Citations de Milo Manara (100)
- vous ressemblez tous a de belles petites statuettes de cire... a attendre un vagabond juste bon a rien.
Quand cesserez-vous, Madame Claudia, de haïr votre corps splendide ? Quand cesserez-vous d'en avoir honte ?
- Je vous en prie, docteur Fez... N'insistez pas sur ce sujet, vous savez bien que cela me gêne.
Il est vraisemblable que l'impuissance d'origine psychique sera bientôt vaincue.L'appareil de Kranz exige cependant une manipulation délicate car on ne sait jamais ce qui se passerait si on libérait toute son énergie.p.6
.... Parce que... Quand on a une femme comme ça.... Avec des jambes pareilles... On peut résoudre bien des problèmes...
...Nous sommes comme les rêves...qu'y a-t-il de mal dans l'érotisme ?
Au commencement était le verbe et le verbe était Dieu. Arrivé au terme de ma vie de pêcheur, tandis que chenu, vieilli comme le monde. Désormais retenu par mon corps lourd et malade dans cette cellule de mon cher monastère de Melk, je m'apprête à laisser sur ce vélin témoignage des événements admirables et terribles auxquels dans ma jeunesse il me fut donné d'assister, vers la fin de l'année du seigneur 1327.
Ce fut la ferme et sainte conviction que même dans les livres mensongers puisse puisse transparaître une pâle lumière de la sagesse divine. C'est pourquoi fut-ce à ces livres que la bibliothèque fait écrin. Mais précisément de ce fait, n'importe qui ne peut y pénétrer. En outre, le livre est crétaure fragile, il souffre de l'usure du temps. Le bibliothécaire les défend donc non seulement des hommes mais aussi de la nature et des forces de l'oubli, ennemi de la vérité.
Nul n'entre au dernier étage de l'édifice, sauf deux personnes...
Nul ne doit, nul ne peut. Personne n'y réussirait. La bibliothèque se défend toute seule. Labyrinthe spirituel, c'est aussi un labyrinthe terrestre. Vous pourriez entrer et vous ne pourriez plus sortir. Je voudrais que vous vous conformiez à cette règle.
(page 20)
J'ai cherché partout le repos, et je ne l'ai trouvé nulle part ailleurs que dans un petit coin avec un livre.
(page 3)
Mon bon Adso, la beauté du Cosmos est donnée non seulement par l'unité dans la variété, mais aussi par la variété dans l'unité.
(page 10)
-Souvent les inquisiteurs, pour donner preuve de zèle, arrachent coûte que coûte un aveu à l’accusé, pensant qu’il n’est de bon inquisiteur que celui qui conclut son procès en trouvant un bouc émissaire…
-Un inquisiteur aussi peut être poussé par le Diable.
Non, elle n'est pas entrée, pousse doucement.
Insiste, plus fort, elle...
Un peu plus, elle n'y est pas encore...
Voilà, maintenant elllle eeeeeeeeeeeeentr....
Et quand je serai invisible, je pourrai enfin devenir riche, richissime, riche à en crever ! Yes !!!
Pour commencer, je vais te foutre à poil et t'asseoir sur la photocopieuse... Eh ! eh !... Je tapisserai toute la ville de ta chatte épilée.
Ça a l'air d'être l'usage parmi ses amis, de s'échanger les cassettes dans lesquelles ils sont pris en train de faire leurs pires cochonneries avec leurs épouses légitimes. J'en ai visionné quelques unes, et je vous garantis qu'on en voit de toutes les couleurs !
Elle enlève le bas, vingt secondes, et elle empoche une brique, simple, non ?
Tu veux me faire un grand plaisir, Bomme ? Ne me parle plus de ce foutu livre ! Plus jamais !
En fait, ce gentilhomme a raison ! Nous ne pouvons pas ainsi gâcher sa vie. pourquoi ne pas coller des pubs sur la Joconde, si on y pense...
- Pourquoi couvrent-elles leur visage ? Sont-elles défigurées ?
- Non, non. Elles sont nombreuses à se parer ainsi. Question de religion, je suppose.
- La religion... la nôtre aussi est étrange : tous frères, alors qu'il y a des esclaves... (p.27)
- Salut, Contini. Tu exerces toujours dans ta super clinique?
-Ouais, Fez... Moi, je n'ai pas encore été radié de l'ordre. HA! HA! HA! À propos, j'ai de bonnes nouvelles pour toi, vieil impuissant. Tu as lu le dernier Esculape?
- Bof, je m'en fiche désormais de la médecine.
Oubliez-vous totalement... Seul l'amour doit exister : devenez l'amour!