Ah quel bonheur que les aventures sur papier de ce petit bonhomme, dont la lenteur et la simplicité ont enchanté e mes enfants, qui se sont pris d'affection pour ce personnage malicieux et son univers à la poésie africaine si prégnante.
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